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Léa, Chloé, Marie, Mathilde et les autres…

Chapitre 20

Trash
Il se passe à peine vingt-quatre heures quand je reçois un coup de fil d’Hervé. Il part à l’étranger pour son travail. Il sera absent trois semaines. Il ne veut pas que Julie reste seule. Il me demande si je veux la prendre chez moi en pension et que je profite de cette période pour la dresser à ma façon. Il me laisse libre choix de mes méthodes. Il veut simplement que je sois le plus dur possible avec elle. D’ici là, il lui aura fait passer un test pour qu’elle puisse être baisée sans capote. Il sait que je suis « clean », car j’en fais régulièrement moi aussi.
Je lui demande si elle est d’accord. Il me répond qu’elle a adoré ma bite et que de toute façon, elle n’a pas son mot à dire. Elle sait simplement que ce sera très dur et qu’elle n’aura qu’à prononcer le mot de sécurité pour que ça cesse.
Je lui dis qu’il peut l’amener maintenant, je suis disponible. Compte tenu du fait qu’ils n’habitent pas tout près, ils débarquent deux heures plus tard chez moi.On les reçoit avec ma sœur Léa. Elle jubile à l’idée d’avoir à sa merci une petite soumise. Dès leur arrivée, à peine le seuil de notre maison franchi, elle ordonne à Julie de se mettre à poil. Puis, sans que je lui demande quoi que ce soit, elle s’agenouille aux pieds d’Hervé, le débraguette et s’enfile au fond de la gorge son sexe à demi mou. Il est surpris par ce geste. Je n’ai juste que ces paroles :
— Bonjour, je te présente ma sœur. Elle aussi m’obéit au doigt et à l’œil... J’espère que tu apprécies sa prestation ?— Putain, elle me suce vraiment bien. Sa bouche et sa gorge, c’est du velours. J’ai envie de la baiser tout de suite avant de partir. Je peux ?— Tu peux l’enculer si tu préfères. Moi, c’est ce que je vais faire avec Julie. Je bande déjà !
On les penche sur le guéridon dans l’entrée et pendant plus de dix minutes, on va les sodomiser allégrement sans se préoccuper de leur plaisir. Ca semble leur plaire néanmoins, car leurs gémissements s’accélèrent, les mouvements de leur cul s’amplifient, leurs sphincters se resserrent sur nos bites actives qui les défoncent profondément. A ce petit jeu, nous éjaculons dans leur fondement au même moment, provoquant en elles un violent orgasme. Elles s’écroulent par terre, épuisées, moulues...J’indique à Hervé où se trouve la salle de bains. Il commente ce moment passé avec Léa :
— On peut dire que ta sœur est une sacrée chaudasse. Je me rappellerai longtemps ce sublime coït anal que nous venons d’avoir. Elle a aussi une poitrine d’enfer et j’ai particulièrement aimé la massacrer pour accentuer la pénétration de son anus. — Et encore, tu n’as pas tout vu ! Quand tu feras connaissance avec mes autres soumises, tu constateras qu’elles rivalisent d’ingéniosité pour donner du plaisir à un homme ou une femme.— J’ai hâte d’expérimenter ça. Julie est loin d’atteindre ce degré de perversité, mais j’avoue qu’elle m’a surpris l’autre jour en club. Je ne pensais pas qu’on pourrait la prendre en double. J’ai l’impression que tu lui plais et qu’elle a aimé la manière dont tu l’as traitée. J’avoue aussi que j’ai pris beaucoup de plaisir avec Anaïs. Elle est d’une grande beauté. Tu as beaucoup de chance de l’avoir dégottée.
