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Lazarius et l'antiquaire

Chapitre 7

Hétéro
Elle s’exécuta, se leva lourdement, me libérant du poids de son corps et de sa chaleur envahissante.Je lui administrai une grande claque sur la fesse pour la presser un peu. Elle cria. Mit ses mains sur la tête sans discuter en se hâtant et alla se placer comme je lui avais dit.La vue était plus que délectable : une belle femme aux formes généreuses et au volumineux cul rouge comme une tomate qu’elle offrait à ma contemplation, à genoux le dos tourné, les mains sur la tête (qui glissèrent peu à peu sur la nuque, ce qui était sans aucun doute dû à la fatigue et que je fis semblant de ne pas remarquer.)
Les minutes qui suivirent parurent très longues. On entendait les mouches voler.Par moment, je me demandais si je n’exagérais pas un peu, si je ne poussais pas le bouchon un peu loin.
Bien-sûr cette femme au physique plantureux était docile et avait un incontestable penchant pour la soumission, elle n’aurait pas pu le nier. Mais je me disais que cinq minutes c’était long, et qu’elle allait peut-être se lasser, et trouver la mise en scène un peu saumâtre.
Aussi, au bout de deux longues minutes, je lui dis :
" - C’est bon. Votre punition est terminée."
Elle se releva lentement et vint vers moi. Je souriais. Elle me rendit timidement mon sourire, comprenant que le jeu avait pris fin.Elle se frotta les fesses :
" - Vous ne m’avez pas loupée, hein ?— Vous la vouliez cette fessée. Osez dire le contraire.— Oui bien-sûr. Je l’ai voulue, j’y ai pensé pendant longtemps… j’en ai rêvé même. Mais ne vous n’y allez pas de main morte.— Désolé si j’y suis allé trop fort. Votre cul va vous cuire pendant quelques heures…— Oh ça n’est pas bien grave. Je ne suis plus une gamine, je m’en remettrai.— Vous avez aimé quand même ?" lui demandai-je doucement en lui prenant le menton. Elle était face à moi, toujours nue."- Hum, ce que je préfère" répondit-elle avec un voix trouble, "c’est la honte… L’humiliation… d’obéir… de VOUS obéir, de recevoir vos ordres et d’obéir… à votre autorité. C’est… c’est troublant.— Excitant ?— Oui.
— Mouillant ?" lui demandai-je en inclinant légèrement la tête avec un petit sourire coquin, tandis que je posais la main sur sa chatte renflée, et que mes doigts s’aventuraient timidement entre ses petites lèvres sexuelles." - Jugez-en par vous-même" répondit-elle doucement, son visage tout près du mien.
Je pris alors sa bouche, lentement, avec sensualité. Nos bouches s’ouvrirent, nos langues se mêlèrent, tandis que mes doigts glissaient d’arrière en avant dans sa fente toute humide.Je me mis à caresser avec insistance les muqueuses soyeuses de sa vulve. Elle passa ses bras autour de mon cou, ses mains se refermèrent sur mes épaules, me pressaient contre elle.
Je décollai un instant ma bouche de la sienne, lui murmurai :
" - J’ai envie de votre belle chatte. J’ai envie de vous donner du plaisir."
Ses yeux tout près des miens étaient tout brillants, elle soupira :
" - Elle est toute à vous. Je vous en prie. Faites tout ce que voulez.— Et si nous allions sur un lit…?— Venez" me dit-elle en me poussant sans desserrer son étreinte, et elle reprit ma bouche.
A reculons je me laissai guider et elle conduisit ainsi jusqu’à sa chambre.J’avais lâché sa chatte et mes mains la caressaient, étaient partis à la découverte de son corps, exploraient ses belles formes et sa peau douce, descendant des épaules jusqu’aux flancs moelleux, caressèrent les hanches larges et pleines.
Nous étions arrivés devant son lit. Je la basculai doucement. Elle gémit un peu quand ses fesses en feu rencontrèrent le couvre-lit.Pour lui épargner ce contact encore difficile sur son séant à vif, je lui fis mettre le bassin au bord de la couche, et relevai les cuisses, lui demandant de me les ouvrir.
Elle ne se fit pas prier et m’exposa sans pudeur sa belle chatte épilée, l’offrant à ma bouche assoiffée.Mes mains s’emparèrent de ses cuisses pleines, de chaque côté de ma tête, et tout en les caressant voluptueusement, ma bouche ouverte commença à se livrer à un ballet diabolique sur ses muqueuses vulvaires, toutes gonflées et luisantes de désir.Le vampire que j’étais aspirait ses sécrétions, se délectait de sa cyprine qui commençait à couler en abondance, s’en abreuvait comme un pèlerin à genoux après une traversée du désert.
Elle commençait à devenir folle, criait son plaisir qui montait très vite, et tandis que je léchais et suçotais ses doux pétales, que je tétais son petit bourgeon durci, je sentis exploser ses orgasmes.Tout son corps était secoué de tremblements, elle mordait son poing, sa tête roulait à droite et à gauche, et moi je m’abreuvais à la source de sa jouissance.
Finalement je me relevai, lui relevai ses jambes et, gagné par l’excitation, je lui annonçai d’une voix rauque :
" - Madame, je vais vous prendre ! Vous n’y voyez pas d’inconvénient ?" ajoutai-je avec humour et sur un ton badin.— Prends-moi ! Baise-moi ! J’ai envie !"
Je me libérai en un éclair de tout ce qui revêtait mon membre viril qui était, depuis de longues minutes, dans les dispositions propices à sabrer cette belle blonde en chaleur, et sans autre forme de procès, je l’introduisis dans le fourreau qui m’attendait avec impatience.
" - Hum" dis-je à la femme, "votre belle chatte est brûlante comme l’enfer."
Je m’y enfonçai jusqu’à la garde avec délectation ce qui fut accueilli par ma blonde avec des cris de joie sauvage et d’encouragement à la pilonner :
" - Baise-moi ! Défonce-moi ! Prends-moi à grands coups de reins !— Mais vos désirs sont des ordres, Madame. Vous savez que vous avez une belle chatte, et qui est en plus bien accueillante…?"
Je refermai mes mains sur ses seins plantureux, les malaxant comme un malade tandis qu’à grands coups de bélier je me mis à ébranler son corps replet et animal.Ma bouche fit taire un instant ses cris d’hystérique, tandis que je pilonnais à grands coups de pine son utérus et ses ovaires, recueillant des cris étouffés par ma langue qui la bâillonnais.
Je continuai cette cavalcade debout en maintenant ses cuisses à la verticale bien plaquées contre moi, et mes va-et-vient à l’amplitude maximale firent sortir de sa gorge de nouvelles vocalises.
Elle n’arrêtait pas de jouir, tout son corps secoué de tremblements et de spasmes, et ce spectacle ajouté à son chant d’amour et la sensation exquise de sa belle chatte eut raison de moi :je jouis en rugissant comme un dément, lui envoyant des puissants jets de foutre tout au fond de son délicieux conduit !
Je m’écroulai sur elle d’épuisement, et je restai ainsi, dans ses bras, de longues minutes, tandis que nous reprenions nos souffles.

