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La « Lancenoir »

Chapitre 4

Divers
4) Première visite chez les parents.Léa amena Amadou jusqu’à un coquet petit pavillon. La maison semblait bien entretenue, des fleurs bariolées poussaient dans le jardin, et le toit était équipé d’un panneau solaire. Un sitcker sur la boîte aux lettres indiquait : « Pas de publicité, merci. » Il ne faisait aucun doute qu’une respectable famille vivait ici. Responsable de son environnement, et pensant au développement durable. Léa ouvrit la porte et cria :
« Maman ?! T’es là ? »

Léa espérait que non. Si elle pouvait arguer que ses parents étant absents, Amadou n’aurait aucune raison de rester. Alors pour quelques heures elle pourrait faire le vide dans son esprit, faire semblant que le cauchemar qu’elle vivait n’était qu’un fantasme et oublier tout ça. Mais, hélas pour elle, une voix lui répondit :

« Je suis dans la cuisine mon canard, tu veux que je te fasse chauffer des toasts ? »

Résignée, Léa se rendit dans la cuisine.

« Euh, maman.... commença-t-elle. »

Puis elle s’arrêta, ne sachant comment présenter Amadou. Sa mère se retourna.

Et elle fut surprise de voir ce grand noir juste à côté de sa fille. Un instant elle se demanda s’il s’agissait d’un cambriolage, ou d’un homejacking comme elle en avait entendu parler. Mais elle se reprit immédiatement. Il était entré avec sa fille, c’était sans doute un camarade de classe… Peut-être avait-il besoin de récupérer un cours. Elle fut quand même choquée de sa dégaine. Elle ne pensait pas qu’un camarade du lycée de sa fille puisse paraître aussi… vulgaire…

« Et bien, qui nous ramènes-tu ?
— C’est… je te présente Amadou… un camarade de classe...— Bonjour Amadou, est-ce que tu voudrais un toast.— Mais avec plaisir Madame.— Appelle-moi Hélène, je t’en prie. »
Amadou contempla Hélène, elle était grande élégante avec un tailleur assez court, et un chemisier qui laissait voir une poitrine opulente. Où qu’elle travaille, ses collègues devaient passer la journée avec la gaule. Et si Amadou, aimait bien les jeunes, cette bourgeoise avait l’air bien sexy aussi. Il se rapprocha et lui fit la bise. Hélène sentit une odeur, comme s’il sentait le sexe. Mais elle se reprit, c’était son imagination qui devait déborder.
« Hélène, un prénom approprié…— Vraiment ?— Oui, il y a trois mille ans, une Hélène a déclenché une guerre par sa seule beauté, et vous pourriez faire aussi bien qu’elle de nos jours. »
Hélène piqua un fard. Elle était impressionnée par l’aplomb de ce lycéen. Il la draguait trente secondes après l’avoir rencontré. Mais elle était aussi flattée que les premiers mots d’un beau garçon soient pour la séduire, alors qu’elle avait plus de vingt ans de plus que lui.
« Merci, mais vous savez, je ne souhaite que la paix.— Alors vous pourriez être Miss France. »
Hélène se mit à rire.
« Vous êtes charmant. Je m’étonne que ma fille ne m’ait pas parlé de vous, vous devez bien vous amuser au lycée.— Oh oui, Madame, on a pris notre pied aujourd’hui.— Tant mieux. Ma fille a tout le temps le nez dans ses cahiers, ça me rassure qu’elle s’égaye un peu.— Oui, on s’est bien éclaté. Elle en a même eu mal au ventre, elle avait du mal à se tenir droite.— J’aurais bien voulu voir ça !— Maman ! cria Léa.— C’était un peu vulgaire, il faut reconnaître, expliqua Amadou.— Ah ! c’est le propre des blagues. Et puis, je suis contente de savoir que ma fille ne soit pas si coincée que ça.— Je crois qu’aujourd’hui, elle s’est bien décoincée. »
Malgré son amusement de façade, Hélène s’inquiétait un peu. S’il draguait la mère, il pouvait tout aussi bien se mettre à draguer sa fille. D’autant qu’il était drôle, elle n’en était pas étonnée de la part d’un noir, elle trouvait Eddie Murphy et Omar Sy très drôle après tout. Mais il pourrait tenter de l’embrasser ou tenter d’avoir un rendez-vous. Elle se dit qu’elle devrait expliquer à sa fille que c’est très bien d’avoir des amitiés « diversifiés », mais qu’elle devrait garder une réserve vis-à-vis d’une certaine partie de la population. Avoir un peu de discernement dans ses fréquentations, car s’amuser est une chose, mais il fallait penser à son avenir. Et, elle avait beau être large d’esprit - pensait-elle - ramener un noir à la maison était un peu ridicule. On pouvait leur donner des sous pour les aider en Afrique ou ailleurs, mais on ne s’amusait pas à les côtoyer ! Et puis c’était un mauvais exemple pour sa petite sœur, sans compter qu’en tant que parent, elle pourrait passer pour laxiste vis-à-vis des voisins.
 « Je vous prépare des toasts alors. Vous mangerez dans la cuisine ? » Amadou haussa les épaules. « Léa, tu viens m’aider un instant ? Je ne trouve pas les tranches de pain de mie... » 

