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Lazarius et l'antiquaire

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Cette fois, j’allais m’en aller, la laissant là à son trouble, satisfait de mon effet. Mais cette fois, elle ne me laissa pas le temps de me retourner, elle balbutia :
« Ça serait possible… je veux dire… j’aimerais bien… je voudrais… essayer… l’effet que ça fait… Enfin, pas trop fort ! »
Là j’étais sidéré. J’avais bien pris la mesure de son trouble, mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle ose me faire une telle demande. Mais je n’allais pas perdre une aussi belle occasion :
« - Bien entendu. Autant satisfaire votre curiosité jusqu’au bout. Mais… maintenant ?— Oui, vite fait… Attendez, » elle semblait se reprendre un peu, « je vais aller fermer la boutique quelques minutes… de toute façon il n’y a pas beaucoup de visiteurs. »
Et elle fit ce qu’elle avait énoncé, elle alla fermer à clé la porte vitrée, tourna la pancarte pour que l’indication « FERME » se retrouve vers l’extérieur, puis revint vers moi :
« - Venez avec moi » me dit-elle en m’entraînant dans son arrière-boutique.
« - Comment je mets ? » demanda-t-elle, avec une voix un peu changée par l’émotion.« - Eh bien, si vous vous mettiez face à cette petite table ça serait parfait. »
Elle se tourna donc, appuya ses mains sur le plat de la table, tendit un peu sa croupe en arrière, dans une position d’attente. Celle-ci était bien moulée dans son jean, et d’un volume assez impressionnant.Mais j’attendis. Elle ne bougeait pas.
« - Madame, la strappe ne s’administre que sur un fessier nu. Il vous faut baisser votre jean et votre culotte – si vous en avez une.— Quoi ? Mais… je ne peux pas… Je veux dire j’ai honte… Je suis pudique…— La honte fait partie de la punition. Je veux dire : en tout cas, du jeu, du cérémonial – comme le déculottage, du reste. Il est hors de question que j’administre la strappe par-dessus un pantalon. C’est contraire à mes principes, j’oserais dire : à mes convictions.— Oh mais… ça doit faire encore plus mal !— C’est un peu le but, ma chère Madame… Mais comme je vous l’ai dit : tout dépend comment on dose… — Euh… euh… » elle ne bougeait pas, craintive, hésitante.
« - C’est vous qui voyez, ma chère dame. C’est vous qui m’avez demandé de l’essayer sur vous. Je suis un maître en la matière, je sais comment la chose s’administre. Si vous rejetez ces règles c’est votre droit, mais vous ne connaîtrez pas ce que vous aviez la curiosité de découvrir. »
J’attendis encore deux ou trois secondes – je ne m’en étais pas donné plus et je m’apprêtais à la laisser tomber, mais je l’entendis prononcer « bon… » et je la vis dégrafer sa ceinture, déboutonner son jean et soudain baisser lentement et le jean et une culotte rose pâle en dentelle dont je devinai le lisérai du bord supérieur : et je vis jaillir des grosses fesses très blanches, très fortes et un peu celluliteuses. Elle baissa le tout jusqu’au bas des cuisses, des cuisses charnues également, et bien roses.
« - C’est bien. Vous avez pris la bonne décision. Je sentais que vous étiez d’une nature curieuse, avec une soif d’apprendre que vous n’alliez pas laisser insatisfaite pour une pudibonderie mal placée.— S’il vous plait » gémit-elle, en esquissant une rotation de la tête vers moi, « …doucement…— Je sais que j’ai à faire à une novice, alors laissez-moi faire. Je ne connais pas votre sensibilité, j’irai progressivement. »
Je me plaçai légèrement de trois quarts, à sa gauche, la strappe avec la poignée bien en main.C’était un fabuleux derrière, un fessier très féminin, large et gras comme je les aime, avec des fesses presque carrées, et je savais que je serais très frustré si elle devait abandonner au bout de deux coups.
