Vacances sur l’île de Ré, (suite) Préliminaires : Les premières semaines de vacances se sont écoulées, mes parents partis, l’ambiance est plus légère... Mon homosexualité m’obsède, pourquoi cette révélation tardive, je n’arrive pas à assumer... Ma libido est en effervescence, jamais je n’ai été dans un tel état, je ne pense qu’au sexe avec un homme, ma seule source d’inspiration !Dania, l’amie de ma sœur est arrivée juste avant le départ de mes parents. L’ambiance est à la fête, je finis par accepter une sortie en discothèque.Un incident dans la discothèque, confirme mes craintes, je transpire l’homosexualité. L’incident me traumatise, Dania, empathique, vient me rejoindre dans ma chambre.Elle veut faire l’amour avec moi... malgré mon angoisse, la crainte de ne pas être à la hauteur, finalement, je cède, perdant au passage mon dernier pucelage.Je découvre enfin le sexe avec une femme, avec au final une certaine désillusion.Dania et ma sœur, par jeu, me féminisent, me travestissent... En fait, elles ont un plan, me traîner dans un club de La Rochelle où toutes sexualités se côtoient... Première fois en fille, Voilà quatre jours, qu’elles me façonnent, mon physique est un atout et les filles ont la féminité dans leurs gènes, alors elles déploient tout leur art pour me l’insuffler... C’est une véritable réussite, sidérante, une autre moi est née... J’ai beaucoup de mal à m’imaginer en société comme ça ! Jeudi, mon programme est allégé, je suis seul avec Dania, ma sœur est allée faire des emplettes. Nous travaillons, mon allure, ma démarche, je porte plus que les semelles compensées hautes de douze centimètres, mon équilibre est parfait. Ces chaussures rendent ma démarche plus sûre, et féminine.Vendredi matin, ma sœur me donne un joli paquet cadeau... Un ensemble, string, soutien-gorge, il doit mettre en valeur ma petite poitrine, minimaliste, un quart de bonnet push-up, du latin, je n’y connais rien... Une grosse bise pour la remercier, malgré mes doutes... Je sens que les filles conspirent depuis un moment, elles se taisent à mon approche... Que complotent-elles, lorsqu’elles m’annoncent. — Ce soir, c’est le jour J... — Le jour J, de quoi ?
— Ce soir, tu fais ta première sortie en fille !— Mais, non, il n’a jamais été question de sortir ce soir, non je ne suis pas prêt... — Vendredi, ou samedi quelle importance, tous les vendredis, il y a une soirée spéciale, exactement ce qu’il te faut, c’est la soirée T. S. F... — C’est quoi TSC... Ça sent le plan foireux, je ne suis pas chaud du tout !— Une soirée, Toutes Sexualités Fusionnées... Parfait, non, tu ne vas tout de même pas te défiler, voilà presque une semaine qu’on s’occupe de toi, tu te doutes que ce n’est pas pour que tu restes maison... C’est la soirée qu’il te faut, nous sommes avec toi, on ne te lâchera pas d’un millimètre. Je suis cuit, (cuite) je n’ai jamais entendu parler de cette boîte, encore moins de cette TSF... Elles n’attendent même pas mon accord et pour se lancent dans ma préparation finale. L’effervescence est incroyable, je suis un jouet entre leurs mains, douche, revue d’épilation, mon corps est enduit d’une huile sublimante, ma peau est douce et satinée.Puis les cheveux, la natte, une pause pour l’apéro. Elles sont euphoriques, de plus en plus excitées, moi pas, je subis, je passe de mains en mains. Le compte à rebours s’égrène, et me rapproche de l’échéance, je suis de plus en plus fébrile. Après un dîner léger, retour à ma préparation, maquillage et enfin je découvre le cadeau de ma sœur, le fameux redresse-seins, push-up, une fine bande dentelle blanche, dotée d’une légère armature, sous les minuscules bonnets et de fines bretelles. Ma poitrine est nue du moins mes mamelons... L’effet est bluffant, ma