Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 70 J'aime
  • 6 Commentaires

Léa, Chloé, Marie, Mathilde et les autres…

Chapitre 15

Inceste
Marie est sur les genoux quand je la ramène chez elle. Elle sort difficilement de ma voiture tellement sa chatte et son cul ont été éclatés pendant le week-end. Son visage est ravagé par les pleurs et la fatigue, sa robe est à moitié déchirée. Elle monte difficilement les marches. C’est sa sœur qui lui ouvre la porte. Elles se jettent dans les bras l’une de l’autre. Chloé l’interroge :
— C’était dur ce que tu as subi ?— Tu ne peux pas savoir mais Tom peut être fier de moi j’ai été courageuse et maman aussi. On est heureuses d’être ses esclaves sexuelles. Tu verras quand il t’emmènera là-bas avec Léa.— Oh ma chérie tu ne peux pas savoir comment on vous a enviées pendant ces deux jours. On n’a pas arrêté de se gouiner en pensant à vous. On a même fait venir Manon.— Manon ?— Oui la fille de notre professeure de mathématiques. On l’a pervertie pour l’offrir à Tom.— Et alors ?— Eh bien, c’est une sacrée cochonne. Elle n’a pas l’air avec sa tête de première de la classe mais elle a du tempérament. C’est un vrai plaisir quand elle te bouffe la chatte et nous on l’a fait monter au plafond en la baisant avec le maxi gode. Elle a perdu sa virginité avec Jules, tu sais le gros boutonneux.— Mais il est moche !— Elle, elle n’est pas trop canon quand même mais c’est vrai qu’elle a une sacrée paire de nibards. Je suis sûr que Tom va aimer lui travailler la poitrine. Ses tétons sont très proéminents. Je les vois bien pris dans des pinces et étirés pour les allonger. Tu en penses quoi Tom ? dit-elle en s’adressant à moi.— C’est une possibilité et je suis sûr qu’il y aura des amateurs, moi le premier, pour l’initier au SM. Elle est là ?— Non elle est partie mais on peut la faire venir quand on veut. Elle nous est déjà soumise. Surtout depuis qu’on lui a parlé de toi. Elle n’a qu’une hâte c’est que tu la baises. Mais assez parlé. Tu as envie de nous ?— Bien sûr mes petites cailles. J’ai envie de sodomiser ma sœur et de finir au fond de ta gorge. Alors ? Direction la chambre et à poil toutes les deux. On va laisser Marie se reposer quelques jours.
Je vais passer la nuit avec elles et leur faire subir tous les outrages. Elles n’auront de cesse que de me faire plaisir. Lors d’un moment de répit, Chloé me dit que la mère de Manon est une peau de vache qui n’hésite pas à punir les mauvais résultats ; Elle a eu sa fille très jeune et du coup elle a à peine trente-trois ans. C’est toujours, selon elle, une très belle femme. Elle est divorcée au dire de sa fille et n’a, semble-t-il aucun amant.Chloé voudrait se venger des punitions qu’elle a reçues et amener sa professeure dans mon lit pour que je l’avilisse. Je lui réponds que le mieux serait qu’elle prenne déjà des cours particuliers pour l’amener ici en terre inconnue où elle se trouvera en état d’infériorité.L’idéal serait d’attendre le retour de stage de Mathilde et, avec sa complicité, je me chargerai du reste.
— Tu es un amour, me dit-elle.— Viens au-dessus de moi, je lui réponds, je vais te bouffer la chatte.
En quelques minutes je l’amène au plaisir. A peine ai-je terminé que c’est Léa qui réclame son dû. Elle non seulement je lui lèche son clito qui ne tarde pas à s’ériger mais je lui ramone le cul avec ma langue. Je le lui ai tellement élargi au début de la nuit que celle-ci arrive à pénétrer son anus. Ma sœur crie que c’est sublime et dans le même temps pompe ma queue avec ardeur jusqu’à me faire juter dans sa bouche. Elle avale tout et je la finis en mordillant son bouton d’amour orné d’un barbell droit. Un jet de mouille jaillit de son sexe et m’inonde le visage. Je bois à la source de son con. Une fois ma douche prise, je quitte la maison de Mathilde et on rentre chez nous avec ma sœur. Marie et Chloé vont pouvoir se reposer.On est lundi et je dois travailler. Ça me prend toute la journée car j’ai pris du retard. Léa en profite pour faire les courses et réalimenter le frigo. Pris par un problème ardu à résoudre, j’ai juste mangé un sandwich le midi et pris un café.