Après une bonne douche, nous prîmes un autre café.Coquine, elle me lança :
" - Alors, pas trop déçu d’avoir fait tant de kilomètres et de n’avoir trouvé aucune antiquité intéressante ?— Et vous, pas trop déçue de ne m’avoir rien vendu ?"
Nous éclatâmes d’un rire commun.
" - Tu as remarqué que je n’ai pas fait le déplacement pour rien…?" lui dis-je d’un air complice et en prenant sa main." - Ah oui, je l’ai remarqué. Et mes fesses l’ont senti aussi !— Avoue que tu l’as bien cherché. Et que c’est même ce que tu voulais. Je te soupçonne même que tu as fait exprès de me faire venir alors que tu savais que tu n’avais rien qui me plairait pour me mettre en colère et me donner une vraie et bonne raison de te fesser…— Et il me semble que ça a marché. Et même au-delà de mes espérances… j’ai même cru que tu étais réellement fâché.— Bon, j’avoue que tu m’aurais déniché une pièce qui m’aurait plu, ça aurait été un plus pour moi… Mais ton fessier était une motivation beaucoup plus stimulante et qui valait largement le déplacement. Pour tout dire, pour un aussi beau cul, je suis prêt à faire cinq-cents kilomètres s’il le faut. Alors, je t’avoue que j’ai joué le mec fâché… Fallait bien une mise en scène.— J’aurais pu te faire venir à Paris, je sais…— Oui mais il fallait bien un prétexte pour me faire venir. Je ne t’imaginais pas m’appeler et me dire : « Bonjour Monsieur. Est-ce que vous voulez bien venir me fesser chez moi…?»Les femmes et leur retenue…"
Elle baissa les yeux :
" - Oui, tu as tout compris…— Mais tu as eu raison, c’était très bien comme ça. Et puis ça a été très agréable cette journée à la campagne avec toi, cet excellent déjeuner…— Merci.— Bon, mais je ne vais pas tarder à rentrer sur Paris.— Tu ne veux pas rester dormir avec moi, il est déjà presque dix-sept heures. …et puis il y a longtemps que je n’ai pas dormi avec un homme dans mon lit— C’est que je dois rentrer, j’ai à faire…"
Elle insista. J’avoue que j’étais un peu fatigué et je n’avais pas trop envie de me retaper cette route maintenant. Je finis par céder.
" - Mais à une condition.— Laquelle ?— D’abord, que lorsque tu auras envie d’être fessée la prochaine fois, tu m’appelleras et me vouvoieras : je comprendrai.— OK" répondit-elle en riant." - Et puis une autre.— Laquelle ?— Allons nous promener dans la campagne, pendant qu’il fait encore clair. Il fait si beau.Et puis il y a si longtemps que je ne me suis pas promené avec une femme, main dans la main."

FIN
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