La demande était stupide, les tranches de pain de mie n’avaient pas changé de place depuis des années. Léa savait que sa mère l’appelait pour lui poser des questions sur Amadou, ce qui ne tarda pas. Quand elle entra dans la cuisine, les tranches étaient déjà dans le grille-pain.

« Au fait, ton ami. Pourquoi t’accompagne-t-il ? Ce n’est quand même pas juste parce qu’il est rigolo… »

Léa avait d’abord pensé introduire Amadou comme son petit ami, mais devant sa mère, elle n’en avait pas eu le courage. Imaginer sa déception quand elle saurait qu’elle était la petite amie d’un noir… Elle en avait des sueurs froides. Non, elle tairait leur relation aussi longtemps que possible. Et puis Amadou n’avait rien fait pour indiquer leur véritable rapport. Peut-être pouvait-elle se contenter de le présenter comme un bon ami.

« Il m’a aidée pour… euh… tu sais, les calculs de différentiels.— Ah ?— Oui, je ne trouvais pas les bons chiffres… il n’a pas l’air comme ça… Mais il est… euh… malin. — Ah ! Comme un singe, alors ! Mais tu sais si tu as des problèmes en cours, on peut te payer un professeur particulier. — C’est inutile… C’était juste comme ça, sur le moment sans réfléchir que je l’ai invité.— Eh bien, réfléchit un peu plus ma choute. Et puis, tu ne m’as pas dit que tu voulais inviter Amédée ? Tu m’avais montré des photos de lui ; il avait l’air très chouette. Swag même !— C’est un peu compliqué en fait. »

Ce matin, Léa aurait rêvé de faire venir Amédée à la maison. Mais depuis, il s’était passé tant de choses, et, elle avait été baissée par un noir. Et pour la première fois, depuis qu’elle y réfléchissait, elle se rendait compte qu’elle n’avait aucune envie d’avoir une relation intime avec Amédée. Après ce qu’Amadou lui avait subir dans le local à vélo, elle ne pouvait que difficilement imaginer une petite bite blanche lui entrer dans la chatte et en retirer un quelconque plaisir.

« Je suis sûr que ça ne l’est pas tant que ça. Pourquoi ne lui as-tu pas demandé de t’aider pour tes problèmes de math, à la place d’Amadou ? »
Léa aurait été bien embarrassée de lui expliquer qu’elle était vue comme une fille qui se tapaient ce qui lui tombait sous la main, même des noirs. Et que les chances pour qu’elle puisse s’approcher d’Amédée étaient dorénavant inexistantes.

« On est un peu en froid. »
Hélène crut alors comprendre : si Léa frayait avec un autre garçon, c’était pour rendre Amédée jaloux. Elle ne pouvait que se féliciter de la capacité d’intrigue de sa fille. Elle lui fit un clin d’œil.

