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Lady Klit.

Chapitre 19

Au premier regard.

Inceste
À partir de maintenant je ne vais pas vous raconter tout ce qui s’est passé depuis un peu plus d’un an, car sinon mon récit deviendrait aussi long qu’un livre et il y aurait très certainement des répétitions.  Le repas qui a suivi mon tout premier Full Anal Nelson car il y en a eu d’autres, s’est déroulé en famille et bien entendu en mode nudiste. Mais étant donné que nous ne sommes pas des animaux il ne s’y est rien passé de notable, si ce n’est que j’ai remarqué que la paix semblait effectivement signée entre mes deux frères, qui avant étaient à couteaux tirés.
 Le lendemain j’ai repris l’avion pour retourner dans mon école, mon tatouage a augmenté mon prestige auprès des autres filles, et ceux qui ont suivi car j’ai fini par être décorée de la même manière que ma maman, ne l’ont pas fait baisser loin de là. J’ai quasiment obtenu le statut de Star Du Lycée, même si personne n’a fait le rapprochement entre moi et une actrice de films pour adultes des années 2000. Ce qui ne m’aurait pas vraiment dérangée, étant donné que j’étais déjà à ce moment-là en mesure de l’assumer.
 Malgré ma notoriété j’ai réussi à garder la tête froide et je me suis consacrée à mes études, ainsi qu’à mes anciennes amies, certaines d’entre elles venant me retrouver dans le dortoir des grandes quand elles ont eu à leur tour 18 ans. Ma plus grande satisfaction étant mis à part l’obtention de mon permis de conduire puis de mon bac avec mention, de pouvoir enfin mettre des piercings ressemblant véritablement à des bijoux, une fois que les trous destinés à les accrocher ont été cicatrisés.
 Bien entendu pendant ces semaines printanières j’ai continué à faire l’amour avec les membres de ma famille, mais également avec les vagins étant donné que si je suis restée une hétérosexuelle dans l’âme, le fait que j’aime la cyprine autant que le sperme s’est confirmé. Quant à savoir si je me serais forcée si ça n’avait pas été le cas, de manière à ne négliger personne qu’il s’agisse de ma parente de sang ou de celles qui le sont par alliance, nous ne le saurons jamais alors il est par conséquent inutile de se poser la question. 
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 Mais faisons un petit retour en arrière par rapport à ce que je viens d’écrire, puisque nous somme le vendredi 04 Juin 2021 autrement dit deux mois après le début de mes aventures. 
 Pour situer je suis toujours vierge même si mon anus tout comme mon gosier ont été rodés, au point qu’il m’est devenu facile d’enfourner les grosses queues familiales. Y compris celle de mon Beau-Papa dont les dimensions se situent entre celles de Louis et de mes deux autres frères, et avec qui j’ai fait plus profondément connaissance. Mes piercings définitifs viennent juste d’être posés, et la douleur ayant disparu au bout de quelques jours seulement il ne m’est resté que la stimulation qui au départ m’excitait comme une chatte en chaleurs, mais à laquelle j’ai fini par m’habituer même si mes tétons et mon clitoris restent dardés en permanence.   
 J’ai réussi mon examen de conduite du premier coup et j’ai ma propre voiture, payée par ma maman après que comme convenu nous l’ayons choisie ensemble, et c’est une Mini d’occasion mais d’un modèle relativement récent. 
 J’ai également commencé à aller sur des plages naturistes, sans pour autant avoir tenté l’expérience de la randonnue car je ne me sens pas encore prête pour ça. Pas plus que d’aller sur un tournage de films porno, et Manon n’a d’ailleurs toujours pas accouché même si c’est pour très bientôt. Les photos avec ma maman restent à faire, et pour terminer je n’ai pas encore passé mon bac que je suis en train de réviser à la maison. 
