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Laura et le club libertin

Chapitre 4

Dernier chapitre: Collocation

Avec plusieurs femmes
Oh putain ! Si on m’avait dit un jour que ce que je viens d’entendre arriverait, jamais je n’y aurais cru ! Nous sommes en mars 2020, et un confinement vient d’être annoncé, presque tout est fermé à l’exception des magasins alimentaires, même les écoles et les facs ne sont pas épargnées. Je suis donc obligée, comme beaucoup, de rester enfermée dans ma chambre étudiante, n’ayant pas eu l’occasion de rentrer chez moi. Et même si les deux premières semaines se passent plutôt bien, mon état d’esprit change rapidement après la première période de confinement annoncée à l’origine.
Nous en sommes maintenant à la troisième semaine, et là, ça va mal. Je suis mes cours via mon ordinateur, mais sans grande motivation, je ne fais que le strict minimum. Quand je n’ai pas cours, je reste dans mon lit à lire ou à regarder des séries, mais pareil, sans beaucoup de volonté, je cherche juste à faire passer le temps en espérant que cette situation s’arrange. En plus de cela, presque tous les résidents de mon étage sont partis, renforçant mon impression de solitude. Mes parents sont bien gentils à m’appeler tous les jours et à penser à moi, mais eux sont dans la maison familiale avec jardin, pas dans un placard à balais.
Heureusement, Paul et Caroline sont très attentionnés et prennent tous les jours de mes nouvelles. Nous discutons tous les soirs de cette situation improbable. Mais plus le temps passe et plus c’est dur d’être isolé.
— Tu es sûre que tout va bien petit oiseau ? Me demande Caroline en voyant ma tête via la caméra.— Honnêtement, non. C’est vraiment dur d’être ici, et d’après les dernières nouvelles, ce n’est pas près de se terminer.— Je ne vais pas te mentir, Laura, continue Paul. Un ami à nous travaille dans un hôpital, et la situation n’est vraiment pas bonne. Ils risquent de prolonger à nouveau le confinement.— Je m’en doute…
Me retrouver enfermée ici encore plus longtemps… Ça va bientôt faire un mois que ça dure. Je ne peux m’empêcher de craquer et de lâcher quelques larmes devant Paul et Caroline.
— Excusez-moi. C’est idiot de pleurer pour ça.— Non, Laura pas du tout, me rassure Caroline de sa voix la plus douce. Tu es seule et c’est normal de ne pas être bien. Mais nous pouvons t’aider.— Comment ?— Nous pouvons te proposer de venir chez nous le temps que ça se termine.— Vous êtes sérieux ?— Bien sûr, mais seulement si tu as confiance, nous comprendrons si tu ne veux pas, nous ne nous sommes jamais vus en dehors du club après tout.
C’est vrai que depuis que je fréquente le club, nous nous sommes toujours vus là-bas. Nous nous sommes revu quatre fois depuis le mois de janvier, Paul trois fois, et Caroline deux fois. Comme d’habitude, tout s’est très bien passé et je commence à me sentir vraiment proche d’eux. Ils ne représentent pas simplement des coups d’un soir, je les apprécie vraiment, et le fait qu’ils me proposent de venir avec eux me touche.
— Ça serait avec plaisir. Vraiment, merci beaucoup.— Parfait, prépares tes affaires, je viendrais te chercher demain matin, me dit Paul avec un grand sourire.— Franchement merci à vous deux.
— C’est tout naturel petit oiseau.
Quand je me couche ce soir-là, c’est avec un immense sourire jusqu’aux oreilles. Je me réveille tôt le lendemain pour préparer ma valise avec mes affaires de cours, beaucoup de vêtements, et surtout des sous-vêtements. Je règle la paperasse de la cité universitaire pour dire que je serais absente le temps du confinement et éviter de payer pour rien, puis Paul arrive vers onze heures. Je lui saute dans les bras dès qu’il sort de la voiture, et je fixe son beau regard bleu.
— Merci Paul, merci beaucoup, dis-je avec une petite larme.— Je t’en prie ma belle. Allez, on y va.
Il nous faut que vingt minutes pour arriver chez lui, et Caroline m’accueille également avec un bon câlin. Elle dépose un petit baiser sur mon front.
