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Léa, Chloé, Marie, Mathilde et les autres…

Chapitre 3

Inceste
En la voyant comme ça allongée sur le tapis du salon, endormie sur le dos, jambes écartées, sans défense, je me retrouve à nouveau avec une trique d’enfer. Comment ai-je pu, depuis sa majorité ; avant je n’aurai pu le faire ; ignorer sa beauté au point de n’éprouver aucun désir pour ma sœur ? Probablement mon propre atavisme : l’éducation judéo-chrétienne que j’ai reçu de nos parents. Pour Léa c’est différent, elle a été biberonnée par les réseaux sociaux et le porno à foison. Elle est complètement désinhibée. Je ne suis pas sûr qu’elle sache vraiment ce qu’est l’inceste.En tout cas c’est évident, je compte bien rattraper ce retard car j’ai encore envie de lui faire l’amour.Je m’agenouille entre ses jambes et je me penche pour lui faire un « broute minou ». Sa chatte est pleine de mon sperme et des sucs qu’elle a libérés après ses très nombreux orgasmes. C’est gouteux à souhait. Ma langue écarte ses lèvres vaginales et tente une pénétration tout en douceur de son puits d’amour. Elle gémit, encore dans ses rêves. Je lui relève les cuisses pour faciliter mon intromission. Son anus plissé se dévoile à moi. C’est mon prochain objectif. Mon index tente une introduction. Difficile car elle est très étroite. Il me faut l’assouplir. Je crache dans son cul et je récupère de sa mouille pour bien la lubrifier. Ce n’est pas suffisant. Heureusement la cuisine n’est pas loin. La bouteille d’huile d’olive, avec son bec verseur que je vais faire pénétrer dans son rectum, fera l’affaire. Léa se réveille et ne comprend pas ce que je lui fais. Le liquide coule dans son fondement. Quand j’estime la quantité suffisante j’enfonce progressivement, un, puis deux, puis trois doigts dans son croupion et j’élargis son trou au maximum. Ça finit par entrer tout seul tellement elle est ointe.
— Que fais-tu ? me dit-elle la voix endormie.— Je te prépare car je vais t’enculer pour la première fois.— Tu ne vas pas me faire mal ? C’est avec la bouteille que tu vas me sodomiser ?— Non ! dis-je en riant. C’est uniquement pour bien te lubrifier afin que ma verge puisse coulisser sans te blesser.
A ces mots je lui relève les cuisses au maximum afin que le creux de ses genoux se posent sur mes épaules. Je pose mon gland turgescent sur son anneau étoilé et, par petits coups, je lui fais franchir ses sphincters. Elle pousse un petit cri et je continue ma progression jusqu’aux couilles. Ma verge est entièrement en elle. Je m’adresse alors à elle :
— Ca va ? Tu n’as pas mal ? Je peux continuer ? — Oui c’est bon vas-y !— Alors tu vas déguster car je vais te défoncer le cul, tu ne peux pas savoir à quel point.
Je me déchaine alors sur son corps consentant en perforant son anus par de violents allers et retours. Elle hurle sous mes coups de boutoirs de plus en plus rapides, puis ses sphincters s’habituent et la jouissance commence à l’envahir d’autant que j’en profite pour travailler avec mes doigts son bouton d’amour que je viens de débusquer. Elle ronronne, crie encore, mais de bonheur jusqu’au moment où, ne tenant plus, je me répands dans ses reins dans un ultime orgasme commun.Nous nous désaccouplons et nous retrouvons allongés côte à côte sur le dos, main dans la main. Ma petite sœur n’a encore rien commenté sur ce que je viens de lui faire subir. Moi je n’ai rien à dire j’attends juste sa réaction.Elle va me surprendre alors quand, après s’être relevée et penchée sur moi, elle va emboucher mon sexe aux senteurs de son cul, de l’huile d’olives et de mon sperme mélangé pour le nettoyer amoureusement jusqu’aux couilles.Une fois le travail effectué elle se relève et me dit :
— Tu m’as complètement démolie. Je vais avoir du mal à m’assoir. Je sais maintenant ce que peut signifier « se faire enculer ». Ta bite est vraiment énorme. Mais, tu sais, j’ai adoré ça car à la fin j’ai joui comme une folle. C’est incroyable ce que tu m’as fait découvrir en quelques heures. Tu m’as baisé la gorge. J’ai aimé ça. Tu m’as démoli ma chatte. J’ai aimé ça. Tu viens de me sodomiser. J’ai aimé ça. J’ai nettoyé ta bite pleine de mes matières fécales et j’ai encore aimé ça. Qu’est-ce que tu me réserves encore ? — Ta poitrine ! Tu dois encore me faire jouir entre tes seins. Mais il faut que je le fasse dans des conditions particulières.— Ah oui ! Comment ?— Tu le sauras ce soir. A partir de maintenant on dormira dans le même lit, je veux pouvoir te baiser à tout moment même si tu n’en as pas envie.