« Je suis sûr que lorsqu’il verra que d’autres garçons te tournent autour, il viendra te supplier de sortir avec lui. Cela dit, ce serait bien que ces autres garçons soient un peu moins… Hum, colorés que celui-ci...— Oui maman.»

Léa ne fit pas mention que les autres garçons qui lui tournaient autour étaient une bande de noirs et d’arabes qui n’avaient que le mot « niquer » à la bouche. Un monde séparait la réalité dans laquelle se débattait Léa et la vie imaginaire que sa mère lui inventait. Léa se rendait compte que le jour où la vérité sortirait au grand jour, sa mère était bonne pour faire un arrêt cardiaque. En attendant, les deux femmes revinrent dans la cuisine où Amadou les attendait. Ainsi que la plus jeune sœur.
« Ah pendant que vous étiez dans la cuisine j’ai rencontré Lucie. Elle ne parle pas beaucoup, elle m’a juste dit son nom. »
Lucie était debout, à cinq mètres d’où était assis Amadou et fait curieux, elle semblait s’être transformée en statue. Quand elle avait vu ce grand noir dans la cuisine, son premier instinct avait été de s’enfuir en criant au viol. En une seconde elle s’imagina qu’il allait se lever, se jeter sur elle comme une bête féroce, lui enlever ses vêtements, et la retourner sur la table avant d’enfoncer son énorme chibre dans son minounette.Sauf, qu’au lieu de ce drame, il ouvrit juste la bouche pour dire :
« Salut toi, moi c’est Amadou.— … — Euh… Je suis un ami de ta sœur, elle est avec ta mère.— … »
Lucie pensa un instant qu’elles étaient bâillonnées dans la pièce à côté, attendant de subir les derniers outrages. Ou peut-être ce grand noir s’était déjà laissé aller à ses pulsions sexuelles et bestiales avant de leur trancher le cou !
« Et… euh… toi, tu es qui ? reprit Amadou.— …— Hé ho ? Tu parles français ?— Lucie.— Ah c’est ton nom. Enchanté Lucie, ravie de te rencontrer.— … »
À ce moment Léa et sa mère revinrent de la cuisine. Lucie fut soulagée de les voir vivantes. Hélène s’imagina le choc que sa plus jeune fille devait avoir eu en voyant ce grand noir en jogging seul dans la maison. Elle avait déjà été inquiète en le voyant, et elle savait que sa fille cadette était aussi craintive qu’un moineau. Elle se précipita sur elle pour la rassurer.
« Ne t’inquiète pas, c’est juste un ami de ta sœur.— Ah oui, répondit Lucie soulagée. Bonjour alors. — Bonjour.— Toute la famille est là ? demanda Amadou.— Oh non, mon mari ne rentrera que dans un quart d’heure.— Eh bien, mangeons ces délicieux toasts que vous avez préparés alors. »

