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Laureen au grand jour

Chapitre 5

La soirée entre filles

Travesti / Trans
Continuons...
Nous prenons, à tour de rôle notre douche. Je repasse par la case épilation, même si j’ai peu de poils qui ont repoussé. Sandra inspecte tout mon corps, du visage, à mon sexe et anus en finissant par mes jambes. Je suis complètement lisse.
J’enfile ensuite le minuscule string que Sandra m’a fait acheter, afin que celui-ci ne se voit pas trop sous ma robe rose. Je passe également un soutien-gorge assorti et enfin mes faux-seins. Pendant ce temps, Sandra s’est déjà habillée pour la première partie de soirée : le bowling. Pour l’occasion, elle a mis son ensemble string soutif rouge. Par dessus elle a enfilé un jean très skinny noir qui lui moule parfaitement le cul. Et enfin, elle porte un petit top nuisette rouge. Elle est superbe. C’est maintenant mon tour :
— J’ai retrouvé un legging que je n’ai jamais porté. Il était chez mes parents, mais je suis sûr qu’il va t’aller.
C’était un legging imitation cuir, presque du latex. Une pièce vraiment très sexy.
— Tu es sûr que je ne peux pas mettre un jean aussi ? C’est très osé ça non ? — Mais non, il faut que tu sois belle et féminine ce soir ! Tiens, passe également ce petit haut. — Oui petit haut, on va voir mon nombril avec ton truc là ! — T’inquiète, je vais te prêter une veste à mettre par dessus ma chérie, tu seras superbe !
Je passe donc ma tenue de début de soirée. Sauf qu’un problème visible fit son apparition. Je me trouve extrêmement sexy et une bosse se dessine très rapidement à travers le legging.
— Ah, j’avais pas pensé à ça, s’exclame Sandra. Bon, je ne vois pas 50 000 solutions, sors-moi ta bite, je vais te vider, ça devrait te calmer, on trouvera une solution plus efficace plus tard.
Sandra attrape un mouchoir et me branle durant environ 17 secondes avant que je n’éjacule. Elle essuie ma bite, et celle-ci retrouve sa taille normale. Elle m’aide à la placer de manière à ce que j’ai un ventre totalement plat.
Ensuite, après avoir disposé ma perruque brune sur la tête, Sandra se charge de me maquiller. Même si j’ai appris quelques bases, je suis encore loin de savoir le faire moi-même. Je ressemble enfin à une magnifique jeune femme dans cette tenue, maquillée. Sandra se maquille à son tour.
Il est 18h, nous sommes prêtes à partir. Comme convenu, Sandra me prête une de ses vestes pour aller dehors et cacher mon ventre apparent. C’est une veste en cuir assez simple arrivant juste au-dessus de mes fesses. Sandra me confie également un sac à main, pour y ranger mon téléphone et mes affaires personnelles. Puis vient enfin le moment tant redouté, mais aussi attendu : je chausse mes escarpins. Sandra enfile également une veste et met ses sandales à talons. Les siens sont moins hauts que les miens et doivent faire 10 centimètres maximum contrairement à mes 12,5 centimètres.
Sandra a pris le volant jusqu’à chez Nina, puis nous avons rejoint Béa et Astrid directement au bowling. Je vais être mis dans le bain tout de suite sans préparation. En arrivant, ma gêne est difficile à masquer. Je fais la bise aux filles et me présente en essayant de prendre une voix féminine. Pour le moment, les talons sont faciles à gérer, d’autant plus que je vais les enlever pour le bowling. Nous entrons, payons et nous installons à notre piste. Et là, en voyant les filles retirer leur veste, j’ai eu peur. Je dois retirer la mienne également, il fait beaucoup trop chaud pour la garder à l’intérieur. Je me retrouve donc au milieu d’une foule, en legging simili cuir et croc top.
