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Laurie et Ingrid

Chapitre 3

L'étalon honore ses juments

Avec plusieurs femmes
Laurie est toujours assise sur le canapé avec toujours son porte-jarretelles et ses bas. Ingrid nue devant elle.
— Sans rancune ? demande cette dernière.— Pourquoi de la rancune ? On avait défini l’enjeu. Tu m’as battue à la loyale et tu as baisé mon homme, fort bien d’ailleurs !— Merci !— Et je vais te dire, ça m’a bien excitée !— Oui j’ai vu, tu t’es bien doigtée. En tout cas, tu te défends bien. Tu t’étais déjà battue avant ?— Oh une fois, il y a longtemps au lycée. Une nana qui me cherchait des noises parce que j’avais roulé une pelle à son petit copain. Mais on nous a vite séparées. Et toi tu te bats souvent ?— Oui j’adore ça ! Le corps à corps avec une autre nana, le plaisir de la dominer...— C’est vrai que j’y ai pris du plaisir avec toi !
Ingrid s’est assise sur la moquette près de Laurie, elle ne se lasse pas de regarder les seins et la chatte de son ex-rivale. Elle murmure:
— Tu as déjà fait l’amour avec une femme ?— Oui quand j’étais étudiante, ça m’est arrivé plusieurs fois. Mais depuis, je n’ai jamais eu l’occasion.— Ben l’occasion se présente aujourd’hui peut-être ?— Oh mais Madame, vous me draguez ? Hi hi !
En disant cela, elle ouvre largement les cuisses et se caresse la moule, très pute.
— T’attendais que ça hein petite salope ?
Elle s’agenouille devant la chatte de la rousse et commence à la lécher avec application. Laurie se masse les seins tout en roucoulant de plaisir.Peu après, Romain sort de la douche, entièrement nu lui aussi. Il se sent un peu flagada après la séance avec cette blonde volcanique. Le spectacle auquel il assiste dans le salon va bientôt lui redonner de la vigueur et des envies...Ingrid fouille l’anus de sa femme avec sa langue tout en lui ramonant la chatte avec deux doigts. Laurie la regarde faire avec un sourire vicieux, elle passe sa langue sur ses lèvres. Au bout d’un temps, elle s’avise de la présence de son mari. Et lui fait signe de s’approcher. Romain s’agenouille sur le canapé, sa bite recommence à se dresser. Sa femme le branle doucement:

— Ca t’excite de voir une chaudasse qui me gouine ?— Ouais et ça m’exciterait encore plus que tu me pompes la queue en même temps !— Mhh t’es vraiment un vicelard mon chéri !
Et elle embouche l’engin de son homme. Pendant quelques minutes, on entend les bruits de succion de ces deux dames et les soupirs d’aise du mâle. Ingrid cesse de lécher et regarde un moment la fellation.
— Ta femme est bien mouillée mon chéri, elle a besoin d’une bonne bite maintenant !— T’as envie d’un bon spectacle toi !
Elle lui laisse la place et Romain pénètre la chatte humide. Il donne des grands coups de reins. Ingrid agenouillée sur le canapé masse les seins de la rousse en regardant la pénétration.
— Vas-y, baise-la bien ta femme, donne-lui des grands coups de bite !— Oui ! oui ! pince-lui les tétons en même temps, elle aime ça cette salope !— On va la faire jouir tous les deux !
De fait, Laurie ne résiste pas longtemps aux assauts de son mari et aux caresses de la blonde.
— Oui ! oui ! ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!!!
Romain se retire.
— Oh tu m’a tuée salaud !
Ingrid s’assied sur la table et écarte grand les cuisses.
— Moi j’ai encore envie !
Romain s’approche le dard bien tendu et s’apprête à pénétrer la chatte blonde.
— Ah non ! dans le cul maintenant !
Romain est ravi, il adore la sodomie, mais Laurie n’a jamais voulu ayant peur du calibre de son mari. Il approche le gland de l’anus et frotte un peu l’œillet, celui-ci est bien ouvert. Il pénètre alors sans difficulté le trou du cul. Laurie regarde, interloquée.
— Ca alors ! Comment tu peux prendre un morceau comme ça dans le cul ?— L’habitude ma chérie ! J’adore la sodomie ! Vas-y toi encule-moi ! Défonce-moi le cul !— Tiens salope, tu la sens bien ma pine là?— Ouais elle est bonne ! Vas-y ! à fond !
Laurie se penche et lèche la chatte de la blonde.
— Oh oui putain, vous êtes bons tous les deux !— Il est bon ton cul ! tiens ! tiens !
Au bout de quelques minutes, la coquine ne peut résister très longtemps à ce double assaut et elle jouit bruyamment !Les deux femmes décrètent une pause. Laurie part en cuisine préparer une petite collation réparatrice. Ingrid s’assied à côté de Romain dont la queue est encore toute raide. Elle branle doucement le beau manche.
— T’as vraiment une queue superbe !— Content qu’elle te plaise !
Elle se penche et donne des petits coups de langue sur le gland. Ensuite, elle enserre la bite avec ses deux gros seins et la masse doucement. Laurie revient avec un plateau sur lequel se trouvent un seau à champagne, des flutes et quelques toasts. Elle a enlevé ses sous-vêtements et est complètement nue.
— Je me suis permis de profiter encore de cette belle érection chérie, lui dit Ingrid.— Ben après tout, tu l’as gagnée! Hi hi !— C’est vrai hi hi !
Laurie pose le plateau et s’assied de l’autre côté de Romain. Elle suce le gland, la pine est toujours dans son nid douillet.
— On se prendrait bien un petit jus de couilles en apéro hein ma belle ? propose la blonde.
Elles se mettent à sucer Romain, alternant entre la bite et les couilles. L’homme ne résiste pas longtemps à ce divin traitement et explose dans la bouche de son épouse. Celle-ci partage ensuite le sperme avec Ingrid.
— Ouf ça c’est de la baise ! apprécie celle-ci !— Ouais ! tu peux rester pour la nuit si tu veux, on a un grand lit, on mettra notre mâle entre nous deux !— Je veux bien, mais pour dormir... au moins au début !— Super !— Alors, dis-moi beau mâle, demande Ingrid, ça t’a plu de voir deux salopes se battre pour toi ?— Ouais c’est super excitant !— Et moi ça m’a vraiment excitée de me battre ! renchérit la rousse. Mais, dis-moi, ça fait longtemps que tu fais des combats comme ça ?— Depuis quelques années, je vais vous raconter:
J’étais mariée avec Charles, 20 ans de plus que moi, moche, gros, nul au lit, mais riche. Je l’avoue, je voulais à ce moment assurer mon existence. Depuis il est mort d’un infarctus, ce qui fait que je suis veuve.Mais, de son vivant, je prenais des amants à tour de bras. Le tempérament que vous avez constaté ne pouvait se contenter d’un mari impuissant. Un jour, j’étais à un bar, juchée sur un tabouret, vêtue d’un chemisier très décolleté, une jupe moulante avec dessous un porte-jarretelles et des bas. Comme d’habitude, je ne portais pas de culotte. C’était ma technique de "chasse" habituelle, technique infaillible.Cette fois là, comme les autres fois, ça a marché. Je sirotais un martini depuis cinq minutes lorsque j’entendis une voix mâle qui me demanda:
— Je peux vous offrir une petite coupe de champagne Madame ?
Je regardai l’homme: un beau blond aux yeux bleus, bien bâti, vêtu avec élégance.
— Volontiers cher Monsieur, j’ai un peu de temps.— A la bonne heure ! James, tu mets deux coupes ?— Bien Monsieur !— Vous offrez souvent une coupe aux dames seules Monsieur ?— Oh appelez-moi Karl !— Moi c’est Ingrid ! Mais vous n’avez pas répondu à ma question ?— Non, seulement aux femmes séduisantes...— Oooh ! Galant homme ! Et... vous vous contentez de partager une coupe avec les femmes séduisantes ?— Eh eh ! Ca dépend...ça dépend d’elles !— Mhh je vois...
J’avais avisé une alliance à sa main gauche. Je demandai perfidement en tapotant sa bague:
— Votre femme est au courant de vos... rencontres ?— Oh non ! Elle est très jalouse !— Mais dites-moi, c’est pas bien de tromper sa femme... Je n’aurais peut-être pas dû accepter votre invitation !— Ben vous savez, je suis bien avec elle, mais j’ai un tempérament fougueux !— Je vois... et Madame ne suffit pas à assouvir vos appétits ?— Oui et puis... même si elle est bien foutue, elle ne possède pas des atouts aussi... volumineux que les vôtres.
Ce faisant, il louchait sur mon décolleté.
— Je dois dire que ça plaît beaucoup... Mais possédez-vous l’engin qui correspondrait au niveau taille ?— On peut vérifier tout de suite ! J’habite à deux pas.— Mais ne disiez-vous pas que votre femme était jalouse ?— Elle est partie pour la journée !
Nous nous sommes donc retrouvés dans sa grande maison. Un bon coup le Karl ! Une belle bite un peu moins grosse que la tienne Romain mais performante. J’eus droit à la totale par-devant, par derrière. Deux orgasmes avant qu’il ne couvre ma poitrine de foutre.Il prit sa douche, je pris la mienne et je revins dans le salon où se trouvaient mes vêtements. J’avais juste remis mon porte-jarretelles et mes bas.Karl était assis sur le canapé, l’air bizarre. Il s’était rhabillé. Je lui lançais joyeusement:
— Eh ben chéri t’es tout triste ! Tu veux qu’on remette le couvert ? Moi je suis partante !
Et là, j’entendis une voix féminine:— Ca va pas être possible !
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