Aussi j’ajoutai avant de commencer :
« - Je vous laisse la liberté de stopper tout quand vous ne supporterez plus. Mais je serais déçu si vous criiez grâce au bout de 3 ou 4 coups. — Entendu. Allez-z-y."
Je caressai le fessier laiteux avec le cuir de la strappe, elle frissonna. Je le fis afin de prendre la mesure de la distance exacte à adopter, mais surtout, je l’avoue, afin qu’elle ressente ce premier contact avec la lanière qu’elle souhaitait mais qu’elle redoutait en même temps.Enfin, je levai le bras, prenant un élan et un recul le plus petit possible et j’abattis en retenant un peu la force la strappe qui frappa la belle mappemonde avec un petit claquement sec.
" OH ! " glapit-elle.
Je continuai ainsi quatre ou cinq fois sur le même mode, elle poussa à chaque fois un petit cri, sa main vint frotter son fessier.
" - Enlevez votre main, Madame. Je ne voudrais pas risquer de vous la blesser "ajoutai-je, un peu hypocritement." Et puis, quand on fustige une femme, elle doit garder la position. Toujours bien cambrée, et les mains bien à plat sur la table. Ce sont les règles. Vous savez, quand on instaure ce genre de règles, on prévoit en général des sanctions - ce qui se traduit bien évidemment par un châtiment corporel encore plus sévère, vous vous en doutez - si la dame ne respecte pas les règles annoncées.— Oh...— Enfin, je serai indulgent avec vous, étant donné que vous êtes une novice, que c’est juste pour un essai, et que nous n’avons pas établi de contrat ni de règles préalablement. Je peux continuer ?— Oui, allez-y.— Je vous préviens : jusqu’à présent j’ai été très léger. A partir de maintenant je vais aller crescendo."
Elle ne répondit pas. Pas de protestation, c’était donc un acquiescement.
Je m’écartai un peu plus, levant le bras pour toucher la fesse droite. La strappe s’abattit claquant la fesse en plein milieu.
" - AHH !" Puis, après une seconde : "Ça fait mal.— Oui ma chère. Je vous avais prévenu. La strappe c’est comme ça..."
Je levai à nouveau le bras, visant le fessier plus bas, et la strappe marqua en claquant méchamment la même fesse, bien en dessous.
" - AAAH ! Ça brûle ! Oh, c’est fort..." gémit-elle en sautillant sur place.
Un troisième coup marqua le volumineux fessier tout en haut, en haut des deux marques précédentes.
" - AAAÏE ! Ah la vache !!! Celle-là... était terrible.— Cet endroit est plus sensible, en effet, c’est bien possible— OULALA... je ne sais pas si je vais pouvoir tenir, si je vais pouvoir continuer...— Je vous rassure : je ne frappe jamais deux fois au même endroit, c’est trop douloureux. Aussi, je vais changer de côté. Ce sera plus raisonnable... mais aussi plus équitable : je me fais fort de toujours traiter chaque fesse de la même façon que sa sœur."
Elle semblait hésiter :
" - Oui mais ouïouïouiïlle, ça brûle vraiment.— Voilà ce que je vais vous proposer, jeune fille." J’utilisai ce terme avec un mélange d’humour et de flatterie, cette dame étant plus proche des 60 ans que de la vingtaine. "Vous en avez reçu 7 au total, je vous propose d’aller jusqu’à 12, pas un de plus ; ça fera un compte rond et je n’irai pas au-delà. Par contre, si vous l’acceptez, cela vous engage à les recevoir tous, jusqu’au bout. Mais ça serait bien, pour une première expérience. Vous m’avez l’air d’être une femme très courageuse, cela vous honore.— 12 ? Ohlala...— Ca ne fait plus que 5, ma chère, ça n’est pas le bout du monde.— Oui mais des comme ça...— Je vous promets d’aller très lentement, que vous ayez le temps de souffler entre chaque.— Bon. Pffff... Je veux dire... Bon, d’accord... Mais je dois être folle.— C’est une excellente décision, je vous félicite. Je vous demanderai juste de compter après chaque coup. Appuyez-vous bien sur la table, penchez-vous bien en avant, et cambrez-vous au maximum. Oui voilà, comme ça, vous tendez votre croupe au maximum vers moi. C’est bien. Vous savez que vous avez un très beau cul...?— Oh..." dit-elle, visiblement étonnée et troublée, "j’ai un gros cul, il est énorme. Ça n’est pas beau.— Mais si. Moi j’adore les fessiers comme les vôtres, épanouis, généreux, bien larges.— C’est pour ça que vous les punissez...?" gloussa-t-elle.— Peut-être, allez savoir. C’est peut-être effectivement pour les punir d’être aussi érotiques. Allez préparez-vous. Le prochain sera le numéro 8, n’oubliez pas de compter."
