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Mélanie, étudiante à Bordeaux

Chapitre 10

Trash
Quand elle ouvrit les yeux, elle mit un moment à se rappeler où elle était. Puis les souvenirs affluèrent, et avec eux la douleur lorsqu’elle remua, une douleur intense qui traversa son ventre. Ils l’avaient massacrée cette nuit avant de l’abandonner ici.
Les larmes aux yeux, autant d’humiliation que de souffrance, elle s’assit et fourragea dans ses cheveux emmêlés et collés. Puis, rassemblant son courage, elle se leva en retenant un cri et gagna la salle d’eau à petits pas, tellement son anus était en feu. Dans la petite armoire de toilette, elle trouva du Doliprane et en avala deux comprimés avec un grand verre d’eau avant de passer sous le jet bienfaisant de la douche. Sous lequel elle resta longtemps, savonnant ses muscles noués et délassant son corps fourbu.
Dans l’armoire elle avait trouvé un tube d’onguent, un gel translucide et crémeux avec lequel elle badigeonna et massa son anus boursouflé en grimaçant. Sans vêtement à sa disposition, elle enroula une grande serviette autour de sa poitrine et gagna la cuisine. Il n’y avait pas un bruit dans la maison ; les hommes devaient être de sortie. Elle prit son petit déjeuner seule, dans le silence de la maison vide, et réfléchit à son avenir.
Elle avait basculé sur un coup de tête, un coup du sort, et était devenue... quoi au juste ? L’esclave, la pute de monsieur Lenoir. Elle avait renoncé à ses études de Droit, à ses rêves, pour se donner corps et âme à cet homme qu’elle connaissait à peine. Et le pire était qu’elle ne regrettait pas son choix. Elle avait peur, certes, de ce qu’il lui réservait. Elle avait accepté des tatouages, des piercings, elle suivait un traitement hormonal qui avait développé sa poitrine, et le résultat était fantastique. Elle avait hâte que son Maître la voie et la complimente pour la taille de ses nichons...
Mélanie soupira. Elle comprenait que son Maître, non seulement ne la complimenterait pas, mais trouverait un prétexte pour l’humilier et la punir sévèrement. À cette pensée, elle se troubla et son ventre se noua, d’appréhension et de désir mêlés. La jeune fille se tortilla, gênée : depuis que son clitoris était percé, et sûrement à cause du traitement hormonal, il avait beaucoup grossi et était devenu hypersensible. Et maintenant elle mourait d’envie de le titiller et de le faire gonfler de plaisir... Soupirant encore, Mélanie se morigéna ; elle n’en avait pas le droit, et ne l’avait pas fait depuis plus d’un mois. Au lieu de ça, elle plaça bol et couverts dans le lave-vaisselle. Puis elle décida d’aller nager jusqu’à ce que quelqu’un vienne la chercher.Une heure après, alors qu’elle commençait à fatiguer, Freddy apparut dans le pool-house.
— Salut, belle blonde ! Tu vas bien ?— Oui, et ce n’est pas grâce à vous ! rétorqua-t-elle. Vous m’avez prise pendant des heures, et ensuite vous m’avez abandonnée sur les draps dégueulasses.— Hé, baisse d’un ton ! Arnaud est parti quelques jours et je veux bien te garder ; mais tu as intérêt à être polie. Et docile, il m’a bien dit de te punir autant que je veux si tu n’es pas aussi soumise avec moi qu’avec lui.— Euh, pardon, Monsieur ; je ne savais pas.— Bon, je reçois deux vieux amis ; ils arrivent cet après-midi et il est presque midi. Je veux que tu sois aux petits soins pour eux comme pour mes potes américains, vu ?— Oui, bien sûr, Monsieur.
Mélanie était déçue, terriblement déçue. Son Maître, monsieur Lenoir, la laissait comme ça à son ami, alors qu’elle revenait après un mois passé loin de lui... Elle essaya de sourire, mais le cœur n’y était pas et ses yeux s’embuèrent. Freddy souleva son menton pour qu’elle plonge dans son regard banquise et lui expliqua à voix basse :
— Arnaud s’est absenté une semaine ; il est avec son fils.— Je ne savais pas qu’il avait un fils. Vous le connaissez, Monsieur ?— Bien sûr ! C’est un putain de génial créateur de jeux vidéos. Il se fait un fric monstre, c’est lui qui a payé la maison d’Arnaud.— Ah ! Effectivement, il doit être riche.— Je sais qu’il a vendu des trucs à Dreamworks pour une fortune, il y a deux ans.
— Je comprends. Je pourrais faire une heure de rameur ou un autre appareil, maintenant ? S’il vous plaît, Monsieur.
Quand Mélanie entendit le carillon annonçant l’arrivée des invités, elle était prête. Légèrement maquillée, cheveux noués sur la nuque et ramenés en chignon lâche, et vêtue de sa robe rouge sans rien dessous. Son opulente poitrine gonflait d’importance le tissu souple, et ses tétons annelés se devinaient aisément. Juchée sur des escarpins noirs à talons démesurés, elle rejoignit sagement le salon où Freddy discutait avec deux hommes d’âge mûr.
— Les gars, je vous présente Mélanie, dite 32, une petite pute que j’héberge quelques jours en attendant le retour de son Maître. Mélanie, voici mes grands amis, d’anciens hardeurs à la française. Le barbu à la bouche prête à te dévorer, c’est Richard. Autrefois appelé « Queue de béton », il assure encore.— Oui, pilule bleue et chocolat noir ; j’ai un surnom à justifier, moi. Enchanté, Mélanie. Tu es très belle.— Richard est chocolatier en Normandie maintenant, expliqua Freddy.— Parfaitement, et j’ai apporté des tablettes Kama Soutra au chocolat noir, rigola-t-il.— Et à côté, le joli cœur aux cheveux longs, c’est Alban, le seul Monégasque à avoir fait carrière dans le X.— Eh oui, ça rapporte plus que la brocante et tu te casses moins le cul. Tu sais que j’ai apporté du barbagiuan ? Vous adorerez ça ! Richard, tu es un rustre. Cette délicieuse jeune fille n’est pas « très belle » : elle est carrément sublime.