poitrine de préado plus généreuse, l’effet push-up... C’est au tour du string ficelle... un triangle de tulle bordé de dentelle, très mini, il accueille de justesse ma modeste verge et ses petites boules. Une paire de semelles compensées blanches hautes.Pour le haut, un caraco de satin blanc, tout en transparence bordé de dentelle. Il est court, il s’arrête au-dessus du nombril. Sa transparence laisse subodorer mes tétons proéminents ! Une jupette légère, blanche, taille basse, plutôt moulante, courte, elle couvre juste le haut de mes cuisses. Me voilà prête, j’allais oublier, manucuré, un vernis rouge orangé et la touche finale, le parfum de ma sœur.Non, il me manque un dernier accessoire, une pochette et me voilà transformée, je n’en crois pas mes yeux, je me plais. Les filles contemplent leur œuvre. — Waouh... La bombe, t’es vraiment une femme très crédible, Lana, tu vas faire le buzz ce soir... Tu parles, tout ce blanc virginal ne va tromper personne, mes virginités déflorées, je suis un obscène mensonge... Il est plus de 23 heures, la tension monte d’un cran, j’embarque dans la vieille Fiat 500 de Dania, direction la boîte ! — Lana, laisse-toi aller, détends-toi, je suis là avec ta sœur, il ne va rien t’arriver de désagréable. Nous sommes trois nanas qui sortent s’amuser, pense simplement à te concentrer sur ton comportement de fille... Ton look est parfait, fais-toi confiance. Ah, oui, n’oublie pas si tu dois aller aux toilettes, femmes ! La voiture fait une embardée, elles sont mortes de rire, pas moi. Bien que je ne sois pas très à l’aise, Dania me rassure un petit peu. Nous arrivons sur le parking de la boîte. Je m’extirpe du pot de yaourt, la fraîcheur de l’air sur mes fesses nues me saisit. La surprise passée, j’avoue que cette sensation sur ma peau me donne l’impression d’être nue, de m’exhiber, c’est plaisant et délicieusement impudique.J’avance vers l’entrée de la discothèque. Après quelques mètres, je me tourne, les salopes me laissent avancer seul, me regardant de loin ! À leurs grands sourires, je lis la satisfaction, elles ont réussi leur coup.Je rejoins le petit groupe de clients agglutiné devant l’entrée. Les videurs filtrent en fonction du look et de l’âge avant de laisser entrer. Dania et Mio me rejoignent enfin, nous attendons patiemment. Nous ne passons pas inaperçues, reluquées de la tête aux pieds, il faut dire que trois filles sexy et seules, c’est plutôt rare. Enfin, quand je dis trois, plutôt deux et demi avec moi. Les clients sourient, je leur renvoie le plus naturellement possible, pas vraiment à l’aise. Dania, me sentant fébrile, me prend la main. — Tout va bien, tu es superbe Lana. Regarde autour de toi, ils sont là pour s’amuser. Sa bienveillance ne me rassure pas totalement. — Aïe ! Elle vient de me pincer discrètement les fesses. — Éclate-toi, c’est ta fête ! Ma fête, n’importe quoi... Dans cette foule en désordre, je vois, je sens les regards sur nous, les mecs, mais pas seulement, la tendance multi sexuelle est bien réelle... Toutes ces sensations nouvelles sont un peu déconcertantes, mais finalement, c’est assez agréable d’attirer les regards. Ils nous trouvent à leur goût, c’est plutôt flatteur. Une fois à l’intérieur, nous nous installons à une table avec un canapé en demi-cercle, pas loin de la piste. Dania commande une bouteille de gin et du Schweppes, la tension monte, je suis de moins en moins détendu. Je fais une fixation, les regards que je trouvais flatteurs il y a une minute me semblent à présent moins bienveillants... Dania s’approche de mon oreille. — Les jeunes filles bien élevées ne font pas voir leur string, Je me suis assise, les jambes écartées !A haute voix, « Merde ! » serrant les cuisses immédiatement. La bouteille arrive, ma