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Laureen au grand jour

Chapitre 11

Mon anus

Travesti / Trans
J’appréhende la fin du film. Certes, ce gode enfoncé dans mon fondement me procure un bien fou, mais me détruit également le cul. J’essaye de me concentrer sur le film, mais Sandra n’est pas à fond dedans non plus et vient régulièrement sur moi m’embrasser, ce qui m’excite d’autant plus, mais aussi ajoute du poids sur mon cul qui se laisse pénétrer davantage.
Une fois les 2h30 écoulées, le générique de fin s’affiche et les autres personnes commencent à quitter la salle. J’hésite à me lever, j’en ai envie, mais si quelqu’un passe et voit le gode rose sortir de mes fesses ? J’attends quelques minutes jusqu’à me sentir en sécurité sur ce point, et me lève. Le gode glisse doucement en dehors de mes fesses et les libère. Quelle drôle de sensation, j’ai l’impression d’être complètement ouvert. Je donne le gode à Sandra qui le replace dans son sac à main tandis que je retrouve mon déséquilibre dû à mes talons que je porte depuis quelques heures maintenant.
— Comment tu te sens ? me demande Sandra.— Ouverte au maximum... — Tu m’étonnes coquine, j’ai jamais été pénétrée si longtemps que ça, même pas la moitié, encore moins dans le cul. — Parle moins fort, y a encore du monde !!! — Ne t’en fais pas ma chérie.
Nous quittons le cinéma pour rejoindre la maison. Heureusement, je ne conduis pas, avec ces talons, c’est encore impossible pour moi. Nous rentrons vers 23h30 chez nous, je suis éclatée de ma journée et Sandra aussi visiblement. On décide donc d’aller se coucher, demain c’est samedi, le dernier week-end avant la reprise des cours.
Je déchausse enfin mes escarpins pour mon plus grand bonheur, enfile une petite nuisette rose bonbon avec de la dentelle. Je ne peux pas mettre de string, c’est dans le défi, ce qui ne m’enchante pas, car je n’aime pas dormir "nu". Nous trouvons assez rapidement le sommeil.
Le lendemain matin en me levant, mon anus me rappelle la longue séance de cinéma que j’ai vécue : j’ai mal au cul comme je n’ai jamais eu, et dire qu’il reste encore plusieurs heures de défi. Je me lève, mes pas sont difficiles, c’est donc ça, le réveil pour une femme qui a baisé toute la nuit, me dis-je. Alors que je vais quitter la chambre, Sandra m’interpelle :
— Où tu vas comme ça ? Tes escarpins Laureen ! — Dès le matin comme ça ? En plus j’ai super mal aux... aux fesses... — Oui dès le matin, ce n’est que le début chérie, pareil pour tes petites fesses douloureuses.
A contrecœur, j’enfile donc ces talons hauts, à peine réveillée, et pour le reste de la journée... Je vais me faire un café en nuisette, mais reste debout pour le boire, je ne suis pas prête à m’asseoir à nouveau. Sandra se lève également, prend aussi son café et déjeune, assise à côté de moi, sans rien dire, mais fière d’elle vu son regard.
— Au fait, Nina rentre dans l’après-midi de chez ses parents ! — ENFIN ! Être prisonnier de cette cage commence à être long pour ma bite. — Arrête, tu as pris encore plus de plaisir depuis que tu la portes que dans toute ta vie je suis certaine !!
— Peut-être pas plus, mais beaucoup oui, j’ avoue. — Bon allez, en attendant ce soir pour voir Nina, journée shopping entre filles ? — Encore ? On a plus beaucoup de sous Sandra pour finir le mois, tu le sais très bien...
Elle ne me répond même pas et file dans la salle de bain, se déshabille entièrement devant moi et file se doucher. Je me douche à mon tour, en profitant pour enlever quelques instants mes escarpins. En sortant de la douche, je trouve ma serviette et juste mes chaussures à disposition. Je comprends que je dois les mettre avant même de m’habiller. Puis je pars dans la chambre où Sandra m’attend.
