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Léa se découvre

Chapitre 4

Une première fois en douceur

Avec plusieurs hommes
En marchant vers la cuisine, elle essayait de prendre l’air la plus mignonne possible. En arrivant devant tout le monde, avec un sourire angélique, lança :
— Je vous ai dit que vous sentiez super bon ?
Tous la regardaient comme un ange. Elle s’approcha des garçons, et fit à chacun des trois un baiser tendre et annonciateur.
— Je suis prête... Et je vois que vous l’êtes aussi. Je voudrais que tout se passe dans le calme... Papa, tu peux mettre du jazz plus calme, du style new-yorkais ? Et rester un peu écartés avec maman... Enfin, vous saurez vous occuper !
Sa mère lui fit signe de venir et lui demanda discrètement :
— Tu es sûre que tu es prête ?— Oui maman, je commence à vraiment avoir envie...— Je voulais dire physiquement. Tout à l’heure en te disant que les filles comme nous mouillent tellement qu’on ne sentait rien même la première fois, j’ai peut-être exagéré...— Ne t’inquiète pas, tout à l’heure par contre, j’ai vraiment exagéré avec le jouet, et effectivement, j’ai tellement mouillé que ce n’était que du bonheur...
Elle quitta sa mère et invita les 3 garçons à s’installer sur le canapé. Pour se remémorer son côté bestial, elle coupa la musique qu’elle avait pourtant demandée, et lança une playlist reggaeton, qu’elle accompagna d’une danse toujours aussi mémorable. Elle ferma les yeux, se laissant emporter par ce moment, ne pensant plus à rien qu’à essayer d’être la cible de tous les regards. Elle continua ainsi pendant un long moment. Elle rouvrit les yeux, et s’étonna - tout en s’en étant fortement doutée - que les trois bosses des pantalons avaient laissé place à trois magnifiques sexes durs sur chacun desquels, une main coulissait doucement de haut en bas.
Léa ne regardait plus leurs visages - Léa ne regardait plus que leurs queues - Léa dansait uniquement pour essayer de faire remonter sa robe afin d’afficher son cul, et de garder ces trois sexes bien durs. Elle jeta un coup d’œil à ses parents, restés dans la cuisine, pour chercher un signe de réconfort. En constatant la bosse de son père, elle s’adressa à sa mère.
— Maman, ne laisse pas papa comme ça... J’ai trois belles bites pour moi, tu n’en as qu’un, tu devrais t’en sortir... Et puis tu es une...— Salope - répondit-elle avant que Léa finisse la phrase. Effectivement, chéri, tu as pris ce qu’il faut ? C’est peut-être descendu depuis tout à l’heure...— Vas-y mon amour, j’ai tout prévu...
Didier souffrait de dysfonction de temps en temps. Pour contrer ça, il n’hésitait pas à prendre des cachets, dont l’efficacité l’obligeait à s’en passer le plus souvent possible, sous peine de solliciter excessivement sa femme. Sarah sortit tout naturellement le sexe de son mari, et commença à le sucer amoureusement. Léa s’approcha de ses trois conquêtes, et se mit à genoux devant eux.
— Je me suis mise à genoux pour trois raisons, l’une, pour que vous puissiez profiter de mon décolleté, car bientôt, je n’en aurai plus... Deux, pour vous supplier d’être doux avec moi et de me laisser gérer le rythme, l’intensité... Et trois, je vous laisse deviner...
Elle attrapa dans sa bouche immédiatement le membre de Théo qui était au milieu, et avec ses deux mains ceux de Loïc et Olivier. Après un bon moment à sucer Théo :
— Il n’y a aucune raison que seul Théo profite en vue plongeante de mon décolleté et de ma bouche, échangez vos places.
Elle dégustait maintenant la bite d’Olivier depuis un moment en jetant des coups d’œil à sa mère pour prendre exemple - Léa est une élève exemplaire, qui obéit parfaitement sur les sujets qu’elle apprécie. Puis elle les fit échanger de place une seconde fois pour faire profiter Loïc :
