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Lazarius (& la dame aux cheveux gris)

Chapitre 1

Erotique
Ce que je vais vous raconter s’est passé il y a peu.
Cela fait presque 8 ans que le syndrome de Barjavel a ravagé l’humanité, réalisant ce que cet auteur de science-fiction avait imaginé dans son roman Ravage : presque tout la gent masculine a été décimé en 3 ans par un agent infectieux inconnu, seuls 0.002 % d’hommes y ayant survécu, soit après un syndrome infectieux terrible et un coma de quelques mois (comme moi), soit ne les touchant pas (les chercheurs – disons plutôt, les chercheuses – n’ont pas encore trouvé d’où provient leur invulnérabilité ou résistance au supposé agent infectieux.)
Je me suis adapté (après avoir perdu, comme presque tout le monde, quasiment toute ma famille) et ai dû m’habituer à vivre dans un monde sans hommes.Bon, étant hétérosexuel, je ne ressens pas le manque sexuel pénible que ressentent les femmes hétérosexuelles dans un monde sans homme. Parfois je ressens juste douloureusement la nostalgie de la pratique de certains sports, et en particulier de celui de vider quelques bières en parlant des femmes, de nos prouesses sexuelles, enfin celles dont on se vante à la 27ème heure quand le cerveau commence à bien baigner dans l’alcool.Je me console parfois dans des soirées avec des copines lesbiennes et viriles. L’avantage de leur compagnie c’est qu’elles me considèrent un peu comme leur égal, et que dans ces soirées avec plein de femelles, je sais qu’il n’y en pas une qui va me sauter dessus.
Parce que, sinon, dans la vie de tous les jours, c’est devenu compliqué. D’abord j’ai dû abandonner mon boulot de médecin. A part les pures lesbiennes, je les voyais toutes arriver dans mon cabinet, l’œil allumé et vicelard, avec des airs de chienne en chaleur, la langue sortie, se frottant les cuisses l’une contre l’autre sur mes chaises, remontant leurs jupes le plus haut possible, tâchant mes coussins.Et quand il fallait qu’elles se déshabillent un tant soit peu, je ne vous dis pas : j’avais droit à un effeuillage en règle, il ne manquait plus que la musique de la cocogirl.Et comme par hasard elles venaient toutes pour un problème gynéco ! Rapidement, j’ai jeté l’éponge.
Pour me déplacer sans se faire harceler j’ai dû opter pour une Mercedes avec des vitres fumées intégrales ; marcher en ville nécessite de sortir avec un jogging hyper-large, la capuche sur le bonnet comme les weshs de banlieue (limite s’il ne faut pas le passe-montagne), et il faut marcher vite, la tête baisser, regarder par terre, ne pas mater autour de soi.
Et puis il a des jours où j’en ai marre de sortir camouflé comme un membre du RAID ou vêtu d’une burka (d’autant qu’il est interdit de dissimuler son visage dans l’espace public, et se faire arrêter par une (femme) flic expose à bien des désagréments, qui vont du chantage dans la rue pour que je donne mon numéro de portable à l’embarquement au poste où je peux subir toute la nuit un viol collectif par tout un commissariat de fliquettes ripoux et en rut.)

L’autre jour il faisait soleil, un magnifique soleil de printemps bien avancé, 25° à l’ombre et je ne pouvais quand même pas m’emmitoufler au risque de mourir de chaud. Je me suis dis ZUT, je vais quand même profiter un peu de cette belle journée, et advienne que pourra. Tant pis, je suis quand même suffisamment grand pour me défendre, pour repousser les avances insistantes de femelles en chaleur, et puis, quand je suis d’humeur joyeuse, je me dis que c’est presque marrant parfois de se faire draguer, et de jouter verbalement… enfin, tant que ça ne tourne pas au vinaigre.Ce jour-là, donc, j’avais choisi un quartier calme et friqué, ce qui limitait les risques d’agression sauvage au cutter ou au pistolet d’alarme.Quel plaisir de sortir habillé normalement, en homme, tenue de ville, légère.
Evidemment, dans ce cas, les femmes se retournent sur moi, l’œil éveillé, voire parfois égrillard, mais étant dans un endroit où elles sont bien élevées, elles me décochent des « Bonjour, Monsieur ! » ou des « Oh, un homme ! BONJOUR. » Sur quoi je réponds bien-sûr : « Bonjour Madame ! » (J’aurais un chapeau je le soulèverais comme on le faisait avant-guerre. Je suis un gentleman, quand même. Pas un dandy, mais bon. J’essaie de rester naturel. Je suis comme je suis, pas besoin de jouer un rôle.)
