Me voilà donc dans la rue, la chatte en feu et personne pour me l’éteindre !Je me dirige vers mon van (bien pratique à l’occasion comme baisodrome...) lorsqu’un jeune d’à peine plus de 18 ans m’interpelle: — Eh M’dame ! t’as l’air bonne ! Si tu dis oui, je dis pas non ! Je me tourne vers lui, c’est un jeune métis l’air canaille qui me détaille de la tête aux pieds. Il doit s’attendre à une réaction outragée, mais au lieu de ça, je lui lance: — Ca dépend petit con, t’as une grosse queue ?— Ben viens voir M’dame ! Je m’approche de lui, mon visage à quelques centimètres du sien et porte la main à sa braguette, je malaxe un peu et sens un sexe qui semble de belle taille. — Pas mal ! Allez grimpe dans mon van ! Il prend le siège passager, je démarre. — Ben alors tu la sors ta pine ? Il s’exécute et sort une belle bite déjà bien bandée et bien décalottée. Tout en conduisant, je le branle, m’interrompant juste pour passer les vitesses. — Ah ben toi alors M’dame, t’es chaude !— Ca t’excite hein ?— Oh ouais M’dame ! Bientôt, j’avise un coin tranquille, un terrain vague à l’abri d’un grand mur.
— Ici on sera bien ! Je me gare et on passe dans la partie arrière du van. Je me désape rapidement, ne gardant que mes dessous affriolants. Hector (c’est son prénom) n’en croit pas ses yeux. Il bande comme un âne. Finalement, il est très bien monté.Je m’empare de sa bite et commence à le sucer goulûment, trop goulûment sans doute ! — Oh M’dame arrête ! Tu vas me faire jouir ! J’arrête un peu de le pomper pour lui dire: — Laisse-toi aller, à ton âge on recharge vite ! Je l’ai à peine repris en bouche qu’il explose. J’avale le sperme comme une vraie salope. Je nettoie son engin à petits coups de langue et je continue à le branler avec ma main d’abord puis entre mes nichons. — Je savais pas qu’une femme pouvait être aussi salope M’dame !— Et t’as pas tout vu ! Il est de nouveau au top et je m’empale sur sa queue. On baise comme des fous pendant de longues minutes. J’ai deux orgasmes avant qu’il n’éclate de nouveau dans ma bouche.Après l’avoir déposé où je l’avais trouvé, je rentre chez moi. Mon cornard s’est endormi devant la télé. Je prends une bonne douche. Le soir (mon mari se couche tôt), j’appelle Max: — Salut beauté!— Alors, elle est bonne Vanessa ?— Oh ouais ! On a bien baisé!— Tu pourrais me filer son 06?— Ouais pourquoi ?— Curieux ! Tu verras bien.— Bon je te l’envoie par texto. Peu après, je reçois le message et compose le numéro.Elle ne tarde pas à répondre: — Oui ?— C’est Ingrid. — Ah ? Comment vas-tu depuis tout à l’heure ?— Bien ! Et toi tu t’es bien fait baiser ?— Mhh divinement ! Tu m’appelles juste pour ça ?— Non ! Je voudrais une revanche !— Vraiment ?— Oui, je n’aime pas rester sur un échec !— Ben oui, mais alors tu vas rester sur deux échecs ! Ha ha ha !— Quel humour ! Alors ?— Pas de problème ! Comment veux-tu qu’on se batte ?— Que dirais-tu d’un combat de boxe ?— D’accord ! Tu es libre demain soir vers 19h00? Dans ma suite ?— Ca marche, j’appelle Max, à demain !