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La « Lancenoir »

Chapitre 7

Un réveil chaud

Trash
Le matin suivant, Léa fut sèchement réveillée alors qu’elle dormait encore. Elle sentit une main puissante la pousser hors du lit tandis qu’une voix rauque et intense l’engueulait :
« Qu’est-ce que tu attends ?— Que... Quoi ? »
Léa était paniquée, elle se demandait pourquoi elle se trouvait dans la chambre de ses parents. Et pourquoi ce noir lui parlait sur ce ton. Visiblement, il s’attendait à ce qu’elle obéisse sans poser de question.
— Va demander à tes parents de me préparer le petit-déjeuner.— Le petit-déjeuner ? On le prend dans la cuisine... on a --— Je m’en fiche d’où vous le prenez, moi je le mange au lit. Mais t’en fait pas, ils n’auront qu’à préparer le mien, toi, t’auras autre chose à bouffer... »
Après quelques autres consignes, Léa quitta la chambre, la tête encore un peu vaseuse. Elle essaya de départager ce qui s’était vraiment produit la veille de ce qu’elle avait cauchemardé pendant la nuit. Peu à peu, elle se rendit compte qu’elle n’avait eu aucun rêve ou cauchemar dans la nuit. Tous ses souvenirs étaient authentiques. Elle s’était fait fourrer par tous les trous par une énorme queue noire, et ses parents avaient donné à cette brute toute autorité sur elle. Justement, ses parents, ils étaient là, dans son ancienne chambre, bien à l’étroit dans son ancien lit :
« Papa, Maman... Amadou veut que vous lui serviez son petit-déj.— Il ne manque pas d’air. Il se prend pour qui...— Il dit que ça fait partie des traditions de sa tribu et qu’il... » Léa sentit le rouge lui monter aux joues, mais elle répéta ce qu’Amadou lui avait demandé de dire : « Hum... qu’il est de coutume que les parents de la salope servent son mâle...— Salope ?! Léa, je t’interdis de parler de toi comme ça... c’est indigne, humiliant et...— Mon maître dit que c’est le terme traditionnel pour les postulantes qui veulent entrer dans sa tribu. Et que les parents de... la salope... doivent aussi appeler leur fille ainsi.— C’est...— C’est bon, on va s’occuper du déjeuner... coupa court Jean. »
Il savait qu’il n’avait pour le moment pas d’autres choix que d’accepter les conditions déshonorantes dictées par Amadou, alors autant ravaler sa bile et se dépêcher de faire passer son initiation à Léa.
De mauvaise humeur, Jean et Hélène firent chauffer des toasts, préparèrent du café noir et mirent le tout sur un plateau. Sans un mot ils partirent vers la chambre occupée par leur invité. Ils eurent un frisson en le revoyant : la lumière du jour entrait dans la chambre et Amadou était torse nu. Hélène regarda les abdos formant des tablettes de chocolat avec fascination. Jean, lui, s’étonna :
« Où est ma fille ? » Pendant quelques secondes il eut la crainte absurde qu’Amadou ne l’ait mangée. Mais il fut vite ’’rassuré’’
« Elle va bien... mais, elle ne vous a pas dit comment vous deviez l’appeler ?— Quoi ? Ah... ça. Où est la salope ?— Presque, vous devez dire ma salope de fille. Votre femme pourrait croire que vous parlez d’elle sinon... »
Jean serra les dents devant l’injure, mais finit par dire :
« Amadou, où est ma salope de fille ?— Mais sous la couette, Monsieur, en train de me pomper le dard. Vous voulez la voir ? »
Avant que Jean ne puisse répondre, Hélène cria : « OUI !! » Depuis ce matin, elle avait un doute. Le souvenir de la taille de l’engin du noir provenait-il du rêve qu’elle avait fait cette nuit ou de ce qu’elle avait vu de ses yeux ? Il lui semblait impossible d’avoir vu ce qu’elle avait de ses propres yeux vu. C’était trop gros, trop semblable à certains de ses fantasmes... Se tournant vers son époux, comme pour s’excuser de son enthousiasme, elle expliqua : « Euh... C’est que je veux être sûr que notre fille aille bien. »
Amadou leva le drap et Jean eut une vision de cauchemar : sa fille astiquant le manche démesuré d’un noir. Sa tête blonde s’enfonçant dessus avec un va-et-vient énergique, mais ne parvenant qu’à n’en engloutir qu’une fraction. ’’Ah la salope ! On dirait qu’elle aime ça,’’ pensa-t-il sur le coup.
Léa prit presque une minute à remarquer que les draps avaient été tirés, c’est qu’elle s’appliquait à bien sucer et qu’elle était concentrée sur sa tâche. Elle dégustait la queue plus que de raison, elle sentait le gland pulser sous sa langue. Elle se demandait si elle n’avait jamais pris autant de plaisir avec sa bouche. C’était comme si la bite dégageait un goût irrésistible, ou que la queue était baignée d’une délicieuse substance invisible qui la rivait dessus. Quand elle passait la langue autour du manche, elle avait l’impression de recevoir une onction, d’accomplir un acte sacré.
