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Léa, Chloé, Marie, Mathilde et les autres…

Chapitre 8

Inceste
Fort de mon ascendant sur mes trois femmes j’ai envie d’exploiter à fond la soumission de la plus jeune. J’aimerais bien la faire baiser par plusieurs hommes à la fois, si possible bien membrés et un peu rustre ; par rapport à sa classe de petite bourgeoise ; pour la débaucher complètement. Trois hommes, plus ma présence, serait un bon compte pour débuter. Il faut que je me préoccupe d’organiser une séance au plus tôt. Pour cela je m’inscris sur un site spécialisé sur lequel je passe l’annonce suivante :« Maitre expérimenté propose sa soumise de dix-huit ans à peine, encore vierge il y a deux jours, pour une séance de baise à plusieurs sans tabous. Les candidats devront avoir plus de trente ans (vieux cochons appréciés, puceaux s’abstenir), être très bien membrés, endurants et imaginatifs. L’origine ethnique importe peu. Un certificat récent de non-séropositivité sera exigé. Vous pouvez faire acte de candidature avec une photo de vous nu. Un pré-rendez-vous aura lieu pour mon choix définitif. »Je reçois dans les minutes qui suivent une avalanche de propositions. J’élimine celles qui ne correspondent pas à mes critères, les hommes laids, ceux possédant des sexes normaux ou n’habitant pas la région. J’en garde cinq à qui je donne rendez-vous dans un bar. Finalement je me fixe sur trois d’entre eux. Deux sont noirs, l’autre blanc, des bites énormes, un peu rustres dans leur propos. L’un d’entre eux à soixante ans ; le blanc, pas très propre et très vicieux me semble-t-il ; les deux autres tournent autour de la quarantaine. Ils seront parfaits pour cette opération. Il faut qu’ils soient disponibles un week-end ma petite chérie étant étudiante en médecine. Le lieu : un hôtel très discret des environs, sans réception avec juste une inscription et paiement par carte bancaire.Ma sœur ne s’est toujours pas réveillée. J’appelle Marie via WhatsApp en mode vidéo. Elle est heureuse de mon coup de fil. Elle se languit de moi. Elle voudrait que je lui fasse l’amour tout de suite mais malheureusement elle a un cours de biologie dans deux heures. Pour l’instant elle est dans sa chambre. Elle est très belle. Je le lui dis. Elle rougit. Je lui demande de se déshabiller pour que je puisse profiter de la vue de son corps. Elle le fait. Je lui montre ma queue bandée. Ça la fait mouiller rien que de la voir. Je lui demande de se masturber et de bien s’enfoncer les doigts dans la chatte. Elle s’exécute. Je l’encourage en lui promettant mille félicités la prochaine fois que l’on se verra et, rien que par mes paroles et l’action de sa main, je la fais jouir violemment. Dans la foulée je lui fixe rendez-vous à l’hôtel dimanche prochain à quatorze heures pour une surprise. D’un ton sévère j’ajoute qu’elle devra m’obéir sans rechigner. Au moindre refus elle recevra dix coups de martinet. Si elle persiste, elle pourra dire adieu à notre liaison car je n’aime pas les petites filles capricieuses. Elle m’assure de sa soumission. Elle ne veut que me faire plaisir et ne fera rien pour me contrarier. A ces mots je l’embrasse et je coupe la communication prétextant avoir une course à faire.
