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La « Lancenoir »

Chapitre 9

Une nouvelle dégaine

Trash
Amadou se mit à expliquer certaines traditions de sa tribu. Venant d’un pays chaud, où le soleil tape fort, porter des vêtements courts est une nécessité. C’est dans la recherche de ce minimaliste vestimentaire que les habits doivent être choisis. Le second critère est de refléter le statut de la personne qui porte les vêtements, ainsi il est facile de savoir si une femme est membre de la tribu, ou juste aspirante. Pour les aspirantes, les vêtements devaient refléter leur envie d’intégrer la « lancenoir » et donner aux membres l’envie que cette personne intègre leur clan.
Léa enregistra toutes ces consignes et commença à faire son shopping. Elle avait ainsi une bonne idée du genre de vêtement qu’elle devait acheter, mais Amadou était là pour seconder son choix et la guider quand elle faisait une erreur de goût quant à ce que devrait porter une candidate.
Lorsqu’ils rentrèrent le soir, Léa semblait complètement métamorphosée.
Au premier regard, les parents de Léa ne reconnurent pas leur fille. Ayant une piètre opinion d’Amadou, ils pensèrent qu’il venait de faire entrer une prostituée dans leur demeure, et une pute particulièrement vulgaire qui plus est. Ce n’est qu’en observant le visage de la jeune femme qu’ils reconnurent à qui appartenait ce corps.
C’était celui de leur enfant chérie vêtue de la manière la plus dégradante.
Elle portait une jupe microscopique en cuir rouge, des cuissardes noires, un top quasi-transparent ne couvrant que ses seins. Et c’était un peu près tout.
En fait c’était absolument tout, elle était aussi privée de petite culotte et de soutien-gorge.
En observant ce changement dans les goûts esthétiques de leur fille, ils ne purent s’empêcher d’ouvrir la bouche pour pousser un cri muet, et sentir un frisson d’horreur les parcourir.
Reprenant leurs esprits, ils accablèrent Léa de questions :
« Qu’est-ce qui c’est passé ?! Que... on t’a volé tes vêtements ?! demanda son papa.
— On t’a agressée !? Qui a fait ça ?! demanda sa maman. »
Les parents de Léa étaient bien sûr incapables d’imaginer que leur fille ait pu vouloir enfiler de tels bouts de tissu de son plein gré. On ne pouvait pas leur en vouloir, pendant des années elle s’était montrée des plus sourcilleuses quant à ses tenues vestimentaires, faisant bien attention de ne pas laisser penser qu’elle puisse être une « salope » tout en évitant le piège de passer pour une oie blanche rasoir. Cela impliquait donc de longues heures passées dans les magasins à choisir des vêtements hors de prix qu’elle ne mettrait que pour une saison, mais prouvait ainsi à toutes ses copines son goût sûr et le fait qu’elle était branchée.
Et là on aurait dit une traînée.

Sa micro-jupe colorée d’un goût vulgaire était comme une invitation à se faire fourrer ; quant au top moulant qui ne cachait pas le manque de soutien-gorge il indiquait sa volonté d’être traitée comme une tapineuse bas de gamme. On dit que la première impression est la plus importante, et la première impression que donnait Léa était que si une chose la branchait, c’était les bites bien dures.
Qu’est-ce que cela signifiait ?
« Réponds-nous ! Qu’est-ce qui s’est passé ? demandaient les parents »
Léa réfléchit quelques secondes pour trouver la meilleure explication quant à son changement radical d’approche vestimentaire.
« Eh bien... C’est que mes anciens habits ne reflétaient plus tout à fait ce que j’étais... »
Léa, hésita encore, elle avait bien conscience de ce que reflétaient ces habits actuels... et cela signifiait qu’elle était la pute d’Amadou. Mais elle tenta de se raccrocher aux arguments que le grand noir avait avancés pour justifier son changement de look :
« C’est l’usage africain papa. Il faut s’habiller très court. C’est important, très traditionnel.
— Mais on n’est pas en Afrique ici !
— Et alors vous avez peur qu’elle prenne froid ? demanda Amadou.
