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Laisse aller, on est en vacances !

Chapitre 1

Lesbienne
— Je peux?
C’est purement une formule de politesse car la quinqua s’est déjà approprié le tabouret de bar que ma copine Julie partie danser a abandonné. — Je le rendrai à votre amie quand elle me rendra mon mari. Je plaisante, on est ici pour s’amuser! N’est-ce pas? avec un sourire sympa.
Je reconnais la bourgeoise, elle fait partie d’un petit groupe qui a voyagé avec nous. Les trois couples semblent très complices et bons vivants. La réputation du club de vacances concernant la liberté des mœurs ne semble pas usurpée! C’est la ”soirée d’accueil”, la chaleur ambiante n’est pas qu’un prétexte pour les tenues dénudées des femmes et tout semble aligné pour réaliser les ”3 B” que nous sommes venues chercher aussi loin. Bronzer, Bouffer et Baiser. Nous avons deux semaines pour remplir le programme.
De mon air le plus nunuche je lui rends son sourire. Elle me détaille posément, quand un grand boutonneux vient me demander pour une danse. — Je peux pas, je garde le sac de ma copine! lui réponds-je en imitant (mal) l’accent du Sud.Ca fait marrer ma voisine qui saute sur l’occasion :— Pas trop votre genre, hein? Vous avez raison d’être difficile, vous le pouvez!— Il n’avait aucune chance!— Et entre filles, ça vous arrive de danser?Elle a immédiatement saisi la perche! J’espère juste qu’elle ne chasse pas pour son mari.— Ca m’arrive! Dis-je en sautant du tabouret, plus du tout cagole.
Elle m’enlace, sûre d’elle, je  me laisse diriger. Elle porte ce que j’appelle une robe-partouze. Elégante et très suggestive, elle dévoile son anatomie lorsqu’elle bouge. — Au fait, moi c’est Gisèle!— Agathe.— Première fois ici?— Ici et ailleurs, je ne suis jamais venue en club de vacances.— On se tutoie?— Allez!
Elle dirige les opérations. Nous dansons, de plus en plus collées-serrées, plusieurs morceaux passent. On échange des banalités, elle montre bien plus de finesse que les habituels dragueurs. Au cas où j’aurais un doute sur ses intentions elle n’hésite pas à se coller contre moi, en écrasant généreusement ses gros roploplos dont les tétons pointent. Je sens aussi la chaleur de son ventre rebondi sur le mien et de temps à autres sa jambe se coule entre les miennes, j’en frissonne.
Lorsque le rythme accélère nous restons un morceau puis regagnons rapidement nos places. Je fais mine de chercher Julie.— Je crois que ton amie est sortie avec mon mari… Veux-tu qu’on les rejoigne?— Non, non, je ne suis pas sa nourrice! La danse (et pas seulement) m’a énervé et je décide de brusquer les choses.— Il fait chaud, j’irais bien me balader au frais…— Je t’accompagne!
Dehors la nuit tropicale est douce, très noire, elle prend ma main en copine, puis ma taille et me guide vers la plage. Imperceptiblement elle caresse mon dos, ma hanche et pousse un soupir quand elle frôle la ficelle qui la ceint sous mon short.Elle a ralenti le pas et me colle contre elle pour m’embrasser.Sa langue épaisse fouille ma bouche, c’est animal et délicat. Une main malaxe mon dos, mes fesses, l’autre tente de s’introduire dans mon short. Je lui facilite la tâche en le déboutonnant. Elle pousse un grognement sourd en atteignant son but sous le string. Main en conque, elle m’investit de son majeur, m’ouvre et encouragée par le début de rosée, le pousse puis ressort pour aller jouer sur mon bouton.
— Mets-moi ton pouce… baise moi fort! ai-je envie de lui crier. — Hmmm! Sa forte cuisse appuie sur sa main qui pénètre mon bas-ventre en pince et donne des coups de boutoir. Quand je l’encourage en saisissant ses grosses fesses elle s’arrête un instant retrousser sa robe et la coince dans la ficelle de son string. Le mien est déjà riquiqui, mais le sien est moins qu’un timbre-poste vu sa corpulence relative!Elle revient à la charge pendant que du doigt, par en-dessous, je lui agace la chatte qui a avalé le petit triangle de tissu.
On n’y voit goutte et nous besognons un bon moment dans un équilibre précaire. Dans le silence nos respirations résonnent, de temps à autre un ”Aaahhh!” lointain nous informe que nous ne sommes pas seules.Les cris nous excitent et à notre tour nous exprimons -plus discrètement- notre satisfaction.
Satisfaites, mais pas repues, nous nous asseyons sur le sable. On se pelote mollement, pour ma part je décompresse enfin vraiment. Ca y est, je suis en vacances, j’ai bien bouffé, je baise, le bronzage c’est pour demain!Toute contente je veux embrasser mon amante, mais dans le noir c’est son nez que je trouve. Tant pis, je le lui mordille…Nous en rions et entamons les confidences.Elle confirme ma première impression, les trois couples partent souvent en vacances ensemble et se mélangent allègrement, au gré des rencontres…— Vous êtes tous bi?— Juste les nanas et encore, il n’y a que la grande rouquine, Barbara avec qui on va au bout. Toi, il y a longtemps que tu es avec Julie? — Ce n’est pas ce que tu crois, nous sommes amies d’enfance.— Elle est super mignonne.— Oh! On a bien essayé, mais ça a tourné au fou-rire! On a donc partagé le monde en deux et on est restées amies.
On regarde les étoiles, mes yeux se sont habitués à l’obscurité, je distingue ses formes. Je la provoque, la titille, moque gentiment son petit bedon, fais des pattes d’araignée sur ses gros seins, puis l’embrasse pour me faire pardonner, un gros smack sur le nombril ou le téton.
— Que comptes-tu faire maintenant? me demande-t-elle. Je la sens inquiétée par mes taquineries sur son corps.— T’emmener dans mon bungalow, finir ce que nous avons commencé,  à moins que ton petit mari ne te manque?— Oh! Lui, je ne me fais pas de souci, il est assez grand pour se débrouiller.— Alors en route grosse cochonne, j’ai encore faim! En me levant je lui colle une bonne claque sur son grosses derrière.Rassurée elle glousse et me caresse les fesses.— Quelle petite dévergondée!— Tu n’imagines même pas!
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