— J’ai décidé de choisir ta tenue pour aujourd’hui, ça ne te dérange pas ma belle ? — Est-ce que tu me laisses vraiment le choix là ? — Tu as raison, non tu n’as pas le choix. Enfin si, tu as deux choix qui s’offrent à toi. Première possibilité, je te propose de remettre le legging du bowling de la dernière fois, avec ce petit haut et le perfecto. De ce fait, tu devras mettre ce mini-string blanc. Ou alors tu peux mettre cette minuscule jupe plissée, sans string, et ce chemisier. — Pas facile comme choix, mais du coup, si je choisis le legging, il n’y plus la possibilité de m’asseoir sur le gode si je m’assois ?
Je suis content de moi. J’ai trouvé une faille pour reposer mes petites fesses, malheureusement, Sandra n’est pas née de la dernière pluie et a anticipé ma question.
— Effectivement, pas de gros gode dans ton cul lorsque tu t’assois, mais du coup tu porteras ceci jusqu’à notre retour à la maison.
Et là, elle ouvre le tiroir juste à côté d’elle et en sort un plug. Je le reconnais, enfin j’ai déjà vu ses petits frères. Là, il s’agit très certainement de la taille L parmi les trois.
— Il est énorme !! dis-je surpris.— Non, certes il fait six centimètres au plus large contre cinq pour le gode, mais il est beaucoup plus court. Alors tu as fait ton choix ?
Je suis face à un dilemme énorme : porter un gros plug, mais ne pas avoir à m’asseoir sur le gode qui m’a défoncée la veille ? Porter un legging plutôt qu’une minijupe qui doit à peine couvrir mes fesses nues ? Je suis bloqué, je ne vois pas de meilleure issue.
— Euuuh, c’est très compliqué comme choix là. — Je te laisse encore quinze secondes après je fais un pile ou face. — Fais-le tout de suite, au moins je ne vais pas avoir de regrets ou de remords. — Comme tu le souhaites ma balle, pile pour la première tenue, face pour la seconde.
Sandra trouve une pièce, me regarde et lance la pièce avec son pouce. Elle la rattrape, retourne la pièce sur sa main gauche et on découvre ensemble le résultat :
— PILE !!! hurle Sandra. C’est la tenue du plug ! — Je ne sais pas encore si je suis chanceux ou pas là. — Pour être honnête avec toi, tu ne pouvais pas être chanceux pour ce coup-là, et c’est naturellement fait exprès ma chérie. Allez attrape tes fringues, n’oublie pas le plug, et le lubrifiant et va te changer.
Je prends en main ma tenue complète du jour et commence à stresser. Je peux le faire, j’ai déjà fait pire, je pense : j’ai bronzé en string toute une journée à la plage, j’ai fait du sport en legging, puis me suis fait baiser par un plug sous la douche, j’ai porté une minirobe rose toute une soirée en talon haut, donc la fin avec un plug aussi dans le cul... Je suis préparé à vivre ça, et je dirai même à l’apprécier. Un sursaut de confiance m’envahit, mais celui-ci redescend vite quand je prends le plug en main et que je commence à me l’introduire dans l’anus. J’ai encore des séquelles de la veille, il est plus large et je sais que je vais le garder plusieurs heures !
Au bout de cinq minutes, je réussis à me l’introduire, non sans mal, mais une fois en place, cela me fait malgré tout du bien. Je mets le mini-string ficelle blanc qui remonte sur mes hanches, un soutif assorti avec mes faux seins également. Je passe ensuite le haut, qui est un croc-top ne couvrant rien de plus que mon soutien-gorge, et laissant largement mon nombril à l’air. Il ne me reste que le legging à mettre, mais pour cela je dois retirer les chaussures pour les remettre ensuite. Je monte donc ce legging jusqu’au maximum et me regarde dans la glace : le string n’est pas visible, mais à la limite. Le plug lui est totalement invisible, et l’on devine, en faisant très attention, que j’ai une cage. Mais seul un connaisseur peut s’en rendre compte, je pense.
Pour compléter ma tenue, je remets mes escarpins. Ce legging assorti aux chaussures à talons hauts me fait vraiment un sacré cul, et j’ai la sensation d’avoir pris des hanches en plus de cela. Sandra elle s’est également habillée de manière assez sexy : elle a mis la jupe plissée que j’aurais dû mettre avec le chemisier, avec un string en revanche. Elle chausse également des talons, plus précisément des sandales à lacet de huit ou dix centimètres à vue d’œil. Nous terminons notre tenue avec le perfecto pour moi, et une veste pour Sandra...
