Six mois se sont passés depuis l’accouchement. Lætitia et Daniel sont aux anges avec leur petite fille. Les jours passent et les tout nouveaux parents vivent un rêve éveillé.Dans la maison, l’entente est vraiment bonne entre les deux adultes. Leur vie nocturne de sexualité débridée n’est plus qu’un lointain souvenir pour les deux anciens amants qui n’ont eu aucune activité sexuelle depuis.Daniel avait espéré, au début, que Lætitia décide de revenir sur cette décision. Mais cette dernière n’a jamais reparlé de leurs nombreuses et chaudes parties de jambes en l’air. Et pourtant, la belle trentenaire est loin d’être certaine de respecter ce qu’elle a décidé. Sa petite chatte la démange tous les soirs et elle n’a qu’une envie, que le gros pénis bien long du père de son bébé vienne la ramoner avec ardeur. Mais elle a trop de fierté pour aller lui demander de refaire l’amour. Dès qu’elle voit le regard de Daniel se perdre dans son décolleté ou suivre la courbe de son fessier, elle se sent extrêmement femme et désirable. Et cette sensation, ce besoin de sexe, il n’y a qu’avec lui qu’elle peut l’avoir. Néanmoins, elle a toujours le sentiment d’avoir fait le bon choix en arrêtant cette relation. Rien n’est clair dans l’esprit de la jeune femme, qui est de plus en plus tiraillé par cette situation. Lætitia après avoir tant baisé avec son amant est en manque et elle a besoin de Daniel dans son lit.Mais elle ne sait pas bien si ce sont des sentiments amoureux, ou si c’est juste le fait que Daniel est un fabuleux amant en plus d’être très bien membré qui la pousse à le revouloir avec et en elle. Mais il n’y a pas que ça dans l’esprit perturbé de Lætitia. Elle va enfin recommencer à travailler et cela lui a quand même manqué. Architecte, le développement de projets lui manque pour être pleinement épanouie.Pour sa reprise, d’entrée de jeu, son patron lui donne un très beau projet.Une entreprise veut un nouveau QG, mais avec de la classe. Quelque chose de nouveau, d’oser, d’avant-garde. Une façon de se démarquer. Ayant une bonne imagination et étant assez douée, Lætitia reçoit ce dossier comme cadeau de retour au boulot. C’est alors toute concentrée qu’elle travaille sur ses croquis, sur la grande table du salon. Daniel s’occupant de leur petit bébé. Il vient la voir et elle décoche un sourire rien qu’à la vue de son petit ange. Daniel s’installe à côté d’elle et Lætitia caresse la petite chevelure noire de sa fille endormie. — Alors, ça avance ?— Oui... Je suis bien partie.— C’est massif ton truc.— Oui, ils veulent quelque chose de grandiose. De quoi marquer leur puissance. Un peu débile, mais ils ont beaucoup d’argent donc c’est cool.— Pourquoi donc ?— Faire de gros projets, ça coûte cher. Et plus le client aura un gros budget et plus je pourrai avoir de possibilité de faire quelque chose d’extra. Et vu que c’est mon œuvre, eh bien, ça me rend fière de faire quelque chose de grandiose, tu vois ?— Oui, je comprends. Tu peux plus te lâcher au niveau matériaux à utiliser, à la grandeur, aux designs et tout ce qui en suit.— C’est ça. Ça rend la conception bien plus intéressante.
— Et tu gagnes plus aussi ?— Oui, mais l’argent ou la reconnaissance n’est pas ce qui me motive le plus. C’est surtout le fait de travailler sur de bons projets. Mais c’est sûr qu’avec un bébé et tout ce qui suit : l’enfance, adolescence, études... C’est bien de pouvoir avoir de quoi bien l’élever.— Oui. Et elle aura une belle vie notre petite. Et tu as rendez-vous demain ?— Oui, c’est là où je verrai s’ils aiment ou si je dois tout recommencer. ******************************************************************** Le lendemain, Lætitia se réveille et se prépare. Elle coiffe sa longue et soyeuse chevelure noire et lisse, maquille légèrement ses yeux azur, puis s’habille. Des sous-vêtements en dentelle blanc sous un jean bleu et un chemisier blanc. Elle laisse quelques boutons non fermés, donnant une belle vue sur son décolleté et ses gros seins. Ce n’est pas pour attirer le regard des hommes, mais elle est plus à l’aise comme cela. Elle n’a pas encore récupéré son bonnet E d’avant la grossesse et l’allaitement les rend plus gonflés, alors si elle ferme complètement son chemisier, elle se sentirait trop comprimée. Mais elle a bien conscience qu’elle offre une jolie vue à l’homme qu’elle va voir.Une pince noire pour maintenir ses cheveux derrière ses tempes, laissant le reste valser sur son dos. Des petits talons pour finir et elle est prête pour son rendez-vous. Lætitia est vraiment super élégante et très sexy dans sa tenue, mais elle fait aussi professionnelle. Elle arrive sur place et sonne à la porte de son client. Pour rendre la chose plus simple, elle a rendez-vous chez lui et non aux sièges de l’entreprise. Ce dernier lui ouvre et découvre avec un grand sourire, que la personne prévue pour son projet est une somptueuse jeune femme. Il lui fait la bise en se présentant, en laissant, bien évidemment, ses yeux tomber dans le décolleté de la ravissante architecte. — Bonjour, je suis Jean-René. Entrez, je vous prie.