Léa souffla, il n’avait rien dit, et il n’allait sans doute rien dire. C’était évident, en fait peut-être était-il en train de se rendre compte qu’ils vivaient dans deux mondes différents. Elle dans ce pavillon élégant, et lui... Elle se demanda un instant où il pouvait vivre ? Dans un immeuble HLM proche du centre-ville au mieux, plus probablement dans un taudis minable de banlieue. Hélène, elle, se dit qu’il fallait quand même remercier Amadou pour l’aide qu’il avait apportée à sa fille dans ses cours de math.
— Alors comme ça vous avez aidé ma fille, demanda Hélène.— Euh, oui, même si je n’aurais pas dit les choses comme ça. — Oui, elle s’en serait sans doute sortie toute seule. La prochaine fois, je suis sûr qu’elle le fera, dit Hélène en regardant avec insistance sa fille.— C’est-à-dire... Faire ça toute seule, elle s’ennuierait vite.— Oh, je ne crois pas. Elle est capable d’une grande concentration quand elle veut, et puis quand on met la main à la patte soi-même, on n’est pas distrait par les autres.— Alors là, je vous assure qu’avec moi, elle ne pensait qu’à ce qu’elle avait devant elle ! Elle ne pensait pas à rien d’autre. Et puis seule, il aurait fallu qu’elle ait du matériel. Il fallait forcer un peu.— Et vous avez trouvé ce qui la bloquait ?— Eh bien, j’y suis allé progressivement, on peut pas complètement fracturer ce genre de chose. Il fallait y aller par à-coup. Mais de grands à-coups : Bam ! Bam ! Bam ! Et chaque fois ça s’enfonçait dedans.— Je comprends, moi, c’est un domaine qui m’est étranger.— Je pourrais vous initier, c’est assez énorme.mais comme je vous le dis, je le fais, entrer peu à peu.— Non, c’est gentil, ma fille a déjà du mal ! alors moi.— Ah, mais c’est très agréable. Si vous l’aviez vu, à mesure que je progressais elle s’épanouissait !— Ça lui plaisait tant que ça ?— Ça n’est rien de dire ! Transfigurée, je vous dis. Et elle utilisait des termes qu’elle hésitait à employer avant, là ça lui venait naturellement.— C’est la timidité ça. Elle n’ose pas montrer qu’elle s’y connaît...— Oui… Déjà elle avait des idées préconçues... Elle ne cherchait pas au bon endroit, les bonnes choses… Mais je crois que j’ai élargi son horizon.— C’est peut-être beaucoup dire, quand même !— Oh non, vous verriez comme elle était avant, et après… il n’y a pas photo. Maintenant elle sait ce dont elle a besoin.— Je vois ce que vous voulez dire ! C’est vraiment agaçant, des fois l’on est complètement dans le noir. Et il suffit d’un rien pour voir la lumière… On se demande alors comment on n’y a pas pensé plus tôt.— C’est que… sans "le noir", il est souvent impossible de voir la lumière.

Hélène vit que sa fille rougissait énormément. Elle ne devrait pas insister autant que l’aide qu’Amadou lui avait apporté, elle devait avoir un peu honte de s’être fait aider par un sauvage. Elle voulut finir sur une notre positive pour sa fille.

« En tout cas, je suis contente de constater qu’elle a maintenant une autre approche des choses plus saine, plus net.— Oui, elle est élargie, complètement élastique. Ça entrera beaucoup plus facilement maintenant.— J’en suis sûre, c’est ça qui est important. se pénétrer du matériau requis, et qu’il reste longtemps… — Et non seulement il reste, mais une fois dedans il ensemence.— Exactement, une dose et l’on a des idées qui se multiplient sur la façon d’en profiter… Ah ! J’entends mon mari entré. Je vous laisse finir vos toasts pendant que je vais l’accueillir.  »

Hélène se porta à la rencontre de Jean, son mari, pour le prévenir que sa grande fille recevait un ami noir. Jean le prit assez bien, de toute la famille c’était sans doute celui qui avait l’esprit le plus ouvert. Quand il entra dans la cuisine, Hélène s’empressa de lui présenter le camarade de sa fille, profitant de l’occasion pour essayer de le faire partir :

« Jean, je te présente Amadou. Un camarade de Léa qui l’a aidé. Mais je crois qu’il commence à se faire tard. »

Jean devina ce que son épouse pensait, qu’il n’était pas convenable qu’un garçon comme celui-ci reste longtemps à la maison. Cela l’amusa, il trouvait souvent sa femme un peu coincée, il appréciait ce côté bourgeois, et aimait bien la faire tourner en bourrique.
« Il ne peut pas repartir maintenant, il pleut affreusement ! Si c’est sa mobylette dehors, il risque l’accident.— Tu as raison, chéri. Mais je suis sûr que ce mauvais temps ne va pas durer.— Peut-être, mais vous savez ce que je pense ? Amadou, pourquoi ne restez-vous pas rester dîner à la maison ?— C’est que je ne suis pas sûr que Madame est prévue un couvert supplémentaire.— Ne vous inquiétez pas pour ça, ici il y a bien assez à manger pour une personne de plus. Tiens l’on peut même vous servir de la bonne viande. Pourquoi pas du gigot ? »
Jean était assez content de lui. Il allait offrir à ce pauvre hère un bon repas. Il était sûr qu’il n’oublierait pas leur générosité et qu’il serait même extrêmement reconnaissant vis-à-vis de sa fille. Jean se rengorgeait à la pensée de sa bonté envers les plus défavorisés.

