Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 61 J'aime
  • 3 Commentaires

Léa, Chloé, Marie, Mathilde et les autres…

Chapitre 21

Trash
Aujourd’hui, c’est la journée de présentation d’Anaïs et de Julie à mes autres soumises : Léa qui connaît déjà Julie, Chloé qui va découvrir son ancienne prof Anaïs, Marie la sœur de Chloé, Mathilde la mère de Chloé et Marie, Manon la fille d’Anaïs.Elles sont toutes là, impatientes de les découvrir... Pour cette occasion, les impétrantes sont nues. La veille, je les ai fait épiler intégralement. Dès l’entrée d’Anaïs, c’est un « oh » de surprise devant tant de beauté vite couverte par les injures de Chloé :
— Ça y est ! Tu l’as matée cette salope ? Je vais pouvoir me venger de toutes les saloperies qu’elle m’a faites quand elle était ma prof ?— Avant toute chose, tu dois la laisser s’exprimer. Je veux qu’elle puisse se défendre, et ensuite, je verrais si je peux t’accorder ta vengeance. Qu’en penses-tu Anaïs ?— Je n’ai pas à donner mon avis. Tu es désormais mon maître. J’agirai selon tes volontés. Je ne peux que répéter ce que je t’ai dit la fois où j’ai accepté que tu le deviennes. Tu m’as fait devenir à nouveau une femme. Je me suis rendu compte que toutes ces années sans homme m’avaient aigrie. Je suis sûre que c’est pour ça que mes élèves me détestent. Il n’y a qu’à voir la réaction, compréhensible, de Chloé. Mais toi, tu as su trouver la faille dans ma carapace. J’ai désormais un besoin inextinguible de faire l’amour, d’être soumise, d’être avilie.— Compte tenu de ton repentir, j’accorde deux heures à ton ancienne élève pour se venger de toi. Après ce laps de temps, je ne veux plus entendre parler de votre différend. Tu auras payé suffisamment.
A ces mots, Chloé entraîne Anaïs à la cave. Son ancienne prof sait qu’elle va déguster, mais elle suit, docile. Depuis quelques jours, j’ai fait installer une croix de Saint-André, et c’est sur celle-ci qu’elle est installée. Mes autres femmes ont suivi pour assister à la vengeance de l’élève. C’est alors un échange de paroles entre les deux protagonistes :
— Tu sais que tu es très belle pour ton âge ? Ton corps est magnifique. Que dirais-tu si je commençai un peu par l’abimer ? Peut-être devrais-je martyriser tes seins ou distendre ton anus ? A moins que je ne défonce ton con avec une batte de base-ball ? Qu’en penses-tu ? — Tu peux faire de moi ce que tu veux, c’est le prix à payer pour désormais vivre avec vous tous ! répond-elle en larmes.— Pleurer te vas très bien, et malgré mon esprit de revanche, j’ai trop envie de te prendre dans mes bras.
A peine ces paroles dites que Chloé se déshabille en un tour de main, détache Anaïs de la croix et l’enlace immédiatement. Elle est comme possédée. Ses mains parcourent les formes de son ancienne prof, ses lèvres prennent possession des siennes, une de ses mains entrouvre la fourche de ses cuisses et s’introduit malicieusement dans son antre baveux. Elle lui murmure des mots doux :
— Tu ne peux pas savoir comme tu m’as fait souffrir. Dès le début, lors de ta première apparition dans ma classe, je suis tombée amoureuse de toi. J’avais envie de sentir tes mains sur mes seins, ta bouche sur la mienne. Tu n’as répondu alors que par des punitions, mais maintenant, grâce à Tom, je peux t’avoir à moi entièrement. Ta peau est douce et je ne veux pas l’abimer. Je n’ai pas l’intention de te faire du mal. Je veux seulement qu’on fasse l’amour toutes les deux pendant le temps qui m’est imparti. Après, on demandera à Tom de nous baiser toutes les deux ou de nous enculer. Tu veux bien ?— Oh Chloé, oui ! Moi aussi je suis amoureuse de toi, mais je ne voulais pas succomber à une passion répréhensible dans le job que j’occupe. C’est pour ça que j’ai pris mes distances vis-à-vis de toi. Viens, aimons-nous et oublions ces mauvais moments !
Je suis le premier surpris par ces échanges lesbiens. Je les vois se diriger vers le matelas posé à même le sol, et pendant plus d’une heure, rivalisant d’ingéniosité, elles vont se faire jouir mutuellement. Leurs gémissements retentiront dans la cave pendant tout ce temps. Mes autres soumises, excitées à la vue de ces deux corps enlacés, n’auront de choix que de se gouiner entre elles afin d’évacuer la tension qui les habite.
