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Laurie et Ingrid

Chapitre 4

Les souvenirs d'Ingrid

Divers
Je tournai la tête. Une femme brune d’une trentaine d’années, pas mal foutue était assise, visiblement en colère. Evidemment, c’était l’épouse trompée rentrée plus vite que prévu. Les aléas de l’adultère...
— Bien foutue cette salope ! C’est de la pute de luxe ! — Ecoute Romane je...— Ta gueule ! Je veux pas t’entendre ! Tire-toi !— Mais chérie...— Casse-toi je te dis !— Et merde !
Et Karl s’en alla plus maussade que jamais. Je n’avais aucune raison de rester davantage.
— Bon ben je vais y aller aussi.— Ah non pas question ce serait trop facile !— Ouais bon, je comprends que tu sois en colère, mais c’était juste une passade. Un coup de bite comme disent les mecs.— Non, mais écoutez-la, un coup de bite ! Ben tiens ! T’as une tête à les collectionner les bites hein salope ?— Bon eh ça va, c’est pas la peine de m’insulter ! Bon je regrette, j’aurais pas dû voilà!— Ben tiens ! Elle fait sa pute avec mon mec et je devrais l’excuser, c’est la meilleure !
Elle commençait à m’énerver cette conne...
— Ben si ton mec te trompe, faut peut-être te poser des questions ! S’il s’ennuie au plumard, c’est pas étonnant qu’il aille voir ailleurs !— Putain elle me cherche en plus !— Je cherche rien, c’est toi qui m’insultes depuis tout à l’heure !
Il y avait de l’électricité dans l’air. On se fusillait du regard.

