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Lae Amants 2

Chapitre 1

Zoophilie
Les amants partie 2

Pas un mot de ceci pendant le repas, l’après-midi, je finis le démontage des gaines, vers les 19 heures, nous les sortons de la porcherie. En passant vers ma cochette, je vois que sa vulve est beaucoup plus grosse, en plus bien pointue, le rosé est devenu rouge, je n’avais jamais vu une vulve de truie de cette forme, comme un gros clitoris.
Marie me rejoint, je la prends dans mes bras, et je l’installe sur la barre de la case, son sexe est à ma hauteur, elle a compris, elle se tient sur la barre, elle écarte les cuisses, je plonge ma tête entre ses cuisses, je lui lèche l’intérieur du vagin, elle serre un peu les jambes, elle adore.
Je la fais descendre, et... :
              - Comment tu sais que ta truie est en chaleur, Marie ?              - Comme je t’ai dit. Pourquoi tu as une autre solution ?
Je prends Marie par la taille et je l’amène vers la cochette, je la place sur les reins de celle-ci moi, je suis derrière elle, je la tiens par la taille.
               - Si elle accepte le chevauchement, c’est qu’elle est prête, elle est disponible, elle ne bouge pas.
Doucement, je recule, en faisant faire la même chose à Marie, j’arrive en bout du cul, son petit bout de queue se frotte avec mes couilles. Humm bon, je me dégage de la cochette, l’anus de Marie rencontre le bout de queue, elle humm un peu, je la fais descendre légèrement de manière à ce que son vagin soit en contact avec celui de la cochette, j’arrive à passer mes mains entre mes deux femelles pour écarter les lèvres de la chatte de Marie et faire entrer en contact la vulve de la cochette.
La cochette est en chaleur, la température est importante entre les deux.
                 - Oh, que c’est bon, me lance Marie
Voilà que les deux femelles se frottent les vulves, Marie prend goût, accélère les mouvements, quelques instants après, elle jouit. En plus comme à chaque relation, elle mouille beaucoup. Je lui murmure :
               - J’aimerais bien que tu me guides pour la saillie, tu fais cela si bien.

Marie se dégage, vient se mettre à genoux, elle prend ma bite à pleine main, de l’autre, elle écarte les lèvres de la vulve de la cochette et me fait entrer, pas de soucis, Marie a laissé un peu de mouille dessus, je suis dans le vagin, il est assez petit et me serre bien la bite, je fais des aller-retour, la particularité quand je ressors, ce n’est pas ma bite qui coulisse, mais le vagin de la cochette, c’est son vagin qui s’étire, il est collé sur ma queue et cela est super.
Je suis en bien dedans, je transpire, je souffle, en plus comme on est unis avec la cochette, Marie me caresse les couilles.
             -  Oh que c’est bon oh ouiiiiiiiiiiii.
J’enfonce au maximum, mais je n’ai que 17 centimètres, alors que son vagin fait 30 centimètres, je ne risque pas de franchir le col de l’utérus, et je décharge ma petite quantité en elle.
Je reste en elle, attendant le dégonflement de ma bite, et qu’est-ce que je remarque ?Marie en train de se masturber, et encore une fois, elle jouit.
Je me détache de la cochette, encore en semi-érection, Marie me prend la bite, m’entraîne sur le sol et autre surprise, elle se met en 69 pour me lécher et se faire lécher.
Là, je reconnais que je suis épuisé, mais que du plaisir, elles sont formidables. Marie me dit :
            - J’avais des doutes sur tes relations, nous partageons les mêmes goûts. Pourtant, il reste encore à découvrir, je te garde encore un peu avec moi.              - De toute façon, je n’ai pas fini le démontage.
Au petit-déjeuner, Marie me sert le café, il me semble qu’il y a un goût, à moins que ce soit le lait, mais un peu plus tard, je constate que mon sexe se met en mouvement, il est désireux, je pense qu’elle m’a mis sa recette pour me faire bander, elle est assez vicieuse, désireuse aussi.
J’ai terminé le démontage, je m’apprête à sortir la machine :
              - Tu peux venir !
Je regarde partout, et j’aperçois que la fameuse porte sans poignée est ouverte. Je m’avance et là, je découvre une petite pièce avec de la paille fraîche, au milieu un chevalet avec une sorte d’accoudoir.
Marie est avec son jeune verrat, elle me fait signe de la rejoindre, elle est à genoux, j’en fais autant, d’une main, elle lui caresse les testicules et de l’autre elle lui tient le fourreau.
Au bout de quelques instants, sa bite sort, le tire-bouchon est là, elle le bloque pour éviter qu’il rentre, et le met en contact avec ma queue, elle arrive à les faire frotter.
