Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 41 J'aime
  • 5 Commentaires

Lea chenzhao

Chapitre 1

Decouverte de lea

Trash
Par cette douce après-midi de printemps, le bruit d’un hélicoptère survolant le domaine vient de me réveiller. Les invités du maître des lieux arrivent. Sans doute l’a-t-il également entendu car quelque temps après la porte de la chambre devant laquelle je dormais s’ouvre. Le maître de sa démarche nonchalante longe le couloir, traverse le salon et rejoint le majestueux hall d’entrée. Il ne se presse jamais, sa physionomie ne se prêtant guère aux excès de vitesse. Avec ses deux mètres, sa large carrure et ses cent quatre-vingts kilos l’homme impressionne naturellement et si son visage poupon et son embonpoint peuvent faire sourire, ses yeux noirs et son regard vif ne laisse aucun doute sur la personnalité de l’individu. Monsieur Chenzhào est du genre à posséder, à contrôler, à diriger et à imposer s’il le faut.Les invités se présentent sur le perron à l’instant où le majordome ouvre celle-ci, minutage parfait ! Comme tout dans cette propriété. D’un geste le patron congédie le majordome. « Monsieur, Madame Zhang bienvenue dans ma demeure ». Derrière le Maître, à deux mètres en retrait et légèrement sur sa gauche j’attends, assise. Je connais monsieur Zhang mais n’ai jamais vu la femelle qui l’accompagne. Le visiteur échange quelques propos avec mon maître tandis qu’elle parcourt du regard la somptueuse pièce, soudain son regard se pose sur moi. Elle blêmie, porte les mains à sa bouche et a un mouvement de recul.Monsieur Chenzhào, alerté, suit son regard, il se retourne aussitôt vers monsieur Zhang. Celui-ci regarde sa femme, me regarde puis rougissant relève les yeux vers le maître. Les deux hommes se sont mis à parler en même temps. L’invité, les mains jointes ne cesse de s’incliner mécaniquement. Je ne comprends pas ce qu’ils disent. Cela me concerne sans doute mais je n’ai pas à m’en inquiéter. Pour la compréhension de l’histoire je vais vous retranscrire leurs propos en les traduisant, à moins bien sur que vous ne maîtrisiez le mandarin mieux que moi !
— Je suis désolé Monsieur le Directeur j’ai omis d’informer mon épouse de la présence de votre animal de compagnie. Je suis désolé vraiment.— Madame Zhang je suis sincèrement désolé, si j’avais su j’aurais enfermé Léa, mais n’ayez crainte ce n’est qu’une chienne. Au pardon ! Je comprends que cela puisse vous effrayer si votre époux ne vous en a pas parlé !— Chéri, elle est gentille et… Mon dieu, j’aurai dû t’en parler. Je n’ai pas pensé à…— Oui effet ! Il semble que vous ne pensiez pas beaucoup monsieur Zhang ! Le maître se dirige vers la porte et l’ouvre.— Je suis désolé Monsieur le Directeur, veuillez accepter mes plus humbles excuses.— Léa ! Va dehors ma belle va ! Allez.
