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Laureen - Je.

Chapitre 1

Ma première relation

Hétéro
Bonjour à tous. Je m’appelle Laureen. Je suis une femme de maintenant 31 ans, et je souhaiterais partager mon expérience et, surtout, comment j’ai découvert ma sexualité et son évolution. L’histoire a commencé quand j’étais au lycée. J’étais rousse aux yeux bleus, avec des taches de rousseur sur les joues et les bras. À l’époque, j’avais 18 ans. J’étais grande et fine, avec très peu de formes même si je trouvais cela très élégant. J’étais en terminale scientifique et secrètement amoureuse d’un de mes camarades de classe : Arthur.
Il était d’une allure sportive, toujours plein d’assurance. Le voir suffisait à faire rayonner mes journées mais, de nature timide à l’époque, je n’avais jamais eu l’occasion de m’approcher de lui. Un jour, en cours de science de la vie et de la terre, notre professeur décida de nous mettre ensemble en travaux dirigés. Je pétillai de joie, mais fis tout mon possible pour que cela ne se vît pas. Cela présageait que du bonheur pour moi : être ensemble voulait dire que nous pouvions, au moins à ce cours, être ensemble chaque semaine ! Quel bonheur !
Les deux premières semaines, nous n’échangeâmes pas beaucoup... Nos seules paroles concernaient les tâches que nous devions accomplir. La troisième semaine, en revanche, fut beaucoup plus intéressante. Il commença à me questionner sur ma vie, mes goûts. Il s’intéressait à moi. Ça me paraissait irréel qu’Arthur s’intéressât à moi. Bien évidemment, j’essayai aussi de m’intéresser à lui. Son plat favori, que je m’imaginais lui préparer, sa musique favorite, que j’aurais aimé allez voir en concert avec lui. Je voulais tout savoir et tout découvrir de lui.
À la fin des cours, nous nous dirigeâmes ensemble vers la gare. Nous étions autour d’un lac, au bord d’une forêt. La discussion continua comme avant jusqu’à ce que l’on arrivât à un renfoncement dans la forêt. Il me proposa de m’isoler à cet endroit. J’acceptai. Très anxieuse de ce qui allait se passer, je m’enfonçai dans la forêt devant lui, silencieuse. Il me proposa de nous poser au pied d’un arbre. J’acceptai. Je m’adossai à l’arbre. Il s’assit face à moi. Je l’observai. Qu’il était beau ! Mon coeur battait à mille à l’heure. Je sentais ce qui allait arriver. J’étais anxieuse, la boule au ventre. Sans rien dire, il approcha ses lèvres des miennes. Il s’arrêta une seconde avant de m’embrasser. Je sus plus tard que c’était pour me laisser le choix de le faire ou pas. Qu’il était prévenant ! Je l’embrassai. Mon premier baiser. Comme dans les films, le temps s’arrêta. J’étais sonnée. Tant d’émotion en moi. Je savais déjà que ce baiser faisait partie de ces baisers que je n’oublierais jamais. Les choses, à ma grande tristesse, s’accélérèrent malheureusement trop vite. Il se releva soudainement. Je ne compris pas, nous étions si bien. Il me tendit son bassin. Je compris ce qu’il voulait, mais je ne réagis pas. Je ne savais pas comment réagir. Tout cela était si nouveau pour moi. J’avais bien évidemment vu des vidéos et parlé de cela avec mes amies de l’époque mais cela s’arrêtait là. Me voyant passive, il s’avança davantage vers mon visage. Ça ne faisait plus aucun doute pour moi à ce moment : il me demandait une fellation. Je ne compris pas pourquoi il voulait casser la magie du moment ainsi, mais je me dis que c’était dans l’ordre des choses. C’était un homme, après tout... Je me redressai, sûre de moi, et je posai mes mains sur ses hanches. Son corps était si ferme ! J’étais excitée à l’idée de ce qui allait se passer. Je passai ma main sur son sexe. Je lui demandai de m’aider à le sortir, ce qu’il fit. C’était la première fois que je voyais un sexe masculin.
Il avait l’air très excité. Je la sentis. L’odeur était âcre, pas de ce qui était des plus agréables mais la situation m’excitait. Il me laissait prendre mon temps, l’observer, la sentir. Je me décidai à la prendre en main. Je la tins immobile. Je ne savais pas quoi en faire. Il posa sa main sur la mienne et tira vers la base de son sexe et me dit de répéter ce geste. Je fis quelques allers-retours.
J’essayai de me souvenir ce que mes amies m’avaient dit sur la fellation... Me servir de ma langue, tourner autour du bout, aspirer... J’approchai mes lèvres de son sexe et je sortis ma langue. J’allais le lécher. J’allais goûter son sexe. Ma langue toucha son gland. L’effet fut immédiat. Je le sentis s’enhardir sous ce coup de langue. Je paniquai... Beaucoup de questions sans réponse : qu’allait-il se passer entre nous ? Était-ce temporaire ? Allait-il aller jusqu’au bout...? Je n’étais pas sûre de vouloir goûter du sperme. Je me dégageai, me relevai, lui fis un petit bisou sur la joue, proche de l’oreille, et partis en direction de la gare. Je l’attendis car je voulais discuter avec lui.