Inutile de dire que je n’arrête pas de bander à la vue de ce spectacle pornographique digne des plus beaux films de cul que l’on peut voir sur Internet.Il est temps pour moi d’intervenir. Je demande à Anaïs et Chloé de se pencher sur le dos du canapé. Elles savent que si je les mets dans cette position, c’est pour pouvoir mieux les enculer. Côte à côte, elles écartent leurs fesses et s’embrassent à bouche que veux-tu. Mon sexe est dur comme du bois. C’est l’anus d’Anaïs que je choisis en premier. Elle pousse un hurlement dès mon entrée sans précaution dans son fondement. Elle s’habitue alors à mon intromission et je peux alors la défoncer à loisir. Je me retire pour changer de trou, et c’est Chloé qui subit mes assauts bestiaux. Elle est plus habituée, compte tenu des attaques que subit régulièrement son rectum. Il n’empêche qu’elle aussi pousse des cris d’orfraie quand mes coups s’accélèrent.
Tout à ma défonce de leur petit cul, j’ai la surprise de sentir une langue qui vient lécher mon périnée et tenter de s’introduire dans mon anus.C’est Julie qui vient de prendre cette initiative que j’apprécie à sa juste valeur. De ses petites mains, elle caresse mes bourses et la base de mon sexe, augmentant ainsi la dureté de mon érection. Je lui demande alors de se positionner la tête entre les postérieurs de mes deux enculées, la bouche ouverte.
C’est ainsi que pendant de longues minutes, je vais passer du cul d’Anaïs, à la gorge de Julie, puis au fondement de Chloé. Aucune ne jouit, et c’est finalement la chatte de Mathilde à qui j’ai fait signe de venir ; que je choisirai pour terminer cette séance. Je l’inonde de mon sperme et c’est elle que je mène à l’orgasme.
**********
A ce stade de mon récit, il est temps de faire un peu le point. Sept femmes d’âges différents, toutes plus belles les unes que les autres, chacune avec leur différence, ont décidé de m’obéir au doigt et à l’œil. Beaucoup d’hommes aimeraient les avoir dans leur lit et pouvoir, comme moi, les baiser à loisir. Elles ont subi les pires des outrages. Hormis Julie qui commence à peine son apprentissage, elles ont toutes été fouettées, sodomisées, baisées, prises en gorge profonde. Leur chatte, leur cul ont été l’objet de pénétrations monstrueuses. Pour Marie, ce fut une triple vaginale, mais aussi une canette de coca qui lui a distendu la foufoune. Il est bien loin le temps où elle était encore vierge...
Après à peine une semaine de training, Julie est matée, ce week-end, elle a eu droit à un gang-bang uniquement organisé pour elle dans le garage d’un pavillon de banlieue. Dix hommes l’ont eue à disposition pendant plus de quatre heures. Elle en est sortie complètement souillée, ses orifices dilacérés, ses seins martyrisés. A la fin, elle est tombée dans mes bras en prononçant ces mots :
— Désormais, je suis à toi entièrement. Je ne veux plus retourner avec Hervé. Il est trop tendre. Tu es désormais mon maître unique. Dis-moi que c’est ce que tu veux, et pour le montrer, fais-moi l’amour maintenant, en douceur, j’ai trop envie de toi.
A ces mots, elle se jette à mes pieds et m’embouche avidement. Une fois bien dur – elle n’a eu aucun mal à me le faire devenir – je la relève et je l’embrasse doucement sur les lèvres. Mes mains courent sur son corps gracile, mes doigts font rouler ses tétons. J’appuie sur ses fesses pour mettre en contact ma verge avec son nombril. Je la soulève alors d’un bras, de l’autre, j’ajuste mon vit sur l’entrée de sa foufoune et je l’enconne d’une seule poussée. Elle pousse un cri vu l’état de ses parois internes durement éprouvées par les assauts multiples qu’elle vient de recevoir. Je la laisse apprécier la grosseur de mon membre qui l’envahit complètement. Mes mains viennent se caler sous ses fesses, elle met ses bras autour de mon cou, nos lèvres se joignent à nouveau. Tous les deux immobiles, je fais juste pulser mon sexe à l’intérieur de son antre. Elle répond à mes sollicitations en contractant ses muscles internes. Sa respiration s’accélère, la mienne aussi.
Nos bouches se dévorent, l’atmosphère est torride.