Ma sœur a bien tenté de me détourner de ma tâche en se godant devant moi dans mon bureau mais elle n’a pas réussi. Je lui ai promis que je me vengerai ce soir et qu’elle ne perd rien pour attendre. Il est presque vingt heures quand j’ai terminé. Je sens des effluves qui remontent de la cuisine. Le repas du soir s’annonce bien. Léa est une grande cuisinière et elle m’a concocté un repas de fête.
Elle m’attend nue dans la cuisine. Son corps est sublime. En signe de soumission totale, elle a ajouté des poids aux anneaux qui percent ses lèvres vaginales et ses tétons. Je lui demande en quel honneur j’ai droit à ce traitement. Elle me répond que ça fait six mois que nous sommes devenus amants et qu’elle ne le regrette pas. Elle continue :
— Pour cet anniversaire je voudrai que tu me fouettes et que tu n’épargnes aucune partie de mon corps.— Tu sais qu’en me demandant ça je vais me sentir libéré. Tu vas déguster petite sœur. Tu es prête à ça ?— Oui je suis prête emmène-moi à la cave, traite-moi comme Mathilde l’est en ce moment tous les soirs. Après, une fois que tu auras terminé, je peux te demander une faveur ?— Bien sûr. Que veux-tu ?— Je voudrais que tu m’encules à sec après m’avoir dilaté le vagin au maximum avec le gode gonflable.— Si tu le veux je le ferai… dis-je en riant. Le repas ne va pas refroidir ?— Non je garde le plat au chaud.
On descend au sous-sol et je suspends Léa aux anneaux que j’ai scellés au plafond. Je vais la fouetter pendant plus de vingt minutes. Par leur balancement, les poids suspendus aux anneaux vont accroitre sa douleur. Heureusement le local est désormais insonorisé. Ses seins, sa chatte, ses fesses, sa poitrine, son dos, son ventre, ses cuisses, aucune partie ne sera oubliée. Elle va hurler les premiers temps puis les gémissements se succéderont jusqu’à ce que son supplice s’achève. J’installe alors l’olisbos dans sa chatte et je le gonfle au maximum de ses possibilités. Elle grimace mais ne dit rien, stoïque. J’enlève mon pantalon et mon slip et je me colle dans son dos, ma bite entre ses fesses. Une flexion des jambes et j’introduis mon vit dans son cul. J’ai du mal à le faire pénétrer tant il manque d’espace pour ça. Je force, elle crie. Je force encore. J’y suis, jusqu’aux couilles. C’est tellement étroit que ses sphincters massent ma queue et ne tardent pas à me faire éjaculer dans son trou de balle. Je ne sais pas si elle m’a senti finir, toujours est-il qu’elle pousse un énorme cri de jouissance signalant par là qu’elle a atteint un orgasme incommensurable. Je me retire et me mets face à elle pour lui dire :
— Je t’aime petite sœur. Je vais maintenant te détacher, te passer un baume cicatrisant sur tout ton corps. Nous dinerons alors et pendant toute la nuit nous ferons l’amour en douceur. Tu veux bien ?— Oh oui Tom. Je suis à toi. Je t’aime. J’ai souffert mais c’était la plus belle preuve d’amour que je pouvais t’offrir en ce jour anniversaire.
Je n’ai pas failli à ma promesse. Je l’ai longuement massée en insistant bien sur ses parties génitales et sa poitrine que j’ai pétrie à loisir. Elle n’a fait que ronronner pendant ce traitement, prononçant des mots d’amour dont j’étais l’unique destinataire. Notre diner a été arrosé au Champagne et nous avons été nous coucher un peu pompette. Léa m’a fait l’amour s’empalant sur moi pour se mener au plaisir à son rythme. Elle a joui puis elle s’est alors occupée de moi. Elle a pris mon vit en bouche et m’a longuement sucé en me caressant les couilles d’une main en me mettant un doigt de l’autre dans le cul. J’ai fini dans son orifice buccal. Elle a pris alors ma verge qu’elle a promenée sur son visage, ses yeux, son front, ses joues et s’est finalement endormie en gardant mon sexe dans son museau.Au petit matin j’ai été réveillé par une douce succion qui m’a fait bander immédiatement. J’ai alors pris ma sœur dans mes bras et nous avons fait l’amour en missionnaire. Nos lèvres se sont jointes dans un baiser passionné, elle m’a étreint, je l’ai perforée. Nous nous sommes redits des mots d’amour et nous avons fini, ensemble, en pleine harmonie sexuelle.
