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La « Lancenoir »

Chapitre 13

Les dix-huit ans de Lucie

Trash
Résumé :
Amadou un grand noir imposant sort avec Léa, une jeune blanche bourgeoise du même lycée. Elle apprend qu’il vient d’une tribu africaine, la « lance noire » réputée pour la taille de leur « lance ». Et cette tribu a quelques traditions inhabituelles, comme de baiser la jeune fille devant ses parents. Mais cela ne suffit pas à l’appétit sexuel d’Amadou qui lors d’une sortie se tape une femme qui a eu le « bonheur » de lui plaire. C’est maintenant l’heure de rentrer à la maison, et il semble que Lucie, la cadette, est occupée à préparer quelque chose…


Lucie attendait ce jour avec impatience. C’était son dix-huitième anniversaire ! Le jour où elle devenait majeure, et pouvait obtenir son indépendance. Un moment important dans la vie d’une jeune femme. Et l’exemple de sa grande sœur tombée dans les mains d’un noir lui prouvait qu’indépendance rimait aussi avec conséquences. Il s’agissait de se montrer responsable et éclairée. Et Lucie ne manquait pas de prévoyance, elle avait invité cinq de ses meilleures amies, demandé à ses parents de lui laisser la maison vide pour faire la fête et elle avait elle-même acheté quelques amuse-gueules comme des éclairs au chocolat, des congolais et autres tête-de-nègres. Pour compléter le tout, elle avait cuisiné un délicieux moelleux au chocolat.
Elle avait aussi prévu diverses activités comme un karaoké et plus tard une visite au spa de la ville. Tout était réglé pour que la journée soit parfaite.
Mais quand la porte s’ouvrit, Lucie se retrouva perplexe, elle n’avait pas prévu que des invitées arrivent si tôt. Et pour une bonne raison, ce n’était pas ses invitées qui pénétraient dans la maison, mais sa sœur, Léa, et son copain noir, Amadou. Voilà quelques jours que le couple ne rentrait pas avant le soir et Lucie ne s’attendait pas à les voir arriver avant la fin de la fête. Cela la contraria d’autant plus que sa sœur était habillée d’une micro-jupe et d’un crop-top indécent. Elle tira la gueule, elle désapprouvait la nouvelle relation de sa sœur, et ne pouvait s’empêcher de voir en Amadou une mauvaise influence. Il était hors de question que Léa apparaisse sur les photos de son 18ème anniversaire vêtue aussi vulgairement, quant à Amadou sa présence était tout simplement inacceptable.
« Léa, tu ne comptes quand même pas rester ici aujourd’hui ?— Ben si, pourquoi ?— C’est mon anniversaire. »
Léa resta coite, comme si son cerveau avait calé. Elle avait complètement oublié l’anniversaire de sa petite sœur alors que celle-ci en faisait tout un foin depuis six mois. Elle avait toutefois une bonne excuse, il y avait eu beaucoup de changements dans sa vie ces derniers temps. Et toute son attention se portait sur une seule et unique chose : Amadou ; Amadou et son incroyable chibre. Elle se mit à espérer qu’il veuille bien la prendre dans sa chambre dès que…
Mince… voilà que son esprit partait à nouveau dans la même direction. Elle se força à résister et à se concentrer sur sa sœur et son anniversaire.
« Bien sûr, ton anniversaire ! J’y pensais justement… Mais, heu... le cadeau, ce que j’ai prévu n’est pas encore arrivé. Ça te gêne pas d’attendre un peu ? »
Lucie vit immédiatement l’occasion de se débarrasser de sa sœur.
« Mais si ça me gêne ! C’est mes dix-huit ans, c’est exceptionnel ! Tu dois m’offrir quelque chose aujourd’hui ! Alors sors d’ici, et ne reviens que lorsque tu auras déniché un cadeau qui me plaise !— Ah, bon. Très bien. Je vais chercher un truc. Amadou, tu viens avec moi ?
— Faire du shopping pour trouver un cadeau de fille ? Tu m’as pris pour ta copine ? »
Lucie regarda atterrée le grand noir. Il n’allait quand même pas rester ici ? Il n’avait quand même pas oublié que cette maison n’était pas chez lui ?! Il devait pourtant se rendre compte que ce n’était pas une hutte avec des fuites d’eau au toit et des murs en paille. Et le pire c’est que si Léa était restée, ils seraient allés dans sa chambre s’occuper à des cochonneries, mais maintenant qu’il était seul, il risquait de traîner dans le salon. D’ailleurs, le voilà qui s’installait devant la télé pour jouer à la console. Lucie chercha désespérément un moyen de le faire sortir. Qu’est-ce que ça aime les noirs ?
Après avoir étudié la question, elle s’approcha de lui.« Amadou ? J’ai entendu dire qu’il y avait un match de basket au gymnase, t’as pas envie d’y aller ?— Non.— T’es sûr ? Bon, comme t’es un "ami" de ma sœur, je te fais un cadeau. Dix euros, pour aller manger dans ton fast-food préféré.— J’suis bien là…— J’ai entendu qu’il y avait une promotion sur des sneakers au Lidl, et qu’il y avait même un gangsta rappeur qui a promis de s’y rendre.— Je suis en train de chiller là, tu me casses les noix. »
Lucie était pour le moins déconfite devant l’attitude si paresseuse du noir. Elle se creusa la tête pour trouver un nouvel argument quand la sonnette retentit. Tant pis, elle n’avait plus le choix, elle devait ouvrir la porte. C’était Camille, sa meilleure amie. Elle tomba dans ses bras et lui fit un gros bisou : « Joyeux anniversaire Lucie ! »
Lucie retrouva le sourire, surtout en voyant l’énorme cadeau que sa copine avait apporté. Puis les autres invités arrivèrent, Inès, Adèle, Marianne, Manon. Chacune était comme un des rois mages avec un magnifique présent. C’étaient toutes des camarades de classe de Lucie. Contrairement à sa sœur, Lucie allait à l’institut Jeanne d’Arc, où elle suivait les cours depuis la maternelle.
Elles étaient bruyantes, ce qui dérangeait Amadou obligé d’augmenter le son de son jeu. Il put les entendre se marrer en se moquant des profs : « Tu sais Monsieur Canoud, avec son gros cul il paraît qu’il pète au moins trois fois par cours.— Dites les filles, vous avez dix-huit ans, et le plus fun que vous trouvez à faire, c’est de vous moquer de vos profs ?— Bah, c’est toujours plus intéressant que de jouer à un jeu vidéo, contra Lucie— Ah oui, et pourquoi ?— Parce que les jeux vidéos, c’est pour les dééébillless !— Ah oui ? Pourtant t’y joues pas, et t’en es une. »
Les cinq autres filles se mirent à rire, ce qui enragea Lucie. Elle était exaspérée que ses amies accordent de l’attention à ce zouave, Marianne ajouta même :
« Il est rigolo le copain de ta sœur.— C’est juste une racaille, murmura Lucie.— Hey je connais ce jeu, c’est Street Fighter, j’y joue avec mon frère. T’as pas l’air doué. T’as pas arrêté de te prendre des roustes. »
Quand Amadou entendit ça, il grimaça. Certes, il était moins bon à Street Fighter qu’à la vraie baston. Mais ça ne l’empêchait pas d’avoir un certain niveau.
Lucie ne loupa pas l’occasion pour se moquer de lui : « Ouais, même pour un truc aussi nul, il est pas doué. On peut pas s’attendre à grand-chose de ce "genre" de type.— Quand on sait pas jouer, on la ferme. Je parie que je bats n’importe laquelle de vous.— Bah moi c’est évident, j’y joue jamais.— Moi je peux le battre, affirma Marianne. »
Lucie trouvant enfin une manière de rabaisser le caquet au grossier personnage. Elle l’encouragea à se mesurer à lui. Qu’Amadou essuie un échec, et elle pourrait même le rapporter à sa sœur, qui avait tendance à prendre son petit copain pour un Dieu.
« Ça, c’est une bonne idée ! Mets-lui la pâtée. Montre-lui que face à une fille qui maîtrise son sujet, il est pas à la hauteur.— Pfff, c’est ridicule, je pète chacune de vous quand je veux… riposta Amadou.— Et je propose un marché, si Marianne gagne tu quittes la maison, et tu nous laisses tranquilles pour fêter mon anniversaire.— D’accord. »
Marianne s’installa sur le canapé, quand Amadou ajouta :
« Mais il faut une contrepartie, si je gagne…— Et qu’est-ce que tu veux ?— Si je gagne en trois manches, l’une de vous doit me toucher la queue.— C’est ignoble, critiqua Lucie.— Si je gagne en deux manches, l’une de vous devra me faire jouir. Au moyen de son choix…— C’est dégueulasse ! désapprouva Lucie. »
Les autres filles se tinrent coites, elles regardèrent avec un frisson le noir dont les muscles tendaient le t-shirt et au visage carré qui en imposait. Aucune ne pouvait nier qu’il était beau gosse, mais aucune ne pouvait envisager sérieusement une intimité avec un black. Finalement Marianne déclara :
« Bon, ben moi je joue déjà contre lui. Alors si je perds, ce sera à vous de déterminer qui accomplira le gage.— Hey, mais attends ! » crièrent Manon et Adèle qui craignaient que la pénalité ne retombe sur elles.
Mais c’était trop tard, la fille avait pris la manette, et elle choisit son personnage préféré, Chun-li, la fine femme asiatique aux jambes interminables tandis qu’Amadou sélectionnait Balrog, le boxeur noir et musclé.
Le combat commença, le boxeur frappa d’une longue allonge la fragile Chinoise. Il enchaîna les coups ne lui laissant pas le temps de récupérer, et elle se retrouva vite dans les vapes. Le noir s’approcha alors, il la saisit et la projeta à terre. Chun-li tenta de fuir, mais en vain. Les pains pleuvaient sur elle, elle poussait des cris à chaque fois que le noir assénait une torgnole. Puis ce fut le coup de grâce, elle perdit connaissance sans même avoir pu se défendre.
Marianne ne put s’empêcher de s’exclamer : « Mais tu joues beaucoup mieux que tout à l’heure !— Normal, avant je jouais avec Guile, cette petite merde de blanc-bec. J’ai jamais compris comment gagner un match avec lui. Tandis qu’avec le noir, c’est trop facile d’envoyer des pistons.— Mais, Marianne, tu vas gagner, hein ? demanda Camille très inquiète.— Ouais, bien sûr, j’ai juste été surprise. »
Mais au ton de sa voix, toutes les filles sentirent que sa certitude avait fait place à l’appréhension. Et c’est avec angoisse que les filles regardèrent le deuxième round débuter.
Cette fois la Chinoise s’éloigna avant de recevoir un coup. Elle bondit sur les murs et au plafond, esquivant facilement les attaques et donnant même quelques coups de pied. Elle parvint à atterrir derrière le boxeur et utilisa un coup spécial d’attaque de jambe pour asséner plusieurs coups à son adversaire.
Les cinq autres filles s’écrièrent : « Vas-y, bats-le ! — Fais-lui mordre la poussière !— On croit en toi ! »
Chun-li se rua tête la première pour effectuer un enchaînement. Mais un gant de boxe la stoppa net. Puis ce fut une succession d’uppercut et de droite, la petite Chinoise valsait dans les airs, et quand elle commençait à retomber, elle reprenait un gnon avant d’avoir atteint le sol. Elle parvint néanmoins à s’échapper, et se mit à reculer, jusqu’à se retrouver acculée contre le mur. Le noir approchait inexorablement d’elle. Tous les chemins d’évasion semblaient bouchés. Chun-li se protégea de ses faibles bras, elle était terrorisée, la force du noir était trop puissante pour elle. Elle était offerte sur un plateau, il suffit d’un effleurement de gant de boxe pour qu’elle s’affalât au sol, son corps légèrement vêtu à la merci du plus fort qu’elle.
« J’ai gagné, annonça nonchalamment Amadou.— J’ai remarqué, pesta Marianne. »
Amadou se leva, jusqu’à présent les filles ne l’avaient vu qu’assis. Debout, il les dépassait toutes d’au moins quarante centimètres. Elles passèrent vite d’impressionnées à craintives. S’il devenait fou ou méchant, il était capable de les réduire en morceaux, comme Balrog avait écrabouillé Chun-li.
C’était une pensée bien présente dans la tête d’Inès : le dernier noir qu’elle avait vu, c’était dans un reportage télé : un prisonnier ayant violée une dizaine de blanche et qui s’était déclaré chef de la prison. Camille, elle, ne pouvait s’empêcher de comparer Amadou avec un grand singe d’Afrique.
« Alors vous êtes prêtes à voir le cobra ? »
Il défit son pantalon et les six filles virent la bête, le vrai monstre qui se terrait dans la maison.
Deux se sentirent défaillir, deux autres furent horrifiées, une eut une moiteur immédiate à l’entrejambe, et la dernière se cacha les yeux.
« Alors, quelle est la veinarde qui va jouer de mon instrument ? »
Les filles se regardèrent. Toutes étaient trop terrifiées par le canon pour se désigner. C’était un coup à se faire ouvrir le ventre en deux.
« Allez, plus vite que ça. Si vous ne vous décidez pas dans les deux prochaines minutes, j’en choisirais une au hasard. »
Cela remit les pieds sur terre aux filles. Elles devaient parvenir à sélectionner l’une d’entre elles si elle ne voulait pas risquer de se retrouver victime de la hallebarde. Camille s’empressa de proposer un nom, craignant de devoir s’accoupler avec cette créature :
« Lucie, c’est ton anniversaire, à toi l’honneur ;— Hors de question, il sort avec ma sœur, si je le touche c’est de l’inceste !— Bon, alors Inès, tu sors déjà avec un mec, t’as l’habitude des bites.— Attends ! Tu me traites de salope là ? J’ai qu’un seul mec, et sa bite n’a rien à voir avec ce… cette chose. Et puis justement moi j’ai un copain, vous pouvez pas me demander de le tromper.— Alors Marianne, vas-y toi, proposa Camille, de plus en plus inquiète face aux arguments de ses consœurs.— Moi j’ai déjà dit que comme j’acceptais de jouer contre lui, c’était pas à moi d’avoir le gage.— Adèle, je sais que t’as un ami noir. Alors tu connais ce genre de chose…— Un ami noir ? Tu parles de Michael ? Ses deux parents sont blancs, c’est sa grand-mère qui était métisse, alors à part des cheveux un peu crépus, il a rien de noir.— Oui, mais quand même, c’est toi la plus spécialiste des blacks, alors c’est toi qui t’en occupe.— Ah oui ? Mais toi, ton père il travaille bien comme expatrié au Gabon.— Mais c’est mon père, ça n’a rien à voir avec moi.— Ben désolé, mais je crois qu’avoir un papa qui vit au Gabon, ça te donne pas mal d’expérience avec les noirs, en tout cas plus qu’à nous.— C’est idiot ! Et puis pourquoi ce serait pas Manon, c’est elle la plus pauvre. On lui donne chacune vingt euros pour qu’elle s’en occupe.— Hey, j’suis pas une pute !— C’est vrai, tu dépasses les bornes, s’immisça Marianne. C’est carrément un truc de facho.— Pas du tout, disons que j’ai rien dit. Mais Adèle en plus d’avoir un ami noir, elle suit des cours de dance ; c’est un truc africain ça…— Ah oui ? Et bien toi tu es une des premières en athlétisme, et ce sont toujours les noirs qui courent vite, t’es faite pour t’entendre avec eux !— Ça suffit comme ça vous deux, intervint Amadou. Comme vous n’avez pas réussi à vous départager, vous allez vous mettre à la tâche toutes les deux. De toute façon vous ne serez pas trop de deux pour me faire jouir. »
Adèle et Camille se jetèrent un regard noir, estimant que l’une et l’autre étaient responsables de leur situation dégradante. Elles s’approchèrent de l’homme à la peau opaque et s’agenouillèrent comme des fidèles devant l’autel. La queue était colossale, elles s’en emparèrent et essayèrent de la branler avec leurs petites mains. Mais chacune séparément, elles n’arrivaient à rien. Elles durent conjuguer leurs efforts pour apprivoiser l’énorme saucisse. L’une saisissait la partie gauche, et l’autre la partie droite et unissant leur force, elles commencèrent à branler le chibre en rythme. Mais c’était un rythme lent et mou, et elles étaient loin de parvenir à donner du plaisir au noir. Il devient bientôt évident que les deux filles s’épuisaient en vain.
« Les filles, vous devez tenir votre promesse. — Mais on essaie ! rétorquèrent-elles.— Vraiment ? moi, j’ai l’impression que vous vous contentez de jouer avec ma queue. Si dans deux minutes vous n’avez pas fait de progrès, c’est moi qui prends les choses en main. »
Les deux filles se regardèrent, et Camille déclara aussitôt : « Adèle, il va falloir que tu suces ce noir, où il va vouloir baiser l’une de nous.— Et pourquoi ce serait à moi de le sucer, c’est toi qui n’arrêtes pas de parler. Avec ta grande bouche, ce sera plus facile pour toi de le sucer.— C’est toi qu’a une grande gueule ! T’arrêtes pas de te vanter que t’es ouverte d’esprit, que t’as un ami noir, alors vas-y bouffe sa bite de black.— De toute façon c’est pas possible, ça n’entrera jamais dans ma bouche.— Plus que dans la mienne. »
Camille, énervée par l’entêtement d’Adèle et pour prouver ses dires se leva et saisit un éclair au chocolat.
« Ouvre la bouche, on va voir si t’as pas la bouche assez grande, menteuse ! »
Adèle s’y opposa férocement, aucune des deux filles ne pouvait concevoir de se retrouver avec le braquemart d’un homme de couleur dans la bouche, mais la confrontation fut toutefois brève. Camille était une championne d’athlétisme et elle n’eut aucun mal à prendre le dessus sur son adversaire. Elle enfonça l’éclair au chocolat dans la gorge de sa camarade qui se retrouva à moitié étouffée.
« Tu vois pétasse que tu peux tout avaler. »
Au même moment, Amadou regarda sa montre : « Ça fait deux minutes…— Adèle va te sucer ! Décida Camille alors que son amie ne pouvait rien dire.— Mmm… Elle semble indisposée pour l’instant.— Dans une minute, elle aura fini l’éclair et…— J’ai pas une minute à perdre… À moins qu’une autre fille veuille prendre ta place, c’est toi qui vas avoir droit à mon sperme, veinarde.— Attends ! Attends ! Lucie, Inès, s’il vous plaît !! Je suis sûre que vous en avez envie ! »
Mais les autres filles secouèrent la tête négativement.
« Je vous donne cent euros ! Cinq cents si vous voulez ! »
Mais aucune des filles, même Manon qui était loin d’être fortunée ne considérait que cette somme valait la peine de devenir une suceuse de black.
Amadou se pencha sur Camille et avec sa grosse main, il lui arracha sa robe.
« Mais… arrête qu’est-ce que tu fais ?— Je préfère baiser les filles à poil.— Attends ! Je vais te sucer ! »
Aussitôt elle se mit à poser les lèvres sur le gland maousse d’Amadou. Et elle se rendit compte avec horreur qu’elle avait raison quand elle prétendait sa bouche trop petite pour l’énorme chibre. Elle était incapable d’ouvrir suffisamment pour laisser entrer le manche.
« Je… »
Mais son sort était réglé, Amadou déchira sa petite culotte et son soutien-gorge. Camille profita de ce gain de temps pour émettre une protestation :
« Tu ne peux pas me baiser, devant les copines, elles veulent pas voir ça ! c’est de l’exhibitionnisme, c’est puni par la loi ! »
Mais aucune des copines ne supporta son point de vue. Aucune ne pouvait nier une curiosité malsaine à savoir comment l’énorme tison allait pouvoir entrer dans le petit con peu utilisé de la jeune fille. Voyant l’absence de soutien, Camille soumit au groupe un argument lui sortant droit du cœur :
« Il peut pas me baisser, c’est un… un nègre ! Un sauvage, mon père est cadre chez Total, c’est impossible ! C’est interdit par la loi, j’en suis sûre ! »
Sa thèse ne reçut encore aucun appui. Pourtant toutes étaient d’accord sur le fond ; c’était tabou. Une jeune fille de bonne famille besognée par un noir à l’aspect bestial était un spectacle brisant l’ordre moral. Toute leur éducation bourgeoise leur criait que la scène à laquelle elles allaient assister était une ignominie. Mais ce n’était pas elles qui allaient être la victime de cet affront, mais Camille, et cela les excitait du plus profond de leur tripe.
Camille était à court d’arguments, et ne protesta plus. C’était elle qui allait devoir payer le gage, c’était ignoble, mais impartial.
Amadou saisit Camille et la plaqua contre la table où avaient été déposés les cadeaux. Il écarta promptement les deux jambes de nacre blanc, et le sommet de son phallus se positionna à l’entrée du minou. Camille était horrifiée. Elle regardait sa peau laiteuse, et la bite charbonneuse qui se rapprochait inexorablement. Elle ne pouvait se défaire de l’idée qu’elle allait être salie et souillée par la virilité de cet homme ténébreux. Amadou entra lentement dans son doux nid, elle eut l’impression d’être déshonorée par cet acte. Puis, peu à peu, le gros tronc commença à remplir complètement son petit siphon et elle abandonna tout concept de pureté. Sa pensée se résuma en cette phrase qu’elle cria :
« OHMONDIEUCESTENORME »
Et pourtant elle était loin de connaître la pleine puissance de l’engin, car la grosse souche continuait à s’avancer inexorablement en elle. Quand il s’arrêtait, elle pensait qu’il avait atteint le bout et allait commencer à se rétracter. Mais non, au contraire, il poursuivait sa pénétration. Sous le choc, elle criait des onomatopées incompréhensibles. Lorsqu’il parvint finalement au cervix, Camille eut l’impression que son ventre était plus rempli que si elle avait avalé dix kilos de glace à la crème. Puis il ressortit, brutalement, le différentiel entre le trop-plein et le vide soudain fut trop pour elle. En un seul coup de queue d’Amadou, elle avait atteint l’orgasme.
Et ce n’est pas comme si elle pouvait le cacher. La table était constellée de cyprine. Mais, le deal n’était pas que le noir soit à son service et qu’elle connaisse l’extase ; mais que soit elle qui parvienne à faire jouir le mâle. C’est donc sans hésiter qu’Amadou replongea son énorme branche dans le petit con. Pas bien vite, mais ce fut suffisant pour que Camille parte dans les aigus :
« OUUUUuuuHHH ! »
Camille n’arrivait pas à croire que ce qu’elle vivait était réel. Amadou ne la baisait que depuis trente secondes, mais elle avait déjà complètement oublié que c’était un black qui fourrait sa queue dans son précieux bénitier. Elle s’en fichait, elle voulait qu’il recommence. Et il recommença de plus en plus vite. Autour d’elle, les six filles s’étaient rassemblées. Elles regardaient sidérées Camille se faire dévaster le vestibule. Elles n’avaient jamais vu un tel carnage, pourtant presque toutes avaient déjà de l’expérience, et toutes avaient vu des pornos ou des filles étaient emmanchées par de solides gourdins. Mais rien ne pouvait les préparer à la vision de Camille devenant une simple marionnette actionnée par une grosse queue black. Leur amie bavait sans aucune notion de propreté, ses pupilles étaient montées si haut qu’on ne lui voyait plus que le blanc des yeux. Ses jambes étaient tendues comme des ressorts tandis que ses bras restaient flasques comme de la mélasse. Elle n’avait plus aucun contrôle sur son corps. Par contraste, Amadou était un exemple de fiabilité, il fourrait la fente sur un rythme à la croissance logarithmique. Jusqu’au moment où, à la place continuer à enfiler la jeune femme, il la poussa hors de la table. Celle-ci tomba sans résistance, semblant trop déglinguée pour se relever. Même Chun-li avait plus de vigueur après avoir été défoncé par Balrog. Amadou regarda les cinq copines encore lucides et déclara :
« Non, mais c’est quoi cette gonzesse ? Même pas capable de supporter de la bite. Hors de question que je me tape une meuf infoutue de rester consciente quand je la baise. Qui prend sa place ? »
Qui aura le malheur (ou le bonheur) d’être désignée ? Comment réagira Lucie à cet anniversaire contrarié ? Léa trouvera-t-elle un cadeau pour sa sœur ? N’hésitez pas à liker et à vous abonner pour connaître la réponse à ses questions dans le prochain épisode
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