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Laurent

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Laurent,
Nous étions trois employés de maison à travailler pour M. et Mme Bertino : Mara et André, qui étaient à leur service depuis plusieurs années, et moi, Laurent, embauché à l’essai depuis presque trois semaines. Mara gérait les repas et le ménage, quand à André il s’occupait des extérieurs et du bricolage. Mes fonctions étaient dévolues à l’entretien de tous les véhicules (autos, tondeuses, scooter, etc…), éventuellement faire le chauffeur, et seconder Mara pour le ménage.
Daniel Bertino était Directeur d’une grosse société française, et presque toujours en déplacement, en France ou à l’étranger. Son épouse Aude était cadre dans une grande entreprise, et finissait ses journées assez tard. En général, Monsieur était tous les week-ends à la villa « le Rollias », nom qu’ils avaient donné à leur demeure. Aude et Daniel avaient une bonne quarantaine d’année, tout comme Mara, André et moi. Ils avaient eu une fille assez tard, Juliette qui avait seize ans, et était dans un lycée privé non loin de là.
Nous étions logés dans un petit pavillon indépendant et avions assez vite sympathisé entre personnel. Mara et André vouaient un profond respect à leurs employeurs, qui, d’après ce qu’ils m’avaient dit, étaient de bons patrons : pas trop stricts mais pas laxistes non plus. Si on faisait bien notre boulot, ils ne nous embêtaient pas trop. Le seul truc était qu’il fallait toujours dire oui, même si ce qu’ils demandaient était un peu loufoque ; Quitte à se justifier après si ce n’était pas fait. Quand à Juliette, je ne savais pas trop quoi penser d’elle, Mara et André avaient été guère loquaces à son sujet. D’après le peu que j’avais pu me rendre compte, ce n’était pas une « gosse de riche » pourrie gâtée. Elle respectait le personnel, mais sans marquer de familiarité.
De toutes les maisons que j’avais faites, et du peu que j’aie pu en voir, c’est dans celle-ci que je me sentais le mieux. Et hormis le fait d’être nourri et logé, le salaire était presque du double de celui de mon dernier emploi : assez motivant pour faire ce qu’il fallait afin de rester ici.
Pour l’instant je n’avais que deux choses en tête : savoir si les Bertino allaient m’embaucher, et cerner un peu mieux la jeune Juliette. Pour la première inquiétude j’étais assez confiant, Madame me félicitait assez souvent pour mon travail, et pour la seconde, j’ai rapidement appris à connaître Mademoiselle Juliette.
Cela s’est passé un jeudi matin, Mara m’avait demandé d’aller nettoyer immédiatement la salle de bain de Mademoiselle Juliette. Confiant, j’entrai sans précaution particulière : Mara m’avait dit « immédiatement », je ne pensais pas du tout y trouver Juliette.
A peine entré, un drôle de spectacle me surprit: Juliette était assise sur le rebord de sa baignoire, une main qui taquinait un de ses tétons, et un doigt de son autre main, qui faisait de doux aller retour entre ses cuisses écartées. Heureusement qu’elle fermait les yeux, car je mis plusieurs secondes à m’arracher de cette stupéfiante vision, et me dire que je ne devais pas rester là.
Alors que je reculais en essayant d’être le plus discret possible, elle ouvrit les yeux, et me fusilla du regard.
— Ben alors, faut plus se gêner espèce de pervers.— Excusez-moi Mademoiselle, je ne savais pas que vous étiez là.— On ne vous a pas appris à frapper avant d’entrer.— Je suis sincèrement confus, cela ne se reproduira plus.— Je l’espère bien. Cela aurait pu être ma mère qui était là.
C’était sa salle de bain à elle, sa mère ne l’aurait jamais utilisée, mais je n’aurais pas osé le lui faire remarquer.

— Même pas trois semaines que vous êtes à notre service, et vous jouez déjà les voyeurs. Cela ne va pas plaire à maman.
Je me jetai à genoux devant elle en l’implorant :
— Je vous en supplie, ne lui dites rien. Je suis prêt à tout faire pour me faire pardonner.— Je vais y réfléchir, en attendant : sortez tout de suite.
La situation avait duré deux ou trois minutes, et jamais Mademoiselle n’avait cherché à cacher sa nudité.
Je passai une très mauvaise fin de journée, car je ne saurais rien avant le retour de sa mère, ou au pire le lendemain.La nuit fut aussi désastreuse, je n’ai pas du fermé l’œil. Cette place était une vraie bénédiction, et je la regretterais toute ma vie si je n’étais pas embauché.