Putain la salope m’a fait bander et je me retrouve comme un con la bite à l’air. J’envoie un SMS à mes futurs compagnons de baise pour leur confirmer le rendez-vous. Ils répondent quasiment immédiatement qu’ils y seront.Un bip sur mon téléphone : un SMS de Chloé. Elle me demande si elle peut passer. Elle ne tient plus et a trop envie de moi. Ma réponse est immédiate. J’ai besoin de me faire dégorger le poireau, sa sœur m’a trop excité. Je lui précise simplement que, passée la porte, elle devra se mettre immédiatement à poil et se mettre à genoux en position d’attente, les mains posées sur ses seins comme pour me les présenter en offrande. Un laconique j’arrive achève cet échange.Elle n’habite pas très loin. Dix minutes à peine et la sonnerie de la porte d’entrée retentit. Je déclenche l’ouverture électrique. Chloé s’avance. En un tour de main elle se retrouve nue. Il faut dire qu’elle avait prévu le coup puisque ne tombe à terre qu’une robe, pas de sous-vêtements. Reste une paire d’escarpins qu’elle a vite fait d’éjecter. Elle prend tout de suite la position réclamée, offerte.Je m’avance. Elle peut voir mon sexe sorti de mon pantalon. Elle a compris ce qu’elle devait faire et m’embouche immédiatement. Je lui baise un peu la gueule mais cette fois-ci j’ai trop envie d’elle. Je la fais lever et l’enlace. Mes lèvres rejoignent les siennes dans un baiser fougueux. Elle y répond fiévreusement et me serre fortement dans ses bras. Elle m’aide à quitter mon pantalon, mon slip et mon tee-shirt. Nos corps nus se pressent l’un contre l’autre. Ma verge se dresse contre son pubis. J’empaume ses seins. Elle caresse mes fesses. Je lui mets un doigt dans l’anus. On s’embrasse encore plus fort. Elle me dit qu’elle n’en peut plus. Qu’elle me veut en elle. Qu’elle a rêvé de moi. Que je suis devenu sa drogue.Je me baisse et, tout en la soulevant légèrement, je l’enconne d’une seule poussée. Elle pousse un cri de satisfaction. Son antre est chaud et humide à souhait. Elle s’accroche à mon cou et ses jambes viennent entourer mon bassin. Je la fais aller et venir sur mon vit. Elle me manifeste son plaisir par des réflexions salaces :
— J’aime ta bite qui me défonce. Vas-y encore plus fort. Tu me remplis bien. Fais de moi ce que tu veux. Je suis à toi complètement, j’ai rompu avec mon mec. Je suis maintenant tout le temps disponible. Continue de me baiser. Encule-moi si tu veux. Je ne peux plus vivre sans toi.
Je l’entraine jusqu’au canapé où je la couche, toujours en elle. Je la fais jouir une première fois et je me retire de son abricot pour venir lui brouter le minou. Elle couine surtout quand ma langue s’introduit vicieusement dans son vagin et virevolte à l’intérieur. Elle presse ma tête contre son con et jouit une seconde fois. Je dois me libérer de cette tension. Je replonge plusieurs fois ma verge dans sa matrice et dans une dernière poussée nous jouissons alors ensemble. Elle me regarde amoureusement et prononce un seul mot :
— Merci !— Tu as bien joui ?— Tu ne peux pas imaginer comme ça a été très fort. Oui merci, merci, merci. Comme j’envie ma cop qui vit tout le temps avec toi. J’aimerais tellement pouvoir en faire autant.— Difficile tu ne crois pas ? Tu vis chez tes parents avec ta sœur, qu’au passage je baise aussi. Je ne sais pas s’ils comprendraient qu’on vive en cohabitation alors qu’aucune raison le justifie. Si en plus ta petite sœur venait nous rejoindre ; ce qu’elle ne manquerait pas de faire en l’apprenant ; leurs réactions risqueraient d’être vives.— Oui c’est déjà dur de te partager mais j’ai accepté tes conditions. J’essaierais de venir le plus souvent possible si tu le veux bien.— Bien sûr que je le désire. Tu es belle, un corps de rêve, chaude au lit. Quand je te vois ; tu as pu t’en apercevoir ; j’ai tout de suite envie de te faire l’amour. Tu es une déesse de l’amour.— Comme c’est gentil ce que tu me dis. Tu sais que depuis qu’on est avec toi, Marie et moi, on n’arrête pas de se gouiner. C’est la découverte de l’interdit de l’inceste qui fait que c’est encore plus intense qu’avec Léa. Mais ne t’inquiète pas on aime encore plus ta bite. Il parait que tu la vois dimanche. Vous allez à l’hôtel ? — Décidément les nouvelles vont vites, vous ne vous cachez rien.— Oui ! Quand tu lui as annoncé elle trépignait d’impatience. Elle aimerait bien savoir ce que tu lui réserves. Elle pense, compte-tenu des menaces que tu as émises, qu’elle va déguster. Mais elle est prête. Tu me feras la même chose ?
— Tu peux venir si tu veux. Ça te tente aux même conditions ?— Oui je serai très obéissante.