— Oh chouette ! Comme mari et femme ? Oh je t’aime mon Tom. On va pouvoir rattraper le temps perdu. J’ai hâte d’être à ce soir.— En attendant tu vas rompre avec Hugo. Je ne veux pas te partager avec ce puceau qui n’a pas su détecter tous tes talents de salope.— Oui je vais le faire tout de suite. Je lui envoie un SMS.— Non ce n’est pas correct. Tu l’appelles et tu lui expliques bien que c’est fini et que tu en aimes un autre. C’est compris ?— Oui mon chéri.
Elle prend son téléphone et fait exprès de mettre le haut-parleur. J’assiste alors à la conversation. A l’annonce que Léa le quitte, Hugo fond en larmes ; il est vraiment amoureux ; mais rien n’y fait. Léa reste inflexible. Elle est désormais toute à moi. En signe de soumission elle se baisse et me reprend en bouche jusqu’au fond de sa gorge. Les contractions de sa glotte sur mon vit font que, rapidement, je jute dans son gosier. C’est fou l’énergie que ma petite salope de sœur développe en moi désormais. C’est d’ailleurs tellement fort que je m’aperçois que, jusqu’à présent, je ne m’étais pas intéressé à ses amies. Je les trouvais trop « morveuses ». Quand elles venaient à la maison j’allais vaquer à d’autres occupations, les laissant seules pianoter sur leur smartphone. Terrible cette époque où l’on se réunit pour s’isoler ! Il me vient alors une pensée folle. Et si je pervertissais ces petites cochonnes en devenir avec la complicité de ma sœur. Ce serait mieux pour elles que de se masturber en regardant des films pornos ou de s’envoyer des sextapes insipides.Je pense tout de suite à sa meilleure amie, Chloé. Beau petit lot aux formes parfaites, un peu plus grande que Léa, même âge, dont je commence à évaluer le potentiel amoureux. Je me vois déjà avec ma bite dans la raie de ses fesses m’apprêtant à l’enculer pendant que ma petite sœur lui boufferait les seins. Tiens d’ailleurs est-ce qu’elle est bi ma petite pute d’amour ? Il va falloir lui poser la question. Je verrai bien un après-midi entre amies, au bord de la piscine, où, sous ma direction, elles se gougnotteraient entre-elles et où je pourrai ensuite leur faire connaitre les plaisirs d’une belle queue… Je délire en pensant à cette scène. Décidemment pratiquer l’inceste m’a libéré l’esprit de toute contrainte.
Tout à mes pensées j’entends la voix de Léa qui me dit qu’elle va préparer le diner. Je lui réponds que pour fêter notre union incestueuse je vais déboucher une bouteille de Champagne. Elle est d’accord et ses beaux yeux bleus s’illuminent.
