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Laureen au grand jour

Chapitre 6

La soirée entre filles 2

Travesti / Trans
Reprenons le fil de l’histoire...
Je regarde Sandra entrer dans le restaurant, ses fesses ondulants de gauche à droite dans sa robe blanche super sexy, légèrement transparente. J’entre en dernier dans le restaurant, où nous sommes assises à une table ronde. Je suis très stressé au moment de passer la commande, ma voix va-t-elle me vendre ? Pour imiter les filles et paraître la plus féminine possible, même s’il faut dire que ma tenue et mon apparence le sont déjà énormément, je décide de prendre une salade césar, à la place d’un burger comme je le prendrai en étant un homme. Cela fait rire les filles, qui ne tardent pas à commenter mon choix :
— Tu manges déjà comme une gonzesse, c’est bien, tu apprends vite, place Nina.— Oui, d’habitude il ne mange que des burgers, elle fait attention à sa ligne, maintenant si elle veut rentrer dans ces jeans, ajoute Sandra.
Le moment de la commande est sur le point d’arriver, chacune des filles prend commande, puis vient mon tour. Par chance, c’est une serveuse et non un serveur, je me sens plus à l’aise. Je me lance :
— Une salade césar pour moi, dis-je avec ma voix la plus douce possible. — Et une salade césar pour finir la commande des demoiselles, merci on vous apporte ça très vite !
Puis elle partit en cuisine passer la commande. Les filles me félicitent à nouveau pour ma belle voix sensuelle d’après elle. Toujours en attendant les plats, j’ai envie de me rendre au petit coin. Gentiment, Nina m’accompagne. Je suis devant elle et marche vers les w.c., quand je faillis pousser la porte pour entrer, Nina me tire en arrière et me dit :
— Laureen, tu vas chez les hommes là ! Tu n’es pas un homme pourtant ? s’exclame-t-elle, assez fort. — Mince, mauvais réflexe, répondis-je doucement.
Une fois nos affaires terminées, alors nous sommes en train de nous laver les mains, Nina me dit :
— Tu as l’air de te plaire dans ton nouveau corps, tu t’habilles de façon très osée, j’ai mis du temps moi à porter des talons si hauts et des jupes si courtes. — J’ai pas vraiment eu le choix pour les talons, je n’avais que des tiennes à ma taille. — Et pour le legging, les strings, ta robe rose bonbon, et cette poitrine assez développée. — Le legging je n’ai pas choisi, c’est Sandra qui me l’a imposé, tout comme la poitrine, j’ai emprunté ces soutifs qui sont de cette taille. — Mmh, tu as de bonnes excuses. En tout cas, j’ai hâte d’aller à la plage avec toi ma belle, on va s’amuser !!

Puis elle sort des toilettes pour rejoindre les autres à table. Quelques secondes plus tard, nos plats arrivent. Durant le repas, les filles cherchent comment nous pouvons poursuivre la soirée.
— Les filles, où allons-nous après ? Nous n’allons pas rentrer si vite alors que Laureen a fait tous ces efforts pour être là ce soir, dit Sandra. — On a qu’à aller dans ce petit bar dansant près de la rivière vous savez, suggère Béa. — Et pourquoi pas aller à l’After, c’est une superbe boîte, continue Nina. — Que préfères-tu Laureen ? me demande Astrid.— Euh, je suis pas super chaud pour aller en boîte à vrai dire... — CHAUDE pas chaud déjà, reprend Sandra, et tu as raison, on va garder ça pour une autre fois ma belle. — Alors nous allons au bar de la rivière parfait, dit Astrid.
Une fois le repas terminé, nous prenons la route de ce fameux bar que je ne connais pas.
— C’est loin ? demandé-je rapidement, c’est que vous n’avez pas des talons comme moi. — On est toute en talons, t’avais qu’à pas t’habiller comme une pétasse, rétorque Nina qui sait très bien que je n’ai pas choisi de porter de telles chaussures.
La route me paraît interminable, marcher plusieurs minutes en talons hauts sans jamais s’arrêter n’est pas dans mes habitudes malgré mes entraînements. De plus, ma robe moulante limite mes pas et remonte sans arrêt. Je dois tirer dessus régulièrement pour ne pas avoir vu sur mes fesses. Je regarde Sandra, qui marche devant moi avec Nina, elles ont l’air de bien rire ensemble, et me regardent régulièrement. Moi j’en profite pour mater leur magnifique cul moulé dans leur robe respective. Le bar est maintenant à portée de vue, et semble bien rempli, normal, nous sommes samedi soir, jour de vacances. Les étudiants y vont en nombre. Nous entrons pour chercher une table, sauf qu’il ne reste que des tables hautes, sans tabouret. Je vais devoir rester debout, et supporter les talons encore un moment.