Elle se rhabille car elle doit allez faire des courses avec sa mère, une cul-bénit parait-il. On ne peut pas dire que ça l’enchante, elle préférerait que je la baise encore. Elle m’embrasse sur les lèvres et me dit à dimanche. Elle a hâte d’y être.Par SMS je leur envoie mes instructions. Elles devront être habillées de manière identique, comme les petites putes qu’elles sont devenues : robe très décolletée, soutien-gorge redresse-seins, string et escarpins à talons très hauts. Je passerai les prendre en voiture à treize heures quarante-cinq et on se rendra à l’hôtel ensemble. Elles me répondent que ça tombe bien car leurs parents ne pourront pas les voir habillées comme ça. Ils seront partis pour trois jours et ne reviendront que lundi.Notre échange de SMS achevé je vois débarquer ma sœur qui vient de se réveiller. Nue, elle marche en canard. C’est normal vu ce qu’elle a pris cette nuit…Je lui raconte qu’elle vient de rater Chloé qui était venue pour que je la baise.
— On peut dire que tu as la santé frérot. Moi je n’en peux plus. Qu’est-ce que vous m’avez mis avez André. Là j’ai vraiment la chatte en feu et le cul en marmelade. Je ne pensais pas qu’un vieux puisse autant bander. En tout cas il est imaginatif. Tu lui as fait quoi à Chloé ?— Rien juste une bonne missionnaire entrecoupée d’un broute-minou. Par contre j’ai chauffé Marie avant et par contrecoup sa sœur. J’ai organisé, via un site spécialisé, une séance avec trois mecs bien membrés ce dimanche. Elles savent simplement qu’on va à l’hôtel et qu’elles ont intérêt à accepter tout ce que je le demanderai de faire sinon je les quitte. Je leur ai dit qu’à cette occasion elles devraient s’habiller comme des prostituées. Elles ont accepté.— Pourquoi tu ne m’as pas prévue dans ton scénario ?— Au départ j’avais bâti ça pour Marie uniquement. Elle en a parlé à sa sœur et je lui ai proposé la même chose. Toi tu y passeras un autre jour mais tu auras les trois mecs, peut-être un quatrième, pour toi toute seule. Tu as dégusté avec André, crois-moi là tu seras démolie.— De toute façon je ne me serais pas sentie en forme d’ici là pour supporter un tel traitement. J’ai de la peine à marcher encore moins à faire l’amour.— Par contre tu dois pouvoir me nettoyer la bite. Vas-y ! Tu reconnaitras des odeurs familières : la mouille de Chloé et mon sperme, m’esclaffé-je.
Arrive le dimanche, je m’assure par un SMS que mes compères seront au rendez-vous. Je leur donne le numéro de la chambre et je vais chercher mes belles.Arrivé chez elles je donne un petit coup de klaxon. Elles sortent de la maison et s’engouffrent dans ma voiture. Elles ont honte à l’idée d’être vues comme ça. Leurs poitrines débordent du décolleté de leur robe. Marie est montée devant. Je vérifie en passant ma main sous sa robe qu’elle ne porte qu’un string. Je la doigte. Elle est trempée la petite cochonne.Arrivés à l’hôtel nous montons dans la chambre. Je leur fais enlever leurs robes et leur demande de rester debout, dressées sur leurs hauts talons. Leurs chairs se hérissent ne sachant à quelle sauce elles allaient être mangées.Un coup frappé sur la porte. Je vais ouvrir et les trois hommes entrent dans la pièce qui d’un seul coup semble bien petite compte-tenu de leur corpulence.Mes femmes sont effrayées. Elles comprennent maintenant ce qui les attend. Elles ne peuvent plus reculer. Je prends alors la parole après avoir salué mes hôtes.
— Voilà mes chéries je vous présente Roger, Ahmed et Mamadou. Vous êtes désormais à leur disposition. Ils vont pouvoir faire tout ce qu’ils veulent avec vos jeunes corps. Ils sont cleans donc, pas de préservatifs. Vous devrez leur obéir sans regimber sinon vous savez déjà ce qui vous attend. On est d’accord ?— Oui répondent-elles à l’unisson.— Messieurs ces jeunes filles de dix-huit et dix-neuf ans et demi sont à vous. — Putain qu’elles sont girondes ! On va bien s’amuser avec elles commente Roger.— Oui la petite avec son petit cul de jeune vierge est à croquer. Pas très grande, de jolis seins bien pleins, une gueule d’ange, pas de graisse superflue, je vais bien lui défoncer son troufignon ! renchérit Ahmed.— Allez petites salopes, il parait que vous êtes sœurs, alors foutez-vous complétement à poil et gougnottez-vous. J’aime bien les gouines incestueuses, ordonne Mamadou.
Les deux s’exécutent et commencent à se lécher mutuellement en position de soixante-neuf. Les trois compères se déshabillent et révèlent leurs matraques devant le regard estomaqué de mes chéries.