 La liaison entre M’man et son Chéri comme elle l’appelle s’est lentement tissée, puisqu’il arrive à ce dernier de passer des week-end entiers à la maison. Celle entre Louis et Léa a débuté car il s’est décidé à avouer sa flamme à la jeune femme, qui a eu le bon goût de ne pas cracher dessus. Mon frère dans la foulée a joué dans son premier film de boules, en one to one autrement dit en tête à tête avec son amoureuse, et contrairement à ce qu’on pourrait penser de lui il n’a pas pris le melon, mais est au contraire devenu plus humble. Même si ce n’est pas une preuve en soi il a choisi comme nom d’acteur Lou Stick, et ce soir je vais d’ailleurs faire la connaissance de la fameuse Louna, tout comme celle de Corentin le fils aîné de Laurent. 
 Autrement dit la famille va s’agrandir, même s’il n’est pas question que le frère et la sœur emménagent chez nous contrairement à leur père, car il en est de plus en plus question, ce qui ne me dérange pas mais au contraire me fait plaisir pour celle qui m’a mise au monde. Oui, je sais que je me répète un peu, mais bon, je suis en train de parler de la ma maman là.  
 Petit détail que vous avez peut-être oublié : l’enjeu du pari entre Léo et Emma qui était de savoir de quelle manière j’allais réagir en voyant les photos qu’ils ont faites, était une coquette somme qui a servi à acheter un très bel appareil-photo. Un de ceux sur lesquels ont peut changer l’objectif dans le but de les customiser, et il m’a été offert par mon frère. Si bien que même si pour l’instant il n’y a pas de quoi se vanter vu que je suis encore une débutante, je suis tout de même devenue photographe amatrice. 

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 Mais revenons au présent. Je suis installée dans une chaise longue en train de potasser sous le saule pleureur, pas très loin de la piscine qui est à présent remplie, complètement nue et parfaitement à mon aise étant donné que depuis deux mois, ne plus porter aucun vêtement à la maison est devenu pour moi une chose absolument normale.
 Je ne sursaute même pas lorsque j’entends la mélodie du carillon de l’entrée, car non seulement il est assez éloigné de l’endroit où le me trouve pour que le son soit assourdi, mais en plus je suis chez moi dans la tenue qui me convient, alors je ne vois pas qui pourrait trouver quelque chose à y redire. 
 Cependant je me détourne de mon livre quand je vois du coin de l’œil Louis sortir sur la terrasse peu de temps après, d’autant plus qu’il est suivi d’une fille qui m’a l’air encore plus petite que ma belle-sœur Emma, et qui ne peut être que Léa Cordier étant donné qu’elle doit partager notre repas du soir. Même s’il est encore beaucoup trop tôt pour ça, puisqu’à la position du soleil j’estime que l’après-midi n’est pas encore terminée.
 Je pose mon bouquin avant de me lever pour aller les accueillir, bien que je me doute qu’ils ont dû passer par la cuisine dans laquelle la véritable maîtresse des lieux est en train de préparer ses fameuses lasagne, et tout en contournant la piscine pour me diriger vers eux en restant pieds nus, j’observe ma nouvelle sœur ou ma nouvelle belle-sœur suivant comment on envisage la chose, tandis qu’elle fait pareil avec moi. Ce qui est tout à fait légitime de sa part. 
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 Léa ne doit pas mesurer plus d’1 mètre 50, ce qui de toute évidence ne la complexe pas étant donné que les mules qui sont l’unique chose qu’elle porte, ont des talons large qui font moins de deux centimètres de haut. Son visage est ovale avec un nez fin aux narines bien dessinées, légèrement retroussé, elle a une bouche moyennement pulpeuse, des yeux bleus aussi lumineux que ceux de son père, et des joues rondes parsemées de tâches de son qui ressortent légèrement sur sa peau dorée. Le tout étant encadré par des cheveux blond-cendré ondulés qui lui arrivent aux épaules, et ses sourcils finement dessinés ainsi que ses cils de biche qui sont de la même teinte, ressortent parce qu’ils sont plus clairs que son épiderme.
 Quant à son corps il est en proportions de sa taille c’est à dire tout en finesse, avec des petits seins bien pleins mais qui donnent l’impression de ne pas avoir terminé leur croissance, et des tétons pointus rose-foncé dont les aréoles ne doivent pas mesurer plus de quinze millimètres de diamètre. Son ventre est plat avec au milieu un nombril tout rond et creusé, orné d’un piercing unique en forme de cœur qui est une pierre taillée assortie à ses yeux. 