Je me mets à quatre pattes, traverse le hall et sort. La porte se referme derrière moi. J’observe un temps d’arrêt. Que faire ? Le maître n’est pas là ! Soupir ! Je me tourne vers la droite et emprunte la rampe qui permet aux serviteurs d’amener les charges lourdes sur des chariots. Parfaitement dissimulée derrière une haie paysagère et quelques pots judicieusement agencés elle ne défigure pas le fronton de ce somptueux château. Un observateur pourrait se croire devant l’une de ces vieilles demeures françaises qui orne la Loire. Toutefois, sortant du domaine il ne pourrait confondre la campagne de la chine profonde avec les paysages français.Arrivée au bas de la rampe je longe le vaste bâtiment en empruntant le trottoir que le Maître a tout spécialement fait aménager pour moi. Fabriqué avec l’un de ces revêtements que l’on trouve sous les zones de jeux pour enfant il est particulièrement confortable et je serais stupide d’emprunter l’allée gravillonnée. A l’angle de la maison j’oblique sur la pelouse en direction du grand chêne situé à quelques mètres. Là je m’assoie. J’aime cet endroit. J’aime m’y réfugier lorsque le maître ne me laisse pas être à ses côtés. J’inspire profondément, humant les riches odeurs du printemps. Au pied du chêne une petite cascade alimente un petit bassin. Les carpes koî y nagent paisiblement parfois dérangées par le saut d’une petite grenouille verte. Les libellules dessinent des arabesques dans le ciel. Dans les frondaisons les oiseaux chantent. Au loin les arbres fruitiers sont couverts de fleurs et dans le lointain d’abruptes falaises dessinent des dentelles sur le ciel bleu.Le paradis ! Mais le Maître n’est pas là. Je tourne le dos à ce décors enchanteur et me glisse dans mon abri. Je me love dans mon panier et pose ma tête sur le rebord capitonné. Je soupir. Je ne suis pas inquiète, le maître viendra. Il me faut juste attendre. C’est ce qu’il attend de moi, que je l’attende. Lorsqu’il m’appellera il sera heureux que je vienne vite le rejoindre. Seul compte son bonheur et son plaisir. Je ne vis que pour être agréable au maître. Mes paupières s’alourdissent.J’ai dû m’endormir car j’entends des pas sur le gravier. Le temps de reprendre mes esprits et je vois les pieds du Maître devant mon abri.
— Léa ma belle, tu es là ! Je m’en doutais. Viens ma chérie viens.Sous les regards attentifs de monsieur et madame Zhang je quitte mon panier, sors et vais me placer au pied du maître. Assise sur mes talons, les genoux écartés de cinquante centimètres, la bouche entrouverte, les bras croisés dans le dos je pose ma joue contre la cuisse du maître. Il pose machinalement sa main sur ma tête et je ne peux retenir un soupir de plaisir. Je caresse la cuisse du maître de ma joue.— Elle est très affectueuse et parfaitement dressée.— C’est… C’est étrange et fascinant. Je suis vraiment désolé de ma réaction Monsieur le Directeur, certes mon mari aurait pu me prévenir mais je n’aurai pas du… Enfin sur cette terre seul importe le bonheur…Madame Zhang se met alors accroupi et se tourne vers moi. Son mari s’approche et met sa main sur son épaule.— Tu vois chérie, ce n’est qu’une gentille chienne. J’ai été conquis lors de ma première visite mais Monsieur le Directeur m’avait prévenu il est vrai. Et j’ai même eu droit à une caresse de sa part lorsque je suis parti. Le Directeur a dit que c’est qu’elle m’apprécie !
Je regarde cet homme, je ne comprends pas ses propos, seul le maître me parle en français, la seule langue que je comprends. Je me souviens de ma première rencontre avec Monsieur Zhang. Il n’avait manifesté aucune répulsion. Il m’avait juste considéré comme une chienne, il m’avait lancé, avec l’autorisation du maître quelques morceaux de son assiettée et m’avait gentiment flatté lorsqu’il avait quitté la table. A son départ j’avais pris plaisir à frotter ma joue sur sa cuisse comme je le faisais avec le maître. J’apprécie cet homme, bien découplé, doux avec un regard franc. La voix de son épouse me tire de mes souvenirs.