« Si c’est ce que tu veux, dit Hélène, contrariée de devoir supporter ce noir encore quelques heures.— Et maintenant vous avez sans doute des devoirs à faire ?— Oui, on peut monter dans ta chambre Léa ? demanda Amadou— Euh… Oui… bien sûr. »

Jean regarda les deux jeunes montés, heureux que sa fille ait invité un individu de cette nature. Cela montrait bien que sa famille était dénuée de toute forme de racisme. Il en parlerait demain à ses collègues de la mairie, il se ferait bien voir. Sa femme mit toutefois un bémol à son autosatisfaction :

« Tu es sûr qu’il est prudent de les laisser seuls ?— Et pourquoi pas ? À quoi penses-tu ?— Mais à rien ! C’est juste que ce sont encore des ados et…— Allons, tu connais Léa. Elle n’est pas du genre à…— Elle bien sûr, mais lui… S’il lui prenait soudain l’envie de…— Et peut-être que ça lui plairait à Léa.— Oh Jean ! Comment peux tu dire ! Je suis… Tu…— Je plaisante, j’adore te voir comme ça… Léa ne ferait jamais ça…— Et si, lui…— De toute façon, elle criera s’il tentait de… de faire quelque chose d’inapproprié. Et je peux te garantir que je le virerais de la maison illico presto ! »

Pendant que les parents discutaient des "risques" que courrait leur fille avec Amadou. Ils auraient été surpris de savoir que leur langue se mélangeait. Léa n’était pas franchement ravie d’avoir la langue d’Amadou dans sa bouche, quand il faisait ça, elle se trouvait comme assujetti à son bon vouloir. Elle avait l’impression d’être une de ses putes blanches dont parlaient les amis d’Amadou, elle n’était plus qu’un jouet pour noir. Mais elle préférait ça à ce qu’il se montre encore plus entreprenant. Bien sûr, elle avait encore en tête l’extase que la bite d’Amadou pouvait lui procurer, mais ici… Avec ses parents en bas, et sa sœur à côté… Elle ne pouvait se permettre de se laisser aller à ses fantasmes. Et puis il n’avait rien dit à ses parents, alors elle préférait ne pas l’irriter des fois qu’il change d’avis.

Aussi se laissait-elle peloter. Amadou, lui triturait ses nichons, tapotait ses fesses et estimait ce qu’il avait sous la main :«T’es une belle pouliche, mais... Je pensais que t’avais de beaux seins, mais comparé à ta mère et ta sœur... Pourquoi t’as des nichons aussi petits ? — Je ne sais pas.— C’est sans doute que t’as pas sucé assez de queues. Le lait des couilles ça fait grossir les seins, c’est connu. Si ça se trouve, il n’est pas trop tard. Sinon, faudra que tu passes par la chirurgie. »Cécile frissonna :« Oh non ! pas de chirurgie.— Alors t’avaleras plein de sperme ?— Euh oui… — Bon j’ai ta promesse. Maintenant, tes fesses ! Elles ne sont pas assez fermes !— Désolé.— Désolé, c’est bien beau. Mais tu vas surtout te mettre à faire de la course. Un peu de gras sur les fesses, je veux bien. Mais là… Ça pend presque ! s’exclama Amadou en lui frappant le cul. — Désolé.— Désolé, désolé arrête de faire la geignarde et commence par faire des pompes. Je nique pas des poulettes élevées en batterie moi ! Je baise des poulettes de plein air et en bonne santé. Allez ! commence maintenant ! Plus vite que ça ! »

Puis profitant de l’activité de Léa il se mit à faire le tour de sa chambre. Ouvrant ses tiroirs, farfouillant sur son ordinateur. Il remplaça son profil Facebook par le selfie qu’il avait pris dans le couloir*(voir chapitre 1). Il y passa une bonne dizaine de minutes. Léa pendant ce temps avait les bras en marmelade, essayant vainement de se soulever.