sœur nous sert, le tonic est largement minoritaire. Nous trinquons, elles sont surexcitées, à peine nos verres vidés, elles m’entraînent danser.La zézette entre les jambes, je les suis sans conviction, nous dansons, rock, disco, pendant un bon moment. Je me sens un peu mieux, j’oublie même que je suis travesti, et perchée sur des semelles compensées, pour autant ma décontraction n’est pas acquise... J’ai toujours aimé danser dans l’intimité ou en petit comité, là cette foule autour de moi et ces regards, je n’aime pas trop... La musique s’enchaîne, j’essaie d’oublier peu à peu la foule et ses regards. Perdue au milieu des danseurs, finalement je suis une fille comme les autres... Une petite pause, nous buvons, fumons quelques clopes, dansons de nouveau comme des folles, gagnées par une légère ivresse. Fatalement, le moment des slows arrive ! Je file me réfugier sur le canapé suivi de près par mes complices.Les mecs scrutent, en tournent, essaient de repérer un potentiel bon coup. Ils passent devant les tables dont la nôtre...Ma tension monte en zone rouge...Lorsque l’inévitable arrive...Deux mecs se tiennent devant nous. Ma sœur se lève et prend la main d’un garçon, elle le connaît visiblement, lorsque le second, un brun pas mal, me tend la main et me demande. — Bonsoir, vous dansez ce slow avec moi, Mademoiselle. Je suis muette, rouge, je transpire, la tête basse, Dania intervient : — Bien sûr qu’elle va danser, elle en meurt d’envie, mais c’est une grande timide, n’est-ce pas Lana. Le garçon se sentant adoubé. — Bonsoir, Pierre, venez danser, Lana, je vous en prie. Je regarde Dania, je pense la tuer un peu plus tard. Les joues cramoisies, je regarde mes chaussures, tout en lui tendant la main. Nous voilà sur la piste, évidemment les slows sont les plus chauds de l’été !Nous sommes sur la piste, il me serre contre lui, pas trop, juste assez pour se frotter un peu, une main sur le haut de mon dos, l’autre dans le creux de mes reins, sur ma peau nue. Il n’est pas trop grand, nous sommes à égalité avec talons. Il fait très chaud, l’alcool m’aide à ne pas trop stresser. J’essaie de penser femme, je suis Lana. Le second slow débute sans que je tente de mettre fin à notre duo, puis ils se succèdent, je suis bien, c’est un cavalier agréable.Il parle de ses vacances sur l’île, je parle des miennes timidement, de nos études. Je l’écoute plus que je ne parle, je souris timidement, ses mains me guident plus près de son corps, j’aime son odeur et sa voix virile, la mienne est suffisamment neutre pour donner le change. Vingt minutes et cinq slows, plus tard, il se colle et me frôle avec plus d’insistance, la situation commence à m’échauffer. Heureusement ma petite queue est bien maintenue dans mon mini-string. En revanche, la sienne est plus démonstrative, elle bande sans vergogne. Je sens ce morceau de chair turgide, tendre la toile de son pantalon et se frotter contre la peau nue de mon bas-ventre. Il me glisse timidement à l’oreille, — Tu es terriblement troublante. Que pourrais-je bien lui répondre, je ne vais tout de même pas lui dire ; toi aussi je bande... Il prend mon silence pour un blanc-seing, sa main droite s’aventure à la naissance de mes fesses. Il m’excite vraiment, ce con ! Et cette série de slows qui n’en finit pas... J’aperçois par moments mes deux complices, elles jubilent. Maintenant, ses deux mains s’égarent sur ma peau à la frontière de mes reins et de mes lobes charnus, ses flatteries n’ont rien d’amical.J’en peux plus, j’essaie bien d’esquiver, de jouer l’effarouchée, mais je manque cruellement de conviction, de plus, il est tenace. Malgré la crainte d’être démasquée, il attise sérieusement mon désir, il m’excite vraiment. Comme cet homme mature, Jacques, indéniablement, savoir