Je changeai de côté, me plaçant à sa droite. Mais étant donné que je suis droitier et très malhabile de la main gauche, je me tournai d’avantage et me penchai, calculant pour que la strappe arrive bien horizontalement en travers de ses fesses.
Le premier coup déchira l’air en sifflant et frappa la fesse gauche du bout de la lanière, exactement comme j’avais prévu. Une marque rouge apparut immédiatement.La dame blonde hurla. Ses beaux cheveux bouclés qui lui tombaient aux épaules avaient volé sous le violent sursaut de son corps.
" - N’oubliez pas de compter, ma petite dame.— Huit. Ah, c’est terrible..."
Puis un second dessina une marque parallèle à la précédente, juste en dessous.Sans lever ses doigts de la table, elle avait fait un bond en avant, se redressant, dans un réflexe bien involontaire.
" - OUÏLLLEEE ! AAH, ça fait mal ! Neuf..."
Le cri qu’elle avait immédiatement retenu sortit de façon retardée d’une demi-seconde. La sensation de brûlure devait être intense et arrivait au cerveau seulement maintenant.J’eus un peu pitié d’elle, d’autant qu’elle se montrait bien obéissante, qu’elle ne bougeait pas ses mains comme je le lui avais ordonné, c’est ma main gauche qui se posa délicatement sur sa fesse douce et moelleuse et tenta de l’apaiser légèrement en l’effleurant à peine, la caressant comme du papier de soie.
Je lui dis doucement :
" - Est-ce que je peux continuer ou vous préférez déclarer forfait ? Je comprendrais, même s’il n’en reste que trois, même si vous vous êtes engagée à aller jusqu’au bout... Je ne suis pas un bourreau.— Non... Je veux bien continuer mais... un peu plus doucement sans quoi je ne tiendrai pas c’est sûr.— C’est vous qui voyez, je veux bien vous faire grâce des derniers, même pour trois.— Non, je veux terminer. C’est moi qui l’ai voulu, je vous l’ai demandé, je ne vais pas me dégonfler si près de la fin. J’aurais peur de regretter d’avoir abrégé cette expérience que je n’aurai peut-être jamais la chance de renouveler.— OK. Je vais doser. Je ne veux pas vous dégoûter. Une si bonne élève, ça serait dommage. Surtout avec un aussi beau cul."
La flatterie marche presque toujours avec les femmes. Elle eut comme un rire de gorge, cherchant à masquer une fierté mal placée (quand je dis "mal placé, je veux dire : placée juste en-dessous de ses reins...)
" - Allez, ma belle, remettez-vous en position."
De bonne grâce elle obéit et se pencha de nouveau, cambra gracieusement son beau cul.
Cherchant à diminuer ma force, j’assénai le suivant tout au bas de sa croupe, la lanière claquant sur sa fesse gauche. Elle cria, mais moins fort. J’étais sur la bonne voie.
Je changeai de côté, afin de terminer l’ouvrage, me positionnant cette fois bien à côté d’elle afin de réussir à bien barrer les deux fesses d’une marque bien horizontale.
" - Prête pour les deux derniers ?" lui demandai-je." - Je suis prête, Monsieur."