 Sa vulve se limite en apparences a ses grandes lèvres joufflues qui tout comme son pubis sont parfaitement lisses, au contraire de ses bras et de ses jambes qui sont recouverts d’un fin duvet clair. Pour ce qui est de ses pieds et de ses mains, ils sont parfaitement accordés dans leurs dimensions au reste de son anatomie.
 L’ensemble donne à ma nouvelle belle-sœur un air juvénile, pour ne pas dire enfantin, si bien que si je ne savais pas qu’elle a 22 ans je pourrais me demander si elle est majeure. Elle doit d’ailleurs en jouer sur un plan professionnel, et j’imagine sans peine que les rôles qui lui sont attribués sont ceux de lolitas qui tombent amoureuses de leurs papa. Ce qui doit plaire énormément à un certain public d’autant plus qu’elle est très belle, et je ne suis pas vraiment surprise que mon frère soit tombé sous le charme de cette femme-enfant. 
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 Mais dans la vraie vie c’est à dire en ce moment, je découvre dans le regard de Léa identique à celui de son père la même franchise avec une pointe d’amusement, et tout comme lui elle me plaît instantanément. Ce qui doit être réciproque étant donné qu’une fois que nous sommes assez proches l’une de l’autre nous nous faisons spontanément la bise, avant que mon frère ait le temps de nous présenter. Je découvre qu’en plus du reste elle dégage une odeur fruitée dans laquelle la framboise est dominante, ce qui s’accorde parfaitement avec son physique. 
 Une fois que nous nous sommes séparées, Louis qui la dépasse de pas loin de deux têtes vu qu’elle lui arrive aux tétons, nous dit platement : 
 ― Euh, Pauline je te présente Léa. Léa je te présente Pauline. 
 L’intéressée éclate d’un rire cristallin en même temps franc et spontané, ce qui s’accorde parfaitement avec sa juvénilité, et constatant l’air penaud de mon frère qui a légèrement rougi certainement parce qu’il ne s’attendait pas à ce que les choses se passent de cette manière, je demande à la jeune femme :
 ― Mais qu’est-ce que tu as fait, du boute-en-train de ma famille ? ― Je n’y suis pour rien, car je fais pourtant tout ce que je peux pour le mettre à l’aise. Mais bien qu’on sorte ensemble depuis maintenant un mois, je crois bien que je l’intimide toujours. Comme tu peux le remarquer, je n’ai pourtant rien de bien impressionnant.
 C’est vrai que lorsqu’on la regarde on a plutôt l’impression d’avoir affaire à une très jolie poupée fragile, mais les apparences sont souvent trompeuses si j’en juge la tête que fait Louis. Afin de taquiner un peu ce dernier, je me tourne vers lui et je lance :
 ― Tu avais raison, quand tu as affirmé il y a quelques temps que c’est souvent la femme qui porte la culotte dans un couple. Car en ce qui vous concerne tous les deux, ça ne fait aucun doute. 
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 Mon frère a alors une réaction à laquelle j’aurais pourtant dû m’attendre, ce qui ne m’empêche pas de crier de surprise quand il se penche rapidement en avant pour passer un bras derrière mes jambes tout en plaçant l’autre autour de mes épaules, et qu’une fois qu’il ma soulevée il saute dans la piscine. Lorsqu’on est dans le bassin il me lâche, et ma tête ruisselante émergeant de l’eau j’entends à nouveau le rire de Léa, qui m’explique tout en essayant de se calmer :
 ― J’ai oublié de te prévenir... Sœurette. Son dressage n’est pas tout à fait terminé... et il a encore des sautes d’humeur incontrôlables.  
 Piqué au vif l’intéressé sort sans attendre de la piscine à la force des bras, avant de se précipiter vers son amoureuse qui le supplie sans pour autant chercher à prendre la fuite :
 ― Non pitié. Je ne me moquerai plus jamais de toi, promis juré.
