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Léa, Chloé, Marie, Mathilde et les autres…

Chapitre 6

Inceste
Désormais, j’ai mon harem que je compte bien agrandir avec la complicité de mes trois jeunes femmes. Mais pour l’instant, elles n’ont qu’une préoccupation en tête : la défloration du cul de Marie. Elles m’en font part.
Leur obéir serait enfreindre mes règles. C’est moi qui dois décider, et non elles. Courroucé, je leur annonce qu’elles vont être punies pour cette impertinence. Je leur ordonne de se rendre à la cave. Elles sont effrayées.
Dociles, elles se laissent faire quand je leur attache les mains à une canalisation qui passe au plafond. Elles se retrouvent les bras tendus en l’air, la pointe des pieds touchant à peine le sol. Dans cette position, leurs belles poitrines sont bien relevées et très accessibles. J’empaume leurs seins l’un après l’autre pour en apprécier la texture ; un vrai délice tellement ils sont fermes. Je me mets alors de côté et pendant près de cinq minutes je vais les flageller avec une corde qui traînait dans la pièce.
Heureusement, la maison est isolée, car elles vont crier et me supplier d’arrêter ce supplice pendant tout ce temps. Trois cents secondes, ce fut court pour moi ; j’aurais bien continué ; mais long pour elles.
Je leur baise la bouche chacune en signe d’apaisement, et je les détache. Nous repartons dans ma chambre après être passés au préalable par la cuisine où je récupère la bouteille d’huile d’olive. Je demande à Marie de se mettre à genoux, la tête posée sur le sol, et de bien écarter ses fesses. J’oins alors son anus en versant généreusement de ce corps gras naturel.
Je fléchis alors les genoux et je colle mon vit sur sa corolle. Je pousse, un peu trop fort, elle crie que cela lui fait mal. Je lui élargis le fion avec mes doigts en augmentant au fur et à mesure le nombre que j’y mets. Je refais une tentative. Cela passe...ses deux sphincters sont franchis. Je vais alors pilonner son fondement pendant un temps très long où je vais la faire hurler de douleur, puis de bonheur surtout, quand Léa se sera glissée sous elle pour lui brouter le minou. Trois orgasmes plus tard ; autant que pour Chloé ; je jouis dans son cul dont je ressors pour me faire nettoyer la verge par la bouche avide de ma sœur qui n’attendait que cela.
Au petit matin, je me réveille seul dans le lit avec Marie. Elle dort profondément sur le côté. Du sperme séché macule son anus. Je vais pisser et au passage je vois que ma sœur et Chloé dorment dans les bras l’une de l’autre.
Je reviens dans ma chambre. Marie m’y attend, nue, assise sur le lit, ses cheveux défaits, ses joues noircies par le rimmel qui a coulé de ses yeux. Elle est sublime dans cet état naturel, les bras écartés, en attente.
— Tu peux continuer mon dressage ! bafouille-t-elle. Tu m’as déflorée, tu m’as démoli la chatte et le cul, tu m’as fouettée, c’est ma gorge maintenant que tu veux ; Chloé m’a expliqué.
Je m’approche d’elle, le sexe à la hauteur de sa bouche. Nul besoin de parole, elle comprend vite et m’embouche immédiatement. La peur du fouet peut-être ? Ou l’amour qu’elle me porte déjà ?Je prends sa tête à deux mains et je la fais aller en de longs va-et-vient sur ma verge. J’augmente la profondeur de la pénétration à chacun d’entre eux jusqu’à toucher ses amygdales. Je la fais tousser, baver, pleurer, mais je n’en ai cure. Je dois la briser définitivement et ne pas me laisser aller à mes émotions. Elle est si jeune. Elle manque de vomir, mais comprend rapidement ce qu’elle doit faire en plaçant sa tête correctement pour faciliter mon avancée. Ses mains pressent mes fesses pour tenter de contrôler mes poussées. Sa glotte presse mon gland en de petites pressions, c’est tellement fort que j’éjacule au fond de sa gorge.
Je constate après ce dernier exercice qu’elle a toutes les qualités d’une soumise, plus même que sa sœur ou la mienne. Je me demande si je ne devrais pas trouver un autre homme pour la baiser à deux. Je vois très bien son jeune corps pourfendu par deux bites, une idée à creuser.
