Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 177 J'aime
  • 12 Commentaires

Lady Klit.

Chapitre 20

L'homme de ma vie.

Inceste
Après avoir fait la connaissance de Corentin et alors que nous nous sommes tous assis autour de la table de la terrasse, je suis sur un petit nuage. Je ressens une douce euphorie comme si j’avais consommé de l’alcool alors que j’ai été sobre, en tout cas jusqu’à présent, et si ma vue est parfaitement claire j’entends les sons assourdis, comme si l’un d’entre eux très bruyant m’avait sonnée. 
 Lui et moi nous nous lançons de fréquents regards mais assez brefs, nous comportant à l’image d’adolescents qui ont peur de se faire surprendre par leurs parents, alors que les nôtres sont au contraire très larges d’esprit et qu’en plus nous sommes tous les deux majeurs. Le fait qu’il réagisse de la même manière que moi bien qu’il ait beaucoup plus d’expérience, me conforte dans l’idée qu’est en train de se passer entre nous quelque chose d’assez rare, pour ne pas dire de merveilleux.
 Malgré mon état de béatitude je ne suis pas stone pour autant, mon cerveau au contraire fonctionne à toute vitesse, et les trois questions qui reviennent régulièrement dans ma tête, sont : Quand ?, Où ? et Comment ? Je suis consciente que les autres personnes présentes se sont parfaitement rendues compte de la situation, pourtant tous même Louis et Léa qui semble pourtant n’avoir rien à envier à mon frère au niveau de la taquinerie, s’appliquent avec un tact dont je les remercie en silence de faire en sorte de ne rien avoir remarqué.  Au point que je me demande s’ils n’ont pas reçu des directives de la part de la maîtresse des lieux, qui est également leur patronne. Car je connais assez ma maman pour savoir qu’elle est parfaitement capable d’avoir anticipé la situation, ou au minimum d’en avoir envisagé l’éventualité. C’est la raison pour laquelle je ne suis pas étonnée, après que je me sois levée pour aller dans la maison afin d’aider Louis à servir des rafraîchissements, qu’elle me coince entre deux portes pour me dire à voix basse :
 ― Tu sais, si ce charmant jeune homme et toi vous vous isolez un petit moment afin de faire un peu mieux connaissance, personne n’y trouvera rien à redire. 
 Qu’elle va museler toute envie de faire des blagues grivoises voire moqueuses je n’en doute pas un seul instant, c’est pourquoi je hoche la tête en silence et en rougissant, tout en me demandant comment provoquer la chose. Car me retrouver seule dans une pièce avec Corentin Cordier, c’est ce dont j’ai le plus envie au monde et j’aime à croire qu’il n’en pense pas moins. 
χ χ

 Cependant la mise en scène a été bien préparée par notre productrice de films, vu qu’une fois que nous sommes tous à nouveau assis et que j’en ai profité pour aller chausser mes mules aux talons de trois pouces de haut afin d’être à mon avantage, et avec lesquelles je n’arrive à me déplacer avec aisance que depuis peu, M’man me lance sur le ton de la conversation : 
 ― Ma Petite Caille, tu devrais faire visiter notre villa au fils de Laurent, car c’est la première fois qu’il vient chez nous.
 À ma connaissance la sœur de ce dernier ne connaît pas non plus la maison, mais il est possible que je me trompe étant donné que je ne suis en permanence ici que depuis quelques jours, alors qu’avec Louis ils sortent ensemble depuis environ un mois. Par conséquent, ce sont peut-être passées des choses dont j’ignore tout. Pour m’en assurer je tourne rapidement la tête vers elle, cependant j’ai juste droit à un clin d’œil qui s’il me montre qu’elle est en accord pour ne pas dire complice avec ce qui va se passer, ne m’avance pas dans mes suppositions. Puis je regarde plus franchement son frère, et je lui demande en rosissant :
 ― Ça te dirait ?
 Le sourire qu’il me fait le rend encore plus craquant que son père, ce qui n’est pas peu dire, ensuite il me répond :
 ― Avec plaisir, Pauline. 