         - Humm,
J’apprécie ce contact, lui aussi, elle desserre légèrement, quelques gouttes de sperme viennent se déposer sur mon gland, le grognement du verrat laisse à penser qu’il veut faire la monte.
Marie se relève et va se mettre dans le chevalet sur le ventre, ses genoux reposant sur le sol. J’ai compris : les fameux accoudoirs servent à mettre les pattes du verrat.
Lui, il a compris, il va vers Marie, lui renifle le sexe, son groin fouille un peu et le voilà qu’il la monte.
Guide-le en moi, mais pas trop vite s’il te plaît.
Je saisis la bite de verrat, il se laisse faire, je lui fais découvrir la raie des fesses, il grogne un peu doucement, je fais descendre le pénis plus bas, et hop, il s’enfonce dedans.
Il est rentré au plus profond, ses flancs se mettent en mouvement, il envoie le jus.
           - Ouiiiii, encore, gémit Marie.
Il est assez rapide, il se dégage de sa femelle et retourne à son box.Marie reste en place et à ma grande surprise, me lance :
         - Luc, prends-moi, je te veux.
J’étais déjà bien armé, de voir l’accouplement, en plus je trouve que je bande encore plus fort chaque jour. Je prends la place du verrat, pas de soucis pour entrer, il y a de la sauce partout, mais dès que je suis dans le vagin et que je franchis le col de l’utérus, Marie explose de cris, je suis nettement plus gros que le verrat, 5 contre 2 de diamètre, mais aussi il y a mis une grosse quantité de sperme et cela augmente le volume.
Plus je pousse plus le tapioca s’échappe, on en a partout, sur les couilles, ses cuisses, les pubis sont graissés aussi, il fait chaud dedans, je ne vais pas tenir longtemps, un coup de reins et je bute sur la paroi de son utérus.
        - Ouiiiii, oh lala encore, défonce-moi, me lance Marie.
Je fais encore un effort et éjacule en elle.
— Je viens de sentir ta queue décharger hummmm que c’est bon
Marie essaie de contracter son vagin, mais elle est trop faible, ma queue lentement quitte son vagin avec un petit bruit, "ouips", de colle qui se détache.
Elle se relève, ferme la porte du local, nous nous enlaçons, nos sexes collés l’un contre l’autre se frottant mutuellement plein de sperme.
Une odeur agréable de sperme se dégage entre nous, celle du verrat ressemble à la nôtre.
Sans comprendre, je passe ma main par-derrière entre les cuisses, je caresse l’entrejambe en remontant vers le creux de ses reins, je refais plusieurs fois la manœuvre, un peu de sperme vient de s’écouler de sa vulve, il est au bout de mes doigts, machinalement, je remonte, ah voilà son anus, il est assez large, un peu pointu, je fais le tour, épandant le sperme sur le dessus et les côtés, elle écarte un peu les jambes, visiblement Marie apprécie ce massage.
Soudain, je sens une de ses bottes venir se frotter sur la mienne, puis sur ma cuisse, j’adore ce contact du caoutchouc sur la peau, elle devient plus présente, mon index est au milieu de son chou-fleur, ses doigts rejoignent mon index, elle le pousse dans son anus, il rentre facilement le sperme servant de lubrifiant, et me fait entrer entièrement au fond, sa botte sur ma cuisse me frotte allégrement, cette position lui permet de bien offrir son anus.
Marie reprend son équilibre et, surprise pour moi, elle vient positionner son index sur mon trou. Lentement, doucement, elle tourne un peu autour, puis elle entre en moi. Je n’ai pas l’habitude, elle le sent, et ne bouge plus, laissant mon muscle anal prendre le temps de recevoir.
Marie cherche des mouvements, je le comprends par son muscle qui bouge sous mon doigt, je lime un peu puis beaucoup.
          - Ouiiiii vas-y encore, encore.
Je succombe à ses désirs, elle a une sorte de jouissance assez rapide.
Nous restons collées, ma bite est en semi-érection contre sa vulve, nos deux trous tenus par nos index.
Nos corps se séparent, une petite tape sur ses fesses, elle en fait autant sur les miennes, c’est le signe que les plaisirs sont intenses entre nous.
Nous rentrons déjeuner, le téléphone sonne, de mon côté : j’ai un message de mon ami qui me demande où j’en suis depuis le temps.
Je lui réponds que demain, je serai chez moi.
         - La coop vient récupérer des cochons cette aprèm, ce n’était pas prévu, on mange vite. Au fait, il serait bien de reprendre nos habits, tu peux finir de charger pendant qu’ils s’occupent de l’enlèvement des porcs !          - Oui, cela me permettra de partir après.           - Ah non, tu restes cette nuit, je veux profiter de mon mâle encore une fois.           - OK, mais demain matin, je suis obligé de partir.