Le lendemain matin je respirai mieux en voyant partir Aude à son travail, Mademoiselle n’avait rien dit à sa mère : Pourquoi ?
Dans la matinée, Mara m’annonça que Mademoiselle Juliette m’attendait dans le salon. A peine fus-je entré qu’elle m’annonça :
— Comme vous m’avez vu nue, il n’y a pas de raison pour que je ne me venge pas en vous voyant dans la même tenue.
J’étais estomaqué et ne savais pas comment réagir : me mettre nu devant cette gamine, ou perdre ma place.
— T’attends quoi ? Me dit-elle en adoptant derechef le tutoiement.
Je n’eus pas le loisir de réfléchir très longtemps, je voulais cette place. J’enlevai mes vêtements sauf mon boxer.
— Tu retires tout.
Par un reflex naturel, mes mains vinrent se placer devant mes attributs.
— Ôte tes mains de là, tu me caches le plus intéressant.
Une fois qu’elle put admirer entièrement mon anatomie, elle continua :
— Tu sais que tu m’as surpris dans mon activité préférée, alors tu vas faire pareil. Ici, c’est donnant donnant.
Cette gamine était vraiment démoniaque, et elle savait ce qu’elle voulait.
Lentement ma main prit mon sexe et commença de le caresser. Juliette souriait, car elle allait obtenir ce qu’elle voulait.
— Jusqu’au bout me précisa-t’elle.
Lorsque je me libérai enfin, elle quitta le salon en rigolant, et en me disant :
— Pour cette fois, tu peux prendre ton mouchoir pour nettoyer.
Lorsque je la croisai un peu plus tard, elle m’annonça :
— Je t’attends à 14 heures au salon.
A l’heure dite, je me présentai pour la seconde fois de la journée dans le salon. Cette fois l’entrevue fut beaucoup plus rapide, Mademoiselle m’expliqua simplement :
— Tu viendras me rejoindre dans ma chambre dans une heure dans la même tenue que ce matin. Et puis j’ai horreur des poils, comme maman. Précisa-t’elle. Alors rases toi bien correctement, et partout.
Comme je ne portais ni barbe, ni moustache, je compris immédiatement à quels poils elle faisait allusion. De même que celle avec sa mère.
Cette fille était décidément terrible. Est-ce-que cet emploi valait bien ces moments de déshonneur pour moi ?
Une heure plus tard, je m’approchai de la porte de la chambre avec une certaine fébrilité. Malgré la honte qui me taraudait, j’avais pesé le pour et le contre, ma décision était prise, je voulais garder cet emploi quelque soit le prix moral à payer.
C’est donc entièrement nu, et glabre de partout que je me présentai devant Mademoiselle.
C’est avec un large sourire qu’elle m’annonça :
— Tu es très obéissant, je suis content de toi. J’ai de moins en moins envie de parler de ce petit incident à ma mère. Mais tu dois toujours continuer à te montrer bien discipliné, si tu veux que cela reste entre nous.
Après un petit silence, elle enchaîna :
— Ta petite séance de ce matin m’a mis l’eau à la bouche. Tu vas recommencer une nouvelle fois, mais avec une petite différence : tu ne te serviras pas de ton mouchoir pour nettoyer. Comme je suis trop bonne, je te laisse le choix : soit tu te libères devant toi comme ce matin, mais cette fois tu nettoieras tes traces avec ta langue, soit tu te laisses aller dans ta main, et tu lécheras tes doigts ensuite. Comme tu veux.
Le choix ? C’était vite dit : dans tous les cas, il fallait que j’avale ma semence.
Je commençai à me demander si je n’aurais pas mieux fait de tout refuser depuis le départ. Jusqu’où irait-elle ?
Alors que je réfléchissais aux choix qu’elle m’imposait, un ordre claqua :
— Dépêche-toi, je ne suis guère patiente.
Le même scénario que celui du matin se reproduisit, je me donnai du plaisir comme avant. Il me sembla moins dégradant de tout recueillir dans ma main. Lorsque j’eus bien nettoyé mes doigts, elle m’interpella une nouvelle fois :
— Tu n’es guère doué pour la récolte, il y a une grosse trace sur le parquet. Mets-toi donc à quatre pattes pour la lécher. Et puis tu te tourneras pour me montrer tes fesses, je n’ai pas encore vu si elles étaient belles.
Elle savait vraiment y faire pour obtenir ce qu’elle voulait. Au point ou j’en étais, je n’avais plus trop le choix.