que j’inspire du désir, je me rends compte qu’inspirer le désir est terriblement gratifiant et tout simplement très excitant. Je perds ma lucidité, son désir exacerbe ma libido, je me désinhibe.Je me sens capable de folie, me jeter à ses genoux comme une gourgandine, là, sur la piste de danse à la vue de tous, une véritable nymphomane... OUUUUUF ! un rock démarre. Sauvée, je m’extrais de son étreinte, le remercie et détale vers notre table. Je suis en nage, il m’a émoustillée, ce Pierre. Les filles me regardent arriver le maquillage en vrac, les joues cramoisies. Ma sœur. — T’es une putain d’allumeuse, il est chaud bouillant ton cavalier. Elles sont mortes de rire, je pense que je vais flinguer les deux pour être tranquille. Je me garde de bien de leur faire part de mon délire lorsqu’il me pelotait. Je bois un grand gin-tonic avant d’être entraînée par Dania dans les toilettes. — Lana, suis-moi, je vais donner un coup de frais à ton maquillage. À la sortie des toilettes, Dania me coince dans un recoin, elle me roule une superbe pelle, elle en profite pour passer sa main sous ma mini et me caresser le cul... — Lana, tu ne peux pas savoir comment m’excites en femme, te voir avec ce mec qui te chauffe, c’est trop, tu me fais envie... Laisse-toi aller, profite. Son baiser, ses mots et l’alcool font tomber mes dernières inhibitions.J’ai bien l’intention d’assumer ma féminité et mon attirance pour ce mec, au moins cette nuit.Vingt minutes plus tard, nouvelle série de slows, au moment où nous finissons la bouteille de gin, l’ivresse qui me gagne gentiment. Les filles parient sur le temps qu’il lui faudra avant qu’il tente de me rouler une pelle...Elles spéculent, sur le temps qu’il mettra à me proposer d’aller dehors prendre l’air... — Tu penses qu’il va la baiser, ou juste se faire su... — Vous êtes deux connes perverses... Vraiment, elles sont connes. Le premier slow débute, dix secondes s’écoulent et Pierre est devant moi, et me tend la main.Évidemment je me lève et prends sa main. Il me guide au milieu de la piste, nous débutons ce slow comme nous avions fini la série précédente, collé serré, moi les mains ses épaules, la joue proche de la sienne, nos corps se touchent, ses mains désormais sur le haut de mes fesses. J’aperçois par intermittence les deux perverses qui nous matent, son visage s’incline, ses lèvres tentent de se poser sur les miennes. J’esquive, mais il récidive, cette fois il est plus déterminé. Je ne me dérobe pas, je craque. Triomphant, il glisse sa langue entre mes lèvres, j’accueille ce baiser, un échange doux, très sensuel, mais lui s’enflamme. Une main surfe sur ma jupette jusqu’à toucher la peau de ma cuisse, puis elle remonte, s’empare de mes fesses nues et les pétrit voluptueusement. J’essaie de le retenir, de freiner ses ardeurs, mon absence de conviction est évidente... Il le sent, et puis je n’ai pas envie d’être raisonnable, sa caresse m’excite, je ne me reconnais plus, je me fais peloter en public, et j’aime ça... Ses caresses sont douces, mais l’intention sexuelle, son désir est palpable. Il devient plus entreprenant, considérant mon absence de réaction comme un consentement, sa main glisse dangereusement entre nos corps, vers mon sexe, je panique, je bande comme une folle et je suis perdue, il va me démasquer.Dans un réflexe désespéré, brusquement, je saisis son poignet. Ouf, il n’insiste pas, sa main revient sagement sur ma jupette, je l’ai stoppé à temps. Les filles exultent, je les aperçois satisfaites de la réussite de leur plan.Nouveau baiser torride, collé à moi, son érection est omniprésente, il s’astique sur moi sans vergogne. La situation est de plus en plus chaude, une main sur ma taille dénudée, l’autre sous ma jupette, le