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Laura, sans sous-vêtement

Chapitre 2

La soirée

Erotique
— Deux Mojitos s’il vous plaît ! commanda une cliente qui venait de s’approcher.
Laura acquiesça de la tête et Charles partit les préparer. Petit à petit, la chorégraphie entre eux se cala et la soirée débuta vraiment.
Vers minuit, Marc vint se poser au bar et Léo passa derrière le comptoir.
— Allez, pause avant le grand final ! déclara le stripteaseur. Elles font un jeu de devinettes pour faire gagner des gages à la future mariée, ou je ne sais pas trop quoi. Bref, on a bien un quart d’heure devant nous.— Passe de l’autre côté un peu, tu as bien mérité un verre, fit Léo à Charles qui ne se fit pas prier.— Je ne savais pas que des filles pouvaient boire autant ! remarqua Charles. Je suis rincé.— Et moi donc ! Et tu n’as pas tout vu. Je te promets une deuxième partie de soirée torride. Elles ne résistent jamais à mon strip final ! Avec un peu de chance, je sens que ça peut dégénérer ce soir.
Chloé vint les rejoindre et se posa à son tour au bar. Tout le monde se tut et savoura un nouveau verre.
— Et notre chère Laura, elle a toujours les fesses à l’air ? demanda innocemment Marc, un large sourire s’affichant sur son visage. Immédiatement, Laura redevint toute rouge et Charles le remarqua, malgré le maquillage qu’elle portait.— Les fesses à l’air ? demanda Léo. De quoi tu parles ?— Ho c’est bon, tais-toi, fit Laura.— Attends, attends, reprit Léo, c’est quoi cette histoire ? Dans mon bar ?— Oui, dans ton bar. Déjà qu’on lui voit les seins à travers le chemisier... Fort jolis d’ailleurs, n’est-ce pas, Charles ?
Charles, qui n’en était plus à son premier verre, se contenta de sourire. En fait, il serait bien venu à l’aide de la jeune femme, mais dans le même temps, il avait envie de la chauffer un peu. Fronçant les sourcils, Léo posa son torchon et se dirigea vers Laura. Celle-ci prit un verre et le siffla d’un trait, comme pour se donner du courage. Nonchalamment, il alla se placer debout à côté d’elle, regardant la salle comme si de rien n’était. Puis, passant sa main droite sous la jupe très courte, il caressa ses fesses.Immédiatement, Laura se contracta et eut un mouvement de bassin qui la fit se cambrer encore davantage. A jeun, elle aurait sûrement fui. Mais là, si vous ajoutez l’effet de l’alcool au fait qu’elle était ravie d’intéresser un petit peu Léo pour la première fois depuis des mois, vous comprendrez qu’elle ne broncha pas.
— Mais c’est vrai en plus, tu n’as rien en dessous. Avec une jupe si courte ? Et dans cette position ? As-tu remarqué qu’avec ta jambe repliée, tu as les jambes écartées, sans culotte, et dans mon bar ?
Marc ricanait bêtement. Il était fier de la situation qu’il avait créée.
— Non c’est parce que... enfin je...— Mais tu as peut-être un string, remarque ?
La main de Léo bougea. Ils virent tous son bras s’allonger légèrement. Sa main descendit le long de la fesse de Laura et s’empara de son petit abricot. Les doigts bien à plat, tout doucement, centimètre par centimètre, il descendit la fente de ses fesses, caressa ses lèvres et remonta sur sa toison. Lorsqu’il eut fini, il fit le mouvement inverse avant d’enlever sa main.Est-ce le plaisir que lui procurait, pour la première fois de sa vie, la sensation de s’exhiber ? Toujours est-il que Laura n’avait jamais ressenti un tel désir. Elle en tremblait presque. Elle avait envie qu’ils viennent tous la voir, tous la caresser. Elle avait envie de se montrer nue ; un plaisir qu’elle n’avait jamais connu explosait dans son ventre et chauffait entre ses cuisses.Charles et Marc n’avaient rien loupé de la scène. Chloé les regardait d’un air distrait. Son visage semblait leur dire : « N’importe quoi... ces mecs... ! ».
— Je confirme qu’elle n’a rien. Regardez ça les gars !
Léo sortit la main de sous la jupe et leur montra ses doigts. Ils étaient mouillés du désir de Laura.
— Attendez, j’ai une idée pour qu’on en fasse profiter tout le bar ! ajouta Léo.— Moi aussi ! répondit Marc.— Pas touche ! fit Léo. Puis il pivota, s’écarta un peu du groupe et ouvrit un des frigos qui se trouvaient derrière lui. Pendant ce temps, Marc passa derrière le comptoir. Il attrapa un grand miroir qui se trouvait posé sur une des étagères et le posa par terre, légèrement incliné, juste derrière Laura. Puis il revint s’asseoir.
