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Laureen au grand jour

Chapitre 4

La veille

Travesti / Trans
Suite du récit...

Suite de cette nuit forte en émotion, mais aussi très frustrante, je commence à vraiment apprécier cette nouvelle vie. Je ne pénètre plus Sandra depuis plusieurs jours maintenant, j’ai à peine éjaculé, mais je suis constamment excité. J’ai envie de voir jusqu’où cela peut nous mener.

La semaine qui suit est similaire à la précédente : tous les matins, je prends ma douche puis enfile un string. J’en porte dorénavant de tous les styles. Allant des plus simples noirs, au string ficelle rouge flash. C’est devenu une habitude et je ne pense même pas à remettre des boxers. Sandra me propose, un matin, de tenter un soutif pour aller en cours. J’ai envie de tenter l’expérience. Pour l’occasion, je mets un sweat oversize pour ne pas qu’il soit visible. C’est très différent des culottes, on n’oublie pas un soutif si facilement ! Mais la journée se déroule plutôt bien malgré quelques frayeurs.
Tous les soirs, je passe entre une et deux heures à m’exercer avec les talons de Nina, en pensant à bien mettre mes faux seins en place : c’est essentiel pour l’équilibre, dit Sandra. Je deviens quasiment expert, mais redoute tout de même de les porter en extérieur.

Le vendredi matin, alors que je suis en cours, je reçois un SMS de Sandra :
— J’ai pas cours cet après-midi, je passe chez mes parents rapidement leur rendre un plat. Je serai là pour 18h.

Ce vendredi, en plus d’être la veille de cette fameuse soirée, c’est aussi les vacances pour deux semaines. Pas de Fac, les exams sont encore lointains. Je me dis que nous allons pouvoir nous reposer et nous amuser.

En rentrant, je balance mes affaires du jour au sale, et comme chaque soir, je me vêts d’une des robes de Sandra et de mes escarpins afin de m’entraîner encore. Sandra n’est pourtant pas là, je n’ai donc aucune obligation de le faire, mais c’est devenu un rituel qui me plaît bien. Lorsqu’elle rentre, avec un gros sac plein, elle me voit dans cette tenue, et sourit :
— Je vois que tu prends goût aux robes et aux talons, chérie. — Tu m’avais dit de le faire chaque soir, j’ai pas réfléchi. — C’est bien, tu m’obéis Laureen. Va donc préparer le repas de ce soir et après je t’annoncerai une surprise.

Je me mets à la préparation du repas, en réfléchissant à cette surprise. A-t-elle un lien avec son aller-retour chez ses parents ? Peut-être va-t-elle m’offrir son cul ? Ou juste un cadeau ?
Le repas se déroule normalement, nous discutons de tout et de rien. Elle me rappelle la soirée de demain, et me demande si je me sens prête.
— Oui je pense être prêt pour demain. Mais j’appréhende quand même le regard des filles et des autres. — Les filles sont au courant, et elles ont interdiction d’être méchantes avec toi. Les autres n’y font pas attention, me rassure-t-elle. — D’ailleurs c’est quoi le programme de demain ? — Ah j’ai cru que tu ne me le demanderai jamais. Je t’explique : nous passons la journée toutes les deux, entre filles pour te mettre directement dans ton rôle. Puis vers 17h on se prépare, on s’habille, se maquille, se coiffe... la totale quoi. On a rendez-vous à 18h30 avec les filles pour faire un bowling, du coup je t’ai préparé une tenue plus adaptée que ta robe pour ça. Après on passe chez Bea boire un coup, et on se change pour aller au restaurant. Après mangé, on va dans un bar ou en boîte selon notre humeur. — Tout ça ?? Mais je pensais qu’on ferait une soirée chez l’une des filles, j’avais imaginé qu’on irait peut-être au resto, mais rien de plus. — Tu n’as jamais fait de soirée filles ça se voit. Mais ne t’en fais pas, on reste toutes les cinq toute la soirée. — Bon d’accord, je me suis préparée à cette soirée, ça devrait aller. Et cette surprise alors ? J’espère qu’elle est bonne. — Tu vas l’adorer ma chérie. Regarde dans l’armoire.

Je vais dans la chambre et ouvre l’armoire où sont rangés nos vêtements. Cependant, il n’y a plus mes vêtements, enfin, ils sont entièrement remplacés par d’autres : uniquement des fringues de fille.
— Ça veut dire quoi ? Elles sont où mes fringues ? — Elles sont toutes chez mes parents, j’ai récupéré pas mal de mes anciens vêtements là-bas pour qu’on puisse se les partager. — Tu plaisantes là ??? — Ma chérie, tu portes des strings depuis deux semaines, certains jours des soutifs, le soir tu rentres, tu te changes pour une belle robe, et chausses des escarpins de douze centimètres... — Oui, mais c’est pour le défi, pour le jeu. — Et cette bosse qui vient de se créer sous ta jupe ? — Euuuh... — C’est bien ce que je dis, tu adores ma surprise. Comme ça, on va pouvoir passer les deux semaines de vacances entre filles, et on pourra se gouiner. — Les deux semaines de vacances ? Mais il fait beau, je voulais sortir, aller à la plage... — Qu’est-ce qui nous en empêche ? Tu as tout ce qu’il te faut pour tout ça Laureen. D’ailleurs, à partir de maintenant, je ne t’appellerai que par ton nouveau prénom.