 Nous nous levons pour aller à l’intérieur, et je constate satisfaite qu’à présent sur mes échasses il me dépasse de moins de dix centimètres, ce qui n’est pas essentiel car je ne suis pas non plus complexée par ma taille, même si je n’aime pas spécialement être obligée de lever la tête quand je regarde un homme. Sauf quand je le suce. 
 Le parcours de la visite est rapidement calculé puisque contrairement à d’autres je n’avais pas prémédité cet instant, et si notre invité montre un intérêt poli à toutes les pièces de la maison, lorsque nous terminons par ma chambre j’ai droit à un nouveau sourire qui fait se liquéfier l’intérieur de mon bas-ventre. 
 Pourtant alors que la porte est restée entrouverte, il m’annonce :
 ― J’en ai très envie, mais le fait que mon père et ma sœur soient des acteurs de films pornographiques, ne fait pas non plus de moi un lapin. Alors si tu préfères, on peut attendre de se connaître mieux avant d’aller plus loin...
χ χ

 Cette attention même si elle n’est pas très glamour dans l’énoncé me chauffe également le cœur, et je lui réponds en rougissant, tout en m’adossant au battant qui se referme en émettant un clac typique :
 ― C’est un fait qu’appartenir à des familles de lapins ne nous oblige en rien, mais si tu en as envie et que moi aussi, je ne vois pas l’intérêt de remettre ça à plus tard. Et si le romantisme est une chose importante à tes yeux, rien ne nous empêchera de nous rattraper par la suite.
 Sa voix est devenue légèrement rauque, quand il réplique : 
 ― Ce qui est important à mes yeux c’est de pouvoir te regarder, et ce qui est important pour mes mains c’est d’avoir enfin l’occasion de te toucher.
 Joignant le geste à la parole il commence par poser ses battoirs sur mes joues, et tandis qu’il les caresse doucement ses lèvres viennent se coller aux miennes, que j’entrouvre pour qu’il puisse y enfoncer sa langue. Faire tourner mon appendice buccal autour de celui d’une autre personne est devenu pour moi une habitude, puisque c’est la manière dont nous nous disons bonjour et au revoir avec les autres membres de la famille. Pourtant si la gymnastique est la même, j’y découvre quelque chose de nouveau qui se passe essentiellement dans ma tête. 
 Car j’en éprouve un sentiment de jubilation et d’ivresse mélangées, comme s’il s’agissait d’un accomplissement alors que nous n’en sommes encore qu’au début de notre quête du plaisir, qui ne s’achèvera j’en suis à présent convaincue qu’avec la jouissance ultime. 
 Tandis que nous nous embrassons toujours Corentin déplace ses mains pour les poser sur mes épaules, qu’il cajole à leur tour, et sans réfléchir je mets les miennes sur ses reins pour les masser avec délicatesse, ce qui n’a pas l’air de lui déplaire. Ensuite il fait descendre les siennes les pressant sur mon dos au passage, pour qu’elles finissent sur mes fesses qu’il attaque à pétrir avec douceur, et j’en profite pour faire pareil. 
 Mes seins alors que nous sommes à présent collés l’un à l’autre se sont écrasés contre le bas de son torse, mes tétons rendus encore plus durs par leurs bagues de métal devant l’agacer, mais il n’a apparemment pas envie de s’en plaindre. Pourtant je m’écarte de lui quelques instants pour permettre à son sexe qui s’est gonflé de désir pour moi de se dresser, et lorsque je me rapproche à nouveau son membre en même temps dur et doux se retrouve coincé entre nous, sa chaleur et ses palpitations de désir pour moi augmentant mon contentement. 
χ χ

