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Léa, apprentissage de l'amour

Chapitre 3

Erotique
Sur ces entrefaites Joris est arrivé et a filé se changer ; j’ai remis mon soutien-gorge et nous avons plongé dans la piscine pour refroidir nos idées. Puis nous avons joué avec un ballon, des boudins gonflés, tout ce qui nous passait sous la main ; à l’arrivée de papa, nous étions sagement allongés côte à côte tous les trois à écouter de la musique sur une station d’ipod. Le soir, ce fut plancha de légumes (aubergines, tomates, poivrons) puis de fruits (ananas) accompagnée d’un rosé léger et fruité bien frais. Tout le monde est parti se coucher en même temps ; je me suis douchée en vitesse, j’ai mis mon pyjama short et je suis allée toquer à la porte d’Amaury. Il m’a ouvert tout de suite, une serviette de bain nouée autour des hanches. Avec un grand sourire, mais les yeux empreints d’une certaine gravité.
— Je peux entrer ? Pas longtemps, je veux pas te déranger.— Tu ne me déranges pas ; et tu ne me dérangeras jamais. Viens.
Il a tendu sa main pour me tirer contre lui et refermer la porte dans mon dos. J’étais si bien que j’ai poussé un petit gémissement. J’ai fermé les yeux et passé mes bras dans son dos en soupirant. Il sentait bon, une odeur de vanille et de citron vert avec, en dessous, cette odeur musquée typique de mâle. J’entendais son cœur battre fort, sa respiration lente. Ses mains étaient posées sur mes reins, immobiles et chaudes ; j’ai glissé les miennes sous la serviette qui a dû se détacher car je l’ai sentie tomber sur nos pieds. J’ai caressé ses fesses musclées et il a frémi contre moi, sa verge s’est pressée contre mon ventre en se déployant.
— Léa, tu es bien dissipée, je trouve, me prévint-il d’une voix rauque.— Je suis bien, tu ne peux pas savoir.— Tu as envie de faire l’amour ?— J’en crève d’envie, oui. S’il te plaît.
Main dans la main, nous somme allés jusqu’au lit. Trois pas seulement, un périple digne de l’odyssée pour mon petit cœur. J’ai enlevé mon haut de pyjama, exposant ma poitrine gonflée ; il a fait glisser mon short, dévoilant mon pubis bombé à la toison blonde. Mes yeux restaient rivés sur sa virilité, si grosse que je me demandais quand même comment j’allais pouvoir recevoir son épaisseur sans être déchirée, à tout le moins incommodée. Amaury m’a fait allonger et sa tête a plongé sur mon intimité offerte. Rapidement, il a écarté et remonté mes cuisses tellement que mes lèvres vaginales se sont ouvertes. Quand sa langue a glissé une première fois sur mes nymphes, j’ai frémi de tout mon corps en attente.
Jamais mon boyfriend ne m’avait fait ça, c’était dément ! Mon bas-ventre a décollé tout seul du lit, Amaury restait soudé à ma fente et aspirait mes lèvres intimes, mon jus ; j’ai empoigné mes seins et pincé les bouts jusqu’à la douleur, poussant un cri rauque de jouissance. Mais il a continué, impassible, buvant mon nectar à la source, bloquant mon bas-ventre qui tressautait de manière incontrôlable. Essayant de retenir mes cris de plaisir, je mordais mes lèvres, serrais les dents. J’ai été fauchée par un nouvel orgasme qui ma laissée pantelante, la respiration lourde et le cœur à 130 pulsations minute.
Il m’a laissée retomber doucement sur le lit et j’ai ouvert les yeux, la vision un peu voilée par la jouissance. J’ai aperçu son sexe dressé, gonflé à fond, qui s’approchait et se posait sur mes nymphes trempées, mon ventre s’est ouvert sans peine à l’intrusion, mais j’ai grimacé, entre gêne et douleur, quand mon vagin trop étroit a commencé à prendre la mesure de l’intrus. C’était épais, mes chairs s’ouvraient difficilement pour prendre la mesure du gland. Je n’ai pas eu besoin de mettre mes mains en opposition car Amaury s’est arrêté, seul le gland était en moi.
— Merci de faire doucement, j’ai un peu peur.— Tu verras, tu vas t’y habituer rapidement ; à ton âge, tu es forcément très souple, et d’ici quelques jours, ton vagin comme ton anus seront assouplis et tu me réclameras !— Heu. Doucement ! Pour mon anus, je n’ai jamais fais ça, je ne crois pas... Oh ! Mon Dieu ! Continue, c’est trop bon, vas doucement... Que tu es gros, c’est trop…
Sidérée, je regardait la verge énorme disparaître peu à peu en moi, je ne savais pas que je pouvais accueillir si gros, si long. Le contraste était saisissant entre l’épieu violacé et mes nymphes rose pâle, je me sentais emplie, distendue, et j’adorais ça. J’ai pris les hanches d’Amaury et l’ai tiré vers moi, les derniers centimètres ont pénétré et j’ai senti le gland appuyer tout au fond de mon ventre, m’arrachant un hoquet. J’ai souri et fait un clin d’œil à Amaury, qui m’a embrassée tendrement avant de se mouvoir en lents va-et-vient qui provoquaient une houle de mon bassin.
Il a empoigné mes seins gonflés, faisant saillir les mamelons qu’il a tétés à tour de rôle, tout en amplifiant le rythme de pénétration. Maintenant, mon ventre allait à sa rencontre dans un choc sourd de nos pubis, j’avais encerclé ses hanches de mes jambes, bien offerte.