L’après-midi se passe vite, mon véhicule est chargé, les cochons sont partis, Marie me rejoint, elle a repris sa blouse, en bottes.
           - Tu ne veux pas venir t’installer avec moi !           - Avec plaisir, mais j’ai ma ferme aussi.           - Pourquoi je ne suis pas tombé sur un mec comme toi, mon ex même avec des aphrodisiaques, il ne faisait rien, le minimum, ne parlons pas d’autre relation inimaginable.
Voyant dans ma voiture une paire de bottes neuves thermos, elle me regarde, les prend.
          - J’adore ce genre-là, un caoutchouc parfait, confortable, pour les hommes botteux.           - C’est une passion les bottes, la ferme, les odeurs, les comportements, ma vie.
J’ai compris ce qu’elle m’a donné pour vivre ces quelques heures intenses avec moi, je ne regrette rien, au contraire.
Je lui donne un coup de main pour ses travaux à la porcherie, nous rentrons prendre un peu de repos. Là on reprend la tenue que nous aimons, nus, elle a quand même une belle chatte et un beau cul.
          - Luc, tu dois avoir de bonnes relations avec tes vaches, tu sais où est le plaisir, les caresses des reins, les jeux avec l’anus, et la tendresse avec la vulve, tu dois te faire plaisir.           - Oui, par contre, j’aime bien les cochettes, elles ressemblent beaucoup à une femme, l’accouplement est superbe grâce au petit vagin qui enserre bien la bite, même pas en chaleur, on peut les prendre, les vaches une fois la complicité accordée, tu peux faire quand tu veux.           - Moi, c’est par hasard que j’ai découvert le verrat un jour, il m’a reniflé l’entrejambe, j’avais trop envie. Mon ex ne s’occupait plus de moi, ses copains plus importants. La première saillie fut compliquée, il n’a pas réussi à me trouver la vulve, j’avais du sperme partout, mais cette odeur m’a induit à continuer. Au bout de quelques essais, il m’a fait une belle monte, depuis, que du plaisir. Il a un petit sexe, mais tellement de tapioca, il me remplit à chaque fois. Mais avec toi, j’ai pu compléter l’acte sexuel.
Dernière nuit avec Marie, une douche commune, un café. Je sais pourquoi sa proposition, pour que je sois bien en forme, nous rejoignons la chambre, elle se met devant moi, la tête sur le bord du lit.
Je me couche sur son dos, prenant à pleine main ses seins, massage, ils sont durs, longs, ma bite en effervescence entre ses cuisses. Je remonte un peu, me faufile entre ses poils, je joue avec son clitoris, elle écarte les lèvres de son vagin, je glisse lentement, elle me donne des coups de cul, ses seins font le mouvement de son corps et s’échappent de mes mains.
Mon gland passe le col, il est bien gorgé, Marie arrive à me caresser les couilles, je suis au bout.
Quelques instants après, je projette ma semence.
           -  Ouiiiii, ouiiiiii
Mon gourdin s’échappe de son vagin, elle a trop de mouille.
Le matin levé vers les 6 heures. Après le petit-déjeuner, je lui donne un coup de main pour remettre les porcs en place suite au départ des autres la veille ; triage par lot et par case, là il y a du vacarme.
Normalement, je dois partir vers les 10 heures. Soudain un grand jet d’eau au milieu du bâtiment, Marie court vers la vanne centrale, je vais voir, le tuyau est fendu sur quelques centimètres, surtout le raccord est en morceaux.
          - Non, pas cela, lance Marie, comment je vais faire !          - Moi, je peux te le réparer, mais il me faut du tuyau, des raccords, je suppose que tu n’en as pas ? Pour réparer, j’ai ma caisse à outils. — La seule solution, je dois aller chercher le matériel, il me faudra l’aller-retour, une bonne heure ; toi qui voulais partir à 10 heures, il est déjà 9 heures...          - Je ne suis pas pressé à ce point, il faut bien faire le dépannage pour des animaux.
J’ai droit à un gros bisou, et quelques tapes sur les reins.
Marie est partie, j’en profite pour regarder le reste de l’installation : oh, il y en a un qui est prêt à céder, je la rappelle pour rajouter à sa liste, j’envoie un message à mon copain pour lui annoncer que je serai que vers les 17 heures chez moi.
Mon instinct me conduit vers la cochette, elle est couchée, sa vulve bien ressortie, les lèvres légèrement ouvertes, la pointe de la vulve bien enflée, elle est en pleine chaleur.