 J’aimerais que ce moment n’ait pas de fin, toutefois nous sommes obligés de nous interrompre pour reprendre notre souffle, et Corentin en profite pour me demander dans un murmure :
 ― Puisque tu es décidée à aller plus loin, on pourrait aller s’installer sur ton lit. Qu’est-ce que tu en penses ?
 Au lieu de répondre après lui avoir souri je commence par décalotter son gland afin qu’il soit plus à l’aise, ensuite j’attrape une de ses mains pour l’entraîner jusqu’à ma couche, je le lâche pour m’allonger sur le dos calant ma tête avec les oreillers, et j’ouvre les cuisses comme pour l’inviter à venir me rejoindre. Il ne fait pas de commentaire par rapport au fait que j’ai gardé mes mules aux pieds, bien que ce soit le comportement typique d’une cochonne non pas d’une amante éprise de romantisme, et sans hésiter il vient se mettre sur moi pour que nous reprenions là où nous en sommes restés. C’est à dire recommencer à nous embrasser.
 J’ignore combien de temps dure notre échange de salives, pourtant je suis convaincue que pas plus que moi mon amant ne s’est lassé lorsqu’il décide de ramper le long de mon corps, jusqu’à ce que sa bouche se retrouve à hauteur de mes seins. Tandis que sa main droite prend la mesure de celui de gauche ses lèvres viennent se coller cette fois sur mon autre téton, et il commence à le sucer comme un nourrisson affamé du lait de sa mère. 
 La situation est pour moi inédite probablement à cause du fait que je me suis faite percer assez rapidement, que la lente cicatrisation de mes chairs à interdit à mes parents incestueux de me faire la même chose, et je suis heureuse que l’homme dont je suis subitement tombée amoureuse, soit le premier à téter mes nichons. Car bien entendu il ne manque pas de changer de côté, de toute évidence pas incommodé de devoir composer avec les bouts de métal qui me font comme des carcans. Pendant ce temps je caresse avec tendresse ses cheveux courts, ce qui n’a pas l’air de le déranger. 
 Ces succions alternées en plus du plaisir ressenti qui me fait geindre doucement, sonnent dans ma tête comme un promesse. Celle que nous aurons un jour des enfants, que nous verrons grandir et s’épanouir avec bonheur. 
χ χ

 Je suis en même temps déçue et heureuse quand la bouche de Corentin abandonne mes seins, puisque tandis que mes mains sont toujours posées sur sa tête cette dernière recommence à descendre, il lèche mon ventre au passage s’attardant quelques instants sur mon nombril, pour continuer jusqu’à ce qu’il atteigne ma vulve. Alors que son corps se retrouve entre mes jambes que j’ai écartées un peu plus pour lui faire de la place, je suis libérée de son poids qui ne m’avait pas vraiment dérangée, car j’ai appris à aimer sentir un homme me couvrir au sens propre aussi bien qu’à celui plus figuré du terme. 
 Lorsqu’il commence à s’intéresser à mes grandes lèvres avec sa langue mes geignements reprennent, pourtant elle n’a rien de goulue étant donné qu’elle s’applique à explorer le moindre recoin de mes chairs, avec une lenteur qui en même temps me comble de plaisir et m’exaspère, car je suis partagé entre le besoin que ça aille plus vite et le désir que cette caresse buccale ne s’arrête jamais.
 Lorsqu’il se décide à écarter mes babines avec ses doigts pour prodiguer le même doux traitement à mes nymphes, mon bel amant redresse soudainement la tête pour me regarder, et dans ses yeux je vois un mélange de surprise ainsi que ce qui pourrait bien être de la fierté. Car il vient de se rendre compte que mon hymen est intact, ce qui a dû l’étonner car il doit savoir de moi que je ne me suis pas privée de faire l’amour avec les membres de ma famille avant lui, tout comme je suis au courant qu’il s’est comporté de la même manière avec sa sœur. Je me contente de lui faire un sourire chargé de tendresse en guise d’explication, et après me l’avoir rendu il replonge pour recommencer à me lécher. 
χ χ