— Eh bien... Oui ! déjà !
— Pour ça, rassurez-vous, avec moi elle n’a jamais froid, c’est pas vrai ?
— Oui.
— Ne soit pas timide, raconte-lui.
— C’est que je suis toujours chaude quand il est près de moi, je suis une vraie chaudière...
— Continue.
— J’ai la chatte en feu, j’ai tellement besoin qu’il me lime... »
Amadou sourit, le dressage commençait à faire effet. Il était aussi satisfait que Léa avoue à quel point elle était accroc à son gigantesque phallus et il entra un peu plus dans les détails concernant la tenue de sa soumise :
« Tant que Léa serait candidate pour intégrer la "lancenoir" elle devra se vêtir en conformité avec nos us et coutumes.
— Vos "us et coutumes" ? s’indigna Jean. Elle est habillée comme une pute ! Et même une pute porte plus de vêtements ! J’interdis qu’elle sorte de la maison tant qu’elle aura ce genre de... d’accoutrement ridicule sur elle !
— Ridicule ? répondit Amadou. J’ai pris le plus grand soin pour choisir ce qui lui irait le mieux. Je crois qu’elle est même beaucoup plus regardable maintenant que lorsqu’elle avait ses vêtements de privilégiée blanche.
— Elle n’avait pas... c’est absurde ! Et puis personne ne s’habille comme ça !
— Je dois avouer que je lui ai fait une fleur. D’ordinaire ce sont les mères qui doivent concevoir les habits de leur fille. Mais comme Madame n’est sans doute pas une couturière assez experte... Après tout, on ne pas demander à une blanche de savoir faire grand-chose d’utile. Alors j’ai pris sur moi de choisir de quoi lui mettre quelque chose sur le dos. Vous ne voudriez quand même pas qu’elle se balade à poil.
— Quoi ! non !
— Alors vous vous voyez bien, au fond nous sommes d’accord, j’ai bien fait de lui choisir des vêtements.
— Mais... et... ça ! C’est quoi ! »
Hélène venait de voir la marque au fer rouge incruster juste au-dessus de la cheville de sa fille.
« Tu as un tatouage ! »
Il ne lui vint pas encore à l’esprit qu’on ait pu marquer sa fille au fer rouge comme on le faisait avec du bétail. Une marque indélébile et avilissante indiquant son nouveau statut.
Son mari fixa son regard dessus et si Hélène était surprise, Jean fut atterré. En fidèle consommateur de vidéos pornos des plus variés, il crut reconnaître ce sigle : c’était un as de pique et sa signification ne laissait pas la place au doute. Celles qui portaient ce tatouage étaient des baisseuses de nègre. Des putes à black. Participant souvent à des orgies où elles prenaient des dizaines de queues noires d’affilé dans la chatte. Du moins, c’est comme ça qu’elles étaient présentées dans les vidéos.
Jean n’était pas crédule et se considérait comme capable de faire la part du vrai et du faux. Et pour lui ces tatouages dans les vidéos étaient des faux. Du provisoire fait pour le tournage et qui s’enlevait à l’eau. Dans son esprit, personne de censé ne se tatouerait quelque chose d’aussi méprisable sur la peau... Mais sa fille en avait bien visible sur la jambe.
Amadou demanda :
« Qu’est-ce que vous en pensez ?
— C’est, euh, jolie, répondit Hélène.
— Mais vous êtes fou ! cria Jean, vous savez ce que ça signifie ?!
— Bien sûr, et mieux que vous... C’est une lance noire.
— Non !!! C’est un ace de pique et...
— Tut-tut, je vais devoir vous expliquer quelques faits historiques... même si vous n’avez pas tout à fait tord, Jean. Il est fréquent qu’une femme blanche se tatoue un as de pique avec un "Q" blanc dedans. Cela signifie alors que cette femme est une "queen of spade" ou une "reine de pique." C’est un moyen pour indiquer que la femme en question est soumise aux hommes noirs et qu’elle vénère leur grosse queue marbrée.