« C’est bon. Arrête-toi pour l’instant et viens là. »

Cécile se releva péniblement. Et se tint toute droite devant Amadou.
« Retire ta culotte et ton soutien-gorge. On va dîner avec tes parents, et je veux voir ce qu’une petite salope blanche est prête à faire en face de ses parents. — Mais pourquoi ?— Parce que je veux savoir si t’es une salope prête à abandonner tout honneur et dignité en dînant comme une pute en face de ses parents Pour qu’ils ignorent que tu te fais baiser par un noir. Ou, si tu préfères conserver ta morale en prenant le risque que tes parents te foutent dehors quand ils apprendront par où ta chatte est passée.»

Sans un mot, car parler n’aurait fait que l’enfoncer davantage elle se débarrassa de ses sous-vêtements. Entre la journée qu’elle avait passée, et les pompes qu’elle venait de faire, elle ne voulait pas se trouver à la rue. Elle était prête à tout pour ne pas révéler leur aventure à ses parents.

Voyant Léa se déshabiller, Amadou soupira comme s’il s’ennuyait :
« Et voilà, comme je l’avais prévu, le jour où je tombe sur une blanche qui ne soit pas une salope, les putains baisseront gratis. Toi, en attendant, tu vas rester à poil jusqu’à ce que le dîner soir prêt, c’est la seule tenue valable pour une traînée comme toi.
— Ce n’est vraiment pas une bonne idée, je me sens mal à l’aise et…— TA GUEULE ! — Hi ! sursauta Léa— Tu vas me faire le plaisir de te taire. Je vais t’expliquer une bonne chose, si tu ouvres la bouche sans que je te demande ton avis c’est pour me sucer.

Léa se tint coite, un peu indignée et un peu craintive. Mais Amadou continua le dressage:

« En attendant prend ça. » Il lui tendit un gros stick de colle qui traînait sur le bureau.« De la colle ? Qu’est ce que je dois coller ? demanda Léa, craignant qu’il lui demande de se coller les lèvres.— Colle ta chatte, tu t’enfonces ça dedans, et tu te masturbes jusqu’à ce que je te dise d’arrêter. Après tout je suis sûr que te branler est ton occupation favorite, une chaudasse comme toi, tu ne peux pas te retenir de mouiller, non ?— Pourquoi tu veux m’humilier comme ça ? se plaignit Léa.— Parce que t’es une conne de blanche raciste. Tu ne m’as pas accordé un seul regard avant que je te défonce ta chatte. Alors maintenant que t’as goûté à mon gourdin, je vais faire en sorte que tu en paies le prix. On ne peut pas tout avoir...

Pendant qu’Amadou tripotait et humiliait sa sœur ; dans la chambre d’a coté, Lucie ne restait pas inactive. Elle avait rassemblé ses économies, ses bijoux et tous ses objets précieux et cherchait une cachette où planquer ses trésors. Bien sûr, elle n’avait pas de crainte vis-à-vis d’Amadou... c’était un ami de sa sœur, il n’y avait aucune raison de le considérer comme un voleur… Mais il y avait des natures qui même avec la meilleure volonté du monde ne pouvaient s’empêcher d’assouvir leur instinct… surtout les gens d’un certain type, foncé... Elle ou sa sœur, avaient déjà invité des garçons à la maison, mais ça n’avait jamais été des étrangers, enfin pensa-t-elle se corrigeant mentalement, des gens « d’origine ». Et puis, ce n’était pas qu’elle était trop méfiante vis-à-vis d’Amadou, c’est qu’elle ne l’avait pas été assez des autres. Cacher son argent, raisonna-t-elle, c’est ce que tout le monde fait quand on reçoit des amis. Surtout des amis noirs, c’est du simple bon sens ! Rien à voir avec des préjugés, elle n’avait vraiment aucune raison de se sentir gênée !

Le temps passa, Amadou jouait à G.T.A. sur l’ordinateur. Léa, elle, à quelques centimètres de lui s’enfonçait son bâton de colle dans la moule. De temps en temps, Amadou jetait un œil sur elle, lorsqu’il la vit essoufflée, se mordant les lèvres, et les yeux levés vers le ciel, il n’eut pas de mal à reconnaître les symptômes : la salope était à deux doigts de jouir.