— Bienvenu petit oiseau, tu es ici chez toi.— Merci Dame Caroline.— Ici, tu peux m’appeler Caroline… Sauf quand je te dirais le contraire.
Elle me montre alors la pièce qui va désormais être ma chambre pendant tout le temps de ce foutu confinement. Au moins, je ne suis plus seule, et je suis accompagnée de deux personnes formidables… Et formidablement sexy aussi. Je dépose mes affaires et les rejoints dans leur salon, ils sont tous les deux assis sur le canapé et semblent m’attendre pour discuter. Je m’installe donc à la place qu’ils m’ont laissé, c’est-à-dire entre eux deux.
— Il y a quelques petites choses que nous devons te dire ma belle, commence Paul en posant une de ses mains sur mon épaule. Saches qu’en temps normal, Caroline et moi adoptons une tenue bien plus légère, surtout depuis que nous sommes enfermés.— C’est-à-dire nu ?— C’est cela, confirma Caroline. Cela te dérange ?— Absolument pas, nous nous sommes tous déjà vu nu de toute façon.
À ma remarque, la main de Paul commença légèrement à descendre sur ma poitrine.
— Pas faux, reprend Caroline. Et comme tu t’en doutes, nous passons beaucoup de temps à coucher, et nous comptons bien te faire participer. Cependant, si tu nous vois aller dans notre chambre et fermé notre porte, alors c’est que nous voulons être seuls. J’ai beaucoup travaillée en dehors de la région ces derniers temps, et nous ne nous sommes pas beaucoup vus.— Oui, c’est normal, je comprends parfaitement.— Mais ne t’inquiètes pas, j’aurais toujours de la force pour toi-même après m’être occupé de ma petite femme.— Ah oui ? Il me semble portant qu’hier soir, tu ne pouvais plus bouger après que JE me sois occupée de toi.— Tu m’en as beaucoup demandé en même temps, mais maintenant ça va mieux.— Alors montre le à notre petit oiseau. Cela fait presque un mois qu’un homme ne l’a pas touché. Elle doit être impatiente.
Sans attendre de réponse de ma part, Caroline vient m’embrasser tendrement, tandis que Paul retire mon pantalon et ma culotte. Je me retrouve très rapidement nue, aux prises de mes hôtes qui n’hésitent pas à laisser leurs mains se balader sur mon corps, surtout celles de Caroline qui s’amusent beaucoup avec mes seins. Elle les malaxe, pince et tire légèrement sur mes tétons qui sont de plus en plus sensibles au fil de ses caresses.Paul se concentre sur mon entre-jambe et écarte bien mes cuisses pour venir lécher ma chatte. J’ai oublié de l’entretenir, et du coup, un léger duvet s’est formé autour, ce qui ne semble pas déplaire à la langue de Paul, bien au contraire. Il lèche chaque centimètre de ma peau tout autour de mon sexe avant de venir directement dessus pour déguster ma mouille. Je tente de poser mes mains sur sa tête, mais Caroline m’en empêche et me maintient les poignets au-dessus de ma tête.
— Petit oiseau, nous t’avons accepté chez nous, et il y a une dernière règle que nous ne t’avons pas dite. Tous ceux qui acceptent notre invitation deviennent nos jouets, tu es donc à nous.— Pas de soucis, dis-je dans un soupir lourd de désir. Faîtes de moi ce que vous voulez.
C’est donc allongé sur le canapé, immobile et vulnérable, que Paul entreprend de lécher avidement en engouffrant sa tête le plus possible sur ma chatte. Hum ! Que j’aime quand cet homme utilise sa langue sur moi, elle est si douce et lui est si habile pour l’utiliser. Mon petit bouton est aux anges et je ne tarde pas à gémir de plus en plus, jusqu’à ce que je me mette à lâcher des petits cris.
— Elle en fait du bruit, notre petite invitée, dit Paul entre deux coups de langue.— Attends, je vais la calmer un peu.
Toujours en me maintenant les poignets, Caroline vient s’asseoir sur mon visage, écartant sa jupe et ses cuisses pour me laisser voir son intimité. La tête recouverte par le tissu et la chatte bien chaude de Caroline, je n’ai pas d’autres choix que de la lécher, m’obligeant à retenir mes cris, qui se transforment alors en plaintes étouffées.