— Alors, ma petite chérie, tu veux que je continue ?— Oh oui, continue, par pitié…
Il s’est retiré complètement, me laissant béante et totalement impudique. Son visage était froid, calculateur.
— Si tu as envie, demande-moi, donne-toi plus.— Prends-moi plus fort, vas-y, sois sans crainte, je ne suis pas en sucre.
Il a soulevé mes cuisses et je l’ai guidé en moi pour qu’il me pilonne encore et encore, longuement, de plus en plus vite et de plus en plus fort. J’ai commencé à jouir et jouir encore sous ses assauts vigoureux, tous mes sens, tous mes nerfs étaient connectés à mon vagin et mon bouton engorgé alors qu’il me prenait sans faiblesse, juste attentif à mes gémissements. Il avait empoigné mes hanches pour pouvoir me tirer à lui en même temps qu’il s’enfonçait en moi, et nos ventres claquaient sèchement à chaque fois. Enfin, il s’est planté aussi loin qu’il pouvait pour éjaculer en épaisses rasades et j’ai joui si fort qu’un voile noir a obscurci ma vision.
Il est tombé sur moi, m’écrasant un peu ; nous avons repris notre souffle peu à peu et j’ai réalisé que nous étions couverts de sueur ; j’ai embrassé son cou humide et léché le liquide salé en souriant. J’étais un peu écrasée par sa masse mais j’étais bien, je sentais son engin toujours planté en moi, il n’avait pas l’air de diminuer de volume. J’ai poussé l’épaule gauche d’Amaury et l’ai fait basculer sur le dos, mon bassin a accompagné le mouvement et je me suis retrouvée le chevauchant. Mouvement si bien synchronisé que la verge était sortie seulement pour moitié peut-être, mais je me suis assise de façon qu’elle se retrouve à nouveau bien plantée en moi.
— Alors, beau brun, tu as aimé ? Parce que moi, j’ai adoré.— C’était génial, Léa. Tu es géniale. Tu es mon petit amour, ma jolie blonde que je serai fier de présenter, de promener à mon bras.— J’aime bien quand tu me parles comme ça, tu sais.— Je te parlerai souvent comme ça. Et je te traiterai aussi de salope, de chienne quand je te sauterai, quand je t’enculerai.— Oui, bon. Je ne dis pas que je refuse la sodomie, mais tu feras attention, je n’ai jamais fait ça ; je comprends que j’aurai mal, mais si tu y vas doucement…— Je te promets de te préparer pour que ça rentre comme dans du beurre ; je veux pouvoir te prendre par tous tes orifices, mais pas te démolir, ma petite chérie.— Parce que tu es quand même vachement gros, tu sais ; je te sens en moi, c’est tout dur, chaud, ça palpite.— Bon, c’est pas tout, travaille un peu, remue ton cul sur ma grosse queue, qu’elle soit bien raide, puis tu vas me montrer comme tu tailles une pipe.— A vos ordres, chef !
Il était raide, dur comme du bois, et rapidement je me suis relevée, laissant échapper la grosse verge de mon sexe trempé pour m’accroupir juste à côté. J’avais les yeux à quelques centimètres du gland décalotté, luisant de mouille et de semence, super appétissant. Je me suis mordue la lèvre inférieure en le prenant d’une main qui n’en faisait pas le tour. J’ai léché le gland, goûtant le mélange de sperme et de cyprine qui le recouvrait, puis je l’ai gobé et tété aussi fort que je pouvais, les yeux dans les yeux d’Amaury ; il aimait ça. J’ai essayé d’avancer un peu ; je n’essayais pas de passer ma luette, pas trop sûre de moi et de mes réactions.
— Faudra que je t’apprenne à faire des gorges profondes ; pas facile au début mais très chouette ensuite. Pour aujourd’hui, je me contenterai de ta chatte, mais je veux que tous tes orifices soient à moi, où et quand je le veux.— Moui, mon chéri, mais ta verge est tellement longue que ça va pas être facile.
Il m’a prise longtemps cette fois-là, m’obligeant à mordre le drap pour ne pas hurler ma joie ; quand il était prêt à exploser il sortait vivement de mon vagin distendu pour se faire lécher, puis il reprenait son pilonnage en règle ; je m’offrais sans pudeur, prenant les positions qu’il voulait. Et je jouissais, par vagues énormes qui m’emportaient loin et me laissaient pantelante, les membres gourds ; quand il s’est vidé en moi, j’étais allongée sur le ventre, cambrée, et il tenait mes hanches pour me verrouiller à sa verge démoniaque qui m’emplissait la matrice de semence.
Plus tard, nous avons pris une douche commune en nous savonnant tendrement, et cette nuit est la première que j’ai passée dans les bras d’un homme. L’homme que j’aimais et qui m’aimait. La suite ? Nous nous sommes mariés deux ans après, j’ai eu, nous avons eu, deux enfants, un garçon et une fille. Le bonheur, dans toute sa banalité et sa simplicité. Amaury m’adore, mais quand il dit qu’il va aller chez les putes, je le regarde en battant des cils, et je lui réponds :
— Reste, mon chéri, tu en as une à la maison. Et pas chère. Pour un croissant, tu as droit à une pipe ; et j’avale, je ne parle pas du croissant. Pour un pain aux raisins, tu me baises la chatte autant que tu veux. Pour un assortiment de viennoiseries, c’est sodomie.— Nous sommes jeudi, ma chérie.— Alors le jeudi, c’est assortiment de viennoiseries.
FIN
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