Lara Croft et la Cité des LionsPartie 3 Lara Croft avait mal partout. Elle se sentait engourdie, et irritée sur la majeure partie de son corps, en particulier son anus et son clitoris, qui avaient quand même pris leur dose de bite pour la journée. La jeune femme devait reconnaitre avoir apprécié davantage encore la seconde baise générale, mais elle ne pouvait plus supporter d’être touchée, pour le moment. Elle priait que ses ravisseurs ne reviennent pas plus tard avec les mêmes intentions.Sa geôle-caverne était incroyablement glaciale, et Lara, sans vêtements, avait peur d’attraper froid. Mais quand vint le soir, personne n’apporta de couvertures ou de tissu. Lara put voir, grâce à la petite fente au plafond de la caverne, qui donnait à l’air libre, que le soleil se couchait et le soir, puis la nuit, arrivèrent. Quand il commença à faire nuit, Lara entendit le grincement de la porte de sa cage. Un léonin apparut : il tenait un plateau, sur lequel était disposé quelques bouts de fromages ainsi qu’un morceau de pain. Le lion s’avança vers la jeune femme, qui ne bougea pas, agenouillée sur le sol, près du lit de paille. Il le déposa sur le sol et lui montra du doigt le plateau.— Toi manger, grogna-t-il.Il fit demi-tour, referma la porte et quitta les lieux en prenant soin de verrouiller. Lara, ayant une faim de loup, ne se priva pas de terminer son repas en quelques minutes. Elle but également de grandes gorgées d’eau dans le ruisseau caverneux qui passait par sa geôle. Elle se sentait mieux, mais le froid de la prison commençait à l’inquiéter. Malheureusement, aucun léonin ne revint peu après pour lui donner de quoi dormir chaudement. Elle fit alors de son mieux pour se recouvrir du peu de paille qu’il y avait, et essayer de dormir un peu.Elle dormit plutôt bien, malgré le froid terrible. Elle était tellement éreintée des aventures de la veille… Le lendemain, elle se réveilla mal, de grosses douleurs au niveau de l’anus, des bras, des poignets et des genoux. Elle prit quelques temps à faire une légère toilette, qui donnèrent de longs frissons, car l’eau était toujours aussi glaciale. Elle voyait les premiers rayons de soleil depuis la fente de sa grotte. Aucun doute, c’était le matin.Puis elle s’assit sur la paille, et commença pour la première fois à réfléchir à sa situation, et surtout à un plan d’évasion. En fouinant un peu, elle trouva une pierre de la taille de sa main. Elle sourit et eut une idée.Quelques instants plus tard, la porte s’ouvrit et un léonin entra, un plateau de nourriture à la main. Il s’approcha de la jeune femme et le déposa devant elle. Au moment où il posa le plateau, Lara passa à l’action. Elle le frappa de toutes ses forces sur le visage grâce à la pierre qu’elle avait trouvée. Le lion grogna douloureusement et tomba à la renverse. C’était le moment parfait ! Lara s’élança hors de sa geôle.Elle reconnut brièvement l’endroit : il fallait prendre l’escalier en colimaçon pour remonter plus haut dans le temple et trouver les sorties. Elle courut à pas de loups dans les escaliers et ne rencontra aucun monstre. Elle arriva dans la partie plus luxueuse et travaillée du temple. Ici, elle savait qu’il y avait plus de passage. Elle prit soin de sa cacher à chaque angle. Elle croisa plusieurs lions, certains seuls, d’autres discutant dans une langue étrangère entre eux. Elle parvint, au prix de quelques secondes d’attente, à les éviter tous. Elle priait également pour que le lion qu’elle avait assommé ne se réveille pas rapidement. Mais vu qu’aucun léonin ne semblait en état d’alerte, elle se disait qu’elle était en bonne voie, pour l’instant.Après quelques instants à tourner dans le temple labyrinthique, elle vit, au détour d’un couloir, une lumière plus forte à un second tournant. Une lumière que seul le soleil pouvait produire. C’était surement une sortie. Elle courut en prenant soin de ne pas se faire repérer si quelqu’un arrivait dans son dos. Au tournant… elle se cogna contre une grosse masse et fut projetée sur le sol, où elle y atterrit fesse par terre. En levant son regard, elle vit un léonin. Le vieux lion costaud à la crinière grise qui avait donné les