massage mes fesses a repris.Les autres danseurs doivent me prendre pour une salope, je me laisse peloter le cul en public, en même temps la foule est dense et je ne suis pas la seule à me faire peloter. Subitement, il me propose d’aller prendre l’air.Je prends un air circonspect, bien que ma réponse soit acquise, mais il n’attend pas de l’entendre, il me prend la main et m’entraîne vers la sortie. Nous voilà dehors sur le parking désert, la petite fraîcheur de la nuit me permet de retrouver un peu de lucidité, loin de l’effervescence de la discothèque et de nos corps un peu trop échauffés. Nous fumons une clope tout en prenant l’air depuis une minute, il me propose d’aller dans sa voiture, je décline, prétextant qu’après la discothèque, je n’ai pas très envie de me confiner de nouveau.Je lui propose de faire quelques pas dans le petit parc devant le parking. On y accède par un petit portillon. Devant nous, une pelouse, quelques bancs et de petits bosquets.Nous marchons une dizaine de mètres main dans la main, lorsqu’il m’attire au centre d’un bosquet et me plaque contre un gros platane.Je ne peux que sentir son désir, il presse son intumescence sur moi. Nos lèvres se cherchent un court instant avant de s’unir dans un baiser torride. Ce baiser déclenche un déluge d’attouchements, ses mains courent sur mes cuisses retroussant ma jupe, frôlent de mes hanches, pétrissent ma poitrine, avant d’entreprendre mon effeuillage. Il fait rouler les bretelles de mon caraco, dévoilant mon redresse-seins et mes tétons dressés. Il fond sur ses extrémités, sa bouche lèche et mordille, c’est affolant, il me fait perdre la tête... Une main aventureuse surfe sur mon ventre et glisse sous la ceinture de ma jupette direction ma petite virgule tendue par cette cascade d’émois sensuels.Toutes mes alarmes clignotent, je prends peur, s’il découvre ma tromperie, quelle sera sa réaction, je crains l’humiliation, les insultes, je ne veux pas vivre cela. Cette soirée se passe trop bien, elle est trop exaltante, il n’est pas question qu’elle finisse en fiasco, je veux absolument qu’elle se termine sur une note positive.Un dixième de seconde plus tard, je le saisis par sa main baladeuse, le fais pivoter et le plaque à mon tour contre l’arbre. Mes mains glissent sur son torse, je déboutonne un à un sa chemise, puis m’agenouillant dans un même mouvement, je déboucle sa ceinture... Le zip de sa braguette descendu, je fais glisser son pantalon jusqu’aux chevilles. Je relève la tête, je suis face à un beau membre érigé, il n’a pas de caleçon. Je ne réfléchis pas une seconde, j’engloutis le bout de son gland. Surpris, il n’oppose pas de résistance, il se détend avec la douceur de ma bouche. J’ai contrarié son plan, mais la contrepartie semble le satisfaire.Je le suce, déployant tout mon talent, ma gourmandise, il y a un mois que j’en rêve... Je lèche son gland, titille son méat, ma langue glisse sur la hampe avant de manger ses boules poilues. Il grogne, il gémit le bougre, il aime ma pipe sauvage et bucolique.Une belle queue, robuste et douce, son goût très musqué est plaisant, juste un reproche, il a trop de poils.Il n’y a pas plus de trois minutes que je l’ai en bouche et sa jouissance me semble proche. Lui aussi le sait, cela fait renaître son envie de me baiser, il tente de stopper ma fellation, sans succès. Je redouble le rythme de ma gâterie et le pompe comme une affamée, je veux qu’il jouisse. D’une main, je lui astique la hampe, de l’autre, je pelote ses couilles, ma bouche, ma langue glissent sur toute la longueur de sa hampe, j’avale son gland jusqu’au fond de ma gorge. J’accélère et ses grognements s’amplifient, de légers spasmes annoncent ma victoire.Ses deux mains immobilisent ma tête, stoppant ma