**********
Le stage de Mathilde arrive à sa fin. Je dois aller la chercher et, avant, assister au final de son séjour. En attendant je reçois quelques vidéos où l’on peut voir que tout a été mis en œuvre pour élargir au maximum ses orifices. Dans l’une, de monstrueux godes distendent les chairs de son anus et de sa chatte au même instant, dans une autre, son vagin est dilaté au maximum par un énorme spéculum laissant un trou béant entre ses cuisses. Après un tel training elle est prête pour se faire saillir comme une jument par une bite de cheval…Je sens que pour ses dernières heures elle va déguster.
J’arrive sur place le vendredi soir. Je suis dirigé dans une pièce où Mathilde m’attend. Fait exceptionnel, elle est habillée d’une longue robe dont le décolleté plonge jusqu’au nombril, laissant ses seins fermes bien visibles. On peut voir sur ses chairs apparentes les longues striures qu’ont occasionnées les coups de fouet qu’elle a reçue tous les jours depuis son entrée au manoir. Elle est à peine maquillée. Ses cheveux tombent sur ses épaules. La joie éclaire son visage quand elle me voit mais elle ne bouge pas, bien dressée, elle attend une initiative de ma part. Elle est sublime et rien que de la voir comme ça je me mets à bander. Je la veux, là, tout de suite.Je m’approche d’elle, je la prends dans mes bras et je la serre contre moi. Nos lèvres se rejoignent dans un baiser passionné. Elle peut sentir le désir qui m’anime, rien qu’en sentant la dureté de mon vit contre son pubis. Fort de son apprentissage, elle se jette à mes pieds, baisse mon pantalon et mon caleçon et embouche goulûment mon sexe. Mais ce n’est pas ce que je veux. J’ai trop attendu, je veux sa chatte et son cul, tout de suite. Je la relève, fais glisser la fermeture éclair dans son dos, sa robe tombe en corolle à ses pieds. Elle est désormais nue, sans défense, face à moi. J’empaume ses seins que je masse doucement. Son regard est extatique. Elle veut me dire quelque chose, je le sens dans son attitude. Mais elle attend que je l’y autorise.
— Tu voulais me dire quelque chose ma chérie ? Tu peux parler, ne crains rien.— Oh Tom, comme je t’ai attendu pendant ce long mois. Tout ce que j’ai subi je l’ai fait pour toi. Pour que tu sois fière de moi. Regarde mon dos !
Elle se tourne et je peux voir sa peau boursouflée par les marques laissées par le sommier métallique sur lequel elle dormait toutes les nuits ainsi que les lacérations dues au fouet. Elle poursuit :
— Je sais que ce n’est pas fini et que d’autres épreuves m’attendent pendant ma dernière nuit ici. Mais sache seulement que je t’aime et que si à l’issu de ce stage tu veux me donner à un autre maitre ce sera ton choix et que je m’y plierai.
Je peux alors voir que des larmes inondent son visage. Je ne tiens plus. Il me la faut immédiatement. Je la fais pencher sur une console présente contre un mur de la pièce et sans coup férir, je l’enconne d’une seule poussée. Elle est chaude et humide à souhait. Elle n’attendait que ça. Elle le manifeste par des feulements très prononcés, puis des cris de plaisir. Je travaille longuement sa chatte par de longs va-et-vient. Elle jouit une première fois. Je l’encule alors sans aucune précaution. Ça rentre tout seul, son anus a été bien préparé et bien assoupli. Il n’a pas perdu de son élasticité et comprime bien ma queue. J’empoigne ses seins et j’étire ses tétons. Elle gémit, me demande de la massacrer. J’alterne alors mes pénétrations et je change d’orifice à chacune d’entre elles. Je vais la défoncer comme ça pendant de longues minutes abusant de chacun de ses trous jusqu’au moment où je lui crie que je vais jouir dans son cul et qu’elle doit finir avec moi. Elle pousse un cri de jouissance et j’éjacule dans son fondement.

Nous allons dans la salle de bains attenante pour prendre une douche. Mathilde insiste sur sa toilette intime et n’oublie pas de s’oindre son anus de gel au silicone pour faciliter les pénétrations. Elle remet sa robe et se farde légèrement en suivant les consignes qui lui ont été édictées.Un garde arrive alors et nous mène à la salle où tout a commencé. Une longue nuit, la dernière, va démarrer et c’est Mathilde qui en sera la vedette…
Diffuse en direct !
Regarder son live