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La « Lancenoir »

Chapitre 11

La tragédie d'un homme ridicule

Trash
À la sortie du lycée, Léa était assez surprise, Amadou ne l’avait pas baisée de la journée. Elle se demandait si quelque chose clochait. Est-ce qu’elle ne lui plaisait plus ? S’était-il tapé d’autres lycéennes ? Elle finit par oser poser la question, et Amadou ne se montra pas un amoureux transi :
— Mais tu crois quoi, salope ? Que ta chatte est spéciale ?— Non, mais...— Une chatte de blanche comme la tienne, on s’en lasse vite. Il m’en faut d’autres...— Tu... tu ne veux plus de moi ?— Mais j’ai jamais voulu de toi, t’es conne ou quoi ? T’es juste là à ma disposition. Et si tu me fatigues avec tes questions idiotes je te remplacerais par une autre salope.
Léa était confuse. Il lui avait toujours semblé que c’était Amadou qui tenait à cette relation... Elle n’avait fait que suivre ses ordres parce qu’il lui semblait ne pas avoir d’autre choix. Certes, elle se souvenait que la nuit dernière c’était de sa propre initiative qu’elle s’était fait enfiler la chatte. Mais c’était véritablement la première fois qu’il laissait entendre que c’était elle qui souhaitait rester auprès de lui.Ça voulait dire qu’elle pouvait partir comme elle voulait. Mais comment le justifier auprès de ses parents ? Il faudrait leur expliquer que c’était volontairement qu’elle avait servi de vide-couille, qu’il n’y avait rien entre eux. Qu’elle s’était fait marquer au fer rouge et habiller de cette façon parce qu’elle le voulait ? Elle ne se sentait pas de taille à dire ça à son père et sa mère.Et puis... Elle avait fini par considérer Amadou comme son petit copain. Elle avait vu comme il était respecté, comme les filles étaient admiratives de sa conquête, comme elle les faisait toutes baver d’envie... Et elles avaient raison, elles ne pouvaient qu’imaginer ce que c’était de faire l’amour avec cette bête, mais elle, elle en profitait chaque jour... Non, il était trop tard pour faire machine arrière. Sa vie avait été transformée, un papillon ne peut pas redevenir une chenille. Elle finit par demander inquiète :
— Tu ne veux plus me baiser ?— Te baiser ! Tu crois que je te baise ? Ma pauvre, t’as aucune idée de ce que c’est une vraie baise de noir. Apprend déjà à sucer à te faire foutre correctement, on verra ensuite pour la baise. En attendant, regarde autour si tu vois une gonzesse bien foutue.
Léa regarda autour d’elle, elle vit quelques petites jeunes assez sexy qu’elle désigna à Amadou. Mais celui-ci se contenta de ricaner. Puis il montra du doigt une femme.Léa regarda, c’est vrai qu’elle était canon, blonde, des seins plantureux et tout de même une silhouette fine, une démarche qui attirait le regard sans être tout à fait vulgaire et un minois en tout point sensuel. Mais elle devait avoir plus de trente ans... et elle était accompagnée de son mari. Léa se sentit obligée de signaler ce détail à Amadou :
— Amadou... maître, je crois que l’homme avec elle est son mari.— Et alors ?
Sans aucune hésitation, Amadou se dirigea vers le couple. L’homme était habillé élégamment, façon Ralph Laurens. Il avait un peu plus de quarante ans et devait être un cadre. Sa femme faisait dix ans de moins que lui. Elle portait un sac de chez Dior. En comparaison, Amadou en jean troué et en marcel semblait sortir d’une autre dimension. Amadou s’approcha d’eux, Léa sur ses talons. Lorsqu’il ne fut plus qu’à une dizaine de mètres, il les héla :
— Hé !
Le couple se retourna un instant, avant de reprendre leur route. Il leur semblait incongru que ce noir mal habillé puisse les apostropher. Il devait sans doute appeler un de ces camarades plus loin.
— Hé, j’vous cause.
Cette fois-ci, ils hésitèrent, la rue n’était pas tout à fait déserte, mais il était évident qu’il ne pouvait s’adresser qu’à eux. Le mari cessa de marcher pour se retourner. Il camoufla rapidement une moue de dégoût face à ce quidam aussi peu distingué qui lui faisait perdre son précieux temps.