— Je sais pas ce qui me retient de te foutre une raclée garce !— La peur peut-être ?
Brusquement, elle ôta sa veste.
— Tu vas voir si j’ai peur ! On va s’expliquer de femme à femme !— A ta disposition !
Nous nous mîmes toutes les deux à poil. Je devais reconnaître qu’elle était pas mal, de beaux nichons (un peu moins gros que les miens), un beau cul et une belle chatte bien entretenue.A peine dévêtues, on s’est empoignées. La colère décuplait ses forces. Elle me mit rapidement au sol, s’installa sur moi et se mit à me gifler le visage et les seins. Je la giflais aussi, on poussait des petits cris de douleur et d’excitation.Je n’avais pas l’habitude de me battre à ce moment-là, mais j’étais sportive et assez musclée. Je parvins à la déstabiliser. On se releva toutes les deux.
— Tu perds rien pour attendre sale pute ! grogna-t-elle entre ses dents.— T’es pas très polie poufiasse !
Je parvins à coincer sa tête avec mon coude gauche. Elle étouffait. Mais sans que je le vis arriver, elle me balança un coup de poing au plexus. Je me tenais le ventre, le souffle coupé. Romane en profita et me mit un uppercut qui m’envoya les quatre fers en l’air. Elle gloussa de plaisir.
— Eh maintenant, je vais en finir avec toi traînée !
Elle se jeta sur moi, mais, malheureusement pour elle, j’avais mis mon pied en avant. Je poussai de toutes mes forces. Elle se retrouva elle aussi par terre. On se releva toutes les deux. J’étais à fond dans la bagarre maintenant ! J’avais vraiment envie de l’humilier.Je levai mes poings à hauteur du visage et la provoquai:
— Puisque t’as commencé... un pugilat, ça te va ?
Elle ne répondit pas, mais se mit en garde elle aussi. On a commencé à se foutre sur la gueule. Elle cognait fort la garce, mais je crois que mes coups lui faisaient encore plus mal. J’étais déchaînée, elle reculait sous mes coups de boutoir. Elle dut mettre un genou à terre.
— Relève-toi mauviette ! criai-je.
A peine debout, elle se prit un nouveau pain ! Je poussai mon avantage et elle reçut une grêle de coups. Elle s’écroula lourdement au sol. Moi au-dessus d’elle, les poings serrés:
— T’en veux encore connasse ?— C’est bon j’abandonne !
Je me rhabillai rapidement et partis sans dire un mot. Je ressentais une excitation incroyable, ma chatte dégoulinait !
— Eh ben quelle histoire ! commente Romain.
Ingrid poursuit:
Et après, il y eut Vanessa. Là ce fut la situation inverse. Je sortais à ce moment-là avec Max, un bon queutard. On se retrouvait dans un hôtel régulièrement. Ce jour-là, nous prenions un verre avant d’aller bien faire". Nous nous faisions face de part et d’autre une table basse chacun dans son fauteuil. Je voyais bien qu’il écoutait d’une oreille distraite et qu’il regardait fréquemment par-dessus mon épaule. Je découvris le pot aux roses. Une grande glace me permit de voir que derrière moi, à deux tables de là était assise une superbe black aux formes rebondies. Elle souriait de manière très vicieuse, passait sa langue sur ses lèvres charnues, faisait des clins d’œil, se passait les mains sur sa poitrine et se trémoussait comme une chaudasse. Bref, elle chauffait mon mec !Je repensais alors à l’épisode avec Romane... L’excitation montait en moi.
— Elle te plaît cette bombasse chéri ?— Faut reconnaître qu’elle est attirante ! répondit Max avec un petit sourire.— Salaud ! Ca t’excite d’avoir deux femelles en concurrence hein ?— Ah je dois dire, c’est flatteur !— Bouge pas mon mignon tu vas t’amuser !
Je me levai et me dirigeai vers ma "concurrente". Je m’assis dans le fauteuil en face d’elle. Elle me regarda, toujours souriante.
— Oui ? demanda-t-elle simplement.— Eh bien Max est avec moi, donc ce n’est pas la peine de lui faire du gringue.— Il me semble qu’il n’est pas insensible à mes charmes.— Peut-être, mais je te dis qu’il est à moi !— C’est ton mari ?— Non.— Alors la chasse est ouverte ! Je suis ici pour affaires pour environ un mois. J’ai pris une suite ici. Il me manque juste un amant, alors je chasse !— Fort bien, mais là tu chasses sur mes terres !— C’est pas de chance pour toi, mais j’ai jeté mon dévolu sur lui. Et, franchement, je pense que je le mets dans mon lit quand je veux...
Honnêtement, elle avait raison. Max était un sacré cavaleur et je n’étais pas la seule dans sa vie. Je répondis:
— Il faut qu’on se départage.— Que proposes-tu ?— Eh bien que font généralement deux mecs en rivalité pour une nana ? Ils se battent, non ?
Je voyais sa poitrine se soulever, elle était visiblement excitée aussi par cette joute feutrée.
— C’est vrai ! — Pourquoi n’en serait-il pas de même pour les femmes ?
On se dévisageait avec un sourire narquois.
— Comme je disais tout à l’heure, j’ai une suite, il y a beaucoup d’espace. On serait bien pour s’expliquer qu’en penses-tu ?— Ca me va ! On y va tout de suite ?— Pourquoi différer ?
Elle fit signe à Max d’approcher. Le salaud avait tout compris et il était hilare !Nous arrivâmes dans la suite. Max poussa un peu les canapés pour nous faire de la place.
— Au fait, nous ne nous sommes même pas présentés. Je suis Vanessa.— Ingrid et voici Max.— Très bien, nous sommes bien d’accord: la gagnante est récompensée par le bel étalon ?— D’accord !
Nous nous dévêtîmes, ne gardant que nos dessous. Nous avions les mêmes goûts en cette matière: porte-jarretelles et bas, blancs pour elle, noirs pour moi. Vanessa était une vraie bombe sexuelle. Des nichons aussi gros que les miens, mais un fessier encore plus gros que mon cul et bien rebondi. Max avait la braguette prête à craquer !Vanessa ricane:
— Tu devrais ôter ton froc beau gosse tu vas le craquer.— Attention au choc ! répond Max très macho.
Il sort un sexe déjà bien bandé et décalotté.
— Ouah ! s’extasie Vanessa.— C’est con pour toi, tu pourras que la voir ! la provoqué-je.— Ha ha ! Ma pauvre ! Tu rêves !— On va voir !— Allez viens !
J’arrivai et l’attrapai aux épaules, elle en fit de même. Par un croc-en-jambe, je la fis tomber et m’appliquai à la bloquer au sol, mais Vanessa était forte et ne tarda pas à renverser la situation. C’est elle qui se retrouvait sur moi et m’écrasait de tout son poids. Je parvins finalement à me dégager et nous nous relevâmes. J’étais à bout de souffle, mais elle semblait en pleine forme. Nous recommençâmes à nous battre, mais elle me dominait de la tête et des épaules. J’ai résisté tant que j’ai pu, mais après 20 mn de résistance, je dus abandonner !Elle triomphait, les bras levés ! Max la félicitait chaudement. Pour ma part, je préférais avoir une attitude sportive:
— Je m’incline, tu m’as battue sans contestation. Max est à toi !— Tu te bats bien, ça n’a pas été si facile pour moi !
Une fois habillée, je pris congé:
— Bonne baise !
Je sortis de l’hôtel, excitée comme pas deux ! Mais je n’avais plus un amant sous la main qui aurait pu me calmer...
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