— Oh ! Mon musicien... J’ai hâte de goûter ton instrument... Tu vas profiter de ma bouche un peu plus longtemps, petite faveur. Olivier, tu étais le premier à gicler dans ma bouche hier. Donc le troisième privilège, celui de sentir en premier en premier ma chaleur intérieure, reviendra à Théo ! Elle reprit Loïc en bouche un bon moment.— J’ai un petit jeu avant d’aller plus loin. On va profiter, il n’est pas bien tard... - Léa regarda l’horloge - vendredi soir, 23h30... Il me reste toute une nuit à jouer avec vous... Ou peut-être un WE complet, ou des semaines, des mois, des années... Si vous êtes sages - dit-elle en leur glissant un clin d’œil.— Loïc... Attrape-moi les cheveux à la racine... Plus tu sens le sperme monter, plus tu serres les cheveux fort, d’accord ?— D’accord ma petite fan de jazz...
A ces mots, Léa ne résiste pas et gobe la totalité de son sexe, et se met à le sucer le plus rapidement possible. A chaque fois que Loïc sentait monter, il serrait, puis Léa réduisait la cadence. A chaque fois, elle allait de plus en plus loin : elle sentait ses cheveux serrés tellement fort, qu’elle ne pouvait s’empêcher de gémir, bouche pleine, d’un plaisir partagé entre une faible douleur et un désir immense.Après un long moment à branler Théo et Olivier et sucer Loïc, elle leur demanda encore de changer de place et que Théo soit au milieu.Elle se mit dos à eux, enleva sa robe qu’elle lâcha d’un geste élégant, pour enfin se montrer nue de dos.
Immobile, et toujours de dos, elle leur demanda de se déshabiller intégralement.
— Mon moment est venu, et ta faveur aussi Théo... Je vais rester de dos, et je vais reculer doucement... Mais d’abord, un petit spectacle.
Léa recula d’un pas, écarta bien les jambes, et se pencha en avant en s’appuyant d’une main sur le mur, ce qui laissa une vue magnifique sur son cul, sa chatte et sa poitrine. Elle se mit à se caresser, puis à se doigter rapidement en poussant quelques gémissements.
— J’espère que ça vous plaît... Hmmm... C’est bon... C’est le moment... Je vais reculer doucement... Dès que j’arrive près de toi Théo, tu me prends doucement par les hanches et tu m’aides à m’asseoir sur toi... Je ne veux aucun bruit, je veux que tout soit fait suivant ma demande et ma volonté, et en douceur...
Léa recula doucement vers Théo, qui au moment venu la prend par les hanches et l’aide à doucement s’asseoir. Il voit lentement son gland se rapprocher du corps de Léa, jusqu’au moment fatal :
— Je la sens... Tout doucement...
Léa pose alors les mains sur le canapé, empalée par Théo. En parfait équilibre, elle peut aller à son rythme. Léa fait de doux va-et-vient, pour le plus grand bonheur de Théo.
— Je commence à bien mouiller... J’aime que ce soit doux...
Léa commence à accélérer le rythme et à être vraiment trempée. Théo respecte ses initiatives.Léa s’arrête soudain.
— Désolé, je t’ai fait mal ? demanda Théo.— Au contraire, tu as été parfait. Maintenant, à toi l’honneur.
Léa reste dans la même position, dos à Théo, les pieds sur le bord du canapé, les mains posées sur l’arrière du canapé, et Théo a tout l’honneur de la soulever doucement à chaque fois qu’il arrive au fond.
— Plus vite Théo s’il te plaît, ça commence à me plaire et je suis trempée...
Il accéléra à une cadence soutenue, claquant le cul de Sarah à chaque fois qu’il l’enfonçait.
— Encore plus vite, et plus fort... Vas-y à fond.
Théo baisait vraiment Léa au plus fort, et chaque coup la soulevait de plusieurs centimètres
— Oh mon Dieu, c’est trop bon de coucher avec un mec...— Tu n’es pas