Une superbe vitrine de macarons et de chocolats avait attiré mes pas et j’étais en train de contempler les merveilles qui s’y trouvaient quand une dame, à mon côté, tout en regardant la même chose que moi, me déclara, sans aucune entrée en matière :« - Que de belles choses, là, n’est-ce pas Monsieur ?— Oui en effet…— Mais c’est comme les fleurs c’est périssable, et il faut en profiter très vite, avant qu’elles ne soient plus bonnes. Comme les femmes. »
Je la regardai. C’était une femme d’un âge vénérable, mais bien mise. Une coiffure aux cheveux gris impeccable. Très élégante. Très féminine.
« - En tout cas cela faisait bien longtemps que je n’avais pas vu un homme… si vous en êtes bien un… ?— Je vous confirme, Madame. — Ca n’est pas désagréable en tout cas… ...Et si j’achetais quelque uns de ces fantastiques macarons, vous accepteriez de venir les partager avec moi devant une tasse de café ?— Eh bien, euh… » Là, je fus pris par surprise. S’il y a bien une invitation à laquelle je ne m’attendais pas, c’était bien de la part d’une dame septuagénaire…
Elle ne me laissa pas répondre, vit ma gêne :
« - Vous êtes pressé peut-être ? Vous n’avez pas beaucoup de temps… ?— Eh bien, pas trop pressé ; disons que j’ai un tout petit peu de temps devant moi, pas trop, mais…— Bon, bah attendez-moi. J’achète ces macarons et je vous emmène prendre le café chez moi ? J’habite à deux pas.— Bon. Entendu. »
Elle avait prononcé tout ça d’un air calme, sans insistance, comme quelqu’un qui n’a rien à perdre, mais est sûr de lui.
Elle ressortit au bout de 5 min et la suivit. Effectivement, nous fîmes à peine 500 mètres et elle s’arrêta devant le porche d’un immeuble haussmannien.
Tandis que nous montions les escaliers elle me dit d’un air rieur :
« - Ca ne vous fait pas peur de suivre comme ça une inconnue ? Vous n’avez pas peur de vous faire agresser ?— C’est plutôt moi qui devrais vous demander ça. Vous abordez un inconnu dans la rue et vous l’emmenez chez vous, vous pourriez vous faire braquer…— Mais non. On vous bien que vous êtes un Monsieur bien…— Vous savez, les apparences… Qu’est-ce qui vous dit que je ne me suis pas bien habillé pour venir faire un mauvais coup dans les beaux quartiers ? »
Elle eut un haussement d’épaules mi moqueur, mi blasé :
« - Vous savez, jeune homme, il y a des choses qui ne trompent pas. Le langage, le maintien, la façon de se comporter. Je ne vais pas vous l’apprendre.— Sans doute. Mais la malhonnêteté n’est pas l’apanage des voyous de basse classe. Il y a des escrocs très bien élevés. C’est même leur atout majeur, qui leur permet d’arriver à leurs fins. »Elle leva sur moi un œil inquiet mais qui retomba bien vite :
« - De toutes façons je ne vais pas vous donner la combinaison du coffre que je n’ai pas, ni l’accès de mon compte en banque. Je donne facilement ma confiance mais je ne suis pas naïve. »
Elle me fit rire sincèrement, et je lui communiquai ma bonne humeur.
« - De toutes façons vous m’avez dit que vous étiez un peu pressé. Les escrocs donnent toujours beaucoup de temps à leur victime.— C’est vrai. Mais je ne vais pas me sauver dans 5 minutes. Des moments comme ceux-là sont rares, des moments de partage, des moments fortuits et agréables comme celui-ci. »
Elle me regarda et me sourit, un sourire beau et sincère, un sourire où je lus un peu de bonheur et de reconnaissance.
Elle ouvrit sa porte et me fit entrer.
« -Asseyez-vous, je vais préparer du café. »
Elle m’avait fait asseoir dans sa cuisine, une cuisine très moderne et claire, comme son intérieur. Ca n’était pas le genre d’intérieur qu’on imagine chez une femme de cet âge et d’apparence bourgeoise.C’était néanmoins cossu mais simple.