clés à ses deux kidnappeurs, la veille lorsqu’elle était arrivée. Lara se dit qu’elle pouvait encore lui échapper.Mais le lion, pas si âgé que ça, était très véloce. Il se jeta sur elle, et l’attrapa par un bras. Lara le frappa avec l’autre bras, mais le monstre la gifla, ce qui faillit l’assommer. Il la releva ensuite, et joignit les deux bras de Lara dans son dos. Elle se débattit un bref instant, mais elle fut forcé de reconnaître que malgré sa vieillesse, le monstre était bien plus fort qu’elle, et donc stoppa ses agitations. Son plan venait d’échouer, c’était raté.Le vieux léonin parla dans la langue de Lara, sans accent, à l’instar du roi :— Que fais-tu ici, esclave ? Tu devrais être dans ta cellule ! Je vais te punir pour ça !Il poussa Lara dans une des salles annexe au couloir. La salle, relativement grande, possédait plusieurs espèces de lits de camp. C’étaient de simples planches de bois, sur lesquels des tissus épais et des plumes d’oiseaux avaient été fourrés. Le monstre poussa violemment la jeune femme sur l’un de ses lits, et elle tomba dessus allongée. Elle se redressa rapidement et tenta de fuir, mais le vieux monstre la retint de force. Il la gifla une nouvelle fois, ce qui calma Lara. Il la menaça :— Si tu recommences à t’enfuir, je te tue. C’est clair ?Lara, les larmes aux yeux, ne bougea plus. Le vieux monstre se redressa de toute sa hauteur, puis retira son pagne d’un geste. Un gigantesque chibre, beaucoup plus long et plus épais que les autres, apparut. D’environ trente-cinq centimètres, il était dressé fièrement et ne semblait qu’attendre une chose : une femelle à posséder. Lara fut bouché bée et son regard ne put quitter ce sexe à fière allure. Les léonins d’âge mûrs avaient un sacré mandrin !Le vieux léonin posa ses griffes sur le corps de Lara, et en l’espace d’une fraction de secondes, il la retourna comme une crêpe. La jeune femme n’eut même pas le temps de pousser un cri de stupeur qu’il la força déjà à se mettre en position de levrette. Puis il se positionna derrière elle en lui maintenant les hanches, et il poussa son sexe au bout de son vagin. Lara laissa échapper un petit cri de surprise. La créature se mit en mouvement aussitôt, commençant à baiser Lara sauvagement et avec puissance.Il ne fallut que quelques coups à Lara pour sentir la chaleur monter. Chaleur qui lui manquait terriblement ces derniers temps dans sa geôle frigorifique. Elle n’en croyait pas qu’elle laissait un vieux léonin la saillir violemment. Mais il savait y faire, le bougre ! Les seins de Lara gigotaient dans tous les sens, et elle gémissait en permanence devant la puissance des coups de bite de son vieil amant bestial. Puis au bout de quelques temps, elle cria son premier orgasme. Elle atteint une grosse jouissance, qu’elle n’avait encore jamais atteinte dans sa vie. Elle n’était plus qu’une femelle, un vide-couille, que le vieux monstre était en train de défoncer à grands coups de boutoir. Sa chatte explosa de mouille, et Lara vit des étoiles et tira la langue de bonheur de se faire tringler comme une grosse salope ainsi. Elle sentit devoir exprimer toute sa jouissance autrement que par des hurlements de joie, et elle s’écria alors :— Aaaaaaah ! Ouiiiiiii ! C’est trop bon ! Baise-moi ! Je suis ta salope ! Aaaaaah !Le vieux monstre répondit par davantage de vitesse et de force, éclatant la chatte de Lara. Celle-ci en vint à jouir de façon discontinue, criant sa joie de se faire baiser par un lion aussi bien membré, même vieux. À quatre pattes sur ce lit misérable, prise par un monstre, Lara savait que sa situation était pourtant peu reluisante, mais elle n’en avait que faire, trop occupée à se laisser aller à son plaisir sexuel. Elle atteignit maintenant plusieurs orgasmes, qui la firent hurler de plaisir. Le vieux monstre ne laissait rien transparaître quand elle jouissait. Était-il conscient qu’il donnait un plaisir immense sa proie, où cela le faisait-il sourire en silence ? Lara l’ignorait, et elle s’en fichait.Le léonin leva soudainement l’une des jambes de Lara, lui faisant faire une légère acrobatie. Ainsi positionnée, la jeune femme sentit encore plus les coups de bite