— Où va-t-on exactement ? je lui demande pendant que nous allons jusqu’à la voiture.— Au centre commercial de l’autre côté de la ville, et ne t’en fais pas pour l’argent, je gère pour le coup. — Si tu le dis, je te suis ma chérie.
En montant en voiture, le plug me rappelle sa présence, me forçant à lâcher un cri de plaisir incontrôlé. Une fois arrivée sur place, j’ai le coup de stress habituel de mes sorties en public. Je me sens à chaque fois très sexy, et c’est parce que c’est le cas, et du coup très observée, ce qui est le cas aussi. Heureusement, après avoir passé deux semaines entières dans la peau d’une femme, je commence à être parfaitement crédible, mon maquillage s’affine, ma gestuelle est très féminine et ma démarche en talon est millimétrée.
— Bon ma chérie, si je t’ai emmenée faire du shopping, c’est pas juste pour prendre l’air et dépenser des sous. Il nous faut une tenue adaptée pour ce soir. — Comment ça ce soir ? On a rien de prévu ce soir ?— Tu ne m’as pas écoutée ou quoi, Nina est de retour, c’est la fin des vacances et tu as une parole à tenir auprès de nous pour notre silence, enfin surtout le sien. — Tu veux dire que c’est ce soir que...? — Oui, c’est ce soir qu’on s’occupe de toi, et plus principalement de ton joli petit cul ma chérie. — Et pourquoi une tenue pour ce soir je ne vois pas le rapport ? — Ah toi tu n’es pas encore une vraie femme, mais ça va venir : une femme, lorsqu’elle a un rendez-vous important, notamment un plan cul comme ça, elle se fait belle, plutôt sexy, de la lingerie adaptée, etc. — Que veux-tu me faire acheter de plus ? — Suis-moi, on va chercher ce qui serait idéal pour toi.
Je suis complètement désemparée par cette nouvelle... Je ne pensais pas que ça serait réel un jour. Comment ça va se passer ? Où ? Que vont-elles me faire ? Vais-je aussi les baiser ? Beaucoup trop de questions à mon cerveau sont arrivées en trop peu de temps.
Je rejoins Sandra, après mon moment d’égarement. On est dans un magasin pour femme évidemment. Sandra regarde différents modèles de robe, toutes aussi belles les unes que les autres, mais aussi toutes aussi sexy. Elle commence même à en sélectionner quelques une sans me dire un mot. D’ailleurs, pour qui sont-elles ? Elle ou moi ? Je regarde également les robes du magasin en essayant de ne pas refaire comme la première fois où j’en avais pris une très sexy. Mais j’aime quand c’est sexy, moulant et court. J’en prends même une, une robe noire, assez simple, pas la plus courte ni la plus moulante, sexy, mais pas trop non plus. Lorsque Sandra me rejoint, elle me dit :
— Tu te prends pour une grand-mère maintenant ? Allez arrête de faire ta coincée, alors que t’es en talons hauts, legging archi moulant laissant dévoilé ton string quand tu te baisses. Allons essayer les robes que je t’ai choisies.
Dans la cabine, elle me tend une première robe, rouge, courte, moulante, avec des manches longues. Elle me va merveilleusement bien et me fait un superbe cul. Puis j’essaye une seconde robe, cette fois-ci couleur corail d’après Sandra. Très osée également, mais nous ne sommes pas certains de la couleur. Pour finir, elle me donne une robe rose, plus claire que celle que j’ai choisie la dernière fois. Les fines bretelles tombent parfaitement sur mes épaules, mes fesses sont bien mises en valeur, et ma fausse poitrine également.
— Décidément le rose te va à merveille, une vraie Barbie, lance Sandra. — Tu es sûre que ce n’est pas trop...— Salope ? Si terriblement, mais du coup parfaitement adapté à notre soirée, allez rhabille-toi, donne-moi la robe je vais payer.
Elle a raison, j’ai l’air d’une pute même dans cette tenue...
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