Je mesurai mentalement la trajectoire que la lanière plate allait suivre jusqu’à son impact sur son imposant fessier, et je le levai le bras avec précision.La strappe claqua après une course sèche. La dame serra les dents :
" - HUMMMP !— Allez, la dernière. Vous êtes une femme courageuse, et très digne. Je vais vous administrer cet ultime coup de strappe de façon un peu plus forte. Ça sera votre dernier, vous n’aurez plus à souffrir ensuite. Savourez-la bien..." lui dis-je d’un air entendu et un peu cynique, en appuyant bien sur ces derniers mots.
Je vis son échine se tendre, elle se cambra délicieusement, offrant son gros derrière déjà bien zébré de rouge au châtiment.Je trouvai cette intention, cette offrande, terriblement érotique, infiniment excitante.J’appréciais le geste. Et je me disais que la dame devait avoir un penchant masochiste non négligeable.
Je la fis mariner un peu, je me plaçai, rectifiai plusieurs fois ma posture, mesurant en fermant un œil la bonne distance, la bonne trajectoire. Sur ce bon gros fessier, le dernier impact, je ne devais pas le louper.
Je pris un bon élan et la strappe s’abattit en biais, en travers de ses grosses fesses, avec un bruit sinistre et sec qui emplit toute la pièce :
SCHLAAK !
" - HAAA, HAAA !" cria-t-elle, cette fois en se frottant les fesses à deux mains.
Quand elle se retourna je vis qu’elle avait les yeux brillants. Elle me faisait face, et ne cherchait pas à me cacher son mont de Vénus proéminent et bien émouvant, véritable aimant pour une main avide.Je dus me retenir pour ne pas refermer ma main dessus et le presser comme un fruit juteux.
Je pris son menton entre mes doigts et déposai un baiser sur sa bouche :
" - C’est bien, vous êtes une femme courageuse. Vous avez voulu connaître l’effet de la strappe et vous êtes allée jusqu’au bout. Vous pouvez être fière de vous. Vous m’avez fait confiance, et ça me touche.Vous savez, c’est drôle, mais les femmes réagissent différemment d’une à l’autre à la strappe. En tant qu’expert en la matière, je les ai classées en plusieurs catégories : Il y a les hurleuses, qui poussent des cris terribles et stridents, les colériques qui jurent, crient des grossièretés, voire trépignent de rage, les pleurnicheuses qui chialent comme des gamines, émettent des petits gloussements de poule avec des sanglots étouffés, les muettes, très rares (terriblement endurantes qui grimacent, se tortillent un peu mais n’émettent aucun son hormis à la fin, quand elles n’en peuvent plus, sous forme de petits jappements ténus), et puis dans la moyenne des femmes mais qui ne sont pas les plus nombreuses, les courageuses, qui s’expriment, mais encaissent quand même bien, sans vraiment se plaindre. Je vous place dans cette catégorie-là, et je vous en félicite. »
Elle répondit en riant (c’était sous le coup de l’émotion, sa voix trembla un peu) :
" - Je vous remercie. C’était très excitant... mais c’est aussi très douloureux. Je ne recommencerai pas ça tous les jours. D’ailleurs, je ne suis pas sûre de recommencer un jour..."
Là-dessus, je la vis se frotter les fesses. Puis elle alla se placer devant une vieille psyché qui ornait un coin de ce débarras, se tourna et essaya, tant bien que mal, en se contorsionnant de regarder ses fesses dans la glace :
" - Ohlala" fit-elle, "Vous ne m’avez pas loupée ! Quelles traces, ça fait peur... - Laissez-moi voir. Vous êtes bien marquée, en effet" lui dis-je en lui passant la main sur les fesses, tout doucement car ça devait être terriblement cuisant. "Vous avez de belles marques rouges bien nettes ; l’une a commencé à bleuir.— Ça ne va pas rester ?" demanda-t-elle, l’air inquiet." - Non, rassurez-vous. Vous en avez juste pour deux à trois semaines, ensuite tout disparaîtra.— Je ne saigne pas ?— Non, bien entendu ! Si j’avais vu le moindre début de blessure j’aurais stoppé immédiatement. C’est une règle absolue."