D’être introduit dans l’intimité de cette femme, femme que je ne connaissais pas il y avait encore 10 minutes et dont j’ignorais même l’existence, me faisait un drôle d’effet. C’était émoustillant et un peu intimidant à la fois, mais j’étais touché par sa confiance, et en même temps je trouvais reposant de ne pas me faire sauter dessus par une chatte en chaleur, comme c’était si souvent le cas avec des jeunes femmes, effrontées, insolentes, et à la libido agressive.
« - Vous savez », me dit-elle, « vous n’allez sans doute pas me croire et ça va vous faire sourire, mais j’étais une belle femme. J’avais du succès. Je sais que vous aurez du mal à l’imaginer, parce que je suis une vieille dame maintenant… Mais je ne tiens pas à vous montrer des photos pour vous le prouver ; je pourrais, mais ça va me démoraliser, et je ne suis pas de celles qui vivent sur le passé et la nostalgie de ce qu’elles ont été. — Mais vous êtes toujours une belle femme » lui dis-je sans sourciller et sans ironie, au risque de paraître flatteur. « Il y a des femmes qui vieillissent mal. Vous avez de la chance de ne pas être de celles-là. »
Elle sourit avec un air attendri.« - C’est mignon ce que vous me dîtes. Ah, si j’avais 20 ans de moins, je vous aurais séduit, je vous jure.— Mais je suis séduit » lui dis-je avant de boire une gorgée de café.
Elle me regarda avec un air malicieux et interrogateur, et j’eus l’impression de voir dans ses yeux une lueur venue de très loin, quelque chose qui se réveillait.
Je reposai ma tasse, lui caressai doucement la main, et je posai ma main sur sa joue que je caressai tendrement. Son visage était beau, avec les rides d’une femme mûre, mais assurément pas d’une vieille femme. Elle laissa aller sa tête pour appuyer son visage dans ma main, ferma une petite seconde les yeux, soupira tandis que je continuai à lui caresser la joue avec tendresse.
Elle me regarda soudain avec des yeux sérieux et me dit d’une voix rauque :
« - Vous savez que je pourrais encore vous donner du plaisir. Si vous vouliez… »
J’inclinai la tête, conquis, les yeux allumés par cette promesse de volupté :
« - Pourquoi pas. Je ne refuserai pas une proposition aussi alléchante. »
Elle me regarda dans les yeux, et sans lâcher mon regard elle me dit doucement :
« - Levez-vous. »
Je me levai de ma chaise, et m’approchai d’elle, répondant à l’invitation de ses mains tendues qui me guidaient vers elle.Elle défit ma ceinture, déboutonna mon pantalon et murmura :
« - Il y a 20 ans je me mettais à genoux, mais je ne peux plus, pardonnez-moi. Mes articulations.— Pas de problème. Je ne vais quand même pas me plaindre » lui dis-je en caressant ses cheveux gris abondants et soyeux.Elle baisse mon pantalon et mon boxer, prit mon sexe dans la main, le caressa, palpa avec douceur mes testicules de l’autre main, manifestement avec contentement. « - Vous avez une belle bite » murmura-t-elle, ces mots me surprenant dans la bouche de cette dame si digne. Après tout, me dis-je, elle a eu une vie sexuelle et elle était peut-être un peu émoustillée.
C’était doux et agréable, elle s’y prenait avec tendresse. Mais ça ne suffisait pas encore à me faire bander. Néanmoins cette situation commençait à me plaire et à m’exciter.
« - Mettez-vous torse nu. Quand une femme me suce je veux qu’elle soit torse nu, les seins à l’air. »
Elle leva les yeux vers moi, étonnée, un peu inquiète.
« - J’ai peur que vous soyez déçu. Je suis une vieille femme…— Je vous prends telle que vous êtes. Ne vous inquiétez pas. J’aime les femmes. Je ne serai pas déçu. »
Elle déboutonna son chemisier, le retira, apparut dans un soutien-gorge gris des plus élégants, le genre de lingerie raffinée qu’une femme achète et met parce qu’elle porte une grande attention à elle.Je caressai un instant son cou, ses épaules, de belles courbes douces, lisses, sur une peau mate, appétissante.