de son vieil amant et jouit une nouvelle fois. La créature humanoïde la baisa encore quelques instants dans cette position, puis il stoppa net au bout d’un moment.Il se releva, tandis que Lara se retournait et put l’admirer : grand et bien bâti malgré son début de vieillesse, il était beau avec sa crinière grise et son regard flamboyant. Son superbe chibre dressé comme un arbre était pointé en direction de Lara. Mais le lion montra la sortie de la salle et déclara :— Tu peux partir, maintenant, si tu veux.Lara tourna la tête vers la sortie, elle put voir le couloir plus éclairé que la salle, qui l’était seulement par quelques torches. Était-ce un piège ? Probablement, mais elle ne voyait pas pourquoi. Son regard revint sur le sexe du vieux léonin. La chatte de Lara était en feu, elle mouillait énormément et elle n’avait qu’une envie : éteindre cet incendie. Ce chibre l’attirait irrésistiblement, comme tous ceux des léonins de ce temple. Il lui fallait de nouveau cette bite en elle.Pour toute réponse, Lara sortit du lit, puis se mit à genoux devant la bite de trente-cinq centimètres du lion-homme. Elle le lécha de toute sa longueur, en regardant son amant dans les yeux.— T’es une belle salope ! Tu vas devenir une bonne femelle pour notre peuple ! ricana le léonin à la crinière grise.Le vieux lion avait, semble-t-il, simplement voulu vérifier s’il avait conquis sa femelle, et ce fut le cas, Lara étant totalement charmée par son nouvel amant. Il lui caressa les cheveux tandis que la jeune femme le pompait, maintenant. Il la laissa le sucer quelques instants, puis :— Je vais bien te baiser, pétasse !Il la repoussa de son pied griffé, et l’attrapa par les aisselles. Il la souleva facilement, puis il la fit s’empaler sur son sexe. Lara passa ses bras autour du cou solide du lion, sa tête dans sa crinière. Le lion abaissa ensuite Lara sur son chibre et la baisa donc.La sexy archéologue ignorait encore pourquoi elle avait pris cette décision, alors qu’elle aurait pu s’enfuir. Mais la perspective de se faire défoncer par son amant lui avait été plus importante que celle de sa fuite.Elle eut déjà un orgasme après seulement quelques secondes à se faire pénétrer dans les airs, portée par son lion. Cette position lui plaisait, parce qu’elle pouvait sentir toute la force des pectoraux et du torse de son amant, en plus de l’enserrer amoureusement. Ses gros seins se frottaient régulièrement contre le torse du lion, sous leurs mouvements communs. L’excitation de Lara grandissait seconde après seconde, sa chatte explosait de mouille. Elle jouissait terriblement, et elle bavait son plaisir.— Aaaaaaah ! Aaaaaaah ! hurlai-t-elle. Oh mon Dieu, baise-moi !Le léonin continua ainsi durant de longues minutes, ne se fatiguant pas. Il était très endurant en plus. Il la baisa plus d’une demi-heure ! Ils changèrent encore de positions plusieurs fois évidemment, la levrette revenant le plus souvent. D’ailleurs, elle était en train de se faire prendre à quatre pattes quand Lara, après un nouvel orgasme, lui cria :— Éjacule en moi, vas-y !Elle le répéta plusieurs fois, mais en vain. Il ne le voulait pas, semblait-il. Et ce fut seulement au bout de quelques minutes encore que le lion se retira d’elle, sans avoir éjaculé. Là, il attrapa les cheveux de la jeune femme, et la jeta sur le sol sans douceur. Lara se redressa à genoux, et le gros mandrin du léonin lui fit face. Le lion se masturba, tout en tirant sur les cheveux de Lara pour lui faire lever le crâne au plafond. Lara sut qu’elle allait subir une faciale. Celle-ci arriva dans peu de temps.De gros flots de sperme vinrent tapisser le visage de Lara. Elle ferma les yeux, sous peine d’être aveuglée. Le sperme atterrit littéralement partout ! Yeux, lèvres, joues menton, front, nez… Elle avait fermé les lèvres pour ne pas en avaler. Et son visage se recouvrait rapidement de foutre laiteux et brûlant. Au bout d’un moment, elle ne sentit plus de jets arriver sur son visage, le lion avait terminé. Son visage était rempli de sperme, ce qui ne lui déplut absolument pas, la faisant sentir encore plus excitée et soumise.Elle se frotta les paupières pour y enlever le foutre qui y collait. Elle put ouvrir les yeux, et voir son amant arborer un rictus de conquête. Il remit rapidement son pagne, tandis que son sexe débandait. Lara décida de goûter au foutre des mâles de ce peuple. Elle lécha ses doigts. Ce n’était pas mauvais, malgré le léger goût amer et salé. Elle trouva ça plutôt délicieux, même ! Le léonin passa derrière elle et l’aida à se remettre debout. Il attrapa ses bras et les joignit dans son dos, bloquant Lara.