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Léa, Chloé, Marie, Mathilde et les autres…

Chapitre 13

Inceste
Rentré à la maison, je pousse la porte et je tombe sur mes trois femmes qui m’attendent, anxieuses. Je leur raconte dans le détail comment se sont passés les débuts de Mathilde. Aux questions de ses filles, je réponds que leur mère est courageuse, et qu’elle est prête à affronter les épreuves auxquelles elle va être soumise. Au moment où je leur parle, je reçois une vidéo via WhatsApp. Je bascule mon smartphone sur le grand écran de la télé du salon. Nous pouvons alors voir le film qui se déroule sous nos yeux.
Mathilde est étendue sur le dos, pieds et poings liés aux quatre coins du sommier métallique installé dans sa cellule. Dans cette position, qui n’a rien de confortable ; son dos est en contact direct avec les lames d’acier qui lui entrent dans la chair ; ses jambes sont bien écartées dévoilant son abricot glabre. On peut voir qu’un godemichet le pénètre enfoncé jusqu’à la garde. Debout, le sbire qui l’a en charge manipule une télécommande, et les vibrations de l’appareil se font entendre. Manifestement, elles se font à la vitesse maximum. L’effet produit est que Mathilde émet des gémissements de plaisir de plus en plus fort. Elle approche de l’orgasme, vite stoppé par son bourreau qui, brandissant un fouet, lui assène un premier coup sur le ventre. Elle pousse un cri.
— Arrête de crier, chienne ! Tu dois souffrir en silence et recevoir tes vingt coups de fouet journalier. Pour ne pas l’avoir fait, tu en auras un de plus. Tu m’as compris ?— Oui maître, répond Mathilde.
Il va alors la flageller régulièrement - c’est un artiste – en visant particulièrement son entrejambe ; son clito est la cible ; et la pointe de ses seins. Son corps s’arque sous les coups. Son visage grimace de douleur, mais elle est courageuse, elle contient ses hurlements qu’elle aimerait laisser échapper.
Elle croit que le garde en a terminé avec elle, mais comme il a aimé manifestement lui faire subir ce traitement, il bande comme un cerf. Pour lui, une seule issue : il se couche sur elle après lui avoir enlevé le godemichet. Son corps lourd, il doit peser près de cent vingt kilos, la compresse encore plus contre les lames du sommier. On voit qu’elle souffre, mais il n’en a cure. Il introduit en elle sa verge volumineuse dans son antre dont l’entrée a été martyrisée par le fouet. Il va la défoncer pendant près de dix minutes, l’autorisant à jouir plusieurs fois, jusqu’au moment où il éjacule en elle, repu.
Il la quitte en lui souhaitant, en riant, une bonne nuit. [Fin de la vidéo]Pendant la projection « Mes femmes » sont serrées l’une contre l’autre. Elles regardent l’écran, hypnotisées par ce qui s’y déroule. Chloé et Marie voient le corps martyrisé de leur mère. Elles entrent en transe et se masturbent mutuellement. Marie insiste sur le barbell qui équipe le bouton d’amour de sa sœur, et la fait crier. En représailles, Chloé tire sur les anneaux de ses seins.
Léa, pendant ce temps-là, s’est mise à genoux, et tout en restant captivée par ce qui se passe sur la télé, me suce allégrement la bite que je n’ai pas nettoyée depuis que j’ai fait l’amour à Mathilde avant de quitter le château. Elle trouve que mon sexe a bon goût et que la mouille d’une mature est particulièrement appétissante.
La vidéo terminée, les commentaires vont bon train. Tous tournent sur la soumission de cette femme qui, il y a peu, était soi-disant « cul béni ». Elles trouvent qu’elle a beaucoup de courage et qu’elle doit beaucoup m’aimer pour accepter ce traitement. Elles conviennent que je suis un amant hors normes et qu’elles n’ont qu’une hâte, c’est de me faire plaisir en allant au château, elles aussi.