— Caroline, je crois que notre belle coquine est prête pour son cadeau de bienvenu.— Bien, tu peux y aller Paul, ne te gêne surtout pas pour inonder cette coquine.
Presque dans le noir, je sens la sublime queue de David contre ma chatte. Elle frotte de haut en bas quelques instants, insistant bien sur mon clito et l’entrée de mon vagin. Quand ma mouille a fini de se répandre sur sa bite, il se décide enfin à me pénétrer de tout son long. Enfin ! S’il y a quelques mois je disais que je n’étais pas nympho, c’est en revanche devenu sûr et certains que je suis accro à la bite de Paul, elle m’avait manqué en un mois !Je le sens m’écarter l’intérieur, et le fait de le sentir sans capote pour la première fois rend la chose encore meilleure, je profite pleinement de tout son être et cela m’excite encore plus. À chacun de ses coups, j’ai de plus en plus de mal à lécher Caroline qui se voit obliger d’onduler du bassin sur mon visage. J’ai de la mouille sur la bouche, le menton, et même les joues, presque tout mon visage en est recouvert.
— Hum ! Tu la baises peut-être trop bien, Paul. Elle n’arrive plus à lécher.— Alors sers-toi de son visage comme d’un jouet.— Qu’est-ce que tu crois que je fais ?
Oui, allez-y, servez-vous de moi ! Baisez-moi, faites de moi votre jouet ! J’aimerais leur crier cela, mais j’arrive tout juste à respirer. Putain la bite de Paul… La bite de Paul… Je l’adore ! Il y va de plus en plus fort, chacun de ses coups secoue mon corps entier, et je sens mes seins être secoués dans tous les sens.
— Je vais tout décharger en toi Laura, il semble que personne ne te la encore fait ?
Je hoche encore la tête de haut en bas, l’esprit embrumé par le plaisir et ma respiration irrégulière.
— Parfait, alors bienvenu à toi Laura !
David me donne alors un dernier coup de reins puissant qui me fait pousser un gémissement sourd, qui ressemble plus à un grognement, et je sens le sperme de Paul se répandre en moi. Quel plaisir ! Je suis au bord de l’orgasme et j’aurais aimé jouir, mais je sais que nous sommes loin, mais alors très loin d’en avoir terminé.
Nous sommes à la sixième semaine du confinement, et pendant les trois semaines qui viennent de s’écouler, nos journées se sont toutes ressemblé, pour notre plus grand bonheur. Nous avons chacun du travail en visio pendant la journée (ce sont d’ailleurs les seuls moments où nous sommes habillés.) mais il nous arrive tout de même de venir taquiner l’un ou l’autre avec quelques caresses sous le bureau ou sous la table. Nous restons nus, tout le reste du temps, que ce soit pour manger, les tâches ménagères, ou même juste pour rester devant la télé qui ne reste jamais très longtemps allumer.
Ce soir là, je me réveille dans mon lit vers trois heures du matin à cause d’une envie pressante, et je sors de ma chambre, nue, pour aller aux toilettes. En ressortant, j’entends les voix de Paul et Caroline derrière leur porte fermée. Contrairement à ce que je m’attendais le premier jour où je suis arrivé, ils ne se sont pas tant isolé que ça, seulement deux fois en trois semaines. Je vais pour retourner dans ma chambre, mais j’entends mon nom et, par curiosité, je reste pour écouter.
— Tu sembles différente depuis que Laura est avec nous, dit la voix de Caroline.— Bien sûr, elle est très gentille et ne dit jamais non à nos petits jeux pervers.
Ce n’est pas faux. Pas plus tard que la semaine dernière, Paul a demandé à ce que Caroline et moi partagions son sperme en nous le passant via bouche à bouche. Et il a clairement pris beaucoup de plaisir à regarder.
— Je ne parle pas de ça, Paul, reprend Caroline d’une voix un peu plus grave.— Je sais. C’est vrai que je suis content qu’elle soit là, ça me fait beaucoup de bien d’avoir quelqu’un à s’occuper.— Mon chéri, je sais ce que tu vas dire, mais ce n’est pas ta faute.— Je le sais, mais je m’en voudrais toujours de ne pas pouvoir te donner d’enfant.