 Je les regarde faire amusée, et en même temps bluffée par leur différence de corpulence car une fois qu’il l’a attrapée, Léa coincée dans l’étreinte de Louis qui n’a bien entendu rien de brutale, me semble minuscule. Après une deuxième saut qui m’éclabousse il la lâche elle aussi, libérée elle vient vers moi en nageant, et je lui demande :
 ― Tu crois qu’à deux, on pourrait réussir à mater cet animal ? ― Il n’y a qu’un seul moyen de le savoir… 
 C’est bien entendu ce que nous tentons de faire, mais alors qu’il s’est calé sur ses jambes là où il a pied et compte tenu qu’avec nos deux poids additionnés nous ne pesons pas beaucoup plus lourd que lui, surtout dans l’eau, il n’a aucun mal avec ses bras bien plus longs à nous tenir à distance. D’autant plus que nos corps sont devenus glissants.
 Bien que ses muscles ne soient pas massifs mon frère a tout d’un athlète, et il a à présent retrouvé toute sa superbe.  
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 Nous sommes en train d’essayer de faire basculer Louis depuis un peu plus de cinq minutes, quand une autre voix masculine attire notre attention : 
 ― Vous avez besoin d’aide, les filles ?
 Nous arrêtons de chahuter pour nous retourner afin de voir qui a parlé même si nous avons compris tous les trois qu’il s’agit de Laurent, qui est venu nous retrouver en compagnie de M’man qui doit avoir fini de confectionner son plat de lasagne, et l’a probablement également enfourné. Mais les deux amoureux ne sont pas seuls étant donné qu’ils sont accompagnés d’une autre personne, qui ne peut être que Corentin Cordier. Comme c’est la coutume dans notre maison les deux nouveaux venus se sont mis nus en arrivant, et étant donné que je connais déjà très bien le père avec qui j’ai même fait l’amour en plusieurs occasions, je m’intéresse à son fils. 
 Le jeune homme de 25 ans est plus grand que son géniteur puisqu’il doit mesurer 1 mètre 80, et il ne peut y avoir aucun doute au sujet de sa filiation car s’il a encore tous ses cheveux et que son menton est rasé de près, les traits de son visage sont les mêmes avec les rides en moins. Quand à son corps il est fin bien qu’il ait les épaules larges, et musclé avec un ventre sous lequel on aperçoit par moments sa ceinture abdominale, ce qui signifie qu’il pratique un ou plusieurs sports mais sans excès, juste dans le but de se maintenir en forme. 
 Il est moins velu sur les bras et les jambes que son père parce que plus jeune, mais la toison clairsemée et brillante qui orne ses pectoraux laisse présumer qu’elle descendra un jour en direction de celle plus fournie qui recouvre son pubis. Juste au dessus de son sexe qui n’est pas non plus circoncis, et plus petit que celui duquel est sortie la semence qui lui a donné la vie. Mais si cette différence est notable, il doit également y avoir un trompe-l’œil du fait qu’il est mieux charpenté. De plus, je ne suis pas étonnée de constater que ses bourses juste derrière soient chauves, ce qui n’est pourtant pas ce qui se remarque en premier étant donné qu’elles sont encore bien accrochées.
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 Je rougis en réalisant que je me suis attardée sur cette partie de son anatomie, cette façon de réagir m’arrivant encore lorsque je me retrouve en présence de quelqu’un que je ne connais pas surtout quand il ne porte aucun vêtement, même si j’ai fait d’énormes progrès dans ce domaine. Mais au lieu de détourner mon regard comme je le ferais avec une autre personne, je ne peux pas m’empêcher de reporter mon attention sur son visage. Contrairement à sa sœur ses yeux ne sont pas de la même teinte que ceux de leur père, c’est d’ailleurs la seule chose dont elle a hérité de lui au niveau du physique et j’ai envie de dire heureusement pour elle. 