Laura, qui ne pouvait pas voir derrière elle et qui guettait ce que voulait faire Léo ne fit pas attention à Marc. Elle ne se rendit pas compte que maintenant, d’où ils étaient, Charles et Marc avaient une vue imprenable sur le sexe de la jeune femme qui se reflétait dans le miroir.Léo revint vers eux. Il n’avait lui non plus pas fait attention à Marc, et, absorbé dans ce qu’il avait en tête, il ne remarqua pas le reflet. Il ne remarqua pas non plus que Chloé, de plus en plus intriguée, s’était rapprochée de Marc et de Charles pour profiter elle aussi du spectacle.Un sourire énigmatique sur la bouche, il se retourna vers eux, dévoilant une carotte qu’il tenait dans la main. Sans rien dire du tout, il la passa sous l’eau et commença à l’éplucher.
— Léo ? Mais qu’est-ce que tu comptes faire... tu n’as pas l’intention de...
Mais Léo ne disait rien. Laura semblait fascinée par le spectacle de la carotte, surtout qu’il n’avait pas pris la plus petite de la réserve, loin de là.Quand il eut fini, il se contenta de dire « Voilà » et reprenant sa place à côté d’elle, il posa la carotte sur le comptoir, juste devant elle. Laura ne parvenait pas à en détacher le regard.Puis, tout doucement, comme la première fois, il passa sa main entre ses cuisses. Les trois spectateurs ne pouvaient plus rien manquer à ce qui se passait. La main de Léo faisait des va-et-vient très lents sur son sexe, et à mesure que le temps passait, Laura se cambrait de plus en plus. Son sexe s’ouvrit lentement, ne tarda pas à devenir trempé. Elle ne désirait plus résister à Léo... Et pourtant elle continuait à ressentir un mélange de gêne et de désir.
Ce qu’elle ne savait pas, c’est que c’était cette gêne précisément qui décuplait son plaisir.La main de Léo restait bien à plat, mais les lèvres de la jeune femme n’arrêtaient pas de s’écarter sous l’effet des caresses de Léo. Au début, il ne sentit que les lèvres humides de la jeune femme sur ses doigts. La sensation était agréable, son sexe était très doux. Mais lentement, il sentit que ses lèvres s’écartaient, se gonflaient et il commença à percevoir, le long de son majeur, le petit bouton de la jeune femme qui, trempé de sa chaleur intime, coulissait en douceur. Au moment où cela arriva, une violente décharge électrique parcourut le corps de Laura et elle ne put se retenir d’émettre un gémissement.
— Déboutonne ton chemisier ! ordonna Marc à voix basse. Surpris, Charles sursauta. Mais Laura ne fit rien.— Fais ce qu’il dit, répéta Léo.
Et Laura, sur un petit nuage, défit un bouton, puis deux, puis trois... avant de reposer les deux mains sur le comptoir dans un soupir, les yeux dans le vague et le buste penché en avant.Charles et Marc ne savaient plus où donner de la tête. Le décolleté s’était largement ouvert, offrant une vue magnifique sur sa superbe poitrine, mais pas assez pour tout leur dévoiler. Dans le même temps, le miroir leur offrait le spectacle d’un abricot vraiment mignon et, à présent, complètement ouvert.Léo voulait faire durer le moment. Il se tourna vers Laura, qui ne quittait toujours pas la carotte des yeux.
— Demande-moi de te mettre la carotte entre les cuisses.
Laura ne la quittait pas des yeux, comme hypnotisée.
— Quoi ? non, je...
Léo accentua la pression sur son sexe et fit, du bout des doigts, plusieurs petits ronds sur son bouton gonflé à bloc.Laura se pencha encore davantage, les yeux repartant dans le vague.
— Demande-le-moi, je veux l’entendre.
Laura murmura quelque chose.
— Comment ?— Mets-moi la carotte...— S’il te plaît ?— S’il te plaît.— Mets-moi la carotte, s’il te plaît.— Oui, mets-moi la carotte s’il te plaît !
Léo fit un petit rictus de satisfaction. Il attrapa le légume et, montrant ostensiblement qu’il allait le présenter par le côté le plus large, il s’accroupit derrière la jeune femme.Charles n’en revenait pas. L’ivresse, le désir... son cœur battait la chamade et son sexe était prêt à exploser. Il se demandait comment tout ça finirait, mais ne parvenait pas à détacher son regard du miroir.
Léo avait à présent le visage à hauteur du sexe offert de la jeune femme. Il posa ses mains sur ses fesses et les écarta légèrement. Il pensait vraisemblablement être le seul à profiter du spectacle, mais Charles, Marc et Chloé n’en manquaient pas une miette.
