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Laureen au grand jour

Chapitre 10

Le petit jeu

Travesti / Trans
En sortant du restaurant, nous sommes toutes les deux très excitées, le repas ne nous a pas refroidies depuis notre petit moment sous la douche. L’effet qu’a ce plug anal est fantastique. On le ressent à chaque pas, à chaque mouvement, à chaque instant. Il crée une certaine excitation continue qui s’amplifie, et le fait de partager cela avec quelqu’un rend l’expérience encore plus bandante (enfin ce n’est pas le bon terme vu ma cage qui empêche ma bite de gonfler).
De retour à la maison, ni une ni deux l’on se jette inévitablement l’une sur l’autre, on s’embrasse... Tout est merveilleux. Elle joue avec mon plug et joue avec le sien, puis je ne peux pas m’empêcher d’insérer mes doigts dans sa chatte tellement humide. Elle aime ça, je le sens, je lui fais un bien fou avec mes doigts. J’arrive même à lui en mettre quatre assez rapidement, sa chatte est comme son cul : bien dilatée, bien ouverte. Il fut un temps, je l’aurais baisée avec ma bite, et finie en levrette. Cependant, malgré ma grosse envie de la prendre, c’est impossible.
— Putain, mais comment j’ai envie que tu me baises, me dit-elle.— J’ai trop envie de te prendre aussi putain c’est dur !! — Baise-moi avec un gode, quelque chose, je n’en peux plus là, s’il te plaît Laureen !!
Je suis partie quelques secondes chercher le plus gros des godes que l’on avait, le rose que j’avais déjà pris dans le cul.
— Fourre-moi la chatte avec Laureen vas-y !!
Elle a toujours le plug anal, et j’y ajoute un gode de taille conséquente dans sa chatte, et elle adore ça ! À vrai dire, moi aussi ! Après ce moment d’extase, nous nous sommes effondrées sur le lit, Sandra, la chatte détruite. Elle a joui comme rarement je l’ai vu ! Nous sommes à bout de forces, et pourtant, ce n’est que le début de l’après-midi. On est restées dans le lit, pour reprendre nos esprits et nous reposer.
Vers 17h je me lève, je remets un string et vais boire un verre de jus de fruits. Sandra me rejoint un petit temps après.
— C’était fou Laureen, merci pour l’orgasme de feu ! — J’ai pris un plaisir immense aussi ma chérie. — Tu es sexy juste avec ton string ! — J’avais chaud, donc je ne me suis pas rhabillée.
Elle vient derrière moi pour vérifier si j’ai encore mon plug dans les fesses, ce qui est le cas. Je suis assez soumise à Sandra quand elle me fait quelque chose. Elle ne m’a pas dit de l’enlever donc je l’ai gardé.
— Tu apprécies avoir le cul plein ma belle, non ? me demande-t-elle.— Ce n’est pas désagréable en réalité, au contraire c’est même assez excitant.
— Je suis d’accord, il m’a beaucoup excitée aujourd’hui, la prochaine fois je prendrai la taille au-dessus. — Je te le donne quand tu veux, lui dis-je.
Après un petit moment, et après m’être habillée d’une jupe évasée et d’un petit haut simple, Sandra me dit :
— Aimes-tu toujours les défis ? — J’aime toujours, à quoi tu penses chérie ? — OK, alors si tu acceptes le défi, dès que tu n’as plus ta cage, je te laisse me prendre par le cul ? — Alors là je suis d’accord, j’accepte sans réfléchir. — D’accord, alors je t’explique petite coquine : Première chose, à partir de maintenant tu chausses les escarpins de Nina, que tu n’as pas le droit de retirer sauf pour dormir. Deuxième chose, à l’appartement tu ne portes plus de string, uniquement pour sortir. Troisième chose, jupe ou robe obligatoire. Quatrième chose, lingerie sexy obligatoire, c’est-à-dire corset, guêpière, ou porte-jarretelles avec des bas. Et enfin dernière chose, pour finir en beauté, si tu veux t’assoir ça sera toujours sur ce siège.
Et là elle me sort le fameux gode rose avec lequel je l’ai baisée.
— Comment ça sur ce siège ? je dis-je très surprise. — C’est simple, dès que tu t’assois, que ce soit sur les chaises, le canapé ou ailleurs, tu te mets le gode au fond de ton petit trou. D’où le fait que tu ne portes plus de string, histoire d’avoir un accès direct. — Mais, il est énorme, et quand on mange, je vais devoir l’avoir en moi aussi ? — Bien sûr, donc soit tu t’assois sur ton gode, soit tu restes debout sur tes talons hauts, qu’en penses-tu ? — C’est chaud ce que tu me demandes là... — Mon cul se mérite ma chérie, me dit-elle fière d’elle. — Combien de temps dure ce petit jeu ? — Disons 48h à partir de maintenant.
Je ne sais pas quoi répondre à ça. D’un côté, j’ai l’impression que je n’arriverai jamais à accepter tout ça, d’un autre je me dis que c’est une expérience unique.
— OK, c’est d’accord, je relève le défi. — Très bon choix, alors c’est parti, je vais t’aider à te changer.
Je la suis jusqu’à la penderie. Je me déshabille entièrement, y compris le plug anal. Une fois nue, uniquement "vêtue" de ma cage de chasteté, Sandra me donne une guêpière rouge avec des jarretelles, ainsi que les bas noirs qui vont avec. Elle me fait directement enfiler les escarpins que je n’ai pas portés depuis la soirée entre filles. Puis elle me donne une robe rouge lui appartenant, courte et volante. C’est une drôle de sensation de ne pas avoir de string, je ne me sens pas très à l’aise, en plus du reste qui ne m’est pas familier depuis ma transition. J’ai également du mal à marcher avec des talons si hauts. J’ai remarché en talons depuis, mais jamais avec une telle hauteur et si peu fins.