sucette, c’est lui qui prend les choses en main. Il me baise la bouche virilement, sa longueur raisonnable me permet de l’engloutir entièrement. Il est à bout, ses pénétrations sont désordonnées, son sexe bien au fond de ma gorge, il arrête net son coït buccal, il décharge son foutre copieusement. Le calme revenu, je déglutis lentement le copieux éjaculat dont il m’a gratifié, je repousse l’intrus pour reprendre enfin mon souffle. Libérée, je peux déguster ses dernières larmes qui tapissent mes lèvres... j’avale, en le fixant mon regard dans le sien... — Tu es divine ! Il me tend la main, m’aide à me relever. Son regard dans le mien, il me serre contre lui, le sexe à peine débandé. — Lana, j’ai une folle envie de toi, on va chez moi, je t’en prie.— Non pas cette nuit, ma sœur et son amie m’attendent, tu me plais, c’est compliqué pour moi, je suis une fille spéciale... Une autre fois peut-être... — Spéciale, je ne vois pas en quoi, celle qui est devant moi me fait envie un point c’est tout ! Je veux absolument te revoir !— Promis, si tu as un numéro de téléphone, la prochaine fois que je reviens je t’appelle... Devant sa voiture, il me tend un papier avec son numéro dessus. — Lana, c’est promis !— Promis, juré Pierre. Nous échangeons un petit baiser et je me sauve vers l’entrée de la discothèque.À peine ai-je quitté la voiture, que j’aperçois Dania et ma sœur, elles se marrent. J’imagine le flot de questions auquel je vais devoir faire front !Je les rejoins, Dania me tend les bras et m’enlace dans un baiser fougueux. — La salope, elle sent le sperme... Ton frère vient de sucer une queue... Elles éclatent de rire ! — Allez, vite en voiture avant qu’elle ne viole un autre mâle... Nous grimpons dans la 500, la voiture roule à peine, ma sœur. — Alors, raconte !— Mais quoi ?— Ben, raconte comment ça s’est passé.— Vous avez presque tout vu, les slows débutent à peine, il me prend d’assaut. Il m’étreint, se plaque contre son corps, rapidement il a repris le pelotage de mon cul... J’esquive une première tentative de baiser, il retente, je cède. Galvanisé par le baiser, il me fait sentir sa queue raide, il la frotte sans pudeur, c’est à ce moment que j’ai commencé à bander comme une folle !— Comme une folle ! Elles gloussent, les deux connes. — Vous êtes deux connes, oui « folle », féminin, il me semble que ce soir, j’étais en femme ! Revenons à Pierre, à peine il m’embrasse, il passe ses mains sous ma jupe, il se met à caresser mes fesses nues, il est entreprenant, il commence à m’exciter sérieusement. Après mes fesses, il entreprend de découvrir le côté face ! Je le repousse gentiment et quelques instants plus tard il m’a invité à prendre l’air dehors. Nous sommes devant à la maison, une fois la voiture garée, nous traversons le jardin et rentrons au salon par la porte-fenêtre. À peine posée dans le canapé : — Allez Alan ! Pardon, Lana... allez, la suite... Le croustillant.
Dans le canapé, je m’allonge, la tête sur les cuisses de Dania, un petit verre de cognac à la main. — Alors, raconte !— Avant de vous entrer dans les détails, je vous informe que vous êtes toutes les deux en sursis. Je vais vous buter, vous êtes deux salopes, des manipulatrices perverses, tout ce qui m’est arrivé cette nuit est entièrement votre faute. Elles se marrent, il n’y a rien à en tirer, elles sont pétées. — Alan, notre faute, certainement pas, nous t’avons proposé de passer une soirée dans la peau d’une fille. Nous ne t’avons pas demandé de sucer le premier mec avec qui tu danses !