Alors que je me mettais en position, elle me précisa :
— Prends bien ton temps que j’admire le spectacle.
Après avoir regardé mes fesses, et les avoir rapidement caressées, elle vint se placer accroupie face à moi. Dans cette position, et avec la mini-jupe qu’elle portait, je pus constater qu’elle ne portait pas de culotte. Elle l’avait fait exprès pour m’exciter.
Après m’avoir obligé à lécher le sol de longues minutes, elle me libéra enfin. Non sans me préciser :
— Chaque fois que je te convoquerai, c’est entièrement nu que je veux que tu te présentes. C’est compris.
Un « oui » faiblard sortit de ma bouche.
— Oui qui ?
— Oui Mademoiselle.
C’est ainsi que je goûtai pour la première fois à la semence masculine. Ce ne sera, malheureusement pour moi, pas la dernière.

Le week-end se passa tranquillement, j’étais presque sûr qu’elle ne dirait rien à ses parents, mais j’avais intérêt à continuer de lui obéir.

Elle revint à la charge le lundi matin par l’intermédiaire d’André :
— Elle t’attend dans sa chambre.
Il n’eut pas besoin de préciser qui m’attendait.
Une double surprise m’attendait cette fois : Mademoiselle et Mara étaient entièrement nues toutes les deux sur le lit, et Mara caressait Mademoiselle distraitement. Les seins avec sa bouche, et le minou avec la main. Je comprenais mieux pourquoi Mara était si discrète sur Juliette.
— Approche que Mara te découvre. Me dit-elle.
— Et comme tu as été bien obéissant la semaine dernière, tu as droit à une récompense. Va Mara.
Ma collègue de travail vint se placer à genoux juste face à moi. La seconde d’après, mon sexe disparaissait entre ses lèvres. Excité par la situation, en moins de cinq minutes je me lâchai dans cette bouche si accueillante. Mara n’eut pas un geste pour refuser mon don.
Mademoiselle reprit aussitôt.
— Tu pourrais embrasser Mara pour la remercier. Et puis je crois qu’elle a un cadeau pour toi. Cela me contrarierait que tu le refuses.
En l’embrassant, Mara déversa toute ma liqueur, qu’elle avait gardée en bouche, au fond de ma gorge. Drôle de cadeau, mais après ce que Mademoiselle m’avait fait faire la semaine précédente, ce n’était rien.
Sans un mot, Mara alla reprendre sa place et ses caresses auprès de Mademoiselle.
Cette dernière m’interpella :
— André a pris tes vêtements, ce n’est pas grave tu les retrouveras plus tard. En attendant tu resteras dans cette tenue. Je t’attends ici à 14 heures.
Cela continuait, elle gérait ma vie sans que je ne donne mon avis. Heureusement que le parc de la villa était assez grand et bien entouré, on ne pourrait me voir de l’extérieur. Le seul qui ne m’avait pas encore vu nu était André. Ce n’est pas son regard qui me gênerait le plus.

Une nouvelle surprise m’attendait, cette fois c’est André qui était nu. Mademoiselle était allongée sur son lit, mais vêtue elle. André se tenait debout au pied du lit, semblant attendre un ordre. Celui-ci vint assez rapidement.
— André, tu as une belle occasion de goûter une autre semence que la tienne. Ne t’en prive pas.
Comme un automate, il vint prendre la place que tenait Mara le matin même, et effectua les mêmes gestes, avec une certaine gêne par contre.Pour ma part, je me contentais de laisser faire les choses, comme le souhaitait Mademoiselle. Si Mara m’excitait, André beaucoup moins. C’est avec plus de difficultés qu’il arriva à ses fins, et je constatai avec une certaine gêne qu’il avala tout mon plaisir.
Il se releva et attendit un nouvel ordre. Il fut pour moi cette fois :
— Je t’ai dit Laurent, qu’ici c’était donnant donnant. Ne te gêne pas pour faire plaisir à André à ton tour. Et puis comme lui, cela te donnera l’occasion de goûter la différence avec le tien.
Cette fichue gamine tenait tout le personnel sous sa coupe. Elle était vraiment démoniaque.
Comme André l’avait fait l’instant d’avant, je me mis en peine de lui donner du plaisir. C’était la première fois que j’avais un sexe masculin en bouche. Malgré mon inexpérience, je fis ce que j’aimais qu’on me fasse dans une telle situation. André semblait apprécier, car je le sentais grossir de seconde en seconde dans ma bouche. Vint l’instant qu’il attendait tant, où il se lâcha longuement en tenant ma tête. Il devait y avoir un moment qu’il ne s’était pas libéré, car sa semence était fournie, épaisse et plus corsée que la mienne.