— Allez avance, esclave !Lara se mit en marche et ils sortirent de la salle comme ça, ses bras bloqués dans son dos par le monstre géant. Ils marchèrent durant plusieurs couloirs, Lara en reconnaissant certains par lesquels elle était passée pour s’enfuir. Elle avait toujours le visage recouvert de foutre, et sur leur passage, plusieurs léonins la montrèrent du doigt, certains ricanèrent même. Elle s’en ficha, car elle se sentait plutôt heureuse de cette grosse baise.Ils repartirent dans les sous-sols du temple, et ne tardèrent pas à arriver devant la geôle de Lara. Elle était ouverte. Le vieux léonin la poussa à l’intérieur en la libérant. Lara parvint à ne pas tomber. Elle fit face au lion qu’elle avait assommé tout à l’heure. Il avait une partie du visage noire, surement le gros coquard qu’elle lui avait fait. Il montrait les crocs et semblait mécontent.Le vieux lion qui l’avait emmenée et baisée sortit de la geôle en fermant la porte. Lara se retourna face au lion et se sentit toute petite face à son geôlier mécontent. Il s’avança, menaçant, en retirant son pagne.Peu de temps après, deux lions passèrent devant la geôle-caverne, faisant leur ronde habituelle. Ils entendirent du bruit à travers la lourde porte en bois. Les deux lions collèrent leurs oreilles à la porte. Ils entendaient des cris féminins de plaisir et de douleur : aucun doute, une femelle se faisait sauvagement baisée là-dedans. Ils savaient que c’était la geôle de la jeune humaine prisonnière. Ils ne comprenaient pas la langue, et ne surent ce que signifiaient les phrases qu’ils entendirent telles que "Je suis désolée ! Je suis désolée ! Oh mon Dieu ! Aaah !", "Punis-moi, sale bête ! Je le mérite !" ou encore "Oh mon Dieu ! Mon cul ! Casse-moi le cul !". Mais ils en saisirent l’idée. Ils se regardèrent, sourirent, puis reprirent leur ronde en s’éloignant.Environ une heure plus tard, un lion avec un coquard sortit de la geôle, verrouillant soigneusement la porte. À l’intérieur, une femme gisait sur le sol, avec une quantité doublement plus élevé de foutre sur le visage. Elle était allongée, ou plutôt effondrée sur le sol. Le léonin l’avait violée sauvagement, et surtout, lui avait déchiré le cul jusqu’à lui casser en deux. Lara en avait joui en même temps qu’elle en avait souffert. Elle savait que d’autres mauvais moments seraient à passer. Elle ne savait plus trop quoi faire, désormais, car elle commençait à s’affaiblir psychologiquement devant ses ravisseurs. Ou plus précisément, elle tombait sous le charme sexuel des gros félins humanoïdes. La semaine qui suivit sa tentative d’évasion, elle fut emmenée environ trois fois par jour dans une des salles de repos chaleureuses et bien garnies du temple, où à chaque fois, entre trois et cinq léonins attendaient de la défoncer par tous les trous. À chaque fois, Lara en jouissait comme une folle. Elle commençait à apprécier petit à petit sa vie ici, à se faire tringler comme une pute achetée à vie. Parce qu’elle n’avait pas grand-chose à faire, à part se laisser baiser. Et les lions étaient tous dotés d’une énorme bite de trente centimètre, ce qui faisait jouir la belle aventurière en boucle. La seule chose qu’elle remarqua, c’était qu’aucun des léonins qui la baisaient n’éjaculaient dans son vagin. C’était soit dans son cul ou dans sa bouche, soit sur son visage ou sur son corps. Avaient-ils peur de la mettre enceinte ? Était-ce possible, au moins ? Lara l’ignorait, et les lions devaient l’ignorer aussi, auquel cas, personne ne prenait ce risque. Mais cela n’avait pas d’importance pour l’archéologue, qui faisait des léonins ses amants préférés et de leur foutre sa boisson favorite. Les choses continuaient ainsi.