Je la laisse seule, sans dire un seul mot, et je me dirige vers la salle de bains pour prendre une douche.Au retour, je ne vois personne dans ma chambre. Je m’habille légèrement et je me rends dans le living où je trouve mes trois femmes, toujours nues, en train de papoter. Avant de signaler ma présence, je les écoute. Elles parlent de moi en des termes élogieux. Mon ego est flatté. Mais ce qui attire le plus mon attention c’est quand, l’une après l’autre, elles avouent ne pas avoir envie de me quitter et être prêtes à tout pour me conserver. Me partager n’est pas un obstacle.
A l’écoute de ces aveux, je constate que l’avenir se révèle prometteur pour moi et que je peux désormais exploiter à fond leur soumission.Je m’avance dans le salon. En me voyant, un sourire radieux illumine leur visage. Elles se précipitent vers moi, se chamaillant entre elles, pour être les premières à m’embrasser.Leurs corps nus s’écrasent contre moi. L’odeur animale qu’elles dégagent ainsi que l’absence de maquillage les rend encore plus désirables. Elles me font avoir la trique immédiatement. Je les pelote, un sein, une fesse, une chatte. Elles gloussent sous mes attaques. Je les traite de « petites salopes » affamées de sexe. Elles me répondent que c’est à cause de moi qu’elles sont devenues comme cela. Elles se jettent alors à mes pieds, baissent mon pantalon et mon slip libérant ma verge arrogante qui semble les défier. Elles vont la lécher, à tour de rôle, comme un sucre d’orge jusqu’au moment inévitable où je crache mon sirop de corps d’homme sur leur visage. Radieuses, elles s’empressent alors de le partager en se léchant et en s’embrassant à bouche que veux-tu.
Après un petit-déjeuner copieux, elles vont se tremper dans la piscine pour effacer les miasmes des heures passées. Marie et Chloé vont quitter la maison à regret, me laissant seul avec ma sœur. Elles me promettent de revenir rapidement, car elles ont déjà envie de moi.
Pour Léa et moi, il est temps de faire le point sur les heures passées. Je la félicite d’avoir réussi à débaucher son amie et sa petite sœur. J’avoue que je ne m’attendais pas à ce que ce soit aussi facile. Elle me rétorque que j’y suis pour beaucoup, car toutes les trois y ont trouvé leur compte : avoir un vrai homme à leur disposition pour les initier aux plaisirs de la chair. Elle trouve d’ailleurs que j’ai fait fort compte tenu de ce qu’elles ont subi en si peu de temps.
Elle me demande alors comment va se passer la suite. Je lui explique que, comme prévu, nous allions désormais coucher dans le même lit comme les deux amants que nous sommes devenus. Je veux pouvoir sentir son corps tout contre moi et la saillir à volonté. Elle me regarde amoureusement à cette évocation.
Je réitère que, quand nous serons seuls, elle reste toujours nue, à ma disposition, prête à répondre à mes exigences.Je lui confie aussi que j’aimerais bien la voir prise par des inconnus qui pourraient disposer de son corps à volonté, sans tabous, sachant que je serai toujours présent et que je participerai. Elle me regarde, étonnée, mais sait qu’elle doit accepter. Elle me demande néanmoins si j’appliquerais le même traitement à sa copine et à sa sœur. Bien sûr, surtout si vous êtes présentes toutes les trois pour des soirées débridées. Il y a des sites spécialisés pour ce genre de rencontres.
Pour sceller cet accord tacite, je décide de l’emmener au restaurant, en bord de mer.Son entrée est très remarquée vu sa splendide beauté. Aucune femme présente ne lui arrive à la cheville. Sa jeunesse éclate au visage de tous les hommes présents. Parmi eux, un homme seul, frisant la soixantaine, qui n’arrête pas de la mater pendant tout notre repas. Au moment de partir, j’écris un mot sur une carte de visite que je glisse discrètement sur sa table : ma compagne vous plaît ? Retrouvez-nous chez nous dans vingt minutes à cette adresse, vous ne le regretterez pas...
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