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laveur de vitres à domicile

Chapitre 4

Erotique
Laveur de vitres à domicile, une bonne nouvelle, première partie.
Après avoir vécu un moment intense avec Louise, il est temps pour moi de reprendre la route du travail. J’effectue mes chantiers classiques, j’ai maintenant un emploi du temps correct, j’ai du boulot tous les jours et je vis de façon correcte. À travers cet emploi, j’ai rencontré trois femmes qui sont devenues dans un premier temps des clientes puis ensuite des amantes. Louise, Marie et Géraldine, j’ai eu une relation sexuelle avec deux d’entre elles, ce qui n’a pas manqué de pimenter un peu ma vie sentimentale.
Puis soudain, un jour, mon téléphone sonne, il s’agit de monsieur Martin, c’est un jeune qui a plusieurs pions dans des entreprises sur la ville. Et il m’appelle pour que je lui rende un service, il veut que je lui remette en état une salle de sport « fitness » qu’il vient d’acquérir.
En effet sur ce site, il y a eu des travaux de rénovation, donc il faut enlever les poussières de plâtre, les traces de peinture, il faut donc que je m’équipe avec du matériel beaucoup plus important. Je vais donc chez le client pour visiter le chantier et noter par la même occasion le matériel qui me sera utile pour mener à bien ma mission. Je suis accueilli par un jeune homme assez prétentieux qui se vante d’avoir des parts dans plusieurs domaines, et qu’il ouvre cette salle de sport afin de gagner beaucoup d’argent, et oui, c’est le nerf de la guerre. Pour quelqu’un comme moi qui ne court pas après l’argent, un léger malaise se fait sentir, mais ce n’est pas grave, je fais l’impasse sur ce détail.
Mais, c’est le genre de type qui veut tout au rabais, donc je fais les calculs en fonction des produits, de la location du matériel, et du temps passé. Je calcule à peu de choses près, un forfait de cinq cents euros pour faire la totalité du site. Il y a deux cent cinquante mètres de surface, des douches et des sanitaires. Le jeune homme racle le fond de sa gorge, et soudain, une beauté fatale apparaît avec une robe de sport très courte, un peu le style d’une femme qui joue au tennis, c’est sa compagne.
Pour ne pas vous mentir, je vous avoue que c’est un canon, tout droit sorti d’un film. Bref, j’arrive donc à tomber sur un accord, je demande un acompte par chèque sur le devis de deux cents cinquante euros, j’appelle ma banque pour être sûr que tout est dans l’ordre, et j’accepte donc de faire le chantier le jeudi et le vendredi suivant.
Le premier jour de travail arrive rapidement, je descends le matériel de mon véhicule puis monsieur Martin accompagné de sa compagne Tania, de sa mère Monique et de son beau-père Charles m’accueillent avec un petit café. Personnellement, je n’aime pas trop quand il y a du monde autour de moi quand je travaille et je sens que cette journée ne va pas être simple.
Au bout d’une heure de présence, la maman vient me voir pour me demander si tout va bien, je lui indique que j’ai quasiment terminé l’ensemble des sanitaires, elle est surprise par la rapidité, j’en profite donc pour lui montrer ce que j’ai fait, elle semble contente, donc je continue mes tâches.
Je passe ensuite à la salle des sports, Charles est en train de poser des lettres sur le mur, et monsieur Martin tente de l’aiguiller visuellement à distance. Je pars donc à l’opposé de ces messieurs pour ne pas être dérangé. Je m’occupe des vestiaires et du coin détente. Avec le matériel moderne que je possède, je pense que vendredi à midi, j’aurais terminé le travail au complet ce qui me permettra de me faire un week-end de trois jours et de commencer à faire les travaux de Louise.
Toujours est-il que le temps passe, il est midi, et je vais me chercher un sandwich en triangle et une boisson afin de ne pas perdre trop de temps. C’était sans penser à une mère très bavarde. Elle me demande mon âge, me demande pourquoi je fais ce métier, elle est assez indiscrète, mais je n’y prends pas garde, me disant que ce n’est pas le moment d’être grincheux. Puis soudain, la porte d’entrée de la salle s’ouvre, c’est Tania, elle est toujours aussi belle, elle est en mini-short et avec un débardeur plongeant royalement sur une poitrine généreuse. Sa démarche me fait presque tomber de mon tabouret, je reprends mes esprits, et je pars en direction de mon matériel afin de continuer mon travail.
J’apprends par la même occasion, que Tania restera seule avec moi durant l’après-midi. Je sens que je vais devoir calmer mes pulsions de toute urgence sinon la situation risque de devenir très dangereuse.
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