— A demain ! J’appelle Max, il est ravi. Il s’occupe d’acheter ce qu’il faut.J’ai choisi le pugilat parce que je me dis que Vanessa par sa puissance est avantagée. De plus, ça m’avait bien réussi contre Romane.Le lendemain soir, j’arrive à la suite. Max est déjà là. Vanessa et moi nous saluons d’un simple geste de la main, distantes. Max a acheté des gants de boxe et des protège-dents. Nous nous déshabillons complètement. Max nous aide à enfiler nos gants et nous place les protège-dents. Il nous appelle au centre de la pièce. Il sera l’arbitre. On se croirait au Madison Square Garden ! Max nous rappelle les règles en caressant nos croupes: — Bon les filles, ça va se passer au meilleur des 3 rounds. Victoire aux points ou par KO (compté dix). On ne frappe pas l’adversaire au sol. Bien compris ? Nous acquiesçons. Max a fait partie d’un club de boxe et il s’y connaît. Je plante mes yeux dans ceux de Vanessa. Nos visages sont fermés. — Vanessa, tu es prête ?— Prête !— Ingrid, tu es prête ?— Prête !— Tapez-vous dans les gants ! On se tape dans les gants toujours sans se quitter du regard. On lève les poings à hauteur du visage. Max donne le signal: — Boxe ! Je décide de prendre les devants et donne quelques coups bien appuyés. Mais elle est bien en garde et ça ne dépasse pas le barrage de ses poings. Je m’agace un peu et soigne mal ma garde. La punition est immédiate et ma rivale me cogne durement le menton. Quel punch ! Elle enchaîne, je me défends comme je peux. Je finis par poser un genou à terre. Max s’interpose et compte: — 1...2...3... A six, je me relève et le combat reprend. Je me concentre davantage et pare un peu mieux ses coups. Le round se termine ainsi sans autre incident majeur. — Pause les filles ! Premier round pour Vanessa. Je profite de la pause pour bien souffler et me concentrer. — Deuxième round ! Boxe ! Vanessa est toujours à l’offensive. J’ai décidé de la laisser venir, d’esquiver au maximum et de contrer quand j’ai l’occasion. Elle est plus puissante, mais je suis plus vive. A son tour de s’énerver... A un moment, elle cherche à en finir, elle veut me balancer un violent crochet du gauche, mais je me baisse et elle frappe dans le vide. Son corps est propulsé vers moi et je frappe de toutes mes forces ! Mon coup l’atteint aux seins. Elle a le souffle coupé. Alors j’en profite bien et lui place une série au visage. Elle tombe lourdement au sol. Max compte. Je me dis que j’ai gagné, mais à 8, le bip retentit. Dommage, elle est sauvée par le gong !Malgré tout, elle se relève et reprend son souffle. — Deuxième round pour Ingrid ! Vanessa me regarde méchamment, je lui réponds par un sourire ironique. — Troisième et dernier round les filles ! On s’avance l’une vers l’autre, les poings à hauteur des yeux. Vanessa joue la provocation: — Tu vas me payer ça salope ! Je vais te massacrer !— Tu rêves grosse pute ! Essaye déjà de rester debout ! Manifestement, la pause l’a requinquée et elle cogne fort. Mais je rends coup pour coup. Le combat devient violent, on ne cherche plus vraiment à se protéger. De temps en temps, on reprend notre souffle et puis on reprend de plus belle ! Ses coups font mal, mais j’encaisse bien. Elle par contre commence à fatiguer, elle se désunit. Très vite, elle ne riposte plus, se contentant de parer mes punchs comme elle peut. Je décide d’en finir. Je vise son plexus pour lui faire baisser la garde et je l’achève d’un uppercut au menton. Elle tombe et elle est comptée jusque dix ! — Ingrid vainqueure par KO ! Je lève les bras au ciel. Vanessa se relève péniblement. Nous nous faisons l’accolade sportivement. — Bravo Ingrid !— Tu t’es bien battue ! Nous enlevons nos gants et nos protège-dents. Max a sorti sa queue, je vais avoir droit à ma récompense. — Je vais vous laisser, dit Vanessa.— Tu peux rester ma belle ! — Pourquoi pas ? Je suis un peu voyeuse à l’occasion ! Je me tourne vers Max:— A nous deux bel étalon !
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