Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 12 J'aime
  • 2 Commentaires

Laurence se déchaine

Chapitre 10

Pour bien entamer le Week End

Voyeur / Exhibition
— Que diriez-vous de continuer notre soirée dans le salon ??? Propose Jean-Marc.Laurence approuva sa proposition, alors qu’Anaïs paraissait ailleurs.— Allez, frangine, rentrons. Nous serons mieux à l’intérieur... Dit Laurence.

Laurence prit sa sœur par la main, et l’attira jusqu’au salon. Pour s’asseoir dans le canapé-lit, alors que Jean-Marc, après les avoir déshabillés du regard, débarrassa les quelques bricoles encore sur la table.

Les deux sœurs s’étaient affalées dans le canapé, Laurence dans sa mini robe turquoise, les jambes largement ouvertes, afin d’offrir un spectacle de qualité, à Jean-Marc, l’entrejambe en tulle de sa petite culotte, qui lui était assis dans le fauteuil.Anaïs, elle, se relâchant, était légèrement en biais de Jean-Marc, faisant face à sa sœur, les jambes ouvertes, lui offrant un entrejambe blanc, de lycra. Mais ne pouvant être vu par Jean-Marc.

Ce dernier, qui avait son regard accroché à l’entrejambe en tulle de Laurence, fut surpris lorsque sa nièce, Marine, qui les rejoint, restant debout, appuyée au dossier du fauteuil, noua ses bras au cou de son oncle, lui faisant un bisou appuyé sur sa joue droite.Alors que sa mère et sa tante discutées, Marine en profita pour lui glisser quelques mots à l’oreille.— J’ai envie de te sucer, devant tantine, mon gros cochon... Il est tant que je m’occupe de maman... Je reviens...

Puis elle se redressa, retournant dans la chambre, après avoir pris un verre.— Man, je vais te donner tes médicaments, c’est l’heure, dit-elle !!!— Merci, ma chérie... Qu’est-ce que je ferai sans elle ? Elle est très attentionnée, avec moi... Dit Anaïs... Puis reprenant sa conversation avec sa sœur, sans même se rendre compte de la position de jambes de son beauf.

Position, dont Laurence, elle, avait flashé dessus. Jean-Marc, qui avait sa sortie de bain, tabac, jambes grandes ouvertes, laissant s’échapper du tissu éponge, son membre en érection, qu’il offrait à qui voulait le croquer.Des yeux, naturellement !!!Sur ces entre-faits, Marine revint avec son verre d’eau et les cachets pour sa mère.
Restant debout, aux côtés de sa tante, en s’appuyant à l’accoudoir du canapé, frôlant le bras de cette dernière, elle se pencha en avant.Pour tendre le verre et les cachets à sa mère, offrant son fessier nu de tout vêtement, au nez de sa tante, qui ne pouvait pas en être indifférente. Discrètement, la main droite de Laurence, vint lui tapoter ses joues fessières, alors que Marine gardait la position.Anaïs, elle, avait une vue sur sa poitrine, où ses mamelons roses pointaient d’excitation.— Marine, tu pourrais mettre une tenue plus convenable que ça !!! Lui dit sa mère.— Mais tonton et tantine ne sont pas des étrangers, ils m’ont vue nue depuis mon plus jeune âge... Répondit Marine, qui se redressa, regardant sa mère.

Très rapidement, Anaïs sombra dans un sommeil, la laissant en semi-comas, que déjà, Laurence, activa cette main droite, dans l’entrecuisse de sa nièce.En venant visiter sa raie fessière, jusqu’à son anus dilaté, où elle lui enfila son pouce, l’obligeant à se cambrer, et surtout, à ouvrir ses jambes.Marine, regarda longuement sa tante, complice et consentante, se mordant la lèvre, haletante. Tout ceci sous le regard intéressé de Jean-Marc, qui lui bandait, offrant en totalité son membre.

Laurence, elle, continuant à la doigter de l’anus, la regarder réagir.— Tu m’as l’air de faire une sacrée salope... Ton petit copain ne doit pas s’ennuyer avec toi ??? Dit Laurence.

— Ah !! Laissa échapper Marine... Je... Ah...— Tu aimes ça, on dirait... Dit Laurence, excitée ???— Oui... Hum... Encore... Je n’ai pas de petit ami... Je... Hum... Je veux être libre... Chouina Marine, haletante !!!— Qu’as-tu donné à ta mère ??? Lui demanda Laurence.— Quelques gouttes de plus que d’habitude... Hum... Tantine, baise-moi, j’adore me faire doigter... Ah... Ouiii... Encore... Dit Marine.— Ton oncle et moi, nous allons nous occuper de toi... Dit Laurence. Et ta culotte, elle est où ???

Alors que la main de Laurence s’activait de plus belle, ayant laissé son pouce dans cet anus dilaté, elle joua du reste de ses doigts, au moins trois d’entre eux, qui n’eurent aucune difficulté à se glisser entre les parois glaireuses de sa vulve.Marine tournait le dos, s’agenouillant devant la table de salon, pour lui faciliter l’accès à ses orifices, Laurence se leva, pour se placer à sa gauche et mieux la doigter.

À tout cela, Marine ne pouvait répondre à la question de sa tante, haletante, totalement offerte aux envies de celle qui allait la défoncer à en perdre haleine.

Laurence s’en amusait, elle continua à la doigter, sans aller jusqu’à l’orgasme, puis cessant d’un coup, elle la fit cambrer, afin qu’elle lui offre ce beau petit cul, et d’un geste assuré, elle la fessa généreusement, pour une cuisante correction.Marine ne bronchait pas, elle savourait cette activité sur son cul dilaté, elle ne lâchait plus le membre de son oncle, qui n’attendait qu’une seule chose, se faire sucer.