« Arrête-toi. »

Amadou mit le jeu sur pause, et passa la main sur la chatte trempée de Léa. Honteuse de son excitation, elle baissa les yeux.

« C’est bien salope, on va descendre maintenant, le repas doit être prêt.— Mais… Dans cet état ? Je suis toute… euh…— T’es humide comme la terre des champs après la pluie et tu voudrais bien que j’y plante ma graine.— Non ! Enfin, est-ce que je ne peux pas continuer juste un tout petit peu, s’il te plaît ?— Tu te rends compte que tu me demandes la permission pour te branler ?— Oui… alors je peux ?— Non. Tu vas rester bien chaude, rhabilles toi qu’on aille grailler un peu. »

Quand ils sortirent de sa chambre. Hélène, en bas, cria :

« Le repas est servi, les enfants ! Venez manger ! »

Léa hésitait, elle était gênée de se trouver face à ses parents sans sous-vêtement, et avec la chatte dégoulinante. Amadou lui donna une claque sur les fesses pour qu’elle se mette en mouvement. Au même moment Lucie sortit de sa chambre, et vit sa sœur se faire fessée. Elle ne dit rien, ne fut même pas étonnée. Elle pensa qu’avec un sauvage pareil dans la maison, elle avait eu raison de cacher ses bijoux. Et, qu’elle ferait bien attention à ne pas lui tourner le dos ! Elle ne voulait pas se retrouver le cul tout rouge...

Jean voyant ses filles arrivé avec Amadou, les accueillit chaleureusement :

« Finalement vous voilà ! Hélène vous a préparé un bœuf bourguignon. De quoi vous enchanter les papilles Amadou ! Ce n’est pas quelque chose que vous avez l’occasion de manger tous les jours !

Amadou se demanda si le père l’insultait. Mais selon toute apparence il s’agissait simplement d’un con. Il entra dans son jeu :

« Vous avez raison, M’sieu ! À la maison, c’est frites et merguez tous les jours.— J’en étais sûr ! Vous allez vous régaler alors.— Alors comme ça, vous venez d’où ? demanda Hélène.— Du quartier Saint-Luc.— Ah... oui, je vois beaucoup d’immeubles par là, hein… Mais je voulais dire de quel pays vous êtes originaire, insista le mère. »

Vraiment, se dit Amadou aussi blanc que con. Ils commençaient à l’ennuyer avec leurs questions à la con, mais il pouvait s’amuser aussi :
« D’Afrique, évidemment M’sieu.— Oui, mais vous avez plusieurs pays par là-bas.— En Afrique on est surtout d’une tribu. Les pays c’est ce que les colons impérialistes blancs ont inventé. — Ah bien… » 
D’un coup le père fut gêné. Il se demanda s’il n’avait pas commis un imper. Il était respectueux des autres, même s’ils étaient noirs ou qu’ils appartenaient à une tribu, pas de problème, se dit-il.

« Je vois, hum…— En fait c’est comme nous, dit la mère.— Comment ça ?! On n’est pas d’une tribu ! s’étonna Jean— Non, je veux dire que l’on pourrait dire que l’on est de la tribu des Français. C’est un peu simpliste, mais je dis ça pour qu’Amadou comprenne comment fonctionne notre société.— En effet ! Tu as raison, je n’avais pas pensé à voir les choses sous cet angle. Et vous, Amadou, de quelle tribu être vous ? — Je suis membre de la Rundubwafa.— Ah… Et bien, je ne connaissais pas. Et vous, vous connaissiez ? demanda-t-il au reste de la famille. Qui n’en avait pas plus entendu parler.— Cela veut dire la Lance Noire, en français. Expliqua Amadou— Ah oui ? C’est amusant, c’est parce que ta tribu chassait avec des lances de cette couleur ?— Oh non, pas du tout ! En fait c’est un nom qui nous a été donné par les colonisateurs blancs et que l’on a traduit dans notre langage.— Ah bon… Pourquoi ?— Parce que quand ils nous ont vus, et surtout quand ils ont vu nos énormes bites, ils pensèrent que c’était des lances !»