Je regarde dans cette armoire, il n’y a plus la moindre trace d’un jogging, d’un pull ou même d’un t-shirt masculin. Je ne vois que des jeans féminins, des leggings, des jupes, des robes, des chemisiers, des crocs-tops, des pulls féminins... Même mes vêtements de sport ont disparu, j’ai dorénavant deux brassières, un legging de sport et un minishort... Pour finir, il est apparu des nuisettes, et même quelques sous-vêtements sexy comme une guêpière, un corset et des portes-jarretelles accompagnés de bas.

Nous passons la soirée devant un film à l’eau de rose, puis nous partons dans la chambre, chacun dans sa nuisette respective. À peine dans le lit, Sandra me monte dessus et m’embrasse fougueusement. Elle est très excitée, et moi aussi. Ma main prend la direction de son string pour y trouver une chatte bien mouillée, mes doigts y entrent très facilement. Elle me dit :
— Oh oui ma chérie, va chercher mon gode dans la salle de bain et baise-moi avec. Je m’occupe de toi ensuite.

Je la baise à l’aide de ce sexe en plastique jusqu’à l’orgasme.
— Tu es merveilleuse Laureen, maintenant allonge-toi, je m’occupe de toi.

Je me suis mis sur le dos, mais au lieu de prendre mon sexe en main ou en bouche, elle commence par me faire sucer son gode. Puis je sens sa main glisser dans mon string, sans prendre mon sexe, elle descend plus bas. Le gode toujours en bouche je ne peux pas parler, et ses doigts commencent à se rapprocher de mon petit trou vierge. Un doigt finit par se placer devant et forcer le passage. Il rentre très difficilement. C’est alors qu’elle sort de sous l’oreiller un tube de lubrifiant.
— Profite ma chérie, tu vas voir, tu vas découvrir de nouvelles sensations.

Puis ses doigts lubrifiés reprennent leur chemin. Un premier doigt me pénètre, et cette fois c’est agréable. Elle fait pendant quelques secondes plusieurs va-et-vient. Puis c’est un second doigt qui s’ajoute. Encore un moment de va-et-vient qui me procure une sensation étrange, pas une douleur, mais une sorte de plaisir inconnu. Je ne sais même pas si je bande ou pas, tout mon plaisir provient de mon cul.
C’est alors qu’elle me montre le gode et commence à le lubrifier.
— Tu es sûre Sandra ? — Ma chérie, détends-toi, et peut-être qu’à mon tour, j’accepterai que tu passes par là.

Elle sait très bien comment me faire obéir. Elle place le gode à l’entrée de mon cul et l’enfonce. Dans un même temps, elle vient m’embrasser à pleine bouche. Je sens le gode entrer en moi, puis ressortir légèrement et ainsi de suite.
— Oh vas-y continue chérie c’est bon ! — Tu aimes mon gode Laureen ? — Oui je l’aime, il me fait du bien, tu me fais du bien continue, accélère s’il te plaît !!! — Tu es vraiment chaude, une petite salope se cachait en toi ! — Baise-moi fort je t’en supplie !!!

La soirée se finit dans une extase commune incroyable. On s’embrasse fort, et s’endort l’un collé à l’autre. Je n’ai pas éjaculé, mais j’ai connu l’un de mes meilleurs moments.
Le lendemain, en me réveillant, Sandra dort encore. Je vois sur le côté ce gode qui m’a fait temps de bien hier. Il n’est pas énorme, mais plus gros que ma bite au meilleur de sa forme. Je me lève en nuisette, et je vais nettoyer puis ranger le gode. Ensuite, je fais un peu de ménage dans l’appartement en attendant le réveil de Sandra.
— Bien dormi ma chérie ? me dit-elle pendant que je range la salle de bain. — Oui mon amour, désolée pour hier, mais j’étais pas moi-même. — Si justement Laureen, je crois que tu as été entièrement toi-même, tu as pris un sacré pied, et moi aussi.

Je prends ma douche et je m’habille, en femme, avec les vêtements qu’il reste à ma disposition : un string, soutien-gorge rembourré, un jean blanc et un petit pull. Je mets ma perruque et Sandra m’aide à me maquiller pour la journée. Alors qu’elle prend sa douche, elle m’appelle :
— Laureen viens vite s’il te plaît ! — Que se passe-t-il ?— Je n’ai plus de bande cire, il faut absolument que je m’épile pour ce soir, tu peux aller en chercher à la supérette au bout de la rue ? — Chérie, je suis en femme je ne peux pas sortir. — Et ce soir tu vas faire comment ? Allez dépêche-toi, prends mon sac à main et mets les bottines. J’ai une petite veste si tu veux, il ne fait pas encore très chaud.

Je m’équipe des accessoires et chaussures de Sandra et prends mon courage en main. Ma première sortie en femme, seule. Je marche jusqu’à la supérette, cherche ses bandes de cire que je trouve assez difficilement. Heureusement je n’ai pas à demander à quelqu’un de l’aide. Je me dirige vers les caisses. Là j’ai peur, et si on me pose une question, comment vais-je cacher ma voix ? Heureusement, l’hôtesse de caisse n’est pas très aimable et m’adresse à peine la parole.
Sur la route du retour, je me vois dans une fenêtre et me trouve très féminine. Par contre, en cherchant dans le magasin, mon jean a dû descendre et l’on devine la naissance de mon string. Je remonte mon pantalon en espérant que personne ne l’a vu au magasin.
Une fois rentré, j’apporte les bandes à Sandra qui me félicite pour ma sortie solitaire.

Le reste de la journée se passe dans le calme jusqu’à 17H, le début de la préparation de la soirée...
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