 Cependant Corentin n’a pas l’intention de me faire jouir de cette manière même s’il a l’air de beaucoup apprécier ma mouille, étant donné qu’à présent que mes gémissements sont devenus plus prononcés et plus rapprochés les uns des autres, il se redresse pour faire le chemin en sens inverse afin que sa tête se retrouve à hauteur de la mienne. Pendant ce cunnilingus qui restera inachevé ce dont je ne vais pas le blâmer, il a pris garde de ne pas toucher à mon clitoris. N’ayant très certainement pas eu peur de me faire mal, mais plus probablement de me faire exploser de plaisir. 
 Quand nous nous retrouvons à nouveau face à face et alors qu’il recommence à m’embrasser, sa bouche ayant pris le goût de ma liqueur intime, instinctivement je plie les jambes pour que mes cuisses viennent se caler contre ses hanches. Si bien que mes mollets sont restés à l’horizontale mais à présent en l’air, tout comme mes pieds toujours coiffés de mes chaussures de cochonne. Prenant cela pour un signal mon bel amant soulève son bassin, et c’est moi qui guide son membre qui j’en suis convaincue n’a pas failli un seul instant, même si je ne l’ai pas eu en permanence sous les yeux loin de là, vers l’entrée de ma petite grotte encore inexplorée.    
 J’ignore si Corentin a eu l’occasion de déflorer d’autres filles avant moi, et cela a peut-être été le cas de sa sœur ce que je ne saurai probablement jamais, étant donné qu’il ne me viendrait pas à l’idée de lui poser la question. Toujours est-il que quand son gland se retrouve coincé entre mes lèvres du bas et que ma main est retournée là où elle était avant, il se laisse descendre de tout son poids déchirant mon hymen au passage. La douleur que je ressens est vive mais s’atténue rapidement, si bien que j’arrive à me retenir de crier, et elle n’est pas sans me rappeler celle que j’ai ressentie quand je me suis faite percer à d’autres endroits. 
χ χ

 Mon vagin étant plus que prêt à le recevoir car il n’a pas manqué durant les préliminaires de s’inonder de mouille, le pieu qui est en train de m’empaler s’enfonce sans à coup jusqu’à ce que nos deux bassins viennent en contact, et que je me sente comblée autant sur les plans physique que mental. 
 Pendant toute cette pénétration qui est très symbolique étant donné qu’il s’agit de la première, Corentin ne m’a pas lâchée du regard probablement pour voir de quelle manière je réagissais, mais aussi pour me transmettre son amour, et sur ce dernier point j’espère avoir réussi à le lui rendre. Mais à présent nos langues se caressent à nouveau mutuellement tandis qu’il reste planté en moi, non seulement pour le plaisir de mélanger un peu plus nos salives, mais également pour prolonger cet instant magique le plus longtemps possible.
 Pourtant il finit par soulever l’arrière de son corps alors que nos lèvres restent soudées, et j’en profite pour ramener mes genoux en direction de mes épaules ce qui fait pointer les talons de mes fuck me shoes vers le plafond, et va nous permettre de gagner un ou deux centimètres bien que ce ne soit pas vraiment nécessaire. Car son sexe même s’il n’atteint pas les proportions de ceux de mes frères, est tout de même d’une taille honorable et au dessus de la moyenne. Je le sais car j’ai eu l’occasion de me renseigner à ce sujet, juste par curiosité, depuis que j’ai un accès total à internet. 
 Bien que j’aie adopté une position de cochonne ce qui ne semble pas déranger mon bel amant, il fait lentement aller son piston dans mon tube comme s’il avait toute la vie devant lui, et la lubrification naturelle que j’ai produite permet que ses mouvements soient fluides. Je le laisse aller quelques instants en moi de manière à analyser ce que je ressens, puis je commence à l’accompagner en bougeant moi aussi mon bassin, allant à la rencontre du sien quand il vient vers moi et me reculant quant il repart. Notre union étant ponctuée par mes geignements de plaisir, qui sont étouffés par sa bouche qui me bâillonne vu que nous n’avons pas arrêté de nous embrasser. 
χ χ