Quoi ?! Paul est stérile ?! J’ai toujours pensé qu’ils n’avaient pas eu d’enfant par choix, mais jamais que l’un d’entre eux en était incapable. Je suis à la fois choquée de l’apprendre, mais aussi très triste pour eux. Je suis encore jeune pour y penser sérieusement, mais je sais que je veux des enfants un jour, et l’idée de ne pas en avoir me stresse énormément.
— Paul, je t’aime. Et je te l’ais toujours dit : je préfère ne pas avoir d’enfant plutôt que ne pas porter les tiens.— Je te demande pardon ma chérie. Tu es toute ma vie.
La voix de Paul tremble en disant ces mots, et j’ai même l’impression de l’entendre sangloter, ce qui me fait moi-même lâcher quelques sanglots que je n’arrive pas à contenir. Comment un homme aussi gentil, attentionné et amoureux de sa femme peut-il subir un coup pareil ? Il mériterait amplement de vivre ce bonheur d’être père, et il serait un très bon père, j’en suis sûre.
— Laura ?
Merde, ils m’ont entendu ! Je tente de retourner discrètement dans ma chambre, mais Paul vient ouvrir la porte et me grille à mi-chemin.
— Tu as tout entendu ?— Je ne voulais pas, je te jure ! Je revenais des toilettes et je vous ai entendu parler de moi, j’étais juste curieuse.— Viens avec nous, ma belle.
Je suis Paul et me glisse avec lui dans leur grand lit, juste entre lui et Caroline. Je me sens honteuse de les avoir espionnées, surtout dans une conversation aussi privée.
— Je suis vraiment désolée, je ne voulais vraiment pas vous espionner.— On s’en doute petit oiseau, me dit Caroline avec sa voix toujours aussi douce. On n’a jamais cherché à le cacher, nous te l’aurions dit si tu nous avais posé la question.— Mais il n’y a vraiment aucune chance que vous en ayez ?— Le médecin nous dit qu’on peut toujours essayer, continue David. Ce n’est pas impossible à cent pour cent, mais nous ne nous faisons plus d’illusion.— Nous nous y sommes faits. Nous nous aimons et nous sommes heureux ensemble, alors ne t’inquiète pas pour nous. Et puis nous sommes vraiment contents de t’accueillir, tu es vraiment une fille extra.— Merci Caroline.
Je me colle à elle pour venir lui faire un câlin et je cale ma tête contre son cou. Caroline me caresse doucement la tête avec sa main et Paul nous rejoint dans notre étreinte, me prenant également dans ses bras et passant sa main sur mon ventre. Je me retrouve entre eux deux et je me sens vraiment bien avec eux ; pour une fois, je me mets à penser que ça serait bien si cette situation sanitaire pouvait durer encore un moment.Nos instincts primaires reprennent rapidement le dessus, et malgré nos efforts pour maintenir ce doux câlin, je sens la bite de Paul durcir contre mes fesses, et ses mains passent très près de ma poitrine. Mon derrière bouge alors tout seul et commence à se frotter contre son engin, mais je me fais rapidement interrompre par Caroline.
— Par contre petit oiseau, tu dois quand même être punie pour ce que tu as fait.— Caroline, je…— Dame Caroline.
Sa voix, bien que toujours douce, est imprégnée d’une autorité à laquelle je ne peux me soustraire. Je baisse donc les yeux vers ses seins avant de lui répondre.
— Dame Caroline, je suis désolée.— Peu importe, tu dois être punie, pas vrai David ?— Oh que oui, et elle va prendre cher la petite.
Sans me laisser la moindre chance d’ajouter quoi que ce soit, ou même de sortir du lit, Paul vient se mettre au-dessus de moi pour me maintenir, en attendant que Dame Caroline m’attache les pieds et les mains à des sangles accrochées aux quatre coins du lit. Je me retrouve alors devant eux, totalement immobile, en étoile de mer avec les jambes bien écartées.
— Tu vas voir ce que ça fait d’être notre jouet ma belle. Jusqu’à là, nous étions gentils avec toi.
Cette situation m’excite tellement ! Tellement que je me sens d’humeur à les aguicher encore plus.
— Alors arrêtez de parler, et passez à l’action.— Paul, fais-moi taire les piaillements de ce petit oiseau insolent. Je vais la dresser pendant ce temps.— Avec plaisir.