L’ambiance est bonne, la musique agréable. La température commence à monter, et les discussions s’orientent vers le sexe de plus en plus chaque minute. Écouter ces filles parler de sexe ne tarde pas à réveiller la seule chose qui reste de masculin en moi. J’en fais part à Sandra.
— J’ai un problème, je commence à bander fort là... lui dis-je. — Oh oui effectivement, il va falloir faire quelque chose assez rapidement. Viens !
Nous sommes entrées dans les toilettes, et là Sandra m’a embrassée fougueusement.
— Je t’aime Laureen tu sais, et tu me fais aussi beaucoup d’effet ce soir habillée comme ça. — Je t’aime aussi Sandra, mais là il faut faire quelque chose. — T’inquiète, par contre j’ai un deal pour toi. Je te suce pour te faire cracher, mais tu ajoutes ce bijou à ta tenue pour le reste de la soirée.
Et elle sort de son sac à main un objet métallique que je n’ai jamais vu.
— C’est un plug anal, et regarde il y a un joli cœur rose en guise de bijou, accordé à ta tenue.— C’est pour mettre où je pense ? Tu rigoles j’espère ? — Je te laisse le choix, une pipe et le plug, ou rien du tout et ta bite dure visible sous ta robe. — Je ne pense pas avoir vraiment le choix... — Effectivement, allez penche-toi sur le lavabo, les fesses bien en arrière.
Je m’exécute. Après avoir mis une noisette de lubrifiant sur le plug et mon trou, elle commence à l’insérer progressivement. La sensation est nouvelle, mais si bonne. Et d’un coup, je le sens entrer en moi complètement. C’est très particulier, mais pas désagréable non plus.
— Parfait ma belle, tu aimes ? me demande Sandra.— C’est bizarre, mais j’aime bien, je lui avoue.— Super, maintenant lève ta robe et sors-moi ta bite ma chérie.
Sandra s’occupe de moi. Et même si cela ne dure pas très longtemps, on entend les autres qui s’impatientent derrière la porte. Je jouis dans sa bouche et elle avale tout en me fixant.
— Allez rhabille-toi vite !
En sortant des toilettes, des regards se posent sur nous. On aurait dit que tout le bar savait ce qu’il s’était passé à l’intérieur. Nous rejoignons les filles.
— Vous étiez longues, j’espère que vous n’avez pas fait de cochonnerie ? rigole Astrid.— Non il y avait un peu de queues, dis-je pour noyer le poisson. — Pas tant de queues que ça, ajoute Sandra en rigolant.
Je dois maintenant m’habituer à la présence du plug dans mon cul. Je le sens en moi à chacun de mes mouvements, et étant debout en talons hauts, je n’arrive pas à rester immobile. Puis nous voyons une table se libérer, Béa se jette dessus. On s’installe autour sur des chaises. Sauf qu’au moment où je me suis assis, le plug rentre un peu plus profondément dans mon cul. Je ne peux pas m’empêcher de faire un petit cri de plaisir. Les filles n’en perdent pas une miette même si elles ignorent tout de mon nouveau bijou anal à part Sandra.
Le reste de la soirée se passe sans encombre. Je suis beaucoup plus à l’aise, l’alcool aidant, et discute facilement avec les filles. Nous sortons du bar direction de la voiture. Le retour est encore riche en sensation. Cette fois ce n’est plus uniquement les talons et la robe, mais surtout ce plug anal. J’ai la sensation de rouler du cul comme une salope en chaleur. Mais je n’arrive pas à faire autrement. Au milieu du chemin, Nina vient se mettre en côté de moi et me palpe les fesses. Elle sent évidemment le plug.
— C’est bien ce qui me semblait ! Vraiment une sacrée salope celle-là ! me dit-elle.— Comment tu as su ? lui dis-je.— Ta façon de marcher n’est plus la même, tu roules encore plus du cul qu’avant, et ce petit cri quand tu t’es assise toute à l’heure au bar. — Ne dis rien aux autres, c’est déjà assez gênant comme ça stp Nina... la supplié-je.— Je ne dirais rien, à une seule condition. — Vas-y crache ton venin, répondis-je sèchement. — Oh calme-toi, pour la peine je serai encore plus dur avec toi. Alors écoute, Béa, Astrid ainsi que toute la fac ne sauront rien si tu me laisses te prendre avec Sandra. — Comment ça ? — J’ai déjà demandé à Sandra si tu avais le cul plein ce soir. Elle n’a pas su me le cacher. Alors que lui ai avoué que j’adorerai prendre un mec par derrière pour essayer. Et elle a accepté que je participe à une de vos séances sexuelles une fois. — Elle a dit oui ? — Oh oui, et elle en avait envie aussi, je pense. Ça ne se passera qu’une seule fois, ne t’en fais pas. — Mais qu’est-ce qui ne se passera qu’une seule fois exactement ? ne voulant pas comprendre où elle veut en venir. — Bon je vais te dire les choses cash. Sandra et moi on va te baiser comme une salope avec un gode ceinture. — Tu ? Vous ? Attends... — Je te laisse 5 secondes pour réfléchir, après tout le monde saura. 5, 4, 3, 2... — Bon d’accord tais-toi. J’accepte la condition, mais tu ne dis rien à personne. — Promis ma belle, on en reparle plus tard alors.