— Te voilà prête pour ces prochaines 48 heures, tu te sens comment ? — Pas très à l’aise sur ces talons, faut reprendre le pas. — Ça ne va pas tarder tu verras, bon allons préparer le repas pour ce soir.
On va en cuisine et commence à découper des légumes, je récupère des choses dans les étagères hautes, remontant ma robe et laissant mes fesses à la vue de Sandra qui n’en loupe pas une miette. Une fois la cuisine terminée, viens le moment de manger, et là, grosse angoisse : s’assoir sur le gode ou manger debout sur ces talons de 12,5cm ?
— Je te vois hésitante Laureen, tu as peur pour ton joli petit cul non ? — Je ne suis même pas sûre de réussir à me le rentrer dedans entièrement, je peux prendre du lubrifiant au moins ? — Oui bien sûr, je ne suis pas non plus si méchante, va chercher le tube dans le tiroir de la chambre.
Je mets une bonne noisette sur le gode, une petite également sur mon cul en y insérant un doigt qui rentre sans le moindre problème. Le port du plug m’a bien préparée à ce défi ! Puis je place la base du gode sur ma chaise et commence à m’assoir dessus. Il me pénètre difficilement mais glisse jusqu’à la moitié.
— Encore un petit effort Laureen et tu pourras poser des fesses sur la chaise et reposer tes pieds de ces talons. — Je regrette presque d’avoir accepté ton défi, où trouves-tu toutes ces idées ? — Je suis pleine de ressources, allez laisse-toi pénétrer jusqu’au bout ma coquine.
Dans les secondes suivantes, je réussis à m’assoir entièrement sur ce gros gode. Je suis complètement pleine, c’est une toute nouvelle sensation. Ma bite essaie d’ailleurs de gonfler dans sa cage, preuve que j’aime la situation. Enfin assis, nous commençons à manger, je n’ai pas un grand appétit, mon esprit étant perturbé par mon cul.
Après avoir mangé, je me lève doucement pour débarrasser, cela me fait du bien de ne plus avoir un gode au fond de mon cul, mais je ressens aussi un vide, l’équilibre n’est pas très stable sur mes talons et mon anus douloureux. Une fois terminé, Sandra me propose :
— Et si on se faisait une petite séance au cinéma ? Ça fait un moment qu’on n’a pas été voir un film ensemble. — Oui pourquoi pas, mais je dois garder mes talons pour y aller ? — C’est dans le défi, tu ne peux les retirer que pour dormir rappelle-toi ! — D’accord, allons-y alors, tu sais ce qu’on regarde ? — Oui, t’inquiète, il y a un petit film tu vas adorer aussi ! Allez, prends ton sac à main, mets une petite veste on s’en va !
Me voilà donc, dans ma petite robe, ma lingerie sexy et mes escarpins à suivre ma chérie au cinéma. Elle porte également une petite robe similaire à la mienne, mais elle, elle a mis un collant et des baskets blanches. Dans la voiture, je me rends compte que je n’ai pas mis de string, je suis nue sous ma robe, j’espère ne pas me faire remarquer.
En arrivant sur place, on prend nos places sur les caisses automatiques. Cela fait un moment que je n’étais pas sortie dans une tenue si sexy en public. Et les talons hauts qui résonnent dans le hall me donnent l’impression d’être matée et jugée par toutes les personnes présentes. Je ne suis définitivement pas à l’aise, et cela semble faire beaucoup rire Sandra qui s’éclate de son côté. Évidemment on prend du pop-corn pour la séance avant de se diriger vers notre salle. On s’installe dans un coin en haut, histoire d’être tranquilles et à l’écart, la salle n’est pas pleine mais il y a quand même un petit peu de monde. Au moment où j’allais m’assoir à côté de Sandra, elle me stoppe :
— Attends, n’oublie pas ça Laureen ! dit-elle en sortant le gode de son sac à main. — Pardon ? Cache ça, et non je vais pas m’assoir dessus ! — Oh que si, c’est le défi tu vas le faire ! — Non s’il te plaît, le film doit durer deux heures, je vais avoir le cul défoncé à la fin ! — J’espère bien que oui, tu as accepté les règles, faut assumer ses paroles ma chérie.
Par peur que les autres personnes n’entendent notre conversation, j’attrape le gode et le place sur mon siège, avant de commencer à m’assoir rapidement dessus. Je comprends que je me suis fait piéger par Sandra qui avait parfaitement prévu son coup. Je vais être pénétrée par ce gros gode durant plus de deux heures, sans pouvoir bouger. Le film n’a même pas encore commencé, il y a les bandes-annonces qui doivent encore passer et j’ai déjà les fesses en feu. Ce n’est pas une douleur que je ressens, mais une excitation, mélangée à une honte, qui fait que je prends un plaisir immense à me retrouver dans cette situation.
Je n’arrive pas à rester immobile durant le film, ce qui fait que le gode bouge continuellement en moi. J’ai dû mal à retenir mes cris de plaisir d’ailleurs. Mais je ne peux pas, il y a trop de monde, je suis encagé, dans une petite robe, des talons hauts, maquillée et surtout baisée par un gode de plus de vingt centimètres dans mon cul...
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