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La « Lancenoir »

Chapitre 14

Une orgie aux conséquences lourdes

Orgie / Partouze
Résumé : Amadou un lycéen noir est en relation avec Léa, une jeune fille de bonne éducation. Ce soir, la sœur cadette de Léa fête son anniversaire avec ses copines : Inès, Marianne, Adèle, Manon et Camille. Toutes ont été invitées, ce qui n’est pas le cas d’Amadou. Quant à Léa, elle a oublié d’apporter un cadeau et file en chercher un. Lucie veut tout faire pour se débarrasser de la présence d’une « racaille » lors de son anniversaire. Et finalement un marché est conclu, si Marianne bat Amadou à Street Fighter, il devra partir. Dans le cas contraire, il aura droit de baiser une des invitées. Dommage pour Lucie, Marianne perd la partie et Camille se retrouve avec une énorme queue noire dans son ventre. C’est tellement puissant qu’elle s’évanouit, et Amadou demande à ce qu’une autre convive prenne la place.

Toutes pouvaient voir Camille écroulée par terre, le visage ayant atteint le nirvana. Elle ouvrait la bouche pour prononcer quelques paroles qu’on devinait à peine, du genre : « Encore… » « Oooh... » aucune de ses amies ne savait si elle retrouverait un jour sa raison ou si elle demeurerait abrutie par ce coït trop puissant pour elle.  
Lucie intervint : « C’est hors de question ! Tu vas démolir une de mes copines pour un simple gage. Ça suffit comme ça. »
Les quatre autres filles restaient bouche bée. Elles n’avaient jamais rien vu de tel. La seule analogie qui leur venait à l’esprit était celle d’un toréador embroché par un taureau et restant gisant sur le sol d’une l’arène.  
Mais dans une corrida, il y avait toujours une personne avec un fusil hypodermique pour endormir le taureau et porter secours au toréador. Là, dans ce salon, personne ne pouvait venir à leur secours. La bête était toujours vivace et prête à embrocher de nouveau. Sa queue était dressée et gluante de la mouille de Camille, comme si c’était là les derniers signes de vie de sa victime. C’était atroce. Mais heureusement, Marianne se montra altruiste.
« Je suis prête à me sacrifier. Si jamais j’en ressors comme Camille, dites à mes parents que je les aime, et vous aussi, je vous aime. Je peux pas vous laisser vous renoncer à vos vies, c’est moi qui ai accepté le pari. »
Manon, s’approcha d’elle, elle lui tint la main, comme pour la soutenir dans ce sacrifice, mais elle aussi se sentait l’âme religieuse :
« Non, Marianne. On attend encore toutes beaucoup de toi. C’est moi la plus pauvre, j’ai l’habitude que des épreuves soient jetées sur mon chemin. Je saurais surmonter ce défi, c’est mon fardeau. Je suis la plus solide d’entre vous. Je n’ai pas le choix, c’est moi qui dois supporter ce malheur  ! »
Lucie tenta de calmer les esprits  : « Qu’est-ce que vous racontez, vous délirez ?! Ça suffit les conneries, c’est mon anniversaire. S’il est pas content d’avoir baisé Camille, c’est son problème. Maintenant, on va déballer les cadeaux, rhabiller Camille, et découper du gâteau. »
Mais les autres filles l’ignorèrent complètement. Ces plaisirs mondains étaient fort éloignés de leur préoccupation immédiate. Inès se montra bien plus agressive que ses comparses :
« Moi j’ai un petit copain, je suis pas comme ces demi-pucelles incapables de supporter une queue ! Je peux faire face à ce braquemart gigantesque sans peur.— Mais tu vas quand même pas tromper ton petit-ami ? demanda Adèle.— Non, mais d’où tu te mêles de ma vie privée ?— Si tu couches avec ce noir, je le raconte à Jérémie.
— Salope ! »

Mortifiée, Lucie regarda ses camarades qui tout comme sa sœur succombaient au charme de l’Africain. Elles devenaient obsédées à l’idée d’expérimenter les mêmes délices qu’avait connus Camille. De pouvoir éprouver une jouissance capable de les envoyer au nirvana, quand bien même le choc les réduirait à n’être plus que des mollusques tout juste bons à baver sur la moquette.