Mes doigts s’attardaient sur ses fesses capitonnées, elle s’était légèrement penchée en avant pour me laisser regarder, moi je m’étais accroupi et j’avais une vue bien émouvante sur sa jolie fente. Ses lèvres sexuelles bâillaient légèrement, et semblaient légèrement humides de rosée.J’effleurai du bout de mes doigts le dessous de ses fesses, le derrière de ses cuisses - qui étaient bien replètes et très blanches également, approchant le bord de la vulve presque à la toucher.
" - Hummm", murmurai-je, "vous avez vraiment un beau cul, même s’il est pour le moment bien coloré. On voit là le cul d’une petite fille qui n’a pas été sage", rigolai-je." Et vous avez aussi de belles cuisses... Et une belle chatte !" dis-je en me relevant, lui faisant bien comprendre que je m’étais bien rincé l’œil, que je n’avais pas maté que ses fesses, et que je n’en avais pas perdu une miette.
La dame semblait bien émue.
" - En tout cas je suis satisfait de mon achat, lui annonçai-je joyeusement. On peut dire qu’elle est efficace, ne blesse pas, fait de belles marques, est très maniable... et tout ceci après tant d’années à avoir servi ! Oh, elle a dû en fustiger des culs... et de toute sorte, ceci est très émouvant, vous ne trouvez pas ?— Oui" acquiesça-t-elle en souriant.— Et je trouve l’antiquaire que vous êtes très professionnelle, puisque vous allez jusqu’à faire essayer au client son acquisition...!"
Là, elle rit de bon cœur :
" - Oui", dit-elle, "mais je n’ai pas été jusqu’à vous la faire essayer avant... Vous l’aviez déjà payée, elle était à vous. (« Ce fessier aussi, j’aimerais beaucoup qu’il soit à moi » pensais-je)— Hummm, c’est vrai. J’avais remarqué. Mais alors, c’était du vice ?!"
Elle riait, la tension nerveuse liée à l’anxiété et à l’attente durant la flagellation avaient disparu, et elle était en train de se reculotter (avec précaution, tant la peau de ses fesses devaient être sensible)
" - Bon", conclus-je, "je comprendrai que je vous n’ayez pas envie de recommencer cette expérience, mais par contre, sachez que lorsque vous n’aurez plus aucune douleur ni aucune marque, si vous le souhaitez, j’aurai beaucoup de plaisir à vous fesser. C’est beaucoup moins douloureux - même si ça peut être très cuisant - mais c’est très progressif, très érotique, et je suis un maître en la matière.Je vous imagine, entièrement nue, à plat ventre en travers de mes genoux, hummmm... C’est quand vous voudrez !Tenez, je vous redonne une de mes cartes de visites, ne la perdez pas, cette fois" lui dis-je avec un clin d’œil, tandis que je m’apprêtai à tourner les talons et m’en aller.
" - Merci" dit-elle, "je vais la garder précieusement.— Au-revoir" lui dis-je, "vous êtes une merveilleuse, une délicieuse antiquaire."
Et comme elle restait debout devant moi, un peu figée, me regardant avec des yeux émus ou peut-être attendris, je m’avançai d’un pas, lui pris le menton et l’embrassai. Sa bouche s’ouvrit et nos langues se mêlèrent dans un baiser profond qui dura plusieurs longues secondes.
Je lâchai sa bouche, et me reculai en caressant son visage, puis lentement je me retournai et me dirigeai vers la porte.
" - Au-revoir" me dit-elle assez doucement. Puis avant que j’atteigne la porte elle s’empressa d’ajouter, plus fort :
" - Je vous appellerai !".
Je partis en souriant. Je ne voulais pas me bercer d’illusions, mais quelque chose me disait qu’elle le ferait un de ces jours.
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