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Laureen au grand jour

Chapitre 8

Journée à la plage

Travesti / Trans
Reprise de l’histoire...
Demain, avec Sandra et Nina, nous allons à la plage. Ma nuit est agitée, j’ai du mal à trouver le sommeil. Je rêve, enfin je me fais plein de films sur cette journée. Comment vais-je faire pour cacher mon sexe dans un maillot de bain ? Vais-je assumer de me trimbaler en maillot de bain féminin sur la plage ? Allons-nous rester longtemps ? Toutes sortes de questions sur ce nouveau défi.
Le lendemain matin, je me réveille finalement en pleine forme. Sandra est déjà debout, je suis seul dans le lit. Comme toujours, je dors vêtu d’un string, et rien d’autre, étant donné la hausse des températures ces derniers jours. Je me lève et me regarde dans le miroir de la chambre. J’ai le corps d’une femme sans poitrine, c’est incroyable comme mon corps est féminin. J’enfile un petit short, un petit haut et rejoins Sandra dans le salon. Mais il n’y a personne. J’appelle donc ma douce :
— Allo chérie, où es-tu ? — Désolée ma belle, j’avais un colis à récupérer en point relai, je rentre d’ici 10 minutes ! — Un colis ? T’as commandé quoi encore ? — Tu verras, bon j’arrive, à tout de suite ! — À toute, je t’aime !
Je me fais couler un café en attendant son retour. Quand elle arrive, elle vient m’embrasser comme chaque fois que l’on se retrouve et pose un carton dans l’entrée, sans m’en dire plus. Je sens qu’elle ne veut pas me dire de quoi il s’agit tout de suite.
— Bien dormi Laureen ? Prête pour la journée plage ? — Nuit agitée, mais je me sens bien là. J’appréhende un peu je t’avoue. — Pourquoi ça ma belle ? — Bah j’ai peur qu’on voit que je ne suis pas une vraie femme, je n’aurais pas de maquillage, et j’ai malgré tout toujours une bite ! — À la plage, aucune fille n’est maquillée, et pour ton sexe, ne t’en fais pas, je gère ! — Et pour ma poitrine ? — Je gère aussi chérie !! me rassure-t-elle. Va prendre ta douche, rase-toi de très près et je t’explique après !
Je me douche donc, en profite pour me raser sans laisser le moindre poil sur mon corps. En sortant de la douche, Sandra m’attend. Je reste nu et elle m’emmène dans la chambre. Elle me demande de m’installer sur le dos dans le lit et de me détendre. Elle se déshabille également, et vient se positionner en 69. Je ne m’attendais pas à ça, mais j’apprécie le début de journée. Au bout de quelques minutes, nous sommes très excités et je la préviens et l’envie d’éjaculer arrive. Elle accélère donc la cadence et me fait taire en appuyant sa chatte sur mon visage. La scène me fait inévitablement éjaculer dans sa bouche. Une fois terminé, elle reste assise sur mon visage, je ne vois rien. Elle fait quelque chose avec mon sexe redevenu mou et petit. Je sens qu’elle utilise un objet, je ne sais pas quoi, j’ai sa chatte dans la bouche.
Au bout de 5 minutes, elle se relève et me dit que je suis prête. Que m’a-t-elle fait ? Je me redresse et regarde mon sexe. Je ne comprends pas. J’ai une sorte de cage rose qui emprisonne ma bite.