Je m’approche, quelques petites tapes sur la cuisse, elle se lève, s’étire, se met à pisser, oh que son sexe est gros, beau, elle reprend sa position normale.
Ma verge est tendue dans le short, les hormones ont agi. Je quitte mon short, je m’assois sur son dos, elle reste immobile, je glisse doucement vers l’arrière, son petit bout de queue me frotte l’anus, agréable, puis les œufs, elle frétille dessus, c’est extra, je recule un peu, ma bite est au niveau de sa chatte, le prépuce est bien dégagé, le gland rosé prêt pour l’aventure.
J’écarte un peu les lèvres, doucement, je rentre en contact, une chaleur immense envahit, je pousse un peu, son vagin m’accueille, lentement, je progresse, laissant les parois du vagin se dilater pour accepter la grosseur de mon sexe.
Je suis entièrement dans ma cochette, son vagin me serre beaucoup, je fais des aller-retour ; par contre, c’est son vagin qui m’accompagne, j’arrive à le tirer dehors de quelques centimètres, j’adore ceci être prisonnier de son sexe.
La chaleur est si intense que mon gland frémit, les testicules sont en action, le jus monte, comme je suis un peu serré, il a du mal à atteindre le méat, finalement, il fuse en un petit jet, mais en plusieurs fois.
         -  Ohhhhh ouiiiiii
Je viens de saillir ma cochette qui ne bouge pas, je reste en elle, me couche sur son dos, quelques petites tapes sur son flanc, hummm, je sens qu’elle aime cela.
Ma verge se dégonfle doucement, son vagin me libère de son emprise, je quitte son sexe.Je remets mon short, Marie ne va pas tarder à revenir.
Ce fut plus long que prévu, enfin la voilà, je vais pouvoir effectuer la réparation. Par contre, j’ai la bite en semi-érection, j’ai des sensations dans les couilles, ma verge sent toujours le vagin de la cochette, comme si j’étais encore dedans, j’aime tous ces ressentis.
J’effectue les réparations sous l’œil avisé de Marie. Je reconnais que je prends un peu de temps, mon sexe est encore avec la cochette, je crois que Marie se doute de quelque chose, en plus, mon short est mouillé, ce sont les restes de mon sperme, il en restait encore dans le pénis.
Il est plus de 13 heures quand nous pouvons remettre le circuit d’eau en fonctionnement, pas de fuite, tout est rentré dans l’ordre.
Nous rentrons pour déjeuner, j’en profite pour quitter mes bottes, reprendre mes souliers pour le départ, Marie prépare le repas, ce n’est pas une grande cuisinière, mais cela va bien.
Nous parlons affaires, je lui demande :
         - Comme convenu, je te fais un chèque pour l’aplatisseur de grains !          - Oui, par contre, tu enlèves 150 euros, cela compense la réparation que tu as faite.           - Non, et la nourriture, plus le couchage ? Cela ne va pas.          - Je veux comme cela, le reste est cadeau, tu m’as apporté tellement de bonheur, d’ailleurs, je souhaite que tu reviennes, moi, je ne peux pas aller chez toi, mes animaux, il n’y aurait personne pour en prendre soin.          - J’ai eu beaucoup de plaisirs avec toi, de toute sorte, alors partons sur ce que tu désires. Nous devons rester en contact, je ferai le nécessaire pour venir te voir de temps en temps, je ne peux pas abandonner mes femelles aussi facilement.              - Parfait mon homme, je compte sur toi, que nos sexes puissent vivre avec intensité.
Le repas terminé, il faut que je reprenne la route, elle a remis sa blouse Vers la voiture nous nous enlaçons, nos langues se nouent, sa main caresse ma verge, avec les deux mains, elle saisit le paquet, me caresse dans tous les sens, je ne peux pas résister, mes doigts se faufilent sous sa blouse, son vagin est là, je le prends à pleine main.
Mon index une dernière fois entre en elle, je l’excite un peu, Marie gémit, elle est adorable.
Elle me donne une bouteille de jus de fruits pour le trajet.
Un dernier sourire, un dernier regard, je quitte la ferme, Marie m’accompagne avec des signes de sa main.
Je ne tarde pas à me désaltérer, j’ai un peu chaud, en plus avec toutes ces émotions.
À mi-chemin, je m’arrête pour pisser, ma verge est grosse, en semi-érection. Je suis comblé par ces quelques jours vers mes amies, j’ai un message de Marie qui me demande de lui signaler lorsque je serai arrivé, humm j’apprécie beaucoup.
Enfin, me voilà chez moi, je lui signale que je suis bien rentré, mon copain est là aussi, j’ai des choses à lui raconter.
Il va y avoir une suite avec Marie, mais c’est un autre récit.
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