— Dis-moi ma chérie il y a combien de temps que ta copine Chloé n’est pas venue ici ? dis-je innocemment.— Deux jours je crois. Pourquoi tu me poses cette question ?— Je voulais savoir si vous étiez plus que deux amies ?— Tu veux dire si on se gouine ? Si c’est ça alors oui on est toutes les deux bi. Tu sais maintenant les mœurs ont évolués avec la mode des sex-toys. Nous les filles on aime bien se faire plaisir entre nous mais on aime bien les hommes aussi. Surtout quand on en rencontre un comme toi ! Alors là c’est le summum… Je ne suis pas prête à te lâcher !— Elle a un copain en ce moment ?— Tu es bien curieux. Ne me dis pas que tu as envie de te la taper ?— C’est une possibilité à envisager on pourrait la faire participer à nos ébats. Il suffirait que tu fasses ma publicité auprès d’elle pour qu’elle ait envie d’essayer.— Non elle n’a pas de copain régulier. Elle a juste des coups d’une nuit. — Tu veux bien essayer ? Mais pour ça j’aimerais assister à la conversation discrètement. Pendant que je serai dans ma chambre j’utiliserai la caméra de surveillance pour vous voir et tout entendre.— Je ne savais pas que mon grand frère était un pervers, rétorque Léa en riant. Oui je veux bien mais à une condition.— Laquelle ?— Que tu utilises mes seins tout de suite pour te faire plaisir comme tu me l’as laissé envisagé tout à l’heure.— Tu es sûre ? Tu ne veux pas qu’on attende de le faire après notre diner ? Tu sais que ce n’est pas ordinaire ce que nous allons faire si tu acceptes. Pour ça j’ai besoin de martyriser ta poitrine. Elle est si belle. C’est un appel à tordre tes pointes, les mordre, les pincer. Tu es prête à ça ?— Oui ! J’en mouille déjà.— Alors viens dans ma chambre on y sera plus à l’aise.
Je prends la bouteille de Champagne et deux coupes et elle me suit. Nous trinquons à notre union qui s’apprête à être celle de deux prédateurs. Je décide de jouer avec Léa et j’approche ma coupe de l’un de ses tétons. Sous le froid de celle-ci il se dresse. Le second subit le même sort. Je pose ma coupe et je les prends entre mes doigts pour les faire rouler. J’alterne les pressions et les griffures. Je vois que ça lui plait car elle tombe rapidement en pamoison. Il est temps de passer à autre chose de plus violent. Cette fois-ci je les tords. Elle crie que ça lui fait mal. Je lui rétorque que ça ne fait que commencer et pour avoir protesté elle mérite une punition. Pour cette première désobéissance, ce sera dix coups de fouets.
— Tu vas me déchirer mes mamelles avec un tel traitement ! argumente-t-elle en tentant de m’amadouer.— Mais non ! Tu te souviens de Julie qui venait souvent ici il y a un an ? Je lui fouettais les seins tous les jours et elle aimait ça.— Oui je l’entendais crier sa jouissance. Je croyais que c’était sous tes coups de queue.— Et non c’était des coups de martinet.
Je la laisse debout en attente et je me dirige vers le dressing d’où je reviens avec ma boite à malices. Je l’ouvre en grand devant ma petite sœur. Elle en découvre le contenu. Des godemichets de toutes tailles, des boules de geishas, des pinces et des étaux que je compte poser sur ses mamelons, des martinets et des paddles. En voyant cet attirail je la sens curieuse et effrayée à la fois. Je ne lui laisse pas le temps de réfléchir. Je prends en bouche son téton droit que je tète bien pour le faire durcir et j’approche la première pince que je mets en place. Léa pousse un cri, vite suivi par un autre celui de gauche ayant eu droit au même sort. Une fois équipée, je vais la flageller dix fois comme promis. Puis, la libérant des pinces, alors qu’elle pleure à chaudes larmes, je lui demande de se baisser et d’enserrer ma bite avec ses deux nichons. Je vais alors me branler entre eux et je ne tarde pas à éjaculer toute ma semence en jets de foutre très puissants qui viennent inonder son visage et sa poitrine. Je la relève ensuite et je la prends tendrement dans mes bras. Nos bouches se rejoignent dans un baiser fougueux. Elle me regarde alors et dans un souffle me dit juste : « Je t’aime ».Par ces mots ma petite sœur me signifie qu’elle est désormais toute à moi.Nous dinons rapidement et retournons nous coucher. Plusieurs fois dans la nuit je l’ai baisée sauvagement, j’avais tellement envie d’elle. J’avais exprès pris du Cialis pour être plus endurant. Je ne lui ai laissé aucun répit. Sa chatte, sa bouche, son cul se sont fait pilonner. Elle demandait grâce mais je remettais le couvert à chaque fois.
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