 J’ignore depuis combien de temps nous faisons l’amour car le cours du temps semble s’être suspendu, je ne suis pas aidée pour arriver à le déterminer par Corentin qui s’active avec la régularité d’un métronome, et seule mon horloge interne matérialisée par le plaisir que je ressens et qui est de plus en plus intense, m’indique que nous allons de l’avant. 
 C’est au point que j’arrive à l’orgasme ce qui est le but recherché, même si j’aurais voulu qu’il me prenne encore plus tard tant j’aime que nous soyons liés de cette façon, pourtant il ne me viendrait pas à l’idée de pleurer sur mon sort. L’homme à qui j’ai choisi d’offrir ma fleur, qui a compris que l’instant ultime arrivait a reculé sa tête pour me regarder à nouveau, et il me contemple tandis que la jouissance m’emporte et qu’il s’est arrêté de bouger en moi, visiblement heureux du résultat de ses efforts. D’autant plus que mes spasmes provoquent son éjaculation, et le long gémissement de plaisir que je pousse est accompagné par ses grognements de contentement.  
 Une fois qu’il s’est vidé mon bel amant se retire pour ensuite faire basculer son corps afin de s’allonger à côté de moi, et après avoir pris ma main comme le ferait un adolescent ce qui m’attendrit, il me dit :
 ― Jamais je n’aurais pensé, que tu étais encore vierge. 
 Ce rappel me fait brusquement redresser la tête afin de regarder mon sexe, pour constater que j’ai très peu saigné et que par conséquent le couvre-lit ne doit pas être taché. Soulagée je pousse un soupir même si je suis convaincue que ma maman ne m’en aurait pas voulu si ça avait été le cas, ce qui visiblement amuse mon amoureux, et une fois que je me suis à nouveau avachie sur le lit je lui précise :
 ― Depuis quelques temps je me fais sodomiser régulièrement, mais uniquement par les membres de ma famille et celui de ton père, car je considère qu’il en fait également partie. Et il paraît même que je suce comme une pro, alors que je n’ai pas envie de suivre la voie tracée par nos parents, vu que je n’éprouve pas le besoin de m’exhiber et que je préfère donner de l’amour. Mais en ce qui concerne mon pucelage, j’avais décidé de le garder pour celui qui deviendrait l’homme de ma vie. 
χ χ

 À présent ému Corentin se met sur le côté pour me regarder avec tendresse, et il me demande en me caressant doucement la joue :
 ― Et c’est moi, que tu as choisi ? ― Je n’ai rein choisi du tout. Tu es venu, tu m’as vue et tu m’as vaincue. J’ai rendu les armes sans même penser à combattre, tout simplement parce que je n’en avais pas envie. Maintenant je vais être franche, je suis dès le départ partie du principe que je pouvais me planter, car on ne peut pas prétendre connaître une personne au bout de quelques instants seulement, et qu’elle soit très agréable à regarder ne fait pas tout. Car j’arrive quand même à faire la différence, entre le désir et l’amour. Mais j’espère bien que ce sera toi, à condition bien entendu, que tout comme moi tu aies envie que nous entamions une relation sérieuse. 
 Suite à ce discours que je n’avais absolument pas préparé je peux constater que mon bel amant est ravi, et quand il s’est remis dans la même position que moi il me répond :
 ― C’est plutôt rare comme situation. Mon père avec ta mère, ma sœur avec ton frère, et moi avec toi. Mais je pense que ça va coller entre nous, car même s’il nous faudra effectivement du temps pour apprendre à nous connaître, confrontés aux mêmes situations nous avons réagi de le même manière. Acceptant certaines choses par amour de nos proches, tout en n’ayant pas envie d’aller aussi loin qu’eux. Car je tiens à ce que tu saches une chose à mon sujet, qui est que l’inceste n’était pas au départ dans mon mode de pensée. Et il a fallu que Léa fasse preuve de beaucoup de persuasion, pour que j’accepte de faire l’amour avec elle. Surtout qu’à l’époque, elle était encore pucelle. Quand tu la connaîtras un peu mieux elle aussi, tu comprendra qu’elle est très forte pour arriver à ses fins.   ― C’est bien que tu me l’aies dit, car si je me suis effectivement posé la question à votre sujet, je suis partie du principe qu’il aurait été indélicat de ma part de t’interroger. Car tu aurais pu, ne pas avoir envie d’en parler. Maintenant, la question est de savoir si tu veux qu’on continue à nous mélanger avec nos parents, car tu es en droit de réclamer l’exclusivité en ce qui me concerne. À condition bien entendu, que ça aille dans les deux sens. 
 Corentin réfléchit quelques instants, puis il me répond :
 ― C’est une décision qui doit se prendre à deux. Tu as parlé d’amour à juste titre, même si c’est une manière très particulière d’en donner à nos proches, puisque on mêle l’acte sexuel à nos sentiments. Mais si au départ j’ai eu du mal à l’accepter, j’ai fini par trouver ça normal.  ― Si ça a été un peu plus rapide en ce qui me concerne, j’en suis arrivée à la même conclusion.  ― On est raccords sur beaucoup de choses, toi et moi. Et j’espère qu’on ne se prendra la tête, que quand il s’agira de choisir le prénom de notre premier enfant.  ― Ça ne risquera pas d’arriver, vu qu’elle s’appellera Fantine comme sa grand-mère.
 Il éclate alors de rire, et réplique quand il s’est calmé :
  ― En même temps ma mère s’appelle Brigitte, alors je ne peux pas lutter. 
χ χ