Et elle accélère pour rattraper Sandra. Elles discutent quelques minutes, je sais pertinemment quel est le sujet de cette discussion. Nous finissons par récupérer la voiture, et nous rentrons chacune chez nous.
Arrivé à l’appartement, je n’ose pas parler de ce deal fait avec Nina, même si nous le savons toutes les deux.
— C’était une superbe soirée, tu as été parfaite, dit-elle en se rejetant dans mes bras. — Oui, c’était sympa malgré tout. Ça fait bizarre de passer une soirée en tant que fille, avec des filles.— Oh, mais rappelle-toi, tu vas passer des vacances en tant que fille donc tu vas pouvoir apprécier ça encore un moment. — Ah oui c’est vrai... Bon, je peux aller me changer et enlever ton jouet de mes fesses ? — Oui, on va se préparer pour aller se coucher.
Ayant éjaculé à plusieurs reprises durant la soirée, je n’ai plus la force de bander. Malgré tout, Sandra n’a pas l’intention de jouer avec ma bite à nouveau. Je me couche en attendant qu’elle finisse de se mettre en pyjama. Puis elle arrive, dans une guêpière très sexy, accompagnée de bas et de ses talons les plus hauts. Elle a aussi en main, un gode, mais pas celui de l’autre jour. Celui-ci est rose et paraît plus gros.
— Ma belle, la soirée est presque terminée, mais avant tu vas me rendre la monnaie. Je t’ai branlé et sucé plusieurs fois, moi je n’ai rien eu ce soir. — Je ne suis pas sûre d’être encore capable de bander chérie aussi... — Je ne veux pas de ta bite, je veux plus gros que ça, et regarde ce que tu vas utiliser.
Elle me tend le gode, il est vraiment gros, ma bite à côté devait être minuscule. Il doit faire entre 20 et 25 centimètres de long pour 4 centimètres de large.
— Tu vas réussir à prendre ça dans ta chatte ? lui dis-je. — Tu vas m’aider pour cela. Commence par me lécher salope !
Elle prend tout de suite le contrôle de moi en s’asseyant sur mon visage. Elle ne porte pas de culotte, j’ai donc accès direct à son vagin. Puis après 10 bonnes minutes, elle m’ordonne de la préparer avec mes doigts. J’insère donc un premier doigt qui rentre sans difficulté, puis rapidement un deuxième, un troisième et enfin un quatrième. Elle est bien ouverte et mouillée.
— Je suis prête ma chérie, mais avant mouille le gode pour qu’il glisse tout seul dans ma chatte ! — Où as-tu mis le lubrifiant ? — Suce-le, ta salive fera l’affaire, en plus tu vas aimer sucer un gros gode ma salope.
Je m’exécute sous son regard, elle continue de se doigter en me regardant sucer le gode.
— Enfonce-le bien au fond de ta gorge ! Il est gros n’est-ce pas ? Tu aimerais aussi te faire baiser par un gros gode comme ça hein ! Allez viens me baiser avec, et ne fais pas dans la finesse, je veux hurler comme une pute !
Elle est dans un état second, chaude comme la braise ! Le gode entre difficilement dans sa chatte pourtant bien préparer. Mais une fois celui-ci entré complètement, je peux commencer des aller-retour. Elle crie de plus en plus fort. Ce monstre est en train de lui faire un bien que je ne pourrais jamais lui procurer. Je la baise du plus fort que je peux, ma bite elle est coincée dans un string, elle n’a même pas la force de bander. Puis vain, le coup final, elle hurle :
— OH OUI JE VIENS ! CONTINUE ! BAISE MOI BAISE MOI BAISE C’EST TROP BON ! AAAAAAAAAAAAAAAH.
Je ne l’ai jamais vue prendre un pied pareil... Elle semble comblée. Elle me remercie, et me dit que mon tour viendra bientôt... Nous nous endormons dans les bras l’une de l’autre après cette folle soirée...
A suivre...
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