 Non, les yeux bleus de Corentin s’il sont aussi clairs et lumineux que ceux de ses parents, me donnent la très nette impression de tirer sur le vert, même si me trouvant à pas loin d’une dizaine de mètres de lui je peux me tromper. Quant à son regard il est franc, mais en même temps amusé sans doute parce que je viens de lui faire subir un examen de passage, ce qui me fait m’empourprer un peu plus. Cependant dans son attitude générale il y a autre chose qu’il me faut quelques instants pour réussir à définir, et le premier mot qui me vient à l’esprit quand j’y parviens est Désir. Même si son sexe, est sagement resté au repos.
 Cette attirance, comme vous l’avez sans doute deviné par rapport à la description que je viens de faire de lui est partagée, tout le monde s’en est d’ailleurs rendu compte étant donné que les personnes présentes se sont immobilisées et restent silencieuses, dans l’attente de savoir ce qui va se passer. Je comprends à présent mieux la phrase pourtant réchauffée mais néanmoins prophétique de ma belle-sœur Emma, qui m’a affirmé il y a environ deux mois : Tu n’auras pas besoin de te poser de question pour ce qui sera de savoir si c’est le bon, car dès le premier regard que vous échangerez tu seras fixée.
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 Tandis que lui et moi nous nous apprécions et que l’ange qui s’est glissé parmi-nous s’attarde, Léa qui doit finir par trouver le temps long attire l’attention sur elle, en annonçant sur un ton enjoué auquel s’est mêlé une pointe d’ironie :
 ― Si vous faites des petits, vous m’en mettrez un de côté.
 Cette réplique fait éclater tout le monde de rire, même moi, et elle est la bienvenue car elle dissipe la tension qui s’était installée même si cette dernière n’avait rien de négatif, bien au contraire. Louis se décide à bouger le premier, il rejoint le bord de la piscine pour en sortir afin de saluer son beau-père ainsi que son beau-frère en leur serrant virilement la main, et il est suivi de sa petite-copine qui pour sa part se contente de leur sourire, probablement parce qu’elle les a déjà vus plus tôt dans la journée. 
 Vient mon tour de faire preuve de courtoisie, et avant que je sorte du bassin le bel inconnu se penche en avant pour m’aider, alors qu’il a laissé sa sœur se débrouiller toute seule. Ce qui là encore, ne doit échapper à personne. Il me tend la main et me hisse hors de l’eau sans effort apparent, comme si je ne pesais pas plus lourd qu’une plume, et lorsque je me retrouve ruisselante devant lui et qu’il me surplombe de pas loin de vingt centimètres, puisque je suis bien évidemment pieds nus, je suis à nouveau intimidée et je ne sais pas quelle attitude adopter. 
 Ma maman vient à mon secours, en me disant d’une voix douce :
 ― Corentin est parfaitement au courant de nos habitudes familiales, et même s’il a choisi de suivre une voie professionnelle beaucoup plus classique que la plupart d’entre-nous, il les accepte parfaitement. Mais si tu préfères ma Petite Caille, tu peux tout simplement lui faire la bise en attendant de t’être habituée à lui. 
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 Je suis ce conseil bien que j’aurais envie de faire beaucoup plus, ce qui m’est confirmé par le fait que je ne suis pas mouillée qu’à l’extérieur mais également à l’intérieur, et je colle chastement mes joues contre les siennes alors qu’il a penché la tête pour me permettre de le faire, et qu’il laisse sagement ses bras pendre le long de son corps. J’en suis en même temps heureuse et déçue, car s’il m’avait touchée je crois bien que je n’aurais pu répondre de rien, et que je me serais comportée comme une chatte en chaleurs. 
 Ce qui bien entendu n’aurait choqué personne, mais aurait anéanti l’idée que je me fais encore du prince charmant. Cette sagesse me permet d’apprécier son odeur boisée sans que je sache s’il s’agit d’un parfum naturel ou artificiel, ce qui n’a pas vraiment d’importance. 
 Ensuite je me sépare de lui, en tout cas pour le moment car j’espère de tout mon cœur que nous aurons à nouveau l’occasion de nous approcher, et encore plus, puis je vais dire bonjour à son père qui a le bon goût de me faire lui aussi la bise, alors que depuis déjà pas mal de temps nous avons coutume de mélanger nos salives, dans le but de nous montrer que nous sommes contents de nous revoir.
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