Et qu’elle était une fieffée chanceuse d’y avoir droit. Elle salivait abondamment et se régalait.
Quand elle s’aperçut que ses parents l’observaient en train de gober cette gigantesque bite noir ; elle rougit, mais ne s’arrêta pas une seconde de s’empiffrer du mandrin marbré. Elle était fière d’être la suceuse de ce grand noir, c’était un honneur.
C’est Hélène qui s’approcha du lit, manquant de trébucher alors qu’elle ne quittait pas la queue noire des yeux. Amadou, comme un grand seigneur, lui fit signe de poser le plateau sur le dos de Léa. Lorsque ce fut fait, il commença à déguster les tartines tout en continuant à recevoir une fellation passionnée. Alors que les parents voulaient partir, il les retint.
« Attendez un instant, j’ai une petite demande à vous faire... »
Il fit un léger effort et se mit à déverser un flot de foutre dans la gorge de Léa toute surprise.
« Crache. »
Léa fut déçue. Elle s’était beaucoup dépensée et voilà que la gelée royale lui échappait. Rien que dans sa bouche, elle pouvait sentir l’onctuosité du sperme. Elle hésita un peu à obéir. Elle avait la bouche pleine de semence, elle devait gonfler les joues pour réussir à tout contenir, et si elle en avalait une petite partie, Amadou ne se rendrait sans doute compte de rien. Mais rien qu’au goût du sperme qui lui chatouillant le palais, si délicieux, si irrésistible, elle savait que si elle commençait à en avaler, elle n’était pas sûre de pouvoir s’arrêter avant d’avoir tout englouti. Ce n’est qu’en recrachant sur une tartine qu’Amadou lui tendait qu’elle se rendit compte qu’elle avait songé à avaler le foutre d’un noir avec délice. Elle en eut un frisson de répulsion. Qu’est-ce qui lui arrivait ? Devenait-elle une salope ? Une traînée prête à s’avilir pour faire plaisir à un noir ? Impossible !
Amadou coupa le toast en deux, et ordonna : « Donne une part de toast a chacun de tes parents, c’est la tradition. »
Toute nue, elle s’approcha de ses parents, tendant à chacun une moitié de toast. Hélène regarda sa part avec curiosité. La tranche de pain grillé débordait de foutre, elle en sentait l’odeur, à la fois rance, mais aussi d’une virilité inégalée. Quant à la texture, tout le pain était mou, imprégné de la semence... En tout cas, elle ne fit aucune difficulté pour montrer à sa fille qu’elle était prête à faire sa part pour alléger son fardeau. Elle mordit dans le toast, remarqua l’air jaloux de sa fille. Ça n’avait rien d’étonnant, le foutre était onctueux, coulait dans sa gorge comme un gouleyant velouté. Rien qu’à avaler cette mixture d’homme noir, elle se sentait rajeunir. Ça n’avait rien à voir avec la substance gluante de son mari... Ça faisait d’ailleurs bien longtemps qu’elle ne finissait jamais ses pipes avec sa bouche, mais le branlait quand elle le sentait prêt à éjaculer son petit filet de sperme.
Jean devant l’exemple de sa femme se conforma lui aussi la tradition de la « Lancenoir ». Mais il n’aurait pas pu analyser le goût qu’avait le sperme, dégoûté par l’acte contre-nature qu’il accomplissait. Il était cependant stupéfait par la quantité de sperme sur la tartine, il aurait fallu qu’il se branle des dizaines de fois pour obtenir une telle quantité.
Après cet interlude matinal, la famille reprit ses habitudes ; les deux parents prenaient un petit-déjeuner « normal » quand les deux amants partirent. Pour les parents de Léa, il leur fallut toute la journée pour commencer à accepter ce qui arrivait à leur fille. En tout cas, au travail, ils eurent du mal à se concentrer. Hélène ne cessait de penser à la bite du grand noir. Elle en était arrivée à un tel point qu’elle dut se masturber plusieurs fois dans les toilettes de l’entreprise. Il lui suffisait de fermer les yeux pour revoir la gigantesque matraque que sa fille suçait ce matin, et avait encore le goût du foutre dans la bouche. Elle se sentait comme une droguée qui avait besoin d’une nouvelle dose. Jean lui était anxieux, il avait vu que sa femme et sa fille semblaient plus admiratives qu’outrées par le comportement et le physique du noir, et il était aussi jaloux : À n’importe quel moment de la journée, ce noir pouvait baiser sa fille, alors que lui n’avait aucune gonzesse sous la main. Même sa femme il fallait qu’il insiste longtemps et passe par d’interminables préliminaires avant qu’elle ne l’autorise de le laisser entrer son petit pénis dans sa chatte.
Quand ils revinrent de leur travail, les deux jeunes n’étaient toujours pas rentrés. Il leur fallut attendre deux heures pendant lesquels ils ne se parlèrent presque pas avant que la porte d’entrée finisse par s’ouvrir sur leur fille et son séducteur.
Ils en eurent le souffle coupé...
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