« - Je vais vous aider » lui dis-je, et je baissai l’une après l’autre les bretelles sur ses bras, puis me penchant sur elle, lui collant mon service trois pièces presque sous le nez je défis lentement une à une les agrafes. Je la débarrassai de la pièce de tissu.
« - Ils sont encore beaux » dis-je en les caressant à deux mains, lentement, les soupesant, les soulevant, « ils sont encore ronds, ils ont encore un beau volume. »
Mes doigts errèrent sur les mamelons roses, les agacèrent, les pinçotèrent, et ils se mirent à durcir, à devenir de belles pointes, sous l’effet de la caresse et de l’émotion, sans aucun doute. Je les travaillai un moment en insistant. Elle levait vers moi un regard troublé, éperdu. Je voyais que, malgré son âge, je commençai à lui faire de l’effet.Je caressai toute la surface de ses seins, ses épaules, son visage encore, mon pouce passa sur sa bouche qui s’entrouvrit.Tout ceci m’avait bien excité, et ma queue dressait fièrement. Elle la prit dans sa jolie main, se pencha et emboucha le gland.
Elle se mit à me sucer doucement, lentement, progressivement. Elle s’y prenait bien la diablesse. Elle n’avait rien perdu de la pratique qu’elle avait dû avoir, une pratique sûre et sensuelle.Je ronronnai de contentement, caressant sa nuque, attrapant ses seins, commençant à les malaxer fermement. Elle se mit à gémir. J’eus peur d’y aller trop fort, de meurtrir ses chairs.Elle comprit, me sortit de sa bouche et levant ses yeux vers moi me dit :
« - Non non, continuez. Vous pouvez continuer. Laissez-vous aller, défoulez-vous. Pelotez-moi comme vous peloteriez une jeune fille au corps ferme. Abandonnez-vous à votre désir, vous me flattez. Abandonnez-moi votre plaisir, j’aime ! »
Je me mis à lui masser les épaules, les bras, le cou, les replis gras de son dos, ses flancs, tandis qu’elle m’avalait de plus en plus loin, faisait des va-et-vient en s’aidant de ses mains sur mes couilles ; je sentais mon gland buter tout au fond de sa gorge, son nez taper contre mon bas-ventre, j’étais terriblement excité, elle me suçait longuement et patiemment, vraiment bien à fond, bien appliquée à sa besogne. Je saisis ses deux mamelons entre pouce et index et les travaillai durement, les pinçant de plus en plus fort, les étirant, les faisant rouler entre mes doigts, puissamment ; elle gémissait mais sans protester ni ralentir ni sans cesser de s’appliquer.Elle me faisait grimper au rideau, quelle bonne pipeuse, je n’en n’avais jamais rencontré de meilleure !
Je n’en pouvais plus. Je savais qu’elle voulait m’emmener jusqu’au bout et probablement me pomper à fond, me vider de ma semence, et qu’elle allait la boire à longs traits et jusqu’à la dernière goutte, mais j’avais désormais d’autres envies. Mes deux mains sur son visage le tirèrent en arrière lui faisant comprendre fermement que je voulais stopper la fellation.
« - Je ne veux pas me contenter d’une pipe. Vous m’avez trop excité. Je me fiche bien de votre âge, je vais vous baiser, j’en ai envie ! »
Je la fis se lever de sa chaise et je la fis se retourner ; je la fis s’appuyer contre le réfrigérateur. Je remontai rapidement sa jupe, la retroussant sur ses reins, et je fus surpris de découvrir avec plaisir que ses bas gris étaient des auto-fixants. Cette vision sexy renforça mon désir.Je lui baissai prestement sa culotte élégante - assortie au soutien, et l’en débarrassai. Elle était désormais debout sur ses chaussures à talons, et me présentait une paire de fesses menues et un peu affaissées, mais qui restait appétissantes comme n’importe quel cul féminin.
Je trouvai dans cette cuisine une bouteille d’huile et en mit un peu sur mes doigts puis me mis à caresser l’intérieur de sa vulve et à l’huiler (la sécheresse étant physiologique à cet âge, et je ne voulais pas la blesser, ni rendre ce qui allait suivre pénible pour elle ni désagréable pour moi)Sa chatte était bien rasée, pas de poil gris hirsute, mais un beau mont de Vénus soigné et doux, sensuel, agréable à palper, à presser, ce dont je ne me privai pas.