Sans ménagement, je me prends la bite de Paul dans la bouche, et il n’hésite pas à l’enfoncer jusqu’à la base. Il touche ma glotte, va assez loin dans ma gorge, et commence à me baiser la bouche. Dame Caroline n’hésite pas à enfoncer un de ses godes dans ma chatte légèrement humide tout en jouant avec mon clito avec sa langue.
Ne pouvant pas bouger ni gémir, seules mes mains peuvent témoigner du plaisir que je ressens : elles se serrent, cherchent quelque chose à quoi s’accrocher, mais rien n’arrive à leur portée. Mes pieds, tout aussi entraver, se crispent et cherchent à se dégager des sangles. Mon corps et mon esprit sont en contradiction : d’un côté, je cherche à profiter de ce plaisir, à être le jouet de ces deux personnes à qui je donne toute mon affection ; mais d’un autre côté, mon corps veut participer, pas seulement être passive, et cette dualité est une véritable atrocité.
C’est trop bon ! Jamais je n’aurais pensé aimer être soumise de cette façon, moi qui ai toujours préféré être active dans mes relations. Mes tétons pointent et n’échappent pas aux mains gourmandes de Paul, et Dame Caroline commence même à lécher mon anus. Mais sans rien dire, ils échangent leur position, la bite de Paul se frotte alors à la fois sur ma chatte ainsi que mon cul, et Dame Caroline m’enfonce le gode dans la gorge aussi profondément que l’engin de chaire qui vient de la quitter.
— Ma bite rentre presque dedans sans même que j’ai besoin de pousser, elle est prête.— Parfait.
Après que Dame Caroline m’est bâillonnée, et qu’elle se soit équipée d’un gode ceinture, elle se glisse sous moi et commence à enfoncer le jouet dans mon cul, pendant que Paul s’enfonce d’une traite dans ma chatte. Je cherche à gémir, à crier, à exprimer mon désir d’une quelconque façon que ce soit, mais je n’y parviens pas. Les sons qui veulent sortir de ma bouche se transforment aussitôt en grognement inaudible, et mon corps est parfaitement maintenant par les sangles, ainsi que par Paul qui me baise de toutes ses forces.
— Je crois que je n’ai jamais senti sa petite chatte aussi serrée.— Il faut croire que notre petit oiseau aime ça.
Ils me baisent ainsi pendant un long moment. Le plaisir est trop intense ! J’ai envie de crier, tout mon corps veut pouvoir exprimer l’orgasme qui est en train de le traverser, mais c’est impossible. Et alors que, après avoir senti une vague de sperme se répandre en moi, je m’attends à être libérée, il n’en est rien. Paul et Dame Caroline échangent à nouveau leur place et c’est reparti. Ils continuent pendant presque deux heures, à s’amuser avec mon corps et mes trous. À la fin, Paul place un miroir en face du lit pour que je contemple mon état.Mes cheveux sont en batailles, comme si une bourrasque était passée par là ; mes seins sont rouges à force d’avoir été tripotés, et ma chatte laisse s’écouler un beau flot de sperme. Mes jambes et mon ventre sont également couverts de cette délicieuse substance inaccessible.
— As-tu compris la leçon, ma belle ?— Han… Han… Oh putain oui ! Votre petit oiseau… Sera très sage désormais.
J’ai du mal à reprendre mon souffle, et une fois détachée, j’ai même du mal à tenir sur mes jambes. Paul est obligé de m’aider pour aller sous la douche et me laver, avant d’aller me recoucher auprès d’eux. Nous dormons jusqu’à midi, et nous reprenons notre routine du confinement.
Finalement, le confinement se termine et je dois bien retourner dans ma petite chambre étudiante. Le retour est difficile, mais au moins trois fois par mois, je retourne voir Paul et Caroline chez eux. Nous avons développé une véritable complicité tous les trois, et je passe toujours de merveilleux moments avec eux. Nous continuons nos jeux ainsi pendant des mois, jusqu’à ce que quelque chose vienne changer leur vie.
Il y a deux mois, Paul m’a envoyé une photo, sans commentaire ni rien. Un test de grossesse positif. Caroline est finalement enceinte ! Je suis extrêmement heureuse pour eux, et même si nous nous voyons moins aujourd’hui, car ils veulent tout naturellement profiter de cet événement, ils resteront la meilleure rencontre que j’ai fait dans le club de ma ville.
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