Mademoiselle applaudit notre prestation, en nous congratulant :
— Bravo et félicitations, je suis très fière de vous. Je ne vous ennuierez plus aujourd’hui.

Le lendemain, c’est Mara qui m’interpela :
— Mademoiselle veut nous voir de suite dans sa chambre.
Arrivé devant la porte, Mara se mis nue avant que je n’aie eut le temps de réagir. Elle m’invectiva :
— Dépêche-toi, tu sais qu’elle n’aime pas attendre.
Je fus aussi rapide que possible pour adopter la même tenue.
— Ah vous voilà mes chéris. Mara adore qu’on la prenne par derrière, et je ne pense pas que ce soit pour te déranger Laurent. Mets-toi en position Mara.
Elle s’approcha du lit, se pencha en avant et prit appui sur ses mains, puis écarta les jambes.
— Laurent, tu vas te mettre à genoux derrière elle, et la préparer avec ta langue.
Elle pensait m’humilier une nouvelle fois, mais elle serait déçue. Je pratiquais déjà depuis longtemps cette position, et cela ne me gênait pas. Je m’appliquai à bien chauffer Mara, car je ne savais pas si Mademoiselle ne bluffait pas, en disant que Mara aimait cela. En tout cas cette dernière semblait apprécier mon attitude, et se trémoussait en cadence. Lorsque je sentis qu’elle était prête, je la pénétrai avec douceur.
Mademoiselle changea alors de position, elle vint s’allonger devant Mara, son minou face au visage de son employée. Elle remonta sa jupe, et sans un mot, Mara compris ce que Mademoiselle attendait d’elle : elle plongea sa langue en avant.
Elle fut la première à prendre son plaisir, Mara devait avoir une longue expérience. Je me retins le plus longtemps possible, pour que Mara soit la seconde. Je me libérai juste après elle.
Mademoiselle nous laissa quelques secondes pour reprendre nos esprits, avant d’enchaîner :
— Va t’harnacher Mara, pendant ce temps Laurent va prendre la pose.
Je refusais de comprendre ce qu’elle voulait, mais lorsque je vis Mara ceinte d’un gode ceinture, la réalité me frappa soudainement. Mademoiselle allait me faire prendre comme Mara l’instant d’avant. Il n’en n’était pas question :
— Je ne veux pas. Lui lâchai-je alors.
— Réfléchit bien mon petit Laurent, je t’ai dit qu’ici c’était donnant donnant. Tu n’as pas refusé lorsque je t’ai dit : « je ne pense pas que ce soit pour te déranger Laurent ». Tu n’as pas refusé non plus, lorsque tu as pris Mara comme cela. Et puis ce serait dommage de craquer si prés de l’embauche.
Elle savait bien tenir les propos qu’il fallait, et savait que je tenais à ce job. Malgré mon dégoût, je pris la position requise.
— On va changer un peu de technique, la langue de Mara n’est pas faite pour cela. Je n’ai pas de vaseline, mais de l’huile de massage fera très bien l’affaire.
Elle s’en enduisit un doigt, et me l’enfonça avec précaution.
— Oh la la. Mon petit Laurent, tu es drôlement serré. Mara a bien fait de mettre le petit. Prépare-le bien Mara.
Mara fit couler doucement l’huile sur mes fesses, et me les massa doucement. Puis le produit coula entre mes fesses, jusqu’à mon petit trou. Un premier doigt pénétra avec prudence, et commença ses vas et vients. Lorsque les mouvements furent bien aisés, un deuxième doigt vint le rejoindre, toujours aidé par l’onguent parfumé. Lorsque le troisième pénétra sans douleur, j’étais prêt à recevoir Mara et son gadget.
J’attendis une douleur qui ne vint pas, au contraire une douce chaleur inonda mes reins. Je fus surpris et vexé de sentir mon sexe durcir et prendre du volume.
Mademoiselle éclata de dire en le constatant :
— Tu vois Mara, les hommes sont tous les mêmes. Ils font leurs mijaurées, mais s’excitent dés qu’on leur titille un peu le derrière. Continue et lâche-toi maintenant.
Mara ne semblait attendre que cette invite. Elle se crocha plus profondément dans mes hanches, et s’activa énergiquement entre mes reins.
Bien malgré moi, j’inondai le parquet de mon plaisir.