J’enfilai rapidement une capote lubrifiée (j’en ai toujours une dans ma poche, vues les rencontres impromptues auxquelles je suis sujet dès que je sors de chez moi…), puis je me collai contre elle, enserrant ma verge entre ses fesses pour bien lui faire sentir ma virilité ; je la pris par les épaules, caressant ses bras, mes mains descendirent et malaxèrent ses seins, et je lui soufflai à l’oreille :
« - Vous sentez dans quel état vous m’avez mis ?— Oh oui je le sens bien… !— Vous l’avez bien cherché, petite allumeuse… ! Avouez que vous y avez pensé dès le moment où vous m’avez abordé.— Je n’aurais jamais espéré… Mais il y avait si longtemps que je n’avais vu un homme… lui parler, le toucher… Je voulais prolonger ce moment. Jamais je n’aurais espéré que vous accepteriez ce café…— Il y a combien de temps qu’on ne vous a pas enfilée ?— Oh… au moins quinze ans— Alors je vais vous rappeler des souvenirs : je vais vous saillir ! »
Je guidai ma queue sur sa vulve, caressant ses lèvres douces avec mon gland en quelques va-et-vient bien sentis, puis tout doucement, j’engloutis dans son ouverture le bout arrondi de ma pine et d’un mouvement continu des reins je progressai jusqu’au fond : elle était étroite et chaude !Elle poussa un petit râle de contentement. J’enserrai sa taille de mon bras gauche, ma main droite lui pelota ses seins, et je lui murmurai d’un air vicelard :
« - Tu me sens bien… ?— Oh oui— Je vais bien te baiser, tu vas aimer ça. Je vais te baiser comme une salope !— Mmmmmh… »
Je me mis à la besogner lentement de longs coups de reins souples, tandis que ma main se mit à caresser doucement le velours humide de sa chatte.
« - Ohhh oui…— Tu aimes ?— Oh oui, c’est bon !— Ca te rappelle des souvenirs ?— Oh c’est meilleur que dans mes souvenirs. J’avais peur d’être déçu, mais c’est très bon. Tu es un amant extraordinaire, tu es très doux, tu prends beaucoup de précautions… ah tu me fais du bien !— Et toi tu m’excites !— Oh merci, merci de me baiser si bien !— Je vais t’en mettre plein ta petite chatte ! Elle est très bonne, très douce, tu me donnes du plaisir… »
Elle se déplaça un peu, alla poser ses mains à plat sur la table de cuisine, se cambrant d’avantage, creusant ses reins, tendant et offrant son cul.Je me mis à la gratifier d’une vigoureuse levrette, à un rythme soutenu, mes mains la cramponnant par ses légères poignées d’amour, ou tripotant ses seins pendants et ballotant au rythme de mes coups de boutoir, et allant jusqu’à lui claquer 2 – 3 fois les fesses.Elle poussait des cris, se laissait aller, criait son plaisir, visiblement très excitée, perdant presque tout contrôle :
« - Oui, baise-moi ! Baise-moi fort !— T’aimes ça, hein ?! T’en prends plein ta chatte ! C’est bon de se faire trombiner, ma chérie !— Oh oui, défonce-moi ! Baise-moi comme une salope !— T’as pas honte de te faire ramoner la chatte, à ton âge ?!— Oh si, j’ai honte, mais c’est bon !— …de te faire tringler dans ta cuisine, hein ?!— Oh si j’ai honte ! Je suis une vieille salope !— Ah, tu l’as dit ! Une veille salope qui aime se faire reluire, se faire farcir la chatte dans sa cuisine pendant que les autres font du tricot !— Oh oui, j’ai honte mais j’aime ça ! Je me fais enfiler comme une salope ! Ah, bourre-moi comme une chienne ! Fais-moi jouir, je vais prendre mon pied ! »
Et elle partit dans une extase qui secoua tout son corps avec des spasmes en saccades. Elle hurla brièvement son plaisir, tandis que mes doigts pressaient à mort ses mamelons durcis.