— Merci, je suis Lætitia, l’architecte pour ce projet. Ce Jean-René est bien plus âgé qu’elle, d’au moins trente ans. Comme Daniel. Mais elle ne peut s’empêcher de penser que le père de sa fille est nettement plus attirant et mieux conservé. Il est plus grand qu’elle et un peu bedonnant. Elle le suit jusqu’à son salon. — Vous voulez un café ?— Oui, je veux bien, merci.— Je vous en prie. Installez-vous, je reviens. Quelques minutes plus tard, les cafés sont servis et Lætitia montre ses croquis et d’une manière générale, expose toutes ses idées qu’elle a. Jean-René perd le fil de son exposé à de nombreuses reprises, son regard sur ses gros seins, mais il l’écoute bel et bien et trouve cette femme très intelligente et bien investie dans son projet.Le résultat lui convient totalement. Ils parlent alors de nombreuses minutes de ce projet et comment bien le mener à terme. Mais une certaine tension sexuelle monte... D’un côté, Jean-René est vraiment conquis par les atouts féminins de Lætitia qui l’a bien remarqué. Et il a bien remarqué à son comportement qu’elle aussi a bien vu le changement de son attitude. Bref, un peu de gêne entre eux deux durant quelques secondes, mais beaucoup de désirs refoulés.Lætitia est en manque et cet homme est vieux, bien plus qu’elle. Il doit être dans les âges de Daniel. Tout cela se mélange dans son esprit et sa chatte commence à être bien humide. Au bout de trente secondes de silence, Jean-René se risque à aborder le sujet de son trouble. — Excusez-moi de vous dire ça... Mais je n’ai jamais vu une femme avec une poitrine aussi... généreuse. Comme par réflexe, Lætitia baisse la tête pour regarder ses seins, qu’elle connaît bien. — C’est vrai que c’est rare de voir cela. En plus, ils sont gonflés à cause de l’allaitement.— Oh, vous avez un bébé ?— Oui, depuis six mois.— Donc, vous êtes en couple ?— Non, en instance de divorce...— Je vois... Un nouveau temps de silence avant que Jean-René relance la discussion sur ses seins. — Et... excusez-moi de cette question intime... C’est quel bonnet ?— E... 95E...— Waouh... Impressionnant... En tout cas, ils ont l’air d’être très beaux...— Oh... Merci... Lætitia a l’impression d’être dans une intro de film porno. Lui à l’impression de rêver, car elle accepte de lui répondre.En temps normal, elle lui aurait répondu que oui, elle a de gros nichons et que non, il ne pourra pas jouer avec. Mais trop en manque et perdue dans ses pensées, elle est allée jusqu’à lui donner ses mensurations. Même son futur ex-mari ne les connaît pas. Jean-René s’approche d’elle et décale doucement les pans du chemisier pour voir quasiment l’intégralité de cette opulente poitrine érotiquement rangée dans ce soutien-gorge en dentelle blanche. — Oui... Vraiment magnifique...— Merci...— Cela vous dérange si...— Je vous en prie... Allez-y... Il pose un premier baiser sur le galbe d’un sein. Puis il donne une léchouille.Elle commence doucement à haleter et il déboutonne son chemisier pour ensuite, retirer les deux énormes nibards de leur prison. Ses yeux écarquillés, il commence à lécher avec plus d’entrain sa peau si douce. Il lèche absolument tout ce qu’il y a à lécher en s’attardant sur ses gros tétons gonflés. Lætitia laisse tomber sa tête en arrière et gémit doucement sous ces attouchements que son corps réclamait. Au bout de dix bonnes grosses minutes, sa langue arrête de s’occuper de ces gros nichons. Lætitia redresse sa tête pour voir que Jean-René a sorti son sexe bien bandé. Environ seize centimètres, d’une bonne épaisseur, mais son sexe n’arrive pas aux chevilles de celui de Daniel. Lætitia ne lui demande pas ce qu’il veut, elle s’agenouille immédiatement devant lui et commence à sucer sa queue.Elle n’a jamais aimé faire des fellations à Damien son mari, mais à Daniel, elle adorait.Là... ce n’est ni l’un ni l’autre. Elle suce gentiment, sans y donner énormément du sien, juste pour satisfaire une envie sexuelle. Mais cela ne la dérange pas de pomper