— Ils sont énormes ! dit Marie à quatre pattes au-dessus de sa sœur, jamais ma petite chatte va pouvoir absorber de tels engins !— Tiens goûte au mien ! Ouvre grand et suce ! Tu sais faire, non ? exige Roger en présentant son rostre devant sa bouche. Je ne me suis pas lavé exprès pour que tu me le nettoies.
Elle regarde sa bite mal lavée d’un air dégouté ; il pue tellement la pisse ; mais quand elle voit mon regard méchant, elle tente de l’emboucher. Elle a du mal tant il est gros mais elle y arrive en ouvrant au maximum ses mâchoires. Elle proteste mais il saisit sa nuque fermement et l’oblige à lever le visage vers lui.
— Là, tu ne bouges plus, tu déglutis et tu me laisses faire. Tu vas avaler toute ma bite jusqu’aux couilles, c’est facile. Puis je me retirerai pour te laisser respirer. Cligne des yeux pour me dire que tu as compris… Bien !
Dans le même temps Ahmed, qui avait des vues sur son cul, tente une première introduction dans sa chatte afin de bien se lubrifier. Marie crie que ça lui fait mal il est trop énorme mais il n’en a cure. Il continue sa lente pénétration qui lui dilate au maximum le vagin. Il commente en disant qu’elle est bien étroite comme il les aime et qu’il n’y a rien de mieux qu’une jeune chatte à peine dépucelée. Il progresse en elle par petits coups. Elle pleure. Il la pistonne en sortant complètement pour s’enfoncer à chaque fois de toute sa longueur, lui arrachant des râles étouffés par la grosse bite de Roger au fond de sa gorgeMamadou s’occupe de Chloé. Il la tire vers lui et la positionne la tête pendante au bord du lit. Il met ses fesses au-dessus de son visage et lui demande de lui lécher l’anus. Elle s’exécute à contrecœur. C’est le moment qu’il choisit pour larguer un vent nauséabond et rit devant sa réaction dégoutée. Il la relève alors, la prend uniquement dans un bras et l’embrasse goulument. Le contraste entre le géant et cette jeune fille est étonnant. Elle a les cuisses cramponnées autour de son ventre et parait minuscule telle une grenouille dans cette position. Il ajuste alors son vit sur sa foufoune et l’enconne d’une seule poussée. Elle hurle de douleur. Elle est déchirée par sa bite monstrueuse. Il la fait aller et venir jusqu’à obtenir de sa part de premiers gémissements de plaisir. Il va alors accélérer le rythme jusqu’au moment où il va déclencher chez elle un orgasme monstrueux. Il la couche sur le lit, sort d’elle et la positionne en levrette. Roger quitte la bouche de Marie et, bien humidifié par sa salive, pointe sa queue sur la voie étroite de Chloé.
Dans le même temps, c’est Ahmed qui après avoir réussi à la baiser sans la faire jouir, choisit la même entrée chez Marie.Ils se regardent et, d’un commun accord, sur un signe, tels des bourrins, ils les enculent sans coup férir. Heureusement en ce dimanche l’hôtel est vide sinon les voisins seraient certainement venus secourir les deux suppliciées tant leurs cris sont horribles. Elles se calment au bout de quelques longues minutes. Un ballet va alors s’enclencher. Pendant plus d’une heure, leurs matraques vont visiter leurs orifices anaux, leurs chattes rendues béantes par les assauts multiples et leurs gorges devenues accueillantes. Chacun pourra alors tester l’élasticité de leurs sphincters, l’étroitesse de leurs vagins et la douceur de leurs langues sans jamais les mener à l’orgasme. Elles n’en peuvent plus. Les douleurs initiales ont disparu, remplacés par des sensations bizarres faites de plénitude glauque et d’assuétude à ces épieux qui les prennent avec régularité et puissance. Couvertes de sueur, elles poussent des cris de gorge accompagnant les assauts dans leurs reins ou leurs chattes dilacérés, les mains posées sur les hanches des hommes qui usent de leurs bouches sans ménagement.
Je fais signe alors à mes trois compères qu’il est temps de finir. Ils font mettre à genoux Marie et Chloé et s’astiquent le manche au-dessus de leurs visages ravagés par la douleur jusqu’à les couvrir de sperme crémeux qu’ils cracheront dans leurs bouches, sur leurs yeux et sur leurs jeunes seins. Ils les forceront alors à se nettoyer mutuellement pour effacer toutes les traces de leur avilissement. Ils se rhabillent, me remercie d’avoir pu se défouler sur de si belles gamines et quittent la chambre.
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