Elles se jettent alors sur moi, telles des goulues, et m’emmènent jusqu’à ma chambre. Marie s’allonge en travers du lit, la tête pendante. Léa se met en position de soixante-neuf pour lui bouffer la chatte. Elle me présente son cul bien en l’air. Je choisis la bouche de Marie que je coïte allégrement pendant que je doigte l’anus de ma sœur. J’écarte bien mes fesses et Chloé a vite compris. Je n’ai que peu de temps à attendre pour que sa langue vienne lécher ma raie et atteindre mon anneau plissé. Elle ne s’y attarde pas pour poursuivre sa course vers mon périnée et mes couilles pendantes.
Je suis bien au fond de la gorge de Marie qui est désormais une artiste dans ce domaine de l’amour-vache, et sait très bien maîtriser sa glotte pour me masser le gland. Mon vit, bien lubrifié par sa salive, peut alors sodomiser Léa qui n’attendait que cela. Je vais alors alterner entre son cul et l’œsophage de Marie, Chloé pratiquant sur moi une magnifique feuille de rose. Je sens sa petite langue vriller dans mon anus. C’est sublime. Mes trois petites salopes sont devenues des expertes en pornographie crade et ne tardent pas à me faire jouir encore une fois.
Il est temps de nous sustenter. Ma sœur nous concocte un dîner fin que nous arrosons au Champagne. Le repas terminé, la vue de la bouteille encore pleine me donne une idée. Je demande à Marie de s’allonger sur l’îlot central, et de bien écarter les cuisses. Mes femmes, curieuses, se demandent ce que j’ai encore pu inventer. J’enlève le papier métallique qui couvre le col de la bouteille. J’approche ensuite le goulot de la foufoune de Marie et je le fais pénétrer, légèrement relevé, lentement dans son vagin. Le gode improvisé lui procure des sensations inconnues. Elle pousse de petits gémissements de satisfaction qui montrent qu’elle apprécie. Dans cette position, le Champagne s’écoule dans son antre qu’il remplit jusqu’au moment où sa chatte déborde.
Je retire la bouteille, et j’invite Chloé et Léa à venir boire le liquide directement à la source du bonheur qu’est devenue Marie. Elles en profitent pour bien la lécher avant d’étancher ce nouveau breuvage, mélange de champagne et de cyprine. Elles agissent tant et si bien qu’elles la font jouir violemment. Je veux ma part. Je les écarte et colle ma bouche sur la vulve de Marie. Je peux, moi aussi, goûter alors ce délicieux nectar.

La source est tarie. Je reprends alors la bouteille, et cette fois-ci, je ne lésine pas, je l’enfonce au plus profond de son être. Son sexe est distendu à l’extrême et absorbe les premiers centimètres de la partie dont le diamètre est maximum. Je fais un signe à Léa et je lui demande d’aller chercher une canette de Coca-Cola dans la réserve afin qu’elle soit à bonne température. Je retire la bouteille et, avant que la chatte de Marie se referme, je la remplace par la boîte de boisson énergisante. Elle pousse des cris, dit que cela lui fait mal; mais finalement, elle l’absorbe entièrement. Ne dépasse plus que le haut de la boîte. Dans cette position, elle ressemble à un cubitainer.
Après avoir pris quelques photos – Léa a filmé l’opération - j’enlève la capsule et nous pouvons alors nous désaltérer à la fontaine de Coca bien ancrée entre les cuisses de Marie. Ses contractions vaginales ont été tellement intenses suite à un orgasme fulgurant que je ressors la boîte de son con, entièrement cabossée.
Chloé et ma sœur ont envie d’en faire autant ; elles se sont branlées pendant toute l’action. Elles s’installent sur l’îlot central et écartent les cuisses. Je vais chercher dans ma boîte à malices deux godes gonflables que je fais pénétrer dans leurs cons baveux. J’agis sur les poires afin d’augmenter leur taille jusqu’au maximum de leur possibilité. Leur chatte est écartelée jusqu’à deux fois le diamètre d’une canette. C’est tellement monstrueux qu’une énorme bosse apparaît sur leur bas-ventre. Leurs yeux se révulsent sous la douleur que cette intromission hors-norme leur procure.
