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Laurence se déchaine

Chapitre 11

un début de soirée brulante pour Laurence

Voyeur / Exhibition
Dans le chapitre précédent, nous avons découvert un avant-goût de la nièce, tout juste sortie de l’adolescence, avec le sexe en famille, en se mettant en scène sur un duo d’envieux et sa mère soumise. Mais jusqu’où va-t-elle aller ???
Anaïs toujours affalée dans le canapé, Jean-Marc debout devant son visage, Marine debout sur le canapé, chevauchant le ventre de sa mère, tenant les jambes de cette dernière, ouvertes, à l’équerre, pour offrir en détail les orifices malmenés par Laurence, qui elle, est agenouillée sur l’ autre bout du canapé, pour mieux fister le ventre de sa sœurette, encore dans les vapes, mais active sur une fellation à son beau-frère.
Marine, excitée, demande à Jean-Marc de prendre le relai, afin de garder la position de sa mère. Celui-ci, restant aux côtés d’Anaïs, lui prit les chevilles, pour que Laurence puisse continuer son fisting. Marine vint se placer à droite de sa tante, une de ses mains attrapa le menton de cette dernière, pour l’obliger à la regarder. Laurence pouvait lire dans ses yeux, un signe de perversion aiguë. Qu’allait-il lui arriver ??? Soumise, Laurence se laissa aller à la suite des événements. Marine pouvait lire, de la peur.
— Eh, ma tantine, n’aie pas peur, je vais te faire que du bien !!! Continue à fister ta petite sœurette !! Je vais voir si tu es aussi accueillante qu’elle... Tonton m’a fait comprendre que c’est de famille, le fist... Aller, montre ça, ma grande... Cambre-toi... Voilà...
Marine s’était à présent, placée à la gauche de Laurence, elle lui attrapa le seul vêtement qui lui restait sur le corps, cette petite culotte en tulle, blanche. Et pour en jouer, elle agrippa l’arrière de la culotte, tirant dessus, afin de faire pénétrer entre la raie des fesses, lui dénudant, mais surtout, pour que ce même tissu aille écarter ses grandes lèvres, et vienne frotter ce clitoris en érection.Lui imbibant la glaire qui lui salive depuis le début de cette soirée bien spéciale. Durant un moment, Marine simula une masturbation avec ce tulle souillé de glaire. Laurence gémit à voix haute, haletante.— C’est bien tantine. Allez, je vais te débarrasser de ça... Dit Marine.
Avec son aide, Marine retira le tulle, qu’elle huma à pleines narines, avant de le poser sur le rebord de table de salon, la laissant cul nu. Sa main droite de la nièce s’amusa, à présent, à lui caresser ses joues fessières, comme pour les honorer, Puis, d’un geste calculé, elle la fessa sévèrement. Laurence laissa échapper un AH !! De surprise, cherchant à l’éviter. Mais, Marine, savait y faire, lui plaquant son genou gauche sur ses reins cambrés, l’empêchant tous mouvements échappatoires.Laurence reçut une cuisante fessée.
— Tantine, n’apprécie pas beaucoup la fessée, hein, tonton ???— C’est pas son truc... Répondit Jean-Marc.— Tu devrais lui administrer régulièrement. Bon, passons aux choses sérieuses... Continue à la fister, elle finira par un jet de glaire, c’est une vraie fontaine... Hum !!! Quel cul que tu as, ma tantine, dit Marine.Marine commença très rapidement à lui enfiler trois doigts, sachant que sa tante est une adepte du fisting, autant ne pas la laisser refroidir. Et le temps de vous écrire ces quatre mots, que déjà la main de sa nièce coulisse dans son col utérin, allant jusqu’à la garde. Laurence râlait d’un plaisir profond, interrompant le fisting qu’elle continuait à pratiquer sur sa sœur, qui, n’était plus très loin de son orgasme, reprenant ses esprits, consentante de la situation, elle s’appliquait à sucer cette queue, qui restait très active, dans sa gorge. Jean-Marc avait lui aussi, du mal à se contenir, il sentait la jouissance plus très loin, de voir ces trois femmes en pleines activités.Mais c’est Anaïs qui se cambra la première, lâchant un long jet de cyprine tiède arroser le visage de Laurence, la bouche ouverte, pour en boire le plus.
Jean-Marc, lui, dans la continuité, lui cracha son épaisse et abondante sève, au plus profond de la gorge de sa belle-sœur, qu’elle avala, sans rechigner.