 Nous nous décidons ensuite à nous lever et sortons discrètement de ma chambre, car cette dernière contrairement à celle de ma maman ne possède pas sa propre salle de bain, et nous voulons nous rendre présentables avant d’aller retrouver les autres. Même si nous n’avons absolument pas honte, de ce que nous venons de faire. Mais quand je parle de discrétion c’est très relatif, car les talons aiguille de mes mules qui ne m’ont pas quittées un seul instant, claquent joyeusement au rythme de mes pas. 
 J’apprécie énormément de prendre ma première douche avec un homme, surtout celui-là, et lorsqu’il me savonne après que nous nous soyons mouillés, le contact de ses grandes mains caressantes sur mon corps me procure un plaisir très proche du désir. Cependant nous n’avons pas le temps de recommencer à faire l’amour, et une fois propres et séchés mais encore humides, nous retournons sur la terrasse. 
 Lorsque nous y arrivons en nous tenant par la main, nous constatons que Lucas, Manon, Léo et Emma sont arrivés, et tout le monde est en train de boire tranquillement l’apéritif. Si je croise quelques regards amusés voire ironiques en ce qui concerne certains, personne ne fait de remarque au sujet de notre absence prolongée. Je suis convaincue que la maîtresse de maison y a veillé, elle est d’ailleurs la seule à s’attarder rivant ses yeux aux miens, et dans les siens je lis de la tendresse mélangée à de la joie. 
 Je ne suis pas vraiment surprise de constater que Corentin dit bonjour à mes belles-sœurs de la même manière que moi, c’est à dire en mélangeant nos salives avec les leurs, car je suis au courant que j’étais la seule à ne pas encore le connaître, et encore moins quand il serre la main à mes frères dont je caresse également la langue avec la mienne. Car si contrairement à d’autres nous ne considérons pas l’homosexualité masculine comme étant une tare, aucun des hommes de notre grande famille ne la pratique, tout simplement parce qu’ils n’ont aucun goût pour ça. 
 Ensuite c’est notre Maman Baiseuse qui accapare l’attention ce qui me permet de me faire discrète, car elle est à quelques jours seulement de mettre au monde le premier petit-enfant de Lady Klit, qui a l’air enchantée de devenir grand-mère. 
χ χ χ

Vous aimez cette histoire et vous voulez la suite ?
Alors montrez-le !
Comment ?
En cliquant sur j’aime ! 

De plus, si vous voulez savoir quand le prochain épisode arrivera, cliquez sur « S’abonner aux histoires de Conteuse ».
Diffuse en direct !
Regarder son live