— Tu manques d’indulgence Mio, elle a des circonstances atténuantes, c’est si nouveau, elle doit évacuer toutes ses frustrations... — Bon, je peux finir ! Il a vraiment tout fait pour me chauffer et c’est vrai que sentir son désir, son sexe gonflé d’envie pour moi m’a beaucoup plu. Pour la première fois, j’étais à ma place, je n’ai plus peur de le dire, j’aime les hommes. Sentir leur désir me transcende. Et cette nuit, il avait envie de la femme qui dansait avec lui. Nous sommes sortis, il voulait aller dans sa voiture, j’ai compris qu’il voulait me baiser, hors de question qu’il découvre mon secret... Le moment était si exaltant, hors de question de prendre le moindre risque. Il m’a entraînée dans bosquet, il a fait glisser les bretelles de mon caraco, une fois les seins nus, il s’en est occupé. Une autre main a voulu faire connaissance avec mon clito ! En temps record, j’ai pris l’initiative, il fallait que je retourne la situation. Je l’ai plaqué contre l’arbre, j’ai baissé son froc, j’ai avalé sa bite. Je l’ai pompé comme une affamée, avec envie, en trois minutes il était au bord de la rupture. Il a pris ma tête fermement dans ses mains, et il a joui au fond de ma gorge. Il m’a complimentée, sur ma pipe, voilà, vous savez tout, the end... Il est tard, je suis morte, je vais me coucher, bise. À peine la porte de ma chambre refermée, Dania me rejoint et se jette sur moi, elle m’entraîne dans sa chute en travers du lit. — Lana, tu n’imagines pas comment tu m’as excitée lorsque tu dansais. J’étais folle, j’aurais volontiers baisé avec vous deux. Cette nuit, j’ai réalisé que tu m’excites encore plus en fille. J’ai très envie de toi tout de suite, petite coquine... — Tu es gentille, mais non, pas maintenant, s’il te plaît, je suis vidée, je n’ai pas envie, demain avec plaisir si tu veux ! Un long silence... elle est visiblement vexée... — Comme tu veux... Bonne nuit. À son visage, je la sens contrariée... Avec cette nuit et mon refus marquent la fin de notre courte relation charnelle, je l’ai blessée.J’ai voulu m’excuser, mais elle m’a fait comprendre que mes excuses étaient inutiles. Dans la journée, elle me fait bonne figure, et l’ambiance reste conviviale, en revanche, je ne suis plus convié à leurs sorties nocturnes. Un peu mis à l’écart, je m’ennuie, je cogite et puis les jeux sensuels avec Dania me manquent, ils avaient l’avantage de tempérer ma libido et mes désirs homosexuels. Après huit jours de jeux solitaires, l’image de ce mâle m’enlaçant sur la piste de danse me poursuit, rien qu’à cette pensée, je m’échauffe instantanément, mon désir se transcende, s’exacerbe, nu sur mon lit, je me torture les tétons, tout en masturbant sauvagement ma petite verge. La honte de ma sexualité se dilue, il me reste la crainte d’affronter le monde... Cette aventure avec Pierre ne fait que confirmer mon attirance pour le sexe au masculin et ma nature féminine, c’est inscrit dans mon ADN, c’est mon genre !Grâce à Dania, j’ai découvert le sexe avec une femme, j’ai apprécié sa sensualité, ses attentions voluptueuses, malgré toute son empathie sensuelle, mon plaisir est resté bien timide. Aujourd’hui, je suis certaine que seuls les hommes me permettront de m’épanouir... Je n’en peux plus, plus d’une semaine depuis ma première sortie, je vais parler avec ma sœur, je veux comprendre pourquoi je suis laissé de côté, pourquoi elles ne me proposent plus de sortir avec elles.Ma sœur me propose d’aller faire quelques emplettes à vélo pour pouvoir parler. Mio m’explique que j’ai vexé Dania en la repoussant, elle ne supporte pas qu’on se refuse à elle. Elles sont souvent en conflit à cause du sexe, ma sœur adore que Dania s’occupe d’elle sensuellement, la fasse jouir, en revanche la réciprocité n’est pas acquise !Leur relation est bipolaire, dominée par une solide amitié l’essentiel du temps, déviante occasionnellement, lorsque ma sœur abuse de la sensualité de Dania. A suivre...
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