Mara reçu l’ordre de cesser son manège, et moi celui de nettoyer avec ma langue.
Le soir dans ma chambre, je fis le point des derniers événements. En moins d’une semaine, j’avais joui plus de fois qu’au cour des six derniers mois. Même si j’avais du m’assoir sur de nombreux principes, et mis de côté quelques tabous.
La seule chose qui ne m’était pas arrivée, c’était que Mademoiselle demande à André de me prendre comme Mara l’avait fait. A mon avis, cela n’allait pas tarder, et je m’y étais préparé mentalement. D’ailleurs je pense que maintenant, Mademoiselle pourrait me demander beaucoup, je n’aurais pas la force, et peut-être encore moins l’envie de refuser.
Je n’eus guère longtemps à attendre avant que cela ne se produise.
Le lendemain, elle nous demanda à tous trois de venir dans sa chambre à 10 heures. Après le cérémonial du déshabillage devant sa porte, nous la trouvâmes entièrement nue sur son lit.
— C’est un grand jour pour tous, nous allons passer un agréable moment tous les quatre. Mara va se mettre à quatre pattes, puis Laurent et enfin André dans la même position. Laurent va préparer Mara avec sa langue pour la prendre par derrière, et André va faire de même avec Laurent.
André n’eut pas l’air choqué par cette demande, je suppose qu’il l’avait déjà pratiquée de nombreuses fois sur Mara. Pour ma part, je fus agréablement surpris par cette pénétration si singulière par la langue d’André. Comme lorsque j’avais été pris par Mara, mon excitation vint rapidement.
Lorsqu’elle vit que nous étions prêts et en forme, elle s’allongea au bord du lit, ses jambes écartées et demanda :
— Viens vite Mara. Les garçons vous prendrez place dans la foulée.
Mara posa ses mains sur les seins de Mademoiselle pour se tenir, et plongea tête la première dans la fourche de ses cuisses. Je pénétrai ensuite Mara comme Mademoiselle l’avait exigé, et pour terminer André se ficha entre mes reins.
La première à prendre son pied fut Mademoiselle qui se manifesta assez bruyamment. Lorsqu’elle eut contenté sa Maîtresse, Mara glissa sa main entre ses cuisses, autant pour se caresser que pour câliner mes bourses. Elle fut la seconde à jouir, peu de temps avant moi. Le dernier à se lâcher fut André.
Pour terminer la matinée, Mademoiselle nous obligea André et moi à un 69. « Pour bien vous nettoyer » précisa-t’elle.
J’eus quelques explications plus précises le soir même de la bouche d’André.
La première qui tomba dans les griffes de Mademoiselle, fut Mara.Plus jeune, Juliette découvrit qu’elle était attirée par les filles, en voyant une fois Mara nue qui prenait son bain. Depuis elle avait tout fait pour en faire sa Maîtresse, jusqu’à faire doubler ses gages par sa mère. Aude dans sa jeunesse avait été assez précoce, comme sa fille, même si elle s’était bien calmée depuis. Comme elle ne pouvait rien refuser à sa petite chérie, madame Bertino avait accepté l’augmentation de son employée. Comme André avait demandé à Mademoiselle pourquoi Mara avait eut une telle augmentation, Juliette lui avait répondu qu’il pourrait avoir la même s’il lui obéissait au doigt et à l’œil. André avait accepté peu à peu de subir tous ses caprices. Quand à moi vous connaissez à présent mon histoire.
J’ai naturellement été embauché, et depuis près de 10 ans, nous sommes toujours au service des Bertino, et en particulier de leur héritière unique.
En dix années, elle nous en a fait faire des vertes et des pas mûres : Monter un spectacle gay pour ses meilleures amies, nous prêter à un de ses amis homos jusqu’à ce qu’il crie grâce, lassé de nos fellations et de nos sodomies, nous offrir à sa mère pour une double pénétration le jour de l’anniversaire de celle-ci, et bien d’autre encore. Par contre, elle a toujours utilisé Mara que pour son service personnel, jamais pour d’autres personnes que nous quatre.
Je ne pense pas que son père n’ait jamais su ce qui se passait entre son personnel et sa fille.
Même si Juliette a quitté le domicile familial pour ses études, c’est toujours des moments d’intense sensualité lorsqu’elle y revient.Un jour, elle se mariera, et nous regretterons ces instants de folie. Si au début, nous avons été tous plus ou moins contraints, nous sommes tous tombés amoureux d’elle ensuite. Et pour le reste de notre vie, elle restera « Notre Mademoiselle. »
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