— Oui ?— C’est pas à toi que je cause, mais à la gonzesse.— La "gonzesse," c’est ma femme. Alors tu ferais mieux d’aller voir ailleurs.
En disant ça, il regarda Amadou droit dans les yeux, sûr de l’impressionner. Bertrand était un cadre haut placé dans une multinationale prestigieuse et il était bourré de fric au point de ne savoir qu’en faire. Quant à la "gonzesse" qu’il avait épousée, elle venait d’une famille de responsable politique respectable, et elle était d’une beauté qui rendait tous ses collègues jaloux. Alors ce n’était pas un lycéen ayant à peine de quoi se payer un McDo qui allait lui faire peur.Les deux regards se rencontrèrent.Amadou n’avait peut-être pas la réussite professionnelle de l’autre blanc-bec, mais son regard était celui d’un fauve. Quand il braquait les yeux sur quelqu’un, l’autre se sentait pris dans les griffes d’un prédateur sanguinaire. Ses pupilles étaient d’un noir intense, il épouvantait et faisait naître le respect.Le cadre planta son regard dans les yeux du noir. Après dix secondes, ses genoux se mirent à trembler. Malgré l’inconfort de cette situation, il ne voulait pas être le premier à rompre le contact oculaire. Au bout de vingt secondes, il était pris de sueurs et sa peau pâlissait. À trente secondes, son estomac se mit à se contracter et il eut une soudaine envie de chier dans son froc. Il baissa les yeux, il ne sentait plus ses jambes et avait peur de s’écrouler par terre.Profitant de l’immobilité du cadre, Amadou s’approcha de la femme comme si elle lui appartenait :
— Toi, comment tu t’appelles ?— M-moi ? C’est euh... Églantine.— Églantine... C’est pour ça que... t’as épousé un gland ?
Amadou jeta un regard sévère sur Léa, qui se mit à glousser d’un rire un peu forcé de la blague de son maître. Le mari, lui, ne riait pas :
— Je ne vous permets pas d’insulter ma femme !— C’est toi que j’insulte ducon, et je me fous de ta permission.— Mais je... je ne vous permets pas... vous n’avez pas le droit de... de...— De discuter avec ta gonzesse ? De me foutre de ta gueule ? Bien sûr que j’ai le droit... Je suis même sûr que t’as bien besoin qu’on te remette à ta place.— Je vais vous demander de partir. Autrement je vais appeler la police, et dans 10 minutes...— Dans 10 minutes, j’aurais emballé ta femme mec. Et ensuite je vais la ramener chez toi pour la baiser comme il faut. Qu’est-ce que t’en dis ?— Ça suffit comme ça. Viens chérie, on s’en va.
Il tira sa femme par la manche et voulut s’éloigner. Mais à peine fit-il un pas, qu’Amadou lui fit un croche-patte. Il tomba la tête la première sur le béton. Léa se mit à rire, de bon cœur cette fois. Églantine voyant son mari étalé grotesquement par terre ne put s’empêcher de sourire.Bertrand allait se relever, mais Amadou plaqua un pied sur son dos.
— Un instant petit Monsieur. Tu n’as pas encore fait connaissance de Madame Trottoir... regarde, elle te souhaite le bonjour.— Lève ton pied espèce de sale...— Sois pas agressif, dis juste bonjour à Madame Trottoir.— Ça va pas ?!— Salope, tu veux bien t’essuyer sur sa gueule de serpillière ?
Léa ne se fit pas dire deux fois, elle se mit à frotter la semelle de sa chaussure sur le cuir chevelu du type. C’était quelque peu grisant, elle se servait de paillasson d’un type à qui, en temps normal, elle n’aurait pas osé adresser la parole. Et là, elle voyait les cheveux bien lavés du riche cadre se faire salir par la semelle dégueulasse de ses chaussures. Elle se rendit aussi compte qu’ils n’étaient plus tout à fait seuls. Un petit groupe s’était formé autour d’eux, mais qui restait à une certaine distance : suffisamment prêt pour regarder le spectacle (et même l’enregistrer sur smartphone), et assez loin pour s’enfuir si les choses tournaient mal.Églantine regardait l’humiliation de son mari consternée. Elle avait honte. D’habitude, tout le monde s’aplatissait devant Bertrand, avec ses beaux habits et ses largesses de pourboire il était comme un seigneur parmi la plèbe... et là, niveau aplatissement...Amadou n’en avait pas fini avec lui :
— Alors tu dis bonjour à Madame Trottoir ?— Putain... Bonjour Madame trottoir. Voilà, vous êtes content ? Retirez votre pied maintenant !— Mais il faut que tu fasses la bise à Madame Trottoir. Allez un bisou !— Vous êtes malade ?! C’est dégueulasse.