— Avant de commencer, dit Nina, ça vous dirait pas que la dernière ait un gage ? — Excellente idée, répond Astrid ! — OK, je sais, ajoute Nina, la semaine prochaine, il annonce un superbe temps. On va à la plage, celle qui perd doit mettre le nouveau bikini que j’ai acheté hier sur Internet. — Euh, je ne vais pas pouvoir participer à votre pari les filles, dis-je en espérant qu’elles me suivent... — Laureen, qu’est-ce qui t’empêche de porter un bikini à la plage ? place Sandra.
Et les filles éclatent de rire...
J’ai déjà fait du bowling une fois, je suis un homme malgré ma tenue, je devrais ne pas finir dernier. La partie commence. Au bout de 2 lancées, Sandra me confie quelque chose qui va me perturber le reste de la partie :
— Je viens de me rappeler en te voyant pourquoi je n’avais jamais porté ce legging avant. — Pourquoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? lui demandé-je.— Bon maintenant que tu es là de toute façon tu ne pourras plus rien y faire. Dès que tu lances ta boule ou que tu t’assois, le string a tendance à faire son apparition si tu vois ce que je veux dire. — Tu rigoles ? J’avais pas fait attention, les filles l’ont vu ? — A vrai dire, c’est elles qui m’ont fait la remarque quand tu montais les escaliers tout à l’heure, et depuis on le voit régulièrement. — Qu’est-ce que je peux faire ? Je remets la veste !! — Ça n’y changera rien, les filles l’ont vu, tu avais encore ta veste sur toi. Alors soit tu fais comme si de rien n’était, soit tu fais attention en lançant tes boules, surtout que le bowling et plein à craquer ce soir !
Cette nouvelle me déboussole, à tel point que je ne fais attention qu’à ça ! Évidemment, mon score s’effondre puisque je jette la boule en restant le plus droit possible. Je finis la partie avec 12 points de retard sur Béa, l’avant-dernière. Nina, qui comme par hasard a lancé le pari initial a gagné.
— Bon ma chère Laureen, la semaine prochaine tu nous accompagnes à la plage ! Je donnerai le bikini à Sandra dès que je l’aurais reçu. — Si tu veux, de toute façon après cette soirée, je pense que je pourrais survivre à tout, répondis-je, dégouté. — Ne sois pas trop sûre de toi ma belle, ricane Nina.
Nous allons récupérer nos chaussures, d’ailleurs pour le moment, j’ai les talons les plus hauts. Même si Nina a aussi des escarpins assez hauts.
Pour continuer la soirée, nous nous rendons chez Béa, où nous devons nous changer et boire un coup avant d’aller au resto. Arrivé sur place, on s’installe dans le canapé, où je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer ma ficelle qui dépasse de quelques centimètres du legging. J’ai hâte de mettre ma robe pour ne plus avoir ce problème. Malheureusement, la réservation est pour 21h, et nous avons encore presque 1 heure devant nous. Étant donné que nous avons juste une robe à passer, les filles ne semblent pas pressées. Je dois servir les filles pour la deuxième tournée. Évidemment en me penchant vers la table basse pour remplir les verres, les filles n’ont pas pu s’empêcher de faire des remarques sur ma tenue.
— Joli string ! Même moi j’en ai pas des si sexy ! — Elle a un cul dans ce legging, et cette chaudasse n’hésite pas à faire dépasser sa ficelle ! — Et regardez comment elle marche avec ses talons hauts, enchérit Nina, sachez qu’ils ont fait de l’effet en boîte la dernière fois.
Je préfère ne rien dire, d’autant plus que toutes ces réflexions commencent à refaire naître une bosse dans mon string. Sandra le remarque et me demande de la suivre dans la salle de bain.
— Tu es vraiment sexy ma chérie, j’ai cru voir une érection monter, qu’est-ce qui a provoqué cela ? me demande-t-elle.— Je ne sais pas, le fait de servir les filles et qu’elle me complimente, à leur façon, sur ma tenue me laisse pas insensible... — Allez je vais te faire un peu de bien, on va pas tarder à se changer, tu n’aimerais pas qu’on devine qu’une bite se cache sous cette robe.