Touchée, Mélanie embrassa les deux hommes sur les joues et ils en profitèrent tous deux pour caresser ses hanches. Freddy rigola en les voyant faire.
— Ce soir, Mélanie sera à vous autant que vous le voulez, les amis ! D’autant que mes autres invités sont absents jusqu’à demain.— Freddy, tu sais recevoir. Nous allons baiser cette délicate enfant et la faire grimper au plafond, prédit Alban.— Vous verrez ; mais vous ne disposerez que de sa bouche et de son cul. Son Maître lui a fait poser un cadenas qui interdit sa chatte, et je n’ai pas la clé. En outre, il lui a interdit de jouir.— Moi, j’adore voir jouir mes partenaires, objecta Richard. Donc, si elle jouit quand même ?— Son Maître la punira ; et croyez-moi, il est très sévère.
Mélanie soupira quand elle vit les prunelles des deux hommes briller. Elle comprit qu’ils essaieraient de la faire jouir, ravis de savoir qu’ensuite monsieur Lenoir la châtierait sans pitié. Après le dîner, tout le monde se jeta à l’eau avec plaisir, et les trois hommes batifolèrent avec la jeune fille qui nageait bien mieux qu’eux. Mais Alban réussit à la coincer contre la paroi, et Richard et Freddy le rejoignirent. Mélanie se tortilla pour échapper à leurs caresses, leurs mains prenant possession de son corps gracile, un doigt glissant même dans son vagin clos, d’autres titillant son clitoris et le faisant rouler. Frémissant et haletant, Mélanie protestait et se tordait, sentant la jouissance prendre possession de son ventre lourd.
Un puissant orgasme balaya toutes ses défenses et elle hurla, arquée et tétanisée par le plaisir qui traversait ses membres et liquéfiait son bas-ventre. Alban la maintint au-dessus de la surface sinon elle aurait bu la tasse.
— Alors, ton Maître va te punir pour ça ? demanda Richard, perplexe.— Oui, il m’a interdit de jouir, se lamenta la jeune fille.— Mais nous t’avons forcée, s’étonna Alban.— Il s’en fiche, de ça. Il m’a donné un ordre direct et j’ai désobéi, c’est tout.— Et tu es obligée de lui dire ? Parce que sinon, nous ne dirons rien, nous.— Vous êtes des amours, mais je ne peux pas lui cacher ça ou lui mentir par omission. Je me suis engagée à lui obéir et à lui avouer mes manquements, vous savez.— Tu es une fille intelligente et honnête, en plus d’être sublime, constata Alban. Mais j’aime trop amener ma partenaire à l’orgasme pour tenter d’éviter ça.— Oui, et moi c’est pareil, annonça Richard. Ma queue de béton adore faire couiner les filles de plaisir.
Les deux vieux avaient bien préparé leur coup en prenant un peu à l’avance la fameuse pilule bleue. Ils sifflèrent en examinant le tatouage au-dessus du pubis avant d’exhiber leurs verges bien raides. Si elles n’avaient rien à voir avec celles de Freddy ou de monsieur Lenoir, elles appartenaient à des mâles qui avaient chacun fait l’amour à des dizaines de femmes, des centaines peut-être. Alban sodomisa Mélanie sans autre forme de procès, sa verge noueuse se frayant sans peine un chemin dans l’anus lubrifié de la jeune femme.
— Elle a un cul divin, lança-t-il, souple et chaud, qui me serre juste ce qu’il faut. Et elle aime ça, elle frémit comme une pouliche !— Et sa bouche, mon ami… répondit Richard, aux anges. Un vrai aspirateur ! Un visage d’ange et un corps de démon ! Elle avale jusqu’aux couilles comme une vraie pro, et elle a l’air d’aimer ça.
À genoux sur le lit dans la chambre que partageaient les deux amis, Mélanie était secouée comme un prunier sous les coups de boutoir d’Alban qui ne la ménageait pas. Au contraire, il la projetait en avant sur la bite raide de Richard qui jubilait en voyant les douces lèvres de la jeune fille venir s’écraser dans les poils gris de son pelvis. Il comprit que leur compagne de la nuit adorait cela et accentua ses mouvements de reins pour gagner quelques millimètres en elle, lui arrachant des gémissements sourds.
À leur surprise, trop excités par la plastique irréprochable de la belle soumise, ils jouirent trop vite. Richard se vida dans la bouche accueillante qui ne perdit pas une goutte de sperme alors qu’Alban se déversait dans les entrailles brûlantes de 32. Oui, 32 était son nom d’esclave, et elle se devait de répondre et d’obéir en entendant ce nombre gravé dans sa chair en trois endroits.
Les deux hommes reprirent leur souffle ; malgré le Viagra, pas question de remettre ça dans la minute, et ils envoyèrent Mélanie leur chercher à boire. Elle revint quelques minutes plus tard portant un plateau, une bouteille de champagne bien fraîche et deux coupes. Pendant qu’ils dégustaient le vin, elle s’activait à les sucer, tant et si bien qu’ayant fini leur verre ils étaient à nouveau d’attaque.
— Tu me laisses son cul cette fois, exigea Richard. Tu n’y perds pas, sa bouche est géniale.— Et son cul donc, plaisanta Alban, tu ne voudras plus jamais en sortir.
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