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Léa, Chloé, Marie, Mathilde et les autres…

Chapitre 5

Inceste
Pendant son absence, Léa et moi échangeons sur tout ce qui s’est passé depuis hier. Elle est lovée contre moi dans le canapé, sa main posée sur mon sexe. Les miennes empaument ses seins. Nous apprécions cet instant de calme après tout un après-midi de débauche. Elle me fait remarquer que j’y avais été très fort avec Chloé. Jamais elle n’aurait pensé que sa copine prendrait autant son pied, mais aussi que je sois endurant à ce point.
— Tu lui as fait la totale, et je ne t’ai jamais vu faillir. Tu sais que quand tu l’as enculée pratiquement à sec, j’ai joui instantanément de la voir ainsi dominée. Tu ne t’en es peut-être pas aperçue, mais je me suis masturbée comme une malade pendant toute la séance.
— Si, j’ai bien vu que tu étais en manque. Tu vas pouvoir te rattraper ce soir. Tu m’aimes ?
— Oui, mais je suis déjà jalouse. Trois filles en même temps, il va falloir que tu assures. Je ne m’attendais pas à ce que tu veuilles faire la même chose avec la sœur de Chloé. Je suis même étonnée que ma cop ait accepté le principe.
— C’est normal avec le traitement que je lui ai fait subir, elle n’a qu’une envie, c’est de recommencer, et ce, quel que soit le prix à payer. Même si c’est pour prendre la virginité de sa petite sœur. D’ailleurs, j’ai l’idée de les pervertir toutes les deux en les poussant à avoir des relations incestueuses. Je les verrai bien se gougnotter pendant que je prendrai ton petit cul. Tu en penses quoi ?
— Que je mouille déjà, rien que d’y penser. Tiens, constate par toi-même ! assure-t-elle en me prenant la main pour la mettre sur son con déjà baveux.
— Tu n’es vraiment qu’une petite salope. Qu’est-ce que tu attends pour me sucer la bite, tu me fais encore bander petite sœur perverse.
Elle commence à peine à me prendre en bouche que la sonnette de la porte d’entrée retentit. J’enfile rapidement un boxer-short et je vais ouvrir pendant que Léa file à la salle de bains.
C’est Chloé qui revient déjà accompagnée... de sa jeune sœur. J’ai gagné ! Elle est matée et a su la convaincre de passer à la casserole. Elle fait les présentations :
— Marie dont je t’ai parlé, qui vient d’avoir dix-huit ans. Elle est d’accord.
— Bonjour, Marie, bienvenue chez moi. Tu es très mignonne.
Je les embrasse toutes les deux sur la bouche ; autant ne pas perdre de temps ; et je les fais entrer.
Elles sont habillées de manière identique. Petite jupette « ras la moule », et tee-shirt blanc, très moulant, qui montre bien leurs tétons proéminents. Je suis sûr que ces petites salopes n’ont ni string ni soutien-gorge. Je m’en assure auprès de Chloé en portant ma main entre ses cuisses. Non seulement elle n’a pas de culotte, mais en plus elle mouille déjà ! Cela l’excite de me livrer sa sœur qui n’a rien vu de mon geste obscène tout à son observation de la maison.

Je prépare l’apéritif pendant que Léa et les filles se mettent à la préparation du repas. Je mate Marie et son petit cul et je suis troublé. J’ai envie d’y porter la main; inutile de l’effrayer, elle sera toute à moi pour le dessert.
Nous discutons à bâtons rompus. Chloé et Léa n’ont de cesse de m’exciter en flattant ma queue (Chloé assise à ma gauche avec sa main, Léa en face avec son pied.)
J’en profite pour apprivoiser Marie qui est à ma droite. Je m’enquiers de ce qu’elle fait dans la vie ; elle est étudiante en première année de médecine. Elle a eu son bac avec un an d’avance. Je lui prends la main, elle se laisse faire, le regard intimidé. Je m’enhardis en la serrant contre moi pour l’enlacer. Plus petite que moi, elle lève son visage et attend. Nos lèvres se rejoignent alors pour un long baiser sous les regards intéressés de sa sœur et de la mienne. Je lui demande si elle n’appréhende pas le moment où nous allons nous retrouver seuls. Elle me répond que non parce que je l’ai rassurée par ma douceur.
