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Langues étrangères

Chapitre 1

Hétéro
Voici bientôt revenu le temps des vacances et je voudrais en profiter pour vous raconter une histoire étonnante qui m’est arrivée il y a quelques années. J’ai depuis plusieurs années une amie yougoslave qui ne cessait de me vanter les mérites de son pays, l’accueil chaleureux des gens, la folle ambiance qui régnait de partout malgré les rumeurs de la guerre en provenance de Bosnie ou de Croatie que tout le monde feignait de ne pas entendre, la modicité des prix là-bas. J’acceptai donc cette année là de l’y accompagner puisque les bruits des armes s’étaient tus et que mes moyens restreints d’étudiante ne me permettaient pas d’envisager de coûteux voyages.
Après un éreintant voyage en autocar, beaucoup plus économique, je rejoins mon amie Snejana, ″Blanche-Neige″ en serbo-croate, à Belgrade qui me conduit alors dans un petit village proche de Cacak qui s’appelait Brdni à environ cent kilomètres de la capitale où ses parents avaient une petite maison de campagne.
A peine mes affaires déposées, elle me dit qu’elle m’emmène au bar du village et que ça va me faire étrange de trouver un tel endroit dans un si petit village car il ne ferme qu’au petit matin après des nuits de folie. Effectivement, je découvre un lieu plein de jeunes, de filles et de garçons qui s’amusent en écoutant de la musique à fond, qui s’éclatent en dansant sur du rock. Mon amie me présente ses copains et ses copines qui malheureusement pour la plupart ne parlent que le serbo-croate et parfois le russe. Dans les villes, ils s’expriment plus souvent en anglais, mais là… Je remarque très vite un beau garçon assis au comptoir dont la seule vue fait s’accélérer le sang dans mes artères. Je demande à Snejana qui il est. Elle va le voir, il s’approche quelques instants plus tard, se courbe vers moi et prononce ″Dragan″, je comprends qu’il s’agit de son nom et lui dit le mien qu’il répète avec difficulté. Il ouvre les bras comme pour m’inviter à danser, j’acquiesce d’un mouvement de tête et nous partons dans un tourbillon effréné, serrés l’un contre l’autre, les jambes imbriquées. Je suis excitée par son mâle comportement, son autorité masculine et m’abandonne dans ses bras. Nos sexes se frottent à travers les tissus de nos jeans et je sens déjà du liquide couler entre mes cuisses humidifiant ma culotte. Je palpe ses épaules musclées tandis que ses mains se promènent sur mes hanches, sur mon dos jusqu’à la naissance de mes fesses. C’est vrai qu’ils sont chauds ici, surtout que je remarque d’autres couples qui dansent très lascivement, et ma copine qui est déjà en train de s’embrasser à pleine bouche avec un garçon qui lui pelote les seins. Elle ne tarde pas d’ailleurs à s’éclipser, certainement pour aller tirer un coup avec lui. Elle m’avait prévenue que c’était la règle ici, qu’il n’était pas rare de voir une fille ou un garçon disparaître plusieurs fois dans la nuit pour aller baiser avec différentes personnes et que tout reprenait ensuite comme si de rien n’avait eu lieu.
A la fin de notre ronde, il me demande : ″Pivolo?″ Comme je ne comprends rien, il fait le geste de boire. J’acquiesce avec plaisir, et il m’offre une bière. Il m’entraîne par la main dehors et nous nous asseyons sur des marches. Nous trinquons. Après deux ou trois questions en anglais, en français, et en allemand, je comprends très vite que nous ne pouvons communiquer dans aucune langue. Je lui fais un petit sourire désappointé. Son visage s’éclaire, il me prend par la taille et m’embrasse goulûment. Sa langue fouille les moindres recoins de ma bouche, glisse sur la commissure de mes lèvres, sur mon nez, mes yeux. Je glisse ma main sous sa chemise pour caresser son torse musclé. Dragan frôle mes cuisses, remonte très haut à l’intérieur pour cajoler mon sexe tout émoustillé par la rapidité des choses.
Il se relève et, une nouvelle fois, m’entraîne d’une façon décidée. Il me montre une rivière qui coule à quelques mètres de là. Il me fait comprendre par signes qu’il se baigne souvent là la journée. Mais que c’est dur de comprendre une chose aussi simple! Le langage du corps lui au moins est universel, c’est le véritable espéranto. Je plaque ma bouche contre la sienne. Les caresses se font plus précises. Je flatte son sexe et m’aperçois avec plaisir qu’il est parfaitement opérationnel et plus que correctement proportionné, une bite de taureau au moins. Il me pousse contre le tronc d’un arbre, m’enlève mon t-shirt et soutien-gorge. Ses paumes glissent sur mes seins aux bouts palpitants et gonflés. Je défais sa braguette pour m’emparer de sa verge dure qui a l’air d’apprécier de sortir de sa prison de toile. Je forme de ma main un cylindre que je fais aller et venir le long de son membre.
Puis je m’agenouille pour le sucer. Sa verge est chaude, douce et c’est un véritable délice que d’y promener ma langue. Au moment où je le sens prêt à jouir dans ma bouche, il me fait redresser, me plaquer contre lui. Il m’embrasse tandis qu’il baisse mon pantalon et ma culotte. Sa main va de ma poitrine vers ma chatte dans laquelle il glisse son majeur avec lequel il titille mon clitoris. Je pousse des gémissements de plaisir. Je me sens féline avec lui. Je me remets à le masturber. Cela dure de longues minutes pendant lesquelles notre plaisir ne fait que croître.
Puis il s’écarte de moi pour finir d’ôter ses vêtements. J’agis de même. Il me plaque alors face contre le tronc, se colle derrière moi. Une de ses mains se promène de mes seins à mon bas-ventre, l’autre me branle sans vergogne le clitoris tandis qu’il frotte son dard et ses couilles contre mon cul que je fais tournicoter pour accentuer son plaisir. Je me tords le cou pour parvenir à l’embrasser.
Il retire finalement délicatement le doigt de mon vagin et y enfonce à la place sa bite aux veines gonflées. Je me cambre pour lui offrir le meilleur passage dans mon orifice étroit. Il me besogne doucement d’abord puis de plus en plus vite jusqu’à une ultime salve où nos deux orgasmes se déclenchent. Je reçois des giclées de foutre en moi à n’en plus finir tandis que je sens des vagues de mouille couler le long de mes jambes.
Épuisés, nous nous reposons quelques instants dans les bras l’un de l’autre avant de nous rhabiller et de retourner au café où tout se passe comme si justement rien ne s’était passé, chacun de son côté. Le système était bien tel que me l’avais décrit Snejana. Eh bien, je l’ai compris et j’ai décidé d’en profiter. Pour ce premier soir, j’étais trop fatiguée après le voyage pour renouveler l’expérience mais, les soirs suivants, je me suis fait plusieurs garçons par nuit, je les ai tous essayés dans le village. J’ai même recouché à plusieurs reprises avec Dragan, en toute amitié comme avec les autres, et j’ai vraiment pris mon pied. Je crois même que de ne pas pouvoir parler avec eux simplifiait encore les rapports physiques puisque c’était notre seule communication possible.
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