le sexe de son client.Ce qu’il y a surtout dans l’esprit de la jeune femme, c’est la trahison, envers Daniel. L’infidélité, elle connaît. Elle a trompé Damien avec Daniel, mais elle n’a jamais eu de remords. Tout simplement, car son mariage était voué à l’échec et toxique pour elle et que son mari lui a plus fait du mal mentalement qu’autre chose. Avec Daniel, il n’y a jamais rien eu d’officiel, et de toute façon, ils ont arrêté leur relation sexuelle avec la naissance du bébé. Mais là, elle a quand même l’impression de tromper Daniel.Elle continue de sucer mécaniquement Jean-René tout en le branlant pendant que ce dernier savoure cette pipe inopinée tout en descendant ses grosses paluches pour malaxer ces énormes loches. Mais cela ne lui suffit pas !Il relève Lætitia et la retourne.Elle comprend bien son intention et descend son jean puis son string à ses pieds. Elle se penche sur la table et debout, en levrette, il plonge immédiatement sa queue dans sa chatte trempée.Immédiatement, super excité, il lui donne de forts coups de bites qui font gémir la jeune maman trentenaire. Il caresse son fessier bombé et le claque de temps en temps. Il la baise puissamment et Lætitia, tellement en manque, ne peut s’empêcher de mouiller énormément sur sa bite qui va et vient et d’exprimer son plaisir de la voix alors que Jean-René se rend de plus en plus pervers dans son langage. — Aaaahh... ouiiii, ouiiii ! Oooohhhh...— T’aimes ça petite cochonne !— Haiii ! Ouiiii ! AAaahhh !— Hein, t’aimes ça, mes gros coups de queue ? !— OOoohh ! Ouiiiii... Haiii...— Réponds-moi ou j’arrête de te tringler, grosse cochonne !— Han ! Oui ! J’aime ça monsieur, continuez de me baiser ! Ouiii ! C’est booonnn !— Oh oui, je vais bien te ramoner la fente ! Qu’est-ce que j’aime te baiser ! Et qu’est-ce que j’aime tes gros nibards ! Il continue de la baiser avec un bon rythme en écrasant de ses mains ses seins pour continuer de jouer avec. Au bout d’un quart d’heure d’une baise sauvage, il la retourne, elle pose son cul sur la table en écartant largement ses cuisses trempées de cyprine. — Putain de salope ! Qu’est-ce que tu mouilles ! J’adore ta chatte ! D’un seul coup de reins, il l’empale avec sa queue qui n’a jamais été aussi dure et gonflée et il peut alors bien limer sa petite chatte, tout en lui saisissant ses deux énormes obus qui valsent sur son buste.Lætitia d’elle-même, porte sa main sur le haut de sa chatte pour jouer avec son clitoris, car ce vieux est tellement obnubilé par sa poitrine et qu’il délaisse les autres moyens d’accentuer son plaisir. Pas comme Daniel, qui continue de hanter son esprit. C’est d’ailleurs en pensant à lui, en train de lui faire l’amour avec force et passion, qu’elle finit par jouir. — OOIIIIII ! OUIIIII ! PLUS FORT ! Encore ! Ohhhhhh ! Ouiiiiii ! AAAaahhhh ! JE JOUIIIIISSSSSS...— Oh oui, jouis ma grosse cochonne de salope ! Jouiiiiiiisss pour moi !.» Il se retire et la tire pour l’agenouiller au sol et la souiller de six jets de foutre chaud et gluant. Trois pour son joli visage et trois pour sa très grosse paire de seins. L’égalité parfaite.Il contemple alors la femme d’une beauté incroyable qu’il vient de s’envoyer. Et il en est fier !Lætitia, par contre, pas trop. Elle se rend compte que son manque de sexe, ou plutôt, son manque de sexe avec Daniel, lui a fait perdre la tête et fait n’importe quoi... — Fiou ! Merci belle dame ! T’es un sacré bon coup et ta chatte brûlante est magnifique ! C’était super comme petite baise. Tiens, voilà un mouchoir pour t’essuyer.— Merci... Elle s’essuie, range ses seins dans son soutien-gorge, sous la mine défaite de Jean-René, qui ne peut plus les admirer, reboutonne son chemisier et remonte son string et son jean. Une fois bien prête, elle range ses plans et documents du projet. — Bon, vu qu’on a terminé, je vais y aller...— Oui, bien sûr. J’espère vous revoir pour la signature du contrat. Lætitia comprend par là, j’espère te rebaiser à la signature du contrat. — Je ne pense pas que j’y serai. C’est mon chef qui s’en occupe généralement. Au revoir, cher Monsieur, et merci pour votre chaleureux accueil... À la vue de sa tête et de sa déception, elle comprend qu’elle a vu juste. Il avait bien envie de se la retaper au plus tôt. Ce qui n’est pas l’intention de Lætitia. Cette dernière rentre chez elle en pensant à tout cela et en essayant de comprendre ce qu’elle ressent vraiment envers Daniel et comment, à l’avenir, satisfaire ses besoins sexuels.
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