Amadou relâcha son pied du dos du type... Pour tout de suite après y placer son genou et se mettre à son niveau et murmurer :
— Tu sais quand je vois un mec comme toi se taper une gonzesse comme ta bourgeoise, je me dis que c’est ça qui est dégueulasse. Elle devrait avoir droit à un mec qui sait se servir de sa bite, et pas à subir les conneries minables d’une p’tite bite comme toi... Bientôt quand j’aurais mon gros pieu enfoncé dans son minou et qu’elle criera pour que je largue ma sauce, là elle aura ce qu’elle mérite. Capiche, mec ? Alors ce bisou il vient ? Ou je dois te cogner la tête contre le bitume ?
Le type sembla hésiter, mais il prit la menace au sérieux. Il posa les lèvres sur le trottoir sale et fit un « smack » bruyant sur le bitume. Il espérait en avoir terminé. Amadou sourit et déclara :
— C’est bien. Tu sais, maintenant que tu es devenu intime avec Madame Trottoir, et bien, quand je me taperais ta femme, toi tu pourras toujours trouver un petit trou dans le bitume pour y enfoncer ta bite.— Va te faire foutre connard !— J’aime pas ce ton et je crois que... Oh ! Mais c’est Madame Crotte de Chien juste à côté ! Il faut absolument que tu lui dises bonjour ! Elle sera jalouse de Madame Trottoir sinon...— Quoi ! C’est hors de question... Je vais...
Avant qu’il ne puisse finir sa phrase, Amadou lui saisit la tête et la plongea sur la merde de chien. Puis il frotta la tronche de Bertrand de long en large sur la crotte. Quand il lui releva la tête pour la montrer à Églantine, tout son visage était couvert de la merde brune, le front, le nez, la bouche, les joues...Un type dans la foule se mit à rire. Puis un autre, et un autre... un véritable fou-rire s’empara de la foule. Églantine se cacha son mignon minois, craignant qu’on puisse la voir sur une vidéo en compagnie de son mari couvert de merde.Amadou se dégagea du dos du type en riant. Celui-ci se releva aussitôt, et cette fois plutôt que de parler, il décrocha un coup de poing contre le grand noir alors que celui-ci lui tournait le dos. Il y mit toutes ses forces, son poing cogna contre la peau, il sentit une douleur dans ses phalanges et... ce fut tout. Amadou ne réagit absolument pas, se contentant de continuer à rire avec la foule. Bertrand furieux commença à donner un autre coup, mais cette fois avant même que le poing ne le touche, Amadou intercepta la frappe en saisissant son agresseur au poignet. Le cadre tenta de se dégager, mais le noir serra fortement faisant plier les genoux du cadre... Puis il dit :
— Alors on est violent, mon petit père, c’est pas bon pour toi ça.
Utilisant la main du cadre qu’il tenait, il commença à lui donner des gifles sur sa figure pleine de merde...
— Normalement les types violent comme toi, je les frappe moi-même. Mais toi t’es vraiment trop sale. Au fait, c’est quoi ton nom ?
Le type se taisait, mais après s’être auto-administré deux autres baffes il finit par répondre :
— Je m’appelle Bertrand.— Mais non ! Ton nom c’est "Merde" et ton prénom "Grosse." Alors dis-le, je suis...
Il fallut quatre baffes supplémentaires, mais il finit par le dire en pleurant.
— Je suis une Merde, une Grosse Merde.— Plus fort !— Je suis une MERDE !