Il resta quelques instants ainsi, écartant de plus en plus le sexe de Laura et admirant sa petite grotte entrouverte. Laura adorait sentir ce regard sur elle. Elle adorait se sentir admirée et désirée. Son plaisir s’envolait de nouveau.
Léo passa alors la carotte sous la jupe et la fit d’abord coulisser entre les lèvres gonflées et sensibles de Laura. Sa respiration se fit de plus en plus bruyante. La sensation du légume très dur sur son clitoris la rendit complètement dingue. Elle n’avait plus qu’une seule idée en tête : être pénétrée.
Puis Léo recula légèrement l’objet pour le présenter devant sa petite ouverture. Il patienta deux ou trois secondes, faisant faire des petits mouvements de rotation au légume à l’entrée de son sexe, puis il appuya sur la carotte qui pénétra lentement la jeune femme.
Laura eut un hoquet de plaisir. Son corps se tendit comme un arc et son bassin se cambra encore davantage. Sa tête se pencha en arrière, ce qui lui bomba le torse et eut pour effet de plaquer son chemisier largement ouvert sur son buste. Sa poitrine généreuse n’y résista pas et un sein sortit par l’ouverture du décolleté.
Marc et Chloé, qui ne lâchaient pas le miroir des yeux, semblèrent ne pas s’en apercevoir. Léo s’était reculé pour profiter du spectacle. Il se tenait appuyé contre les étagères, les bras croisés sur la poitrine. Il était absorbé par le spectacle que lui donnait Laura, qui n’étant plus caressée, faisait des petits mouvements de bassins. Elle semblait serrer et desserrer la carotte en cadence, car celle-ci, sans que personne n’y touche, faisait de légers mouvements d’aller-retour dans son abricot offert. Léo siffla doucement, admirant le petit morceau orange qui sortait du sexe de la belle jeune femme.
Charles de son côté fut immédiatement fasciné pas le sein qui s’était évadé. Rond, généreux, mais visiblement ferme, il se terminait par un petit bouton tout rose qui lui sembla, au regard, extrêmement doux. Une veine, sous la peau blanche de sa poitrine, palpitait en rythme avec les mouvements de Laura.
N’y tenant plus, Charles tendit le bras et, du bout des doigts, toucha le téton de la jeune femme. Celui-ci réagit immédiatement en se contractant et en devenant tout dur. Il pressa alors de sein avec la paume de sa main. Laura réagit immédiatement à cette pression et ses gémissements devinrent des petits cris. Sentant l’orgasme approcher, Charles prit son téton entre son pouce et son index et le pinça légèrement.
C’en fut trop pour Laura et ce pincement déclencha l’orgasme qui se refusait à elle. Fermant les yeux, elle fut prise de soubresauts et exprima son plaisir sous la forme d’un petit cri qui ressemblait presque à un miaulement.
Personne ne bougea pendant plusieurs secondes. Léo, le premier retrouva ses esprits. Il posa une main dans le bas du dos de Laura, l’immobilisant contre le comptoir, tandis que de l’autre, il tirait sur la carotte.
— Putain, j’en peux plus ! fit Marc. A mon tour ! et il se leva.— Tiens, le strip-tease a commencé ? C’est une femme qui se déshabille ?
Une des convives venait d’arriver au bar. Elle n’avait rien vu de ce qui s’était passé, heureusement, mais elle venait d’apercevoir le sein de Laura, toujours penché sur le comptoir.Immédiatement, Laura remit son chemisier en ordre et se redressa. Elle garda son genou sur le tabouret ce qui fait que, même si elle ne s’en rendait pas compte, les trois compères derrière le bar continuaient à voir sa nudité sous sa jupe.La jeune femme qui venait d’arriver, elle, ne le remarqua pas.
— Non non, c’était une répétition pour une autre soirée, répondit Léo. Marc va vous rejoindre.
Marc, dont l’érection était visible à travers le short de scène qu’il portait, s’immobilisa. Il venait de perdre une occasion de conquérir Laura et il n’avait pas envie d’en rester là. Mais Léo était le patron... et les jeunes femmes qui l’attendaient pour l’enterrement de vie de jeune fille étaient mignonnes et moins compliquées que Laura.
— Attendez, fit Léo.
Il prit une planche à découper, y posa la carotte, et la trancha en bâtonnets. En portant un à sa bouche, il tendit le tout à la jeune cliente :
— Goûtez-moi ça, vous m’en direz des nouvelles !— Merci ! Elles sont délicieuses. Je peux avoir un Mojito ?
Laura, rouge de honte, essayait de reprendre sa respiration. Léo se pencha à l’oreille et lui glissa :— Tu vois, j’avais bien dit que je te partagerais.
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