Malgré cela, elles me supplient de ne pas arrêter, que ce n’est rien à côté de ce que subit en ce moment Mathilde.Je dégonfle alors l’olisbos qui remplit Léa et je le remplace immédiatement, avant que ses chairs intimes se referment par la bouteille de Champagne que je fais pénétrer par le cul. Je prends le goulot en main, et je commence à la branler. Elle pousse de petits cris qui se transforment en râles de plaisir. Avec Chloé, j’agis différemment, c’est mon poing qui va remplacer le godemichet.
C’est de concert que je vais agir sur elles. Mes bras, dont l’un tient la bouteille, telles des bielles, vont défoncer leur vagin sans répit. Je vais les faire hurler de plaisir sous ses assauts hors du commun. Leurs corps s’arquent pour échapper à mon emprise démoniaque. Elles vont enchaîner les orgasmes jusqu’à leur épuisement total, moment où leurs corps ne réagissent plus.
J’ai pitié d’elles et je les envoie se coucher. Je leur promets de venir les rejoindre plus tard. En prévision de ce retour, je prends la dose maximum de Cialis, car je veux pouvoir les baiser sans relâche et ne leur laisser aucun répit. J’ai très envie du petit cul de Marie dont j’apprécie la souplesse de ses sphincters.
Pour l’instant, je me consacre à la vision de la dernière vidéo reçue du château il y a quelques minutes.On y voit Mathilde qui semble dormir profondément, malgré sa position inconfortable, allongée sur le dos sur le sommier métallique.Un homme que je ne connais pas apparaît dans la pièce. Nu, il porte un grand seau dans une main. Il en jette le contenu sur le corps de Mathilde pour la réveiller. Elle pousse un cri d’effroi tant la surprise est grande. Il la détache et lui ordonne de le suivre.
La caméra, quelqu’un d’autre la tient, vu la mobilité de l’image, s’attarde sur les marques de fouet qui zèbrent son ventre et ses seins, puis sur celles laissées par les lames de fer de la literie. De ses cheveux trempés, l’eau ruisselle sur ses épaules et sa poitrine.
En la voyant si pitoyable et soumise, je me mets à bander. Si j’avais été à côté d’elle à ce moment, je crois que je l’aurais sodomisée immédiatement vu l’état d’abandon dans lequel elle se trouve.Elle est amenée dans une salle au milieu de laquelle se trouve un cheval mécanique qui ressemble étrangement à ceux qu’on utilise pour les entraînements de rodéo. Une différence de taille, à la place de la selle, il y a un énorme olisbos dont le diamètre semble proche de celui d’une batte de base-ball.
On lui fixe des bracelets aux poignets, et on lui fait lever les bras. Une corde, coulissant dans une poulie fixée au plafond, est fixée à ces attaches. Un bruit de moteur; et Mathilde s’élève dans les airs, suspendue comme un saucisson. On lui écarte les jambes au-dessus du cheval. Un ronronnement; et la descente est amorcée. Un homme écarte les lèvres de sa chatte, et la pénétration monstrueuse commence. Mathilde se met à crier, mais ses cris sont vite réprimés par les coups de fouet qu’elle reçoit sur sa poitrine déjà meurtrie. Ses cuisses reposent entièrement sur la croupe du cheval de cuir et de bois. Le gode est désormais entièrement en elle, écartant au maximum les chairs intimes de son vagin.
Un ordre claque, et le cheval mécanique entre en mouvement, montant et descendant au rythme d’une musique violente et saccadée diffusée dans les baffles installés dans la salle. On voit très bien le sexe factice entrer et sortir du con de Mathilde qui ne peut contrôler cette intrusion compte tenu de la situation de suspension dans laquelle elle se trouve.
Son visage, déformé par la douleur qu’elle ressent, se transforme peu à peu, et montre qu’elle commence à éprouver du plaisir. Une voix « off » fait alors ce commentaire. — Votre soumise a subi ce traitement pendant plus d’une heure et demie, sans relâche. Ses chairs ont été distendues au maximum et elle a joui en permanence jusqu’au moment où elle n’a plus rien ressenti. Nous avons apprécié sa performance et sa docilité. Elle va pouvoir participer à des gangs-bangs et ainsi pouvoir se faire prendre en double dans la chatte par les plus grosses bites de la terre. [Fin de la vidéo]
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