Le type s’était mis à pleurer sous l’humiliation que lui faisait subir Amadou. Mais ce dernier n’en avait cure :
— Crie !— JE SUIS UNE GROSSE MERDE !!!— Très bien grosse merde, maintenant va trouver un endroit ou te laver...— Mais ma femme.— Ta femme, oublie là. Maintenant elle va venir avec moi, et je vais lui faire subir toutes les choses que toi tu n’as jamais osé lui faire. Quand j’en aurai fini avec elle, ce sera plus ta cocotte de luxe, mais une assoiffée de queue de nègre que tu ne pourras plus jamais satisfaire. Tu sais ce qu’on dit, "Once you go black, you can’t go back."— Non ! Vous pouvez pas...— En attendant, Grosse Merde, ta femme n’a pas envie qu’on la voie avec un clodo qui pue le caca.— Mais...— Les merdes ça ne proteste pas, ça s’étale...
Amadou posa les mains sur sa ceinture du type, en quelques secondes il l’arracha, laissant le pauvre type tenir son pantalon de ses mains. Il lui donna un coup de pied aux fesses le faisant tomber à quatre pattes. Une de ses mains tomba sur le reste de crotte de chien qu’Amadou lui avait été étalé sur le visage. Amadou se mit à lui zébrer les fesses de la ceinture, déchirant une partie de son pantalon Gucci.
— Barre-toi Grosse Merde ! T’es trop sale... va te laver.
Bertrand s’enfuit tenant tant bien que mal son pantalon et criant et pleurant sous les coups de ceintures. Alors qu’il s’enfuyait, le groupe de spectateur commença à se clairsemer, le spectacle était fini. Il ne resta bientôt plus que Léa, Amadou et Églantine.Amadou s’approcha de la femme mariée :
— Alors, comme ça tu es mariée à Grosse Merde ?— O-o-oui...— Et t’as pas honte ?
Jusqu’à ces cinq dernières minutes, cette question lui aurait semblé ridicule. Elle n’avait jamais eu honte de son mari. Elle en était fière, elle se souvint de la manière dont elle avait dû minauder pour le séduire. Et depuis son mariage, elle avait toujours considéré son mari comme le maître de la maison auquel elle était heureuse d’obéir. C’est lui qui travaillait, touchait un gros salaire, lui permettait de vivre luxueusement. Mais lors de ces cinq dernières minutes, elle l’avait vu se faire humilier, pleurer comme un gamin. Il s’était montré lâche et impuissant. Était-ce encore ce Bertrand dont toute sa famille était si fière ? Elle ne ressentait en ce moment que de la honte d’être l’épouse d’un homme dont le visage est couvert de merde de chien. Quant au grand noir, il l’impressionnait et lui faisait peur. En cinq petites minutes, il avait bouleversé sa vie.
— J-je sais pas.— Sérieux, t’embrasserais son visage plein de merde ?— Non !
Là-dessus c’est lui qui l’embrassa. Et à la surprise de Léa, la femme le laissa faire... le galochage dura près de deux minutes puis d’un coup elle se dégagea :
— Qu’est-ce que vous faites ? Je ne vous ai pas permis de...— Ah ah ! Parce qu’en plus Grosse Merde te demande la permission avant de t’embrasser ? J’imagine même pas la scène quand il veut te faire l’amour.— C’est-à-dire, c’est plus compliqué que ça... quand...— Il y a rien de compliqué, un homme, un vrai, il embrasse quand il a envie d’embrasser... Et il baise quand il a envie de baiser. Bon, on va chez toi.— Chez moi ? C’est pas possible.— Pourquoi ?— Parce que... parce que c’est Bertrand qui a les clefs de la voiture, dit-elle en ne trouvant que cette excuse misérable à lui opposer.— Alors d’abord, tu n’appelles pas la lopette de mari « Bertrand », mais « Grosse Merde ». Et ensuite, j’ai récupéré ses clefs. Elle sont "tombées" dans ma main quand je lui ai pris sa ceinture...— Mais, c’est pas possible... Je peux pas vous conduire chez moi, ce serait...— Tu as dit toi-même que le seul problème, c’était les clefs... alors, allons-y. »
Il actionna le bouton d’ouverture, et il entendit le bruit d’une voiture qui se déverrouille un peu plus loin. Léa, Églantine et Amadou allèrent dans cette direction. Arrivé devant la voiture, une belle Mercedes, Amadou laissa la femme prendre le volant, il fit monter Léa à l’arrière et s’installa sur le siège passager.
— Démarre, on va chez toi, on va bien s’amuser...
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