Quand on revient dans le living, Julie et Léa n’ont pas perdu de temps. Elles se gougnotent furieusement en position de soixante-neuf et se mènent à la jouissance très rapidement. Hervé nous quitte et je me retrouve seul avec mes belles. Elles m’ont désobéi en se faisant jouir mutuellement sans mon autorisation. Elles méritent d’être punies. Je leur annonce brutalement en leur criant :
— A la cave ! — C’est quoi la cave ? questionne ingénument Julie.— C’est là que Tom nous punit quand nous avons fait quelque chose sans son autorisation ! répond ma sœur.— Qu’avons-nous fait de mal ? — On s’est fait jouir sans le lui demander... A la cave, on va déguster. Comme tu es nouvelle, il va certainement vouloir innover : le fouet, les pinces à seins, le paddle ? On ne peut jamais savoir à l’avance.— Mais ça fait mal !— Oui, mais ton maître t’a amenée ici pour que tu sois dressée. Comme tu es certainement assujettie à lui par amour comme nous les sommes toutes avec Tom, tu dois accepter désormais ton sort.— J’aime trop Hervé, je veux qu’il soit fier de moi. Je ne faillirai pas.
Je les fais descendre au sous-sol et, comme à mon habitude, je les attache, nues, aux anneaux suspendus au plafond. J’écarte leurs jambes et je lie leurs chevilles aux points d’ancrage scellés dans le sol. Inutile de les bâillonner, la pièce est insonorisée. Afin de faire monter l’appréhension chez Julie, je m’occupe d’abord de ma sœur. Je vais la fouetter pendant de longues minutes en insistant plus particulièrement sur ses seins et ses fesses. Elle va résister dès les premiers coups, mais finalement, sous la douleur, elle se mettra à sangloter. En voyant le traitement que j’inflige à ma sœur, Julie écarquille les yeux d’épouvante et elle attend de voir le sort que je lui réserve. C’est ce que je lui précise :
— Tu vas apprendre ce qui arrive quand on ose me désobéir. Il n’y a que la souffrance pour que tu comprennes bien ce qu’il en coûte.
Je m’approche de son visage et je lui baise tendrement les lèvres. Elle croit que je vais l’épargner et répond à celui-ci. J’en profite pour saisir un paddle sur une table proche et je cingle l’une après l’autre ses fesses bien tendues en arrière. Elle pousse un cri plus de surprise que de douleur. Elle va en recevoir comme ça plus d’une vingtaine. Ses pleurs et ses hurlements vont rompre le silence du local. Je crochète de deux doigts l’entrée de son vagin liquéfié et je la branle longuement. Au moment où je sens son plaisir arriver au point de non-retour, je retire ma main de son entrejambe et je tire sur les anneaux qui percent ses tétons. Frustrée, elle réclame que je la fasse jouir, qu’elle fera tout ce que je lui demanderai, mais que je ne la laisse pas comme ça. C’est alors que Léa réagit :
— Baise-la avec le plus gros gode que nous ayons et équipe ses nymphes avec des pinces lestées de poids. Tu pourras alors la fouetter comme elle le mérite. Vise bien sa petite poitrine pour bien la strier.
Ma sœur est toujours pleine d’idées perverses. Je m’empresse de mettre en application ses suggestions. Le godemichet a du mal à pénétrer la jeune chatte d’ex-vierge de Julie, mais après plusieurs tentatives, il écarte ses chairs intimes au maximum. Finalement, je préfère poser une petite pince à dessin sur son clitoris que je débusque sans problème de l’endroit où il était caché. Julie pleure que ça lui fait horriblement mal, mais en voyant mon regard furieux, elle se tait. J’attache à ce clip une petite chaîne que j’équipe d’une boule d’acier. Cet ensemble aura pour effet de distendre le bouton d’amour de ma nouvelle soumise au maximum.
Avec la télécommande, je démarre les vibrations du sexe factice à la vitesse maximum. J’attends que la jouissance commence à envahir le visage de Julie pour entamer la flagellation de son corps. Ses tétons ne sont pas épargnés et sa poitrine est vite striée de larges marques rouges. Elle va beaucoup crier jusqu’au moment où, fatigué, j’arrête mon supplice. J’enlève alors l’olisbos de son con et je le remplace par mon vit au gland turgescent. En quelques poussées, je vais la faire monter au septième ciel tant elle attendait ce moment. Je la suis dans ce mouvement en éjaculant au plus profond de sa matrice.
Elle m’avoue alors qu’elle est heureuse d’avoir pu affronter cette épreuve et qu’elle est désormais toute à moi et à Hervé.Plus sept à mon compteur ! Une équipe féminine de handball...
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