— C’est une cage de chasteté, comme ça tu n’auras plus de problème d’érection en public. — Qu’est-ce que c’est que ça ? Pourquoi tu m’as mis ça ? — Je viens de te le dire ! répond-elle. C’est une cage de chasteté. Avec ça, tu ne peux plus avoir d’érection. Tu pourras donc porter des robes, des leggings et ton maillot de bain sans crainte ! En plus, c’est une cage qui a un effet aplatissant. — Et pourquoi il y a un cadenas dessus ? — Ah ça, c’est pour être sûr que tu ne l’enlèves pas pour te faire du bien sans moi ! Je garde les clés rassure-toi chérie. — Et je vais porter ça toute la journée là ? — Oui, et certainement plus ! Je viens de la recevoir, avec d’autres surprises dans mon colis, précise Sandra. Tu vas t’y habiter.
Je suis très perplexe à nouveau. On franchit une nouvelle étape dans notre relation et dans ma transformation. Et même si je ne me branle pas souvent seul, j’admets que ça arrive de temps en temps... Là c’est terminé. Sandra m’explique alors la suite des événements. Nous passons prendre Nina vers 11h30 puis on part à la plage en voiture. On s’installe sur nos serviettes et l’on déjeune des sandwichs. Puis l’on passe la journée à discuter, lire, bronzer, et peut-être se baigner. On improvisera la fin de journée. On s’habille donc, sans mettre nos maillots de bain, on se changera sur place, me dit Sandra. Elle me demande de mettre mon string ficelle et un jean par dessus. Je ne comprends pas vraiment vu le temps, mais j’ai compris que je devais écouter.
On récupère Nina, qui a l’air toute contente d’aller à la plage avec nous. Elle commence à nous raconter ses dernières soirées en boîte, les mecs qu’elle a rencontrés, etc.
— Tu sais Laureen, me dit-elle, les talons que je t’avais prêtés font des ravages en boîte ! Par contre, même moi j’avais mal au pied en rentrant ! — Les talons sont géants en même temps, lui dis-je. — Oui, mais tu les as supportés toute la soirée l’autre soir ! — Je m’étais beaucoup entraîné à l’appartement avant, Sandra m’avait aidé ! — Oh oui, elle ne pouvait plus sans lasser le soir, répond Sandra, une amoureuse des talons hauts ! — C’est vrai ça Laureen ? me demande Nina.— Je voulais juste savoir marcher avec pour ne pas avoir l’air bête à la soirée, dis-je même si elles ont raison. — Pas à nous ma belle ! répond Nina.
Une fois garée, j’avais déjà très chaud dans ce jean sous les 25 degrés. J’avais hâte de me changer pour me sentir mieux. Pour l’occasion, je porte de petits talons compensés que je maîtrise facilement. Sandra s’est occupée du sac de plage, avec les serviettes et le repas. On s’installe sur la plage, il n’y a pas encore une foule immense, mais déjà un petit peu de monde est installé. Sandra me tend ma serviette, et me dit que l’on va se changer. Sandra et Nina, visiblement habituées, se changent en quelques secondes. Sandra a mis son bikini blanc, légèrement échancré, mettant bien en valeur ses fesses. Nina a un bikini noir, légèrement échancré également. Puis Sandra me jette le mien. D’abord le haut, assez simple, large et bleu. Sandra s’approche et me dit :
— Tiens, c’est des prothèses qui seront invisibles sous ce maillot de bain et qui te donneront une petite poitrine sexy.
J’enfile donc avec difficulté ce haut de maillot de bain et y glisse les prothèses. Effectivement, on ne les voit pas du tout. Mes faux seins ne sont pas trop gros, ce qui me rassure. Puis Sandra me lance le bas de maillot de bain, bleu également. Je le regarde, il me paraît assez petit et également échancré. J’utilise donc ma serviette pour me changer. Je n’ai pas envie que nos voisins de plage voient mon string sous mon jean. Une fois nu, je commence à mettre ce bikini, mais très vite en le remontant le long de mes jambes rasées, je comprends qu’il s’agit d’un string aussi ! Je vais porter un string à la plage !!!!
— Vous êtes sérieuse les filles là ? — Que se passe-t-il ? demande Nina, le sourire aux lèvres.— C’est quoi ton maillot de bain que tu as acheté ? — C’est un bikini string, pour éviter un maximum les taches de bronzage, me répond-elle. — Pardon ?