Je la fais alors se lever et je l’entraîne dans ma chambre. Debout, je la prends dans mes bras et je commence son déshabillage. En quelques secondes, vu le peu de pièces qui la couvre, elle se retrouve intégralement nue. Je la couche alors tendrement sur le lit et je quitte mon boxer-short. Elle regarde, intéressée, mon sexe qui se dresse devant elle. Elle ne semble pas effrayée par sa grosseur ; sa sœur a dû la prévenir. Je me porte à côté d’elle et, me penchant, j’embrasse tendrement son visage en insistant sur son front, le creux de ses oreilles. J’évite sa bouche et je descends sur son cou et ses épaules. Elle soupire de bien-être. J’arrive sur sa poitrine et je suçote alternativement ses tétons qui se dressent naturellement. Un vrai délice qu’est ce corps jeune à ma merci. Elle sent bon et je n’ai qu’une hâte : c’est goûter le nectar que je vois suinter à la sortie de son con.
Marie est très réceptive. C’est bon signe pour le futur surtout si je la prête à d’autres hommes avides de corps jeunes.
Je lui écarte les cuisses et je viens lécher sa moule avec avidité. Elle pousse de petits couinements montrant qu’elle aime ce que je lui prodigue. Je débusque son bouton d’amour et je fais pénétrer un doigt juste à l’entrée de sa chatte. Je bute rapidement sur son hymen encore intact qui, dans quelques minutes, sera brisé. Elle presse ma tête entre ses cuisses montrant qu’elle en veut encore. Son vagin dégouline tellement elle est excitée. Le jus de vierge qu’elle secrète est délicieux à souhait.
Cette fois-ci, elle est mûre. Délicatement, je remonte le long de son corps la couvrant de baisers pour ne pas rompre le charme de ce moment magique où je vais la faire devenir femme. J’ajuste mon vit à l’entrée de son abricot et je pousse lentement. Dans le même temps, je prends ses lèvres pour un baiser passionné auquel elle répond largement et je pince légèrement l’un de ses tétons. Sa respiration s’accélère, je profite de cet instant d’abandon pour m’enfoncer en elle, brisant ainsi son hymen. Elle pousse juste un petit cri. Je lui demande si cela va. Elle me répond que j’ai été très doux et qu’elle n’a pratiquement pas eu de douleur.
— Tu es une femme maintenant, il ne te reste plus qu’à découvrir la jouissance autrement qu’en te masturbant. Je vais te faire monter au septième ciel, et crois-moi, après ça, tu feras comme ta sœur ou la mienne, tu en redemanderas.
A ces mots, je commence à faire aller et venir mon vit, tout d’abord lentement, puis de plus en plus fort. Elle a le plaisir bruyant, car en peu de temps, elle pousse des cris aigus prononçant des paroles ordurières m’invitant à la défoncer plus fort. J’accélère le rythme et elle ne tarde pas à avoir son premier orgasme de femme. Je ne lui laisse pas le temps de respirer et je la retourne pour la mettre en position de levrette. Me servant de ses seins comme des poignées, je la baise comme un malade. Son jeune corps livré à moi, sans restriction, fait monter rapidement mon taux d’adrénaline et je suis de plus en plus dur. Je la perfore, sa tête enfouie dans les draps. Je me penche sur elle et la force à tourner la tête pour l’embrasser violemment. Elle enchaîne les orgasmes jusqu’au moment où, n’en pouvant plus moi-même, je décide de finir dans son ventre dans une poussée ultime de ma bite qui la mène au plaisir en pleine harmonie sexuelle avec moi.
Je m’écroule sur elle, épuisé. Quelques minutes se passent et nous nous retrouvons dans un même mouvement sur le dos, main dans la main. Marie s’adresse alors à moi :
— Jamais je n’aurais pu espérer que ma première fois se passe comme ça. J’ai bien fait d’avoir écouté ma sœur. Je ne te connaissais pas avant, mais tu as su me prendre ma virginité avec douceur. Jamais je n’aurais pensé autant jouir en une seule fois. Je suis morte de plaisir. Je ne peux qu’être à toi selon tes propres désirs. Fais de moi ce que tu veux même si je sais qu’il faudra que je te partage avec ma sœur et la tienne.