La marche vers la gare fut silencieuse. Je lui demandai tout de même son numéro. Nous les échangeâmes. L’entrée dans le train fut silencieuse. Nos adieux furent timides, une bise. Nous étions loin du baiser langoureux que nous nous étions échangé 15 minutes auparavant... J’arrivai chez moi. Je n’arrivais pas à m’ôter de la tête tout ce qui s’était passé. Cela avait été si rapide. Je me sentis sotte d’avoir arrêté d’un coup. Mon ignorance et ma crainte allaient-elles avoir rompu ce charme qu’il y avait entre nous? Je me dis rapidement que d’y songer ne servait à rien. J’étais décidée : je me suis dirigée vers l’ordinateur dans l’intention de regarder des vidéos de fellation. Je ne voulais plus me sentir aussi sotte !
Cependant, toutes les vidéos me semblaient si hard. Je ne me sentais pas à faire cela. Je finis cependant par trouver une vidéo qui me marqua. À l’écran, une fille élégante, blonde, dans une robe moulante rouge. La musique était entraînante, adaptée. Je suis fascinée. J’appris de sa façon de faire : délicate, douce, tendre. Elle léchait d’un côté, puis de l’autre. Elle suçotait le bout. On aurait dit que c’était fait par amour. Je sentis pouvoir faire cela. Ça me redonnait confiance ! Cela me fit repenser à la scène dans le bois. Je serrai les cuisses. Je me sentais humide et regrettai de ne pas l’avoir sucé. Mon téléphone sonna soudainement . Était-ce lui ? Je regardai, non... Juste un SMS de ma mère. Je me décidai à prendre les devants.
-    Coucou. Désolée, je ne voulais pas gâcher ce moment magique avec un acte bestial, j’espère que tu me comprends. Je tiens à toi. Voilà. C’était envoyé. Une minute plus tard, mon téléphone vibrait. Son nom s’affichait à l’écran. Boule à l’estomac. Qu’allait-il dire ? -    Re... Je comprends, j’avais peur d’avoir été trop loin. Je n’osais plus parler après, j’avais peur d’avoir gaffé. Je ne voulais pas en refaire une. -    Non, c’est moi. Je regrette. -    De m’avoir embrassé ? -    Non... De m’être arrêtée. C’était dit. Le message était selon moi clair : je voulais le sucer. Cependant, plus de réponse. Ce n’est que trente minutes plus tard que mon téléphone vibra à nouveau.
-    Je suis à ta porte. -    Tu peux te faufiler ? -    Je vais essayer !!! Je fonçai rapidement à la salle de bain. Je mis du rouge à lèvres et sortis discrètement. Pleine d’assurance, je le retrouvai à ma porte. Je l’embrassai aussi tendrement que je le pouvais, et lui susurrai à l’oreille que je n’avais que 20 minutes pour rattraper mon erreur. Il m’emmena proche de chez moi, dans un petit parc vide. Dans le parc, un jeu, vide. Un bain, libre... Je lui dis de s’asseoir. Tout alla très vite ! Je m’accroupis devant lui, déboutonnai son pantalon. Je sortis son sexe. Je voulais prendre les choses en main ! Je le pris en main et le branlai comme il m’avait expliqué. Rapidement, je mis ma tête au-dessus de son sexe. Je le sentis. Il semblait l’avoir lavé, l’odeur avait disparu. J’appréciai l’attention. Je sentis soudainement une main se poser derrière ma tête. Il ne me donnait pas le droit de reculer, cette fois-ci. De toute façon, je n’en avais aucune intention. Je le pris en bouche. Je le suçotai, tournai ma langue autour de son gland, insistai sur le frein. Tout ce qu’on m’avait expliqué, tout ce que j’avais vu, j’essayais de l’appliquer. J’alternai entre petites léchouilles timides sur le gland, grandes léchouilles de haut en bas de son sexe, suçotements langoureux et aspiration. Cela m’excitait. Je me concentrai uniquement sur son plaisir. Lui, qui était jusque-là passif, je le sentis m’attraper plus fermement la tête. Il donnait des petits coups de bassin. Je me laissais faire, j’alternais entre aspirer et, quand je le pouvais, tourner ma langue sur son sexe. Il s’enhardit. Il allait de plus en plus vite, essayant de me pénétrer la bouche de plus en plus profondément. Quand il posa sa seconde main derrière ma tête, je compris qu’il allait éjaculer. Il voulait le faire dans ma bouche. Je supposai qu’il voulait que j’avale. J’étais décidée à lui donner ce plaisir. Je bavais beaucoup. J’étais loin de la fellation amoureuse que je voulais lui faire, mais je me laissai faire. J’aspirai aussi fort que possible. Il contrôlait les allers-retours dans ma bouche avec son bassin. D’un coup, il appuya fortement sur ma tête pour s’enfoncer davantage mais j’eus le réflexe de résister. Il réitéra cela plusieurs fois, jusqu’à ce que je ne résiste plus. Il s’enfonça presque entièrement dans ma bouche. Ce fut à ce moment-là qu’il éjacula. Je restai dans cette position, et, comme convenu avec moi-même, j’avalai, non sans difficulté. Je me dégageai de son étreinte, le visage et la gorge remplis d’un mélange de bave et d’autre chose. Le goût me répugnait, j’essayais de ne pas y penser. Il me tendit un mouchoir, que j’utilisai. Je lui demandai si nous étions un couple, désormais. Il acquiesçait. J’étais heureuse. Il me raccompagna chez moi. J’étais sur mon petit nuage, même si j’avais été plus loin que ce que je m’étais autorisé. Un dernier baiser, devant chez moi, et nous nous quittâmes jusqu’au lendemain. Cette journée avait été féerique pour moi.
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