Laurence continuait à se faire fister par le bras de sa nièce, qui allait et venait dans ce ventre béant, haletante, criant de plaisirs, elle s’ouvrait de plus belle. Marine, excitée de sa pratique sur sa tante, avait besoin de se faire démonter le cul. Sans cesser son fisting, elle fit signe à son oncle de venir la rejoindre. Celui-ci laissa Anaïs pour venir aux côtés de Marine.— J’ai envie que tu me défonces le cul. Dit-elle. Tantine, lèche ta sœurette... Elle adore se faire nettoyer les orifices après avoir joui... Ah !!! Hum !!! C’est ça, fais-moi jouir... Ah... Ah...
Marine, qui s’était penchée en avant, cambrant ses reins, afin d’accueillir la main virile de son oncle, qui, à l’instant où elle cria son plaisir, venait de la fister d’une main en totalité, jusqu’au poignet, lui tirant sur son perinet, à la limite de la déchirure.
— Ah !! Tu n’es pas aussi accueillante que ta mère !!! Mais tu laisses pas ta part au chat. Dit Jean-Marc.
Et presque dans un même temps, la nièce et la tante jouirent profondément, à pleine gorge. Tout ceci, sous le regard de sa mère, sous l’effet de son somnifère, dans un mélange d’excitation et d’incompréhension, à la situation très particulière.
Chacun reprenant ses esprits, Marine ne voulait pas en rester là. Elle avait faim, faim de jouir, encore et encore.
Le trio debout, alors qu’Anaïs restait affalée dans ce canapé, sa sortie de douche rose, totalement ouvert, offrant sa nudité, cuisses ouvertes, d’où ruisselait de sa glaire toute fraîche, à demi-sommeil.
Marine, qui ne cachait pas ses envies, avait sa main droite agrippée au membre, à demi- repos de Jean-Marc, et son autre main agaçant le clitoris de sa tante, tous deux se laissant aller à la caresse.— J’ai envie de baiser, toute la nuit, je suis une nymphette... Que diriez-vous d’aller nous faire une balade nocturne ??? Tantine, j’ai vu que tu portais un collier en cuir... Tu vas te faire chienne... Ordonna-t-elle.— Mais que fait-on de ta mère ???— Oh, c’est très simple... Une petite potion, et, jusqu’à demain matin, nous serons tranquilles... Marine lâcha le couple, attrapant le verre où Anaïs avait bu son tranquillisant, et là, après avoir mis quelques gouttes de médicaments, restant debout, face à son oncle et sa tante, elle écarta ses jambes, pour glisser le verre sur son entrecuisse, et d’un jet bref, elle y urina sans le remplir.
Elle se pencha vers sa mère, lui présentant le verre.— Tiens, ’man, bois un peu... Ça te fera du bien... Voilà... Viens, je vais t’accompagner au lit... Je te rejoins, dans un moment... Dit Marine.
Laurence et Jean-Marc n’en croyaient pas leurs yeux, Anaïs avait bu les urines de sa fille. Alors que Marine emmenait sa mère dans sa chambre, Jean-Marc, lui joua le jeu de sa nièce, en préparant Laurence à une promenade nocturne.— Viens, je vais te préparer, pour une ballade avec notre petite salope... Dit-il.
— Mais où veux-tu aller ??? demanda Laurence.— Je veux que tu te donnes à toutes les envies de Marine... Dit-il.
Marine sortait de la chambre, lorsque le couple lui entra dans la leur.Nus, tous les trois. — Comment veux- tu qu’elle s’habille, ta tante ??? dit-il.— Son collier, montre-moi ta lingerie, dit Marine.— Tire le tiroir, dans le meuble, derrière toi. Dit-ilJean-Marc prit le collier de cuir noir, aux deux anneaux, qu’il fixa au cou de Laurence.— C’est du blanc, essentiellement. Dit-elle.— Oui, c’est moi qui lui achète ses culottes, dit-il.— Hum, une culotte fendue, ça lui ira superbement, pour la situation. Dit-elle. Allez tantine, mets çà, voilà tu es prête...
Marine, elle, cul nu, prit une des jupettes dans la garde-robe de Laurence, en cuire noire. Alors que Jean-Marc, lui en tee-shirt blanc, jean, nu dessous.— Vous allez pas me faire sortir en petite culotte, dans la nature ??? Dit Laurence, quelque peu rétissante.Marine se fit sévère, elle lui prit les deux mamelons, qu’elle lui pinça si fort, que Laurence cria, au bord des larmes.— Tantine, là, c’est moi qui commande... Jusqu’au retour, je te veux soumise... Compris ??? Cria-t-elle.
Laurence se mordit les lèvres, excitée, et soumise à sa nièce.
— Bien, allez, on y va !!! Dit Marine, excitée. Tu nous emmènes dans un coin à voyeurs.— C’est parti, dit son oncle.
Le trio quitta la maison, laissant seule, Anaïs, totalement endormie.
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