Marianne intervint : « C’est moi qui ai perdu à Street Fighter, c’est à moi d’assumer les conséquences ! Vous autres vous vouliez même pas prendre le risque de subir le gage ! »
Elle fut immédiatement contrée par Adèle.
« Vu que t’as perdu, t’as plus le droit à rien. Juste à fermer ta bouche. Moi je connais des noirs, j’ai un voisin métis, alors je sais comment gérer une grosse queue comme ça ! »
Inès répliqua :
« Tu connais rien aux queues ! Je suis sûre que t’es encore vierge.— C’est pas vrai ! J’ai eu Sébastien comme copain.— Sébastien, cet ahuri ? De toute façon il est pas noir, alors t’y connais rien.— Plus que toi ! Tu baises avec Jérémie, et tous les garçons se moquent de lui parce qu’il a une petite bite ! — C’est toujours mieux que ton gode… ouais je l’ai trouvé dans ta chambre, et dans ma trousse j’ai un stylo-plume qui est plus gros que ça ! »
Trop occupées à se disputer entre elles, elles ne se rendirent compte que trop tard que Marianne avait pris les devants. Elle était à genoux, un gros morceau de queue dans la bouche, semblant se régaler de cette friandise chocolatée.
« Qu’est-ce que tu fous, intervint Adèle. T’as pas le droit de participer, t’as déjà joué contre lui à Street Fighter. »
Marianne était tellement concentrée sur sa tâche qu’elle n’écoutait rien de ce que disaient ses amies. Le délicieux bâton de réglisse était si chaud et appétissant, qu’elle ne put s’empêcher de s’imaginer recevant ce don du ciel dans sa chatte humide. Elle léchait avec avidité les grosses couilles pendantes, se rêvant à la place de Chun-li, devenue une esclave sexuelle de Balrog.
Mais son fantasme fut brutalement interrompu quand on la saisit par les cheveux. C’était Manon qui trouvait injuste que ce soit toujours les autres, les plus riches, qui profitent des meilleures choses. Elle avait ôté sa culotte et elle sauta contre le torse d’Amadou pour qu’il la prenne debout ; et c’est ce qu’il fit.  
Elle fut empalée directement. Le tube de chair aussi solide que de l’acier se bloqua contre le cervix, mais pourtant ce n’était qu’une partie de la lance qui était entrée. La pesanteur et la force d’Amadou firent leur office, et elle le chibre s’enfonça encore plus loin, jusqu’à cogner au fond de son utérus. Elle suffoqua sous le coup, ses pieds se serrèrent contre les fesses d’Amadou.  
Mais son accouplement avec l’Africain fut de courte durée. Inès et Adèle se mirent à deux pour la tirer en arrière. Elles avaient déjà roulé Marianne sous un canapé dont cette dernière ne pouvait plus s’extraire. Quant à Manon, elles ouvrirent un grand placard et la fourrèrent dedans avant de déplacer la table pour qu’elle ne puisse plus en sortir. Les deux autres filles étaient H.S., Camille était toujours dans un état de semi-coma et Lucie pleurait dans un coin. Elle qui avait demandé à ce que ses parents s’absentent pour qu’elle puisse fêter son anniversaire avec ses copines, et voilà que cet étranger lui pourrissait une journée qui s’annonçait magique.
Adèle et Inès jouèrent alors à pierre-feuille-papier-ciseaux. C’est Adèle qui gagna, ce serait elle qui aurait droit la première à connaître bibliquement Amadou.  