— Excuse moi ma jolie. Je ne savais pas, je n’avais pas compris. Que dit-elle ? Elle a le même regard, doux, apaisant. Sa voix d’alto est à l’avenant. Je la regarde et mon cœur fait un bond. Elle a des larmes dans les yeux. Des yeux magnifiques. Je m’approche d’elle à quatre patte et place ma joue contre sa poitrine en prenant soin de ne pas la renverser. Je lève les yeux et nos regards se croisent. Je sens ses bras qui m’enlacent. Elle me serre contre elle et presse sa joue contre la mienne. Le temps semble interrompre son cours. — Ça va ma chérie ? Chérie ! Monsieur le Directeur je… Je suis désolé je… je ne comprends pas ce qu’il arrive à mon épouse. D’ordinaire elle est très réservée et…— Laissez mon garçon, laissez ! Je crois qu’elle découvre le pouvoir de Léa. Certains y sont très sensibles, c’est mon cas.La dame me relâche lentement, délicatement. Nos regards ne se quittent pas. Je lui souris. Puis je me retourne et retourne au pied du maître. Je m’assoie à ses pieds.— Bien si nous rentrions ! Léa ! Maison. Passe devant .Toujours à quatre pattes je fais le chemin en sens inverse. Madame Zhang tient le bras de son homme et parle au maître. Je suis heureuse, le maître me suit et je retourne à la maison.— C’est incroyable ! Je ne sais pas si mon époux vous l’a dit je ne travaille pas, toutefois je suis énergéticienne et il m’arrive de soigner des amis, des membres de la famille. C’est un don hérité de mon père. Notre famille pratique depuis plusieurs générations la médecine chinoise et mon frère a repris le cabinet de mon père. Léa, enfin votre chienne donc… Elle dégage une paix, une sérénité que je n’ai jamais ressentie. Lorsqu’elle s’est approchée de moi et ma touché… Par Bouddha… J’ai été submergée. J’espère que vous me pardonnerez cet écart de conduite.— C’est tout pardonné ! Oui ! C’est l’effet Léa. Je ne l’explique pas. C’est ainsi.— Je crois, Monsieur le Directeur, que l’explication est simple. Seule une personne qui a trouvé son parfait équilibre, peut rayonner une telle sérénité, un tel amour. C’est impressionnant !
Nous sommes arrivés au perron. Mon maître entame la montée des quinze marches. Il refuse toujours de prendre la rampe réservée aux domestiques et à la chienne. Il ne peut parler et monter les degrés. Ses visiteurs restent derrière lui comme il convient de le faire lorsque l’on sait vivre. En empruntant la rampe j’arrive donc la première en haut de l’escalier et reprends la position d’attente.A genoux, cuisses écartées, fesses sur les talons, les mains fermées en poing emprisonnées dans des moufles en cuir, les bras croisés dans le dos ce qui fait ressortir ma poitrine. Mes tétons ornés d’anneaux pointent fièrement, mon pubis où est tatoué « Chenzhào », en français et en mandarin, est totalement exhibé. Une petite chaîne en or relie l’anneau qui perce mon nombril à ma ceinture de chasteté en silicone, fine mais très serrée elle se confond avec ma peau. Je porte la tête droite maintenue par mon large collier de cuir rose ou mon nom Léa est gravé en français et en mandarin. Il est orné d’un anneau en or qui n’attend que ma laisse. J’entrouvre la bouche pour laisser voir ma langue ornée de son piercing. Ma position de trois quarts laisse apercevoir la queue fixée à mon plug qui remonte fièrement le long de ma colonne vertébrale. Mon Maître arrive en haut des marches. Il reprend son souffle, caresse mes longs cheveux blonds coiffée en une queue de cheval me regarde et me sourit. Mon cœur éclate de plaisir et je lui rends son sourire. Je l’aime.— Vos propos me touchent madame car le chemin fut long !
— Mais comment avez-vous pu transformer une femme en une telle créature, une chienne affectueuse, intelligente qui visiblement ne vit que pour vous plaire. Il n’y a qu’a la regarder vous sourire !
Le Maître est sur le seuil Monsieur et Madame Zhang le suivent à l’intérieur.
— Une femme ! Mais Léa autrefois était un homme Madame ! Si je vous dis que le chemin fut long… Viens Léa, rentre, j’ai ton histoire à raconter.
Comme il se doit je suis à quatre pattes mon amour, deux pas en arrière, légèrement sur la gauche. Ma queue oscille au rythme de mes déhanchements, les grelots qui ornent chacun des anneaux tintent. La porte se referme derrière moi. Il ne pourra pas tout raconter en une soirée.
Diffuse en direct !
Regarder son live