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Oh, Laura

Chapitre 1

A nos souvenirs

Erotique
Quelle ne fut pas ma surprise, ce lundi matin, de re-rencontrer Laura dans les locaux de mon entreprise. Notre DRH l’accompagnait pour lui faire faire le tour de l’entreprise, bureaux et atelier, comme c’est de coutume avec les nouveaux arrivants. Toutes deux étaient accompagnées d’une étudiante argentine, que nous avions prise en stage dans le cadre de son cursus d’ingénieure pour nous aider à améliorer la production. Laura avait obtenu un contrat en intérim pour venir renforcer l’équipe R&D, dont je faisais partie en tant que responsable du bureau d’études. Il faut dire que nous nous développions à vue d’œil et qu’un peu de main-d’œuvre et de fraîcheur nous ferait le plus grand bien, les autres membres de l’équipe étant plutôt avancés dans l’âge et parfois trop campés sur leurs positions.
Laura allait donc incarner cette fraîcheur, dans un rôle qui ne lui était pas préconisé à la base, car elle avait fait des études pour travailler dans l’hôtellerie. Mais la récente crise passée par là, elle avait pris ce qu’on lui offrait pour ne pas se retrouver sans rien. Une mentalité appréciée de nos jours. Le poste demandait des compétences techniques, mais nous étions dans le même cas qu’elle, c’est-à-dire sans candidatures. Je n’avais pas participé au recrutement, car elle n’allait pas travailler directement sous ma responsabilité. C’est une jeune femme plutôt discrète, aux antipodes de l’extravagance. Son comportement et son style vestimentaire plutôt passe-partout faisaient qu’on ne se retournait pas sur elle dans la rue, et c’est bien là un tort. Une petite brunette de 2 ans ma cadette, que je connaissais, car nous avions partagé le plaisir de la chair lors d’une soirée 4 ans plus tôt.
Elle étudiait dans la même classe de BTS hôtelier que ma sœur, à une cinquantaine de kilomètres de chez moi, et c’est lors d’une soirée que je l’ai rencontrée. Ma sœur l’avait organisée pour célébrer la dernière transition de l’année entre la période de cours et de stage, et comme nous étions assez proches et qu’elle me savait libre, elle m’y avait convié afin de m’éviter une soirée geek. Ce n’était pas la première soirée avec elle et je connaissais la plupart de ses potes, ce fut donc une agréable surprise de les retrouver, et de rencontrer les nouveaux, lesquels comptaient cette jolie jeune femme qui pour cette occasion était vêtue d’une robe courte de couleur bordeaux, complétée par des bas noirs sans fantaisie. Un léger trait de maquillage dont n’avait guère besoin son joli minois, et quelques bijoux discrets.
Cette soirée se déroulait agréablement bien, un apéro dînatoire accompagné de jeux et d’alcool, comme de tradition le jeudi soir. Si la plupart des invités de ma sœur étaient venus en couple, Laura était venue sans son copain qui pourtant invité par courtoisie, avait préféré aller à une autre soirée. Après avoir fini de manger, mais pas forcément de boire, ma sœur avait lancé l’idée de jeux de groupe, en deux équipes où il fallait faire deviner à son équipe des choses, en les mimant, en les dessinant, etc. La soirée et le jeu avançaient, les bouteilles se vidaient dans le gosier des perdants et les participants se retiraient un à un, certains plus avinés que d’autres. C’est alors que la soirée a basculé pour Laura et moi, et les souvenirs en sont encore tout frais.
Je me rappelle qu’après tous les éliminations et abandons, nous avons fini le jeu avec ma sœur, Thibaut – un pote à elle qui allait vraisemblablement finir dans son lit si la tequila ne le ravageait pas – et Laura. L’alcool aidant, la tension sexuelle était palpable entre ma sœur et Thibaut, mais pas que ; ma partenaire d’équipe se montrait de plus en plus intéressée à mon égard, et je n’y étais pas resté indifférent. Ses mouvements de mimes finissaient souvent contre mon corps, d’abord de discrètes caresses jusqu’à ce que sa main finisse par effleurer de moins en moins discrètement mes fesses ou la bosse que j’avais de plus en plus de mal à contenir sous mon jean.