Et là, j’ai réalisé quelque chose qui m’avait échappé : le bronzage. Même si l’on n’est pas en plein mois d’août, le soleil tape déjà et l’on risque de bronzer aujourd’hui. Je vais donc avoir les marques du soutien-gorge et du string sur le corps ! Je me regarde, et je ne peux pas faire semblant de ne pas trouver ce bikini très sexy ! Heureusement que ma bite est enfermée, car j’aurais immédiatement bandé. Je comprends maintenant pourquoi Sandra a voulu que je mette un string minuscule et un jean : pour être sûr que je ne reste pas habillé et que je sois dans ce petit bikini toute la journée. Je n’ai pas le choix, impossible de rester en jean ici !
Je reste les premières minutes allongé sur le dos, afin que personne ne voie mes fesses à l’air. Mais très vite, j’ai envie de me relever, de me retourner. Les filles elles sont à l’aise, elles discutent de tout et de rien. Inévitable, je m’assois, mes fesses ne sont pas encore trop visibles comme ça. J’intègre la conversation et commence à oublier la situation dans laquelle je me trouve. Nous mangeons notre pique-nique tout en discutant de banalité.
— On va mettre nos pieds à l’eau ? propose Sandra.— Allez, répond Nina en se levant.— Euh... Je vais rester là moi, je préfère.— Allez Laureen viens, personne va te manger !!!
Je ne vais pas rester assis toute la journée. Surtout qu’à la plage, je n’aime pas rester trop longtemps sans rien faire. Je me lève donc, essaye d’élargir au maximum le string à l’arrière de me fesses en vain, celui-ci vient reprendre sa place entre mes fesses... Je marche donc timidement la vingtaine de mètres qui nous séparent de l’eau. Je ne sais pas où regarder, comment me placer pour qu’on ne fasse pas attention à moi. Cela fait rire les filles qui me rassurent :
— Plus tu vas bouger, plus les gens vont te remarquer ! dit Sandra.— Elle a raison, fais comme si de rien n’était et tu te sentiras mieux, ajoute Nina.
Je finis par me sentir un peu plus à l’aise, mais c’est bien pire que d’être en robe et talon pour moi. Je me sens quasiment nu dans cette "tenue". On bronze, lit, discute le reste de l’après-midi. Je me suis même assoupi quelques minutes sur le ventre à un moment. A 17h30, la température commence à descendre. Il est l’heure pour nous de partir de la plage. Nina nous propose de faire un tour dans le petit centre-ville pour prendre un truc à manger et se balader. J’accepte et demande mon jean à Sandra.
— Tu vas pas remettre un jean, il fait pas si froid que ça ! Tiens je t’ai pris une de mes robes de plage !
J’attrape cette fameuse robe, l’enfile et comprends pourquoi c’est une robe "de plage". En fait, c’est une robe en maille assez grosse, qui ne cache pas totalement le maillot de bain en dessous. On devine donc j’ai un bikini string dessous. Mais à vrai dire, cela ne me dérange pas tant que ça ! Je suis depuis des heures juste en string donc ce n’est pas gênant. Mais c’est assez excitant, et cette cage commence à être contraignante. J’ai vraiment envie de me soulager.
On fait le tour du centre et l’on se mange une glace. Nina ne peut s’empêcher :
— On voit que tu es à l’aise pour lécher cette glace Laureen ! — Qu’est-ce que tu essayes de dire ? demandé-je bêtement. — Arrête de faire ta vierge coincée, je sais que tu aimes sucer de gros gode, et pas que !

Je fusille Sandra du regard en comprenant qu’elle lui a tout raconté de nos ébats récents. Elle ajoute :
— Laureen, on sait toutes les trois que tu as promis quelque chose à Nina lors de notre soirée fille ! — Ah... Oui, mais... C’était pas vrai n’est-ce pas ? ai-je dit en bégayant.— Oh que non ce n’était pas une blague ou autre ma belle, dit Nina, on va se faire plaisir avec toi dans peu de temps, pas vrai Sandra ? — Tu dois tenir ta parole Laureen, et je sais certainement que tu vas adorer ça !!
Se retrouver devant sa copine et sa meilleure copine, en femme, quand celle-ci te disent qu’elles vont te baiser toutes les deux aux godes ceintures c’est très perturbant. Mais je veux aussi bander très fort à ce moment-là. Sandra a raison, j’attends malgré moi ce moment où elles vont me baiser. J’avais ce fantasme du plan à trois, différemment certes. Cependant, ce plan à trois là me plaisait énormément aussi ! — Allez mes petites coquines, dit Nina, on rentre, on se revoit bientôt de toute façon...
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