— Allez, jouis ma puce ! Tu sens comme je suis bien dur pour toi ?— Oh oui, c’est bon mon amour, continue, ça me fait un bien fou. Oh, c’est trop bon, je vais mourir si tu continues comme ça. Viens avec moi ! Finissons ensemble !
La pression est si forte que dans un cri commun, nous jouissons à l’unisson. Je la ramène à la maison où elle est accueillie sous les acclamations de mes autres soumises qui dès lors, vont s’occuper d’elle. Elle est alors baignée, massée, embrassée, choyée puis couchée dans l’un des lits où elle passera le reste de la nuit à se gouiner avec Marie qui l’a prise sous sa protection.
**********
EPILOGUE :Les jours se passent et cela devient très compliqué de vivre avec elles dans des maisons et des appartements différents.
C’est ainsi que j’ai pris l’initiative d’acheter une immense maison où nous pourrons tous loger. Lorsque je leur apprends la nouvelle, elles sautent toutes de joies et ne pensent qu’au jour où nous allons tous vivres ensemble. Inutile de vous dire que ce soir-là, j’ai bien été récompensé. Elles se sont relayées pour me mener au plaisir. Bien sûr, elles ont toutes voulu que je les encule, affirmant que c’était la meilleure manière de me remercier.
Elles ont participé à la manière d’organiser notre logement commun. Le sous-sol a été aménagé en salle de plaisirs avec tous les accessoires nécessaires à cette activité : croix de Saint-André, cheval d’arçon, machine à baiser de dernière technologie... La suite parentale s’est vue dotée d’un immense lit rond, des caméras dernière génération pouvant filmer automatiquement, sur tous les plans, les ébats qui s’y déroulent.
La maison est isolée. Nous pouvons ainsi y vivre nus tout le temps, sans crainte des voisins et sans qu’aucun ne puisse entendre les cris et gémissements de celles qui sont punies.De temps en temps, elles me procurent un petit extra en m’amenant une nouvelle pucelle à dresser. La seule différence, c’est qu’une fois celle-ci débauchée, je ne la garde pas pour moi. En accointance avec le château, je la donne à un autre maître qui achèvera son apprentissage.
Un soir, alors que je reviens d’un rendez-vous professionnel, je leur annonce que j’ai pris une grande décision. Je leur annonce en ces termes alors qu’elles sont toutes là, nues, à attendre ce que je vais bien pouvoir leur dire :
— Voilà mes chéries, j’ai décidé qu’il était temps que vous ayez toutes un enfant de moi !
A ces mots, c’est la stupeur d’abord, puis la joie qui les envahit à l’idée d’être engrossée par moi. Elles se mettent toutes à parler ensemble. Je les fais taire et je continue :
— Dès maintenant, vous allez toutes, sans exception, arrêter de prendre la pilule. Tant que vous ne serez pas enceintes, vous n’aurez de rapports sexuels qu’avec moi. Pendant vos périodes fécondes, vous serez baisées plusieurs fois par jour. Je prendrai comme à mon habitude du Cialis pour rester en forme. Mais il est de votre devoir de m’aider à y rester. Débrouillez-vous pour m’exciter en permanence. Mathilde et Anaïs sont un peu plus âgées, elles auront donc la primeur de ma couche toutes les nuits afin d’augmenter leur chance d’être engrossées. A charge pour elles d’être prises plusieurs fois dans la nuit. Même si vous aimez toutes ça, je ne jouirai plus dans vos culs et dans vos bouches. Ces orifices ne serviront qu’en préliminaires. Me suis-je bien fait comprendre ?
Un brouhaha de nouveau et c’est un oui unanime que j’entends. Dans les mois qui suivent, elles se retrouvent enceintes les unes après les autres. Aussi curieux que cela puisse paraitre, c’est Anaïs et Mathilde qui n’ont pas leurs règles les premières, les cinq autres suivent le mois d’après. Mes visites avec elles chez le gynécologue se succèdent, les échographies sont parfaites, ce seront toutes des filles !
En attendant les naissances, je les emmène toutes au manoir où les membres sont ravis d’avoir à leur disposition pour assouvir leurs fantasmes, la possibilité d’avoir des rapports sexuels avec des femmes enceintes. Je n’ai qu’une seule condition : pas de sévices ni de coït vaginal. Elles devront toutes être sodomisées et prises en gorge profonde.
Pendant leur période de gestation, leur chatte n’aura à faire qu’à ma bite ! Il ne faut pas traumatiser les bébés !Depuis je suis l’heureux papa de sept filles. Tout s’est bien déroulé et nous formons désormais une grande famille.Que peut-on souhaiter de mieux !
Diffuse en direct !
Regarder son live