Je me rappelle ma sœur, prétextant la fatigue, abandonner pour partir ’’faire un brin de toilette avant d’aller me coucher’’, marquant à la fois le signal pour Thibaut de la suivre et pour Laura et moi de passer à autre chose. Après un bref état des lieux de la part de ma sœur, les esprits grisés, les différents convives endormis qui s’endormaient et ceux qui avaient pu rentrer chez eux, elle me proposa de dormir chez elle, à quelques pas de chez ma sœur, afin de ne pas dormir au milieu de la viande soûle.
Je me rappelle l’avoir saisie par la taille sitôt la porte fermée, davantage enivré par elle que par l’alcool, et l’avoir plaquée contre le mur et l’embrasser furieusement, lui attrapant une jambe que je remontais le long de la mienne tout en frottant mon sexe prêt à en découdre contre son bassin.
Je me rappelle autant de la surprise que de la satisfaction dans son regard, lorsqu’elle me rendit mes baisers et commença à osciller son bassin pour me rendre l’excitation, jusqu’à ce que nous entendions une porte se déverrouiller quelque part dans l’immeuble. Ayant peur d’être pris tels 2 enfants la main dans le sac, nous avions décampé jusqu’à rejoindre son studio.
Je me rappelle qu’une fois sa porte verrouillée, il n’y a pas eu de place pour les préliminaires, mon pantalon et mon boxer furent rapidement à mes talons, sa culotte trempée d’excitation retirée, juste le temps d’enfiler un préservatif récupéré dans mon portefeuille le temps d’aller chez elle, avant de m’enfoncer dans sa chair sans rencontrer quelconque résistance.
Je me rappelle l’avoir enserrée fort contre moi, accompagnant mes va-et-vient de baisers, de coups de langue où je pouvais sur sa bouche, son cou, mordillant le lobe de ses oreilles pour la faire frémir tout en lui faisant sentir mon souffle devenu bestial afin qu’elle ait conscience de mon envie d’elle.
Je me rappelle qu’elle m’en offrait tout autant, serrant ses jambes autour de ma taille afin d’avoir le plus de contact possible, couvrant mes coups de boutoir par des coups de bassins pour être en rythme, allant même à me prendre une main pour la glisser sous sa robe et lui exciter les seins que j’avais jusque-là laissés de côté.
Je me rappelle ce cercle vertueux dans lequel nous avions plongé, tellement son excitation me rendait dingue et mon excitation la faisait chavirer, nous faisant haleter, grogner, soupirer de plaisir.Je me rappelle être arrivé au bord de l’explosion, avoir ralenti mes mouvements tandis qu’elle serrait de plus en plus ses jambes pour me maintenir au plus profond d’elle-même.Je me rappelle le moment fatidique, avoir glissé mes mains le long de ses côtes jusqu’à son bassin, l’avoir attrapée par les bien nommées poignées d’amour, pour lui asséner un dernier coup de reins, dans une volonté animale de féconder la femelle offerte.
Je me rappelle l’avoir sentie s’arc-bouter, l’avoir entendue crier son plaisir, puis m’être écroulé sur elle.
De longues minutes plus tard, je me rappelle m’être retiré d’elle, m’être allongé sur le dos pour retirer dans un premier temps mes chaussures, chaussettes, pantalon et caleçon, puis dans un second temps mon polo, avant de me lever pour aller aux toilettes. Après en être revenu, j’ai remis mon caleçon, me suis couché, puis après un certain laps de temps, je l’ai sentie venir se blottir contre moi, avant de sombrer dans le sommeil.
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