Sandra entreprend cette fois une douce fellation, à genoux devant moi, la bite juste dépassant du legging. Je ne tarde pas à cracher dans sa bouche, cette fois, elle va cracher le contenu dans le lavabo. Elle crie aux filles restées dans le salon :
— On va en profiter pour se changer, on vous laisse la place juste après !
Sandra me demande alors de retirer mon legging et mon croc-top, puis me donne la fameuse robe rose. En la voyant, je regrette d’avoir pris quelque chose d’aussi sexy et voyant. Mais une fois ajusté sur mon corps, je me trouve absolument parfaite. Je fais totalement allusion, peut-être même un peu trop. Sandra sortit de son sac, la robe blanche. Je la regarde, choqué :
— Tu vas pas mettre cette robe quand même ? — Tu te prends une robe ultra-sexy et moi je dois me priver ? répond-elle.— C’est qu’elle est courte, et qu’on va tout voir au travers chérie. — Retourne-toi et regarde-toi dans la glace et dis-moi qui a l’air d’être une salope entre nous deux ?
Elle avait raison, même si sa robe blanche est très sexy, je suis un cran au-dessus, à la limite d’être vulgaire, diraient certains. Surtout quand je rechausse mes escarpins vertigineux. Lorsque j’arrive dans le salon, les filles me sifflent et me félicitent pour mon choix.
— Très sexy encore une fois, Sandra nous a pas menti, surtout quand on sait que c’est toi qui as choisi la robe !
Béa ajoute subtilement :
— Vous rigolez, jamais je pourrais porter cette robe, elle a vraiment chaud cette Laureen !!! — Allez, laissez-la tranquille ! me défend Sandra. La place est libre à votre tour, on va finir par être en retard.
Les filles se changent à tour de rôle. Béa effectivement n’a pas du tout le même style de tenue, elle est presque prude à côté, dans sa robe noire, juste au-dessus des genoux, tandis que la mienne masque à peine mes fesses. Astrid elle est plus sexy. Elle avait mis une minijupe moulante avec ce qui semble être un body. Elle porte des bottes à talons de près de 10 centimètres comme Sandra. Enfin, c’est au tour de Nina. Elle, en revanche, est du style de Sandra et moi. Elle arrive dans une très belle robe rouge, avec un décolleté à faire tourner la tête, et tout aussi courte que la mienne. Elle change ses escarpins pour d’autres, rouge comme sa robe, mais qui semblent légèrement moins haut. Une chose est sûre, j’ai les plus hauts talons parmi toutes les filles présentes.
Nous quittons l’appartement, direction le restaurant. Celui-ci étant en centre-ville, nous ne pouvons pas nous garer juste devant. On se gare à plus d’un kilomètre. Et là je suis face à une nouvelle difficulté. Certes je marche déjà avec mes talons à l’appartement, certes je porte déjà des robes à l’appartement, certes j’ai fait du shopping en femme avec Sandra. Mais les talons hauts, la robe sexy et le tout en plein centre-ville un samedi soir c’est autre chose. Marcher dans la rue en talon haut n’a pas grand-chose à voir avec le fait de faire quelques mètres dans l’appartement. De plus, je me sens complètement femme dans cette tenue. Heureusement que les filles sont là pour m’accompagner.
Arrivées devant le restaurant, je dis à Sandra :
— J’en peux déjà plus des talons... — Chérie, au début tu ne vas penser qu’à ça. Et après dans quelques heures, tu marcheras avec comme si tu étais en basket tu verras. — J’espère que tu as raison, d’ailleurs je te l’avais dit, on voit ton string à travers ta robe blanche. — Parfait ça, j’espère que ça va t’exciter alors, répond-elle en entrant dans le restaurant...
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