Alors qu’Anaïs, totalement affalée dans le canapé, jambes ouvertes, offrant son lycra blanc, bouche grande ouverte, ronflant à pleine gorge.Jean-Marc profita de sa position pour se lever et venir debout au-dessus du visage d’Anaïs, lui glissant sa tige dans sa bouche, et oscilla doucement, afin de voir sa réaction, sous le regard de Laurence et Marine.La tante et la nièce sont debout, face à face. Laurence la dénude totalement, découvrant sa nièce dans ce corps de jeune femme, qu’elle était devenue.Marine lui retira sa mini-robe, pour la laisser en petite culotte de tulle blanche.

Sans en attendre la demande de Laurence, Marine joua de ses doigts experts en caresses féminines, avec ses mamelons qui pointaient de désirs, pour les faire tourbillonner entre son index et son pouce, les pincer, les étirer, tout ceci sans la quitter des yeux, dans l’attente d’une grimace de douleurs.Il n’en était rien pour Laurence, qui au contraire, appréciait cette maltraitance, de plus encore, pratiquée par sa nièce, haletante, yeux mi-clos, s’abandonnant à sa perversion.Puis à son tour, Marine arrêta sa caresse.— Tu sais, tantine, que ta sœur adorée a un goût prononcé pour le sexe féminin ??? Elle m’a confié que tu jouais avec elle, à l’adolescence... C’est vrai ??

Laurence ne dit rien, mais c’est vrai, qu’à l’âge de 15, 16 ans, elles avaient quelque peu commencé leurs sexualités, à se faire du bien, le soir. Partageant la même chambre.

Entre temps, alors que Jean-Marc continuait à osciller dans la bouche d’Anaïs, c’est Marine qui fit coulisser le zip de la sortie de bain rose, que portait sa mère.Offrant une poitrine plus volumineuse que celle de Laurence, mais plus retombante, les mamelons marron pointaient malgré eux.Son lycra blanc laissait échapper quelques poils de son abondant duvet brun, alors que ses lèvres vulvaires se dessinaient au travers de son entre-jambe, souillant le tissu d’une auréole jaunie.— Regarde comme elle est belle... Ça me donne envie, pas toi ??? Dit Marine.

Laurence regardait ce spectacle qu’offrait Anaïs, envieuse, elle était, mais allait-elle pouvoir faire le pas ??? En sachant qu’elle était gênée de devoir le faire devant sa nièce et son mari.Mais après tout, Jean-Marc avait glissé sa queue dans sa gorge, sans lui avoir demandé son avis. Là, elle dormait profondément, pourquoi pas la soulager.

— Allez, Tantine, tu en meurs d’envie, fais-toi plaisir, et en plus, man va apprécier. Lui dit Marine, ayant sa main gauche sur l’entrejambe du tulle bien humide, lui caressant.

Laurence, sans un mot, après un regard à ses deux compères, vint s’agenouiller entre les jambes de sa sœur.À la demande de son mari, elle lui retira son lycra, dévoilant un épais duvet brun, sous lequel se dissimulaient ses grandes lèvres ruisselantes de glaire toute fraîche, et pointait d’une couleur rosâtre, celui qui va bientôt la faire jouir, malgré elle, son clitoris, un véritable petit pénis.Marine se pencha, sur sa tante, en lui glissant à l’oreille.— Man adore se faire fister... À bon entendeur... Dit-elle !!!— C’est de famille... Tu vas te régaler avec ta tante, elle affectionne ça... Lui dit Jean-Marc, jouant avec l’entrejambe, à l’ausculter, humer, tout çà en continuant à coulisser entre les lèvres de la bouche entre-ouverte de sa belle-sœur.

Laurence, vint jouer de sa langue sur la vulve béante de sa sœur, en aspirant une à une chaque grande lèvre, imprégnées de glaire toute fraîche, au doux parfum sucré, l’engageant au plus profond de son col utérin, puis remontant sur ce clitoris ardent, lui titillant, avant d’y pratiquer une fellation, pour lui donner encore plus de volume.Jean-Marc, lui, s’activant tout autant dans la bouche d’Anaïs, qui réagit à ces pratiques, en ouvrant les yeux, mais ne pouvant, dire un mot, ni même réagir plus, étant sous l’effet de sa drogue, incapable de faire plus, si ce n’est, subir.— Ça y est, elle reprend ses esprits !!! Dit Jean-Marc.Marine, elle, vint debout, sur le canapé, chevauchant, le ventre de sa mère, pour lui attraper ses chevilles et tirant vers le haut, ses jambes.Qu’elle lui positionna à l’équerre, l’offrant en totalité à sa tante, dans ses moindres détails.

— Allez tantine, fais-lui du bien... Je languis de t’en faire autant...

Laurence, d’une main hésitante, après s’être agenouillée face à cette béanteur vulvaire, pour mieux la fister. Elle commença par un doigter de l’index et majeur, mais très rapidement, vint s’y ajouter les trois autres doigts.Laurence fut étonnement surpris, lorsqu’elle put lui introduire, sans aucun effort, et résistance de sa part, la main complète, pour la faire osciller jusqu’au poignet.

Effectivement, la réaction de sa sœur ne se fit pas attendre. C’était des râles de plaisirs, étouffés par la queue de Jean-Marc, qui se laissait aller dans un mouvement ralenti. Mais la bouche d’Anaïs se faisait plus présente, enveloppant son membre, devenant une fellation.
Diffuse en direct !
Regarder son live