Cependant ce que vous ignorez, c’est qu’il s’agit d’une forme abâtardie d’un marquage plus ancien : le marquage que votre fille porte actuellement. Cette marque représente une véritable lance noire. Ainsi vous pouvez admirer la longue queue représentant la hampe de la lance, en haut est emmanché le fer. La grosseur du fer est non seulement représentatif des armes que ma tribu utilisait en Afrique, mais c’est aussi une représentation symbolique de nos énormes bites.
Ainsi lorsqu’une blanche commence son initiation et qu’elle a été tringlée par un membre de la tribu, on la marque de notre lance pour notifier qu’elle s’est fait baiser à fond.
— Mais ma fille n’est pas du bétail ! hurla presque Hélène
— Bien sûr, on ne baise pas nos chèvres nous...
— Mais...
— Écoutez, je crois qu’il faut que je montre encore plus clair pour vous. Normalement un noir qui se respecte, il ignore les blanches. Elles sont sales et laides. Mais grâce à ce tatouage sur sa jambe, les noirs se montreront plus compréhensifs envers votre fille. Ils prendront en compte qu’elle fait des efforts méritoires pour recevoir nos énormes bites dans sa chatte. Encore mieux, ils sauront qu’un noir l’a déjà baisé et qu’il ne l’a pas trouvé complètement nul au pieu... Ainsi les noirs qu’elle rencontrera agiront en adéquation, ils lui montreront leurs bites pour qu’elle vienne les pomper et avaler leur jus...
— Mais je ne veux pas que des noirs lui fourrent la bite dans sa bouche !
— Allons, calmez-vous... Votre fille, elle fréquente beaucoup de noir ?
— Euh... non.
— Alors vous voyez, elle ne verra pas beaucoup de nos bites. D’ailleurs en parlant de ça. Il se trouve que je suis en train de bander, et que j’ai besoin de la chatte de votre fille pour me vider les couilles. Alors si vous voulez bien nous excuser, je dois aller dans votre chambre pour bourrer votre fille bien à fond. Quand j’aurai fini, j’espère que vous serez assez gentil pour nous avoir préparé une collation.»
Amadou prit Léa par la main et la mena en haut des escaliers jusque dans la chambre. En bas, les parents restaient les yeux exorbités, comme hallucinés par l’audace et le sans-gène de leur invité. Puis, quelques minutes plus tard, ils entendirent les cris de jouissance de leur fille, il ne faisait aucun doute qu’elle se faisait ramoner, et sauvagement. Ce n’était pas des petits cris polis que Léa laissait échapper quand riait après une blague, mais des cris d’extase qu’elle était incapable de contrôler. À chaque fois que l’énorme mandrin pénétrait en elle, elle n’avait pas d’autre choix que de hurler en extase.
Les deux parents n’osèrent pas se regarder. Jean parce qu’il avait honte de laisser sa fille se faire baiser sous son toit par un individu aussi odieux, pour ne pas dire plus. Quant à Hélène, si elle n’était pas non plus très fière de laisser sa fille se laisser bourrer par le grand noir, ce qui lui faisait baisser les yeux est qu’elle entendait le pied que prenait sa fille, et qu’elle se demandait quand pour la dernière fois elle avait pu ressentir de tels orgasmes... Elle était sûre d’une chose, c’est que ce n’était jamais arrivé depuis son mariage avec Jean.
Lorsque les deux amants eurent fini leur affaire, ils redescendirent prendre leur dîner. Alors qu’une heure plus tôt les parents fourmillaient d’objections quant à la tenue de traînée de Léa, ils ne trouvaient maintenant plus rien à dire. Ils commençaient à intérioriser que leur fille était devenue la captive volontaire du grand noir, et que peu importe ce qu’ils diraient, rien ne pourrait changer cet état de fait.
Le repas se passa donc calmement. Seule la petite sœur, Lucie, ne put presque rien manger. Elle regardait scandalisée les habits outranciers que Léa portait. Et elle était encore plus choquée de voir la main d’Amadou constamment la main fourrée dans la chatte de sa sœur... Le pire était que cette dernière n’arrêtait pas de gémir sous la pression des longs doigts du noir.
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