Bien que n’ayant pas joui, je me retirai (faisant si souvent l’amour je peux durer longtemps, et même me passer de jouir parfois…)Mais c’était sans compter sur la dame qui ne voulut pas me laisser comme ça, question de fierté.Toute essoufflée elle m’emmena dans son salon, s’assit sur un pouf, ôta ma capote, et commença à me branler en me léchant et suçant les couilles ; puis me prit en bouche et s’appliqua à me faire une pipe d’anthologie. Bien que je ne sois pas trop sensible à cette sensation, l’excitation d’avant aidant, je sentis grandir le plaisir.Je pris son visage entre mes mains et me mis à baiser sa bouche comme un salaud. Elle s’y plia de bonne grâce, me laissa faire avec docilité, et je sentis bientôt l’apothéose arriver. Je grognai que j’allai jouir, et retirai ma queue, m’apprêtant à agir en gentleman. Mais c’était sans compter sur le perfectionnisme de la dame, et son amour du travail bien fait. Elle leva ses yeux brillants et troubles vers moi :
« - Viens dans ma bouche, mon chéri. Je veux ta semence. »
Je ne me fis pas prier et me laissai aller. Je gémis et elle sentit ma queue gonfler juste avant le premier jet.Elle ouvrit la bouche et me murmura :
« - Donne-moi tout, donne-moi ta sève précieuse. Je vais t’avaler. »
Je partis à longs traits et elle se mit à déglutir consciencieusement. Elle me but jusqu’à la dernière goutte et me suça la queue encore longtemps après. Elle me la lâcha presque à regret.
« - C’était bon ? Tu as aimé ?— Oh c’était excellent ! Vous êtes très douée… Et vous, vous avez bien pris votre pied ? Vous avez eu votre plaisir ?— Oui mon chéri. Mais j’avoue que j’ai encore envie… c’est incroyable, mais c’est vrai.— Venez » lui dis-je et je l’entraînai vers le canapé et la fis s’allonger, cuisses bien ouvertes.
Je me mis à lui caresser sa vulve avec des mouvements pressants et appuyés. Son corps ondulait de vagues. Je lui glissai deux doigts et la ramonai à un rythme soutenu. Elle avait fermé les yeux, elle gémissait, soupirait profondément. Emettait des petits « Oh » « Ahh… »Manifestement elle était, cette fois, longue à venir.
Finalement je me mis à genoux et lui offris ma botte secrète : gardant mes doigts en elle, ma bouche et ma langue se livrèrent à une chorégraphie complète sur l’ensemble de sa vulve, tandis que je massais bien sa zone G, manifestement pas en sommeil.Elle se mit à hululer, à gueuler, à crier hors de tout contrôle, ses poings serrés convulsivement, sa tête oscillait de droite et de gauche, comme une jeune ingénue novice qui découvre le plaisir. Un long feulement suivi de spasmes et de révulsions de tout son corps, et ses yeux écarquillés, m’annoncèrent que je venais de l’achever.
Je restai un long moment à lui cajoler doucement l’intérieur des cuisses, tandis qu’elle me caressait gentiment les cheveux, en attendant de recouvrer ses esprits et la force de bouger.
Je parlai le premier :
« - Désolé de vous avoir tutoyé tout à l’heure, mais c’était dans le feu de l’action ; et avec l’excitation…— Mais tu peux me tutoyer, mon chéri. Et puis, après ce que tu viens de me faire, on peut dire qu’on est intimes. Tu es mon amant, maintenant…— Oui mais je tiens à vous tutoyer, par respect pour vous.— Comme il est mignon » me dit-elle avec un air attendri, en me flattant le torse.
Après un brin de toilette nous reprîmes un café, puis je dus quand même me résoudre à prendre congé.Elle allait me laisser partir sans même me demander mon prénom ni mes coordonnées.
Je lui demandai son numéro de téléphone que je notai dans mon agenda « pour si je repasse dans le coin », puis l’embrassai tendrement avant de m’en aller.
J’ai tellement de numéros de téléphone de femmes avec qui j’ai fait l’amour ou qui m’ont tapé dans l’œil que je dois marquer à côté une petite indication pour me rappeler qui elles étaient.Mais d’elle, je me souviendrai. Et pas seulement à cause de son audace, ou de son âge record parmi mes « conquêtes » ou de ses cheveux gris.

Mon emploi du temps est plein comme un œuf, mon agenda ne me laisse que peu d’occasions pour flâner. Plusieurs mois se sont écoulés avant que je ne me rende compte quel temps était passé.Mais cet après-midi, je l’ai rappelé. Je dois lui rendre visite dimanche. Elle m’a dit que le café serait chaud.Et pas seulement le café, ai-je pensé.
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