Le père recracha son bœuf bourguignon, la mère avala de travers, Lucie fit voler sa fourchette en l’air. Seule Léa ne réagit pas, à part en rougissant. Elle se rappelait l’énorme engin qui l’avait pénétré, et ç’avait tout d’une lance.

«  Mais vous ne pouvez pas dire ça devant les filles !— Ah oui ? Désolé. Pourtant c’est intéressant.— Mais c’est... Non… Ce n’est pas intéressant !— Tenez, Madame. Vous savez ce qu’on dit sur la bite des noirs ?— Quoi ? Non ! Pas du tout ! Je n’en ai jamais vu, comme je pourrais savoir leur taille !— Ah, vous voyez, vous connaissez cette histoire de taille. Et toi Lucie ? Tu sais ce qui ce dit dessus ?»

Cette dernière s’empourpra immédiatement.

«  Elle est plutôt grosse, non ?— Lucie, ne dit pas ça ! la réprimanda son père. C’est… C’est raciste. — Vous avez raison, Monsieur… enfin normalement. Car voyez-vous, c’est par notre tribu que c’est propagé le mythe du nègre surmembré. Les autres noirs ont le plus souvent des bites normales ou à peine plus grosses que celle des blancs. Mais nous, dans notre tribu, nous avons de ces monstres qui nous pendent de l’entrejambe… Alors c’est un peu vexant, pour notre tribu de la Lancenoir, que les blancs pensent que tous les noirs ont une queue énorme... Alors que cela ne concerne que nous.— Mais enfin… — Ah… Vous pensez que je fanfaronne. Alors peut-être voulez-vous la voir ?— Mais non ! Absolument pas ! S’exclama Jean— Je parlais à votre femme, et à Lucie, sans vouloir vous manquer de respect.— N… non… non merci… Balbutia Hélène. »

Lucie était estomaquée et ne dit mot. Elle était peut-être intriguée, comme si on lui avait proposé d’assister à un tour de magie. Mais quand elle vit le regard sévère de son père, elle préféra secouer la tête.

« Comme vous voulez, je réserve sa vue pour votre fille aînée alors.— Quoi !? Mais vous êtes fou… Malade ! Il est hors de question que ma fille voie votre… euh…— Mon tournebroche ? Mon chibre gargantuesque ? C’est vrai qu’elle ne l’a pas vraiment vu.— Mais j’espère bien ! Et que ça reste comme ça !— Parce que, voyez-vous... Quand nous avons baisé, il faisait vraiment sombre. Alors je ne sais pas si elle l’a vu en entier, mais en tout cas, elle l’a bien senti… Oh oui ! Elle l’a senti jusqu’au plus profond de ses entrailles ! Alors, je vous assure, elle peut confirmer qu’elle était énorme, non ? »

Léa n’osa pas parler. Hocha juste la tête ne sachant pas comment réagir.Toute la maisonnée était abasourdie. Lucie regardait sa sœur comme si elle s’était transformée en une différente personne. Le père n’arrivait tout simplement pas à croire ce qu’il venait d’entendre. Quant à la mère, elle resta stupéfaite avant de sentir son estomac se révolter. Elle se leva, se précipitant vers l’évier où elle se mit à dégobiller. Une image s’était formée dans sa tête et elle n’arrivait pas à s’en débarrasser, elle voyait ce noir avec sa queue tout aussi noire de la taille d’une queue de billard, en train d’aller et venir dans la petite chatte de sa fille. Comme si elle était souillée ou profanée. Jean lui balbutiait : 

« Mais vous ne devez pas baiser ma fille ! Elle… Vous êtes… enfin… Vous vous rendez compte que vous n’êtes pas du même monde !— Je sais bien. Elle a une jolie frimousse, mais ses seins pourraient être plus gros. Comme ceux de Madame. Et ses fesses… Franchement… Se faire enfiler avec une queue comme la mienne, il faut avouer qu’elle a une chance inespérée.— Bon ça suffit ! On arrête de manger. Toi, Amadou vient par ici. Il faut qu’on discute d’homme à homme.»
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