A ces mots, on entend des applaudissements, Léa et Chloé nous regardent en riant ; entre temps, elles se sont déshabillées. Chloé s’adresse à Marie en ces termes :
— Tu vois ma chérie, je t’avais dit que ce serait sublime. Tom est un amant comme on en voit peu. Tu verras comme ça te plaira d’être dominée par lui. Tu as beaucoup à apprendre, mais c’est un excellent professeur. N’est-ce pas Léa ?
— Oui ! répond ma sœur, avec lui, je fais des choses que jamais je n’aurais pu imaginer faire.
— Quoi ? demande Marie.
— Me faire enculer et nettoyer sa bite à peine sortie de mon anus. Me faire fouetter et aimer ça.
— Il t’a fait la même chose petite sœur ? reprend Marie.
— Oui, mais je n’ai pas eu encore le plaisir d’avoir la poitrine flagellée à coups de martinet.
— Pourquoi n’ai-je pas eu le droit à ce traitement, il m’a seulement fait l’amour ?
— Demande-lui ma puce, seul Tom a la réponse. C’est notre maître désormais, et le tien si tu le veux.
— Tu peux me répondre Tom ?
— Tout simplement que je voulais prendre ta virginité en douceur. Mais peut-être qu’au matin, tu seras dépucelée du cul, et là, tu risques de prendre grave. Tu es partante Marie ?
— Oui, je ne veux pas te perdre, je t’obéirais comme le font Léa et Chloé.
— Bien ! Alors en signe d’allégeance, tu vas faire jouir ta sœur et elle te fera la même chose.
— Mais c’est de l’inceste lesbien ! répondent en chœur Chloé et Marie.
— Je n’ai pas compris ! leur asséné-je, vous vous rebiffez déjà ? Si c’est le cas, vous partez et je ne veux plus vous revoir !
— Ce n’est pas ça ! poursuit Chloé, je me suis déjà gouinée notamment avec Léa, mais je ne sais pas si Marie l’a déjà fait, et en plus c’est ma petite sœur... Qu’en penses-tu, ma puce adorée ?
— Léa t’a pas dit ? On s’est déjà gamahuchée mutuellement plusieurs fois, notamment quand elle venait à la maison et que tu n’étais pas là.
— Ah bon ? Première nouvelle. Donc cet obstacle est levé, tu es bi comme moi, mais... nous sommes sœurs.
— Qu’importe ! dis-je, quelle différence entre vous gougnotter toi avec Léa ou avec ta frangine. Une chatte est une chatte et vous ne risquez pas de faire un enfant à l’autre comme je pourrais le faire avec Léa si nous ne prenions pas de précautions. Dans ce cas, les rapports incestueux peuvent être dangereux. Si vous êtes consentantes, il n’y a aucun mal à vous faire plaisir l’une et l’autre. Alors ? Vous partez ou vous m’obéissez ?
C’est Chloé qui prend l’initiative. Elle s’allonge à côté de sa sœur et la prend dans ses bras. Leurs lèvres se rejoignent dans un baiser timide puis leurs langues se mêlent avec la frénésie de la première fois et de l’interdit. Elles se pelotent, leurs mains explorant systématiquement les fesses et la poitrine de l’autre. Ce ne sont que des soupirs qui sortent de leur bouche. Chacune s’enhardit, faisant fi de l’obstacle incestueux censé les séparer. Elles se doigtent la moule et le cul. Leurs corps s’embrasent et elles se retrouvent vite en position de soixante-neuf, pour mieux faire jouir l’autre. En signe d’amour, Chloé lèche les traces de sang qu’ont laissées la défloration de Marie et mon sperme qui la remplit. Elle s’en délecte. Sa sœur n’est pas en reste et goûte au nectar qui ruisselle de la chatte de son aînée. Tout est nouveau entre elles. L’excitation est telle qu’elles ne tardent pas à jouir ensemble en poussant de grands cris.
Léa ne peut résister à cette atmosphère lubrique et se masturbe intensément. Elle prend le gode énorme resté sur la table de nuit et qui a servi à sa sodomisation ce matin. Elle se l’enfile alors dans la chatte et se branle frénétiquement alors qu’il est en vitesse maximum. A ce régime, elle ne tarde pas à s’envoyer en l’air, elle aussi.
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