« Déshabillez-vous si vous voulez baiser. »
Les mots du grand noir eurent valeur d’ordre. Les deux filles se débarrassèrent de leurs vêtements. Elles s’étaient pourtant habillées joliment pour l’anniversaire de leur copine. Mais Amadou voulait voir leur chair fraîche et blanche. Les deux filles n’hésitèrent pas, elles abandonnèrent leurs habits avec impatience, se mettant nues pour se présenter totalement offerte à l’africain. Quand elles n’eurent plus aucune étoffe sur elles, Amadou les positionna contre le canapé qui se trouvait au-dessus de Marianne. Celle-ci criait :
« Sortez-moi de là, moi aussi je veux me faire baiser. »
Mais sa plainte fut royalement ignorée, alors que les jolis petits culs des deux filles étaient alignés l’un à côté de l’autre. Amadou, comme convenu, commença par s’occuper d’Adèle à sa droite. Son pieu de chair entra dans l’antre moite, écartant les lèvres gonflées au maximum. La jeune fille ouvrit la bouche pour émettre un hululement qui retentit dans toute la maison.
« HUUhuhuhuuhuuhuuhUUUU ! »
Amadou avait l’habitude de ce genre de cri, mais ils les trouvaient toujours aussi inélégants. Il avait cependant une technique pour réduire ses soumises au silence, il déclara fermement :
« Embrassez-vous ! »
Les deux filles n’avaient jamais expérimenté la moindre relation lesbienne. Mais il leur était inconcevable de ne pas obéir à un ordre de leur nouveau maître. Elles se roulèrent une pelle aussi naturellement que si elles étaient gouines depuis l’enfance. Leurs langues se mélangeaient l’une à l’autre avec envie.  
Leur baiser se poursuivit jusqu’à ce qu’Inès pousse un rugissement de lionne. Amadou venait de changer de chatte, et c’était celle de la petite salope cocufiant son copain qui était maintenant la cible de l’énorme canon. Adèle pour avoir expérimenté de première main cet outil embrassa de plus belle sa partenaire. Elle savait à quel point ce que son amie vivait était magnifique. La révélation d’une vie, que le plaisir que pouvait donner une bite dans son con pouvait être aussi bon.
Amadou se mit à alterner des coups de queues entre les deux cramouilles chaudes et juteuses. Inès et Adèle se sentirent unies par le plus grand des liens, celui de devenir des réceptacles à la lance sacrée de l’Africain. Ce plaisir immense, elles voulurent le partager, et elles eurent une pensée pour Marianne qui s’agitait sous le canapé. C’était un cadeau magnifique. Elles lui retirèrent son pantalon et sa culotte, et lui dirent :
«  Marianne, apprête-toi à connaître le meilleur moment de ta vie. »
Amadou enfonça lentement sa longue tige dans le foune de la piètre gameuse, et quand il l’entendit émettre un "Oh !" d’extase, il commença à pistonner sa cage de but. Marianne, malgré le plaisir qu’elle prenait, restait coincée sous le canapé comme une conne, le nez entre deux moutons de poussière. C’est dans cette position humiliante qu’elle connut une exaltation céleste. Cette baise humiliante développerait en elle une perversion dans les années à venir, celle de se faire tringler sans pouvoir voir qui la baisait. D’abord elle creuserait un trou dans les WC de l’Institut Jeanne D’Arc, pour que les garçons anonymes puissent venir se vider les couilles dans sa bouche. Mais cela ne lui suffirait pas, et elle partirait les week-ends en quête de glory-holes cradingues à attendre qu’une queue se présente à elle pour qu’elle puisse se faire troncher. Et si cette queue était noire, c’était le jackpot.  

Amadou même après avoir tâté à ces trois chattes n’avait toujours pas joui. Il prit Inès en levrette et lui ordonna « Bouffe la chatte de Marianne. » Celle-ci sous le canapé profitait de la langue râpeuse de son amie. C’était nettement moins agréable que d’être la cible des puissants coups du mandrin, mais c’était tout de même mieux que rien. L’absence du chibre la rendait chèvre et recevoir une attention même sous la forme d’un petit broutage lui permettait de supporter l’absence de grosse queue la ramonant. Inès au contraire était au comble du ravissement, elle atteint un tel pic d’extase qu’elle associa ce moment au fait de lécher une chatte. Plus tard, rien qu’à l’idée de pouvoir déguster une moule juteuse la mettrait dans un état d’excitation immodérée, il ne faudrait que quelques jours après cette soirée pour qu’elle devienne connue dans tout l’Institut Jeanne d’Arc comme la plus grosse brouteuse de minou de l’école.
Adèle, elle, restait debout nue, enfonçant plusieurs doigts dans sa boite à mouille et regardant sa camarade être atomisée à coups de braquemart. Elle vivait la pire crise de jalousie de son existence, elle s’approcha d’Amadou dans l’espoir de l’intéresser avec son corps et ses seins à se damner, mais celui-ci resta concentré sur la démolition de la chatte d’Inès. Adèle dut se contenter d’observer, mais cela ne fut pas sans effet sur sa psyché, elle développa vite une habitude de mateuse. Elle s’enflammait en épiant d’autres femmes subir des coups de boutoir pendant qu’elle se caressait son minou. Ses parents auraient été surpris de savoir que chaque nuit, leur fille se mettrait à genoux devant leur porte pour les regarder baiser à travers de la serrure. Elle se retrouva aussi au centre d’une tournante à l’Institut Jeanne d’Arc quand pour la punir d’avoir espionné un couple en pleine action, des élèves décidèrent de la mettre en vedette d’un gang bang. Elle regretta que cette tournante ne soit pas filmée, elle aurait adoré se caresser le soir en regardant cette vidéo.
Finalement, on entendit un grand crac. C’était Manon qui venait de briser la porte de l’armoire. Elle fut stupéfaite de voir ses quatre amies former une orgie autour de l’apollon noir. Et surtout, elle en conçu une énorme frustration d’en être exclue. Elle se rapprocha du groupe et commença à rouspéter  :
« Comment vous avez pu m’enfermer ?! Et pendant ce temps vous baisez avec lui ! Et moi je…— Ta GUEULE ! »
C’était Amadou qui venait de gueuler. Manon se sentit aussi honteuse, même si elle n’avait fait qu’exprimer sa détresse, se faire crier dessus par le grand noir lui donna l’impression d’avoir reçu une gifle. Mais Amadou n’en avait pas fini de la réprimander :
« Mais toi à quatre pattes, tout de suite ! »
On ne lui avait jamais donné d’ordre aussi humiliant, pourtant Manon obéit sans hésiter, elle regarda le grand noir retirer sa queue du con d’Inès pour se rapprocher. Elle espéra de tout son cœur qu’en guise de punition elle se ferait embrocher. Mais lorsqu’il se plaça derrière elle, ce fut une rude fessée qu’elle reçut. Si ç’avait été qui que ce soit d’autre, elle se serait relevée avec fureur pour dévoiler le fond de sa pensée sur ce traitement indigne. Mais avec Amadou, les claques sur les fesses qu’elle recevait étaient si viriles, véloces et dominatrices qu’à chaque claque retombant sur ces fesses de la cyprine jaillissait de sa chatte et coulait le long de ses jambes.  
« Tu n’abîmeras plus les affaires des autres compris ?— Oui Monsieur. »
Ce "Monsieur" lui était venu naturellement, alors qu’Amadou n’était pas plus âgé qu’elle. Elle reconnaissait l’Africain comme son maître légitime. Et surtout elle éprouva un tel plaisir à être fessée qu’elle en fut métamorphosée. De retour chez elle, elle multiplierait les bêtises, obligeant sa maman à lui infliger des sévices corporels pour ses désobéissances. Sa mère aurait cependant été outrée si elle savait que pendant qu’elle lui donnait la déculottée, sa fille jouissait dans sa culotte.  
« Maintenant va lécher Marianne. »
Elle prit la place D’Inès et commença à brouter sa copine qui ne remarqua même pas le changement, tant son esprit était concentré sur l’espoir qu’Amadou vienne la fourrer encore. Mais Amadou était maintenant occupé avec Adèle. Elle qui attendait depuis dix minutes comme une chienne, la langue pendante, souhaitant de nouveau avoir droit à l’épée si vigoureuse. Elle ne fut pas déçue, Amadou dit simplement :
« À genoux. »
Et elle plia les jambes pour se mettre immédiatement à sucer le grand noir. Ce dernier se posait une question assez essentielle, dans laquelle de ces lycéennes en chaleur allait-il décharger ? Il avait l’embarras du choix, toutes avaient des chattes bien étroites qu’il prendrait plaisir à farcir. Mais laquelle était la plus gouleyante ? Il vit du coin de l’œil celle de Marianne, elle était juteuse et en état de convulsion avancé. Ses amies l’avaient tellement broutée qu’il s’agissait maintenant d’une moule sous extasie. Il repoussa la petite suceuse et s’approcha de la pauvre fille qui depuis plus d’un quart d’heure vivait sous un canapé poussiéreux. La langue qui la gouinait s’éloigna et elle poussa un gloussement de plaisir que le gland d’un énorme mandrin fit son entrée. La matraque s’enfonça en elle, alors qu’elle vagissait de bonheur. Cette euphorie atteint rapidement son paroxysme, lorsqu’un flot de semence commença à faire son chemin en elle.  Le grand noir avait entamé son œuvre de vidange, son sperme s’engouffrait sans son intimité, venant lui noyer l’utérus et l’ovaire. Elle était victime d’une inondation, et le constat d’assurance serait clair, elle allait se retrouver enceinte d’un petit bébé basané.  
Bien sûr, elle ne pourrait jamais raconter à son enfant qu’il avait été conçu alors qu’elle était stupidement coincée sous un canapé, et ne pouvait même pas voir le géniteur. Elle resta les jambes écartées bien après le retrait d’Amadou, le sperme s’égouttant de son antre pour se répandre sur la moquette. On pouvait entendre un glouglou comme une gourde qui se viderait lentement.
Amadou s’assit sur le canapé et fut vite rejoint par les quatre autres filles. Nul ne s’intéressait à Marianne. Lucie encouragea ses camarades à se rhabiller, ce qu’elles n’avaient aucune intention de faire, voulant sentir la peau d’Amadou contre leurs corps nus. C’est alors que la porte d’entrée s’ouvrit. C’était Léa. Elle apportait un cadeau :
« Regarde ce que j’ai trouvé ! »Elle sortit du sac un énorme gode noir avec un petit ruban collé avec une étiquette "Pour les 18 ans de Lucie !".
Puis elle regarda autour d’elle, il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre l’orgie qui venait de se dérouler. Elle grimaça mécontente que son petit-ami la trompe dès qu’elle avait le dos tourné, mais elle savait qu’il avait des besoins qu’elle était incapable de satisfaire complètement. Avec une moue de petite fille contrariée, elle ajouta : « Bien sûr, j’ai pas trouvé de gode assez gros pour rivaliser avec la queue d’Amadou, et maintenant que t’as connu l’original, tu risques de trouver ça un peu fade et riquiqui. Mais je suis sûr que tu pourras quand même te faire du bien avec quand il me baisera dans la chambre d’en face…  — Mais ! s’indigna Lucie. Je veux pas de ton jouet ! Et ce noir ne m’a touché, il manquerait plus que ça ! »
Léa regarda sa petite sœur et se posa toutes sortes de questions. « Pourquoi n’avait-elle pas sauté sur l’occasion de se faire tringler par Amadou ? » « Qu’est-ce qui tournait pas rond chez elle ? » « Elle était raciste ou quoi ? »
Mais au bout du compte, tant mieux si elle ne lui piquait pas son copain, il pourrait le garder pour elle toute seule. Enfin, sans compter toutes les filles et femmes qu’il lui prendrait l’envie de s’envoyer.
D’ailleurs Amadou entouré d’autant d’attentions féminines commençait à se détendre. Et alors qu’Adèle lui nettoyait son chibre encore gluant de mouille et de sperme, il se mit à raconter :
« Lucie, je vais t’offrir un cadeau bien plus beau que toutes les merdes que tes amies ont pu t’acheter. Je vais te narrer l’histoire de la Lancenoir. »

« Quelle est donc cette histoire ? Cela fait-il longtemps que cette tribu d’Africain se tape des blanches ? Pourquoi Lucie est-elle totalement insensible au charme d’Amadou ? Les cinq copines de Lucie auront-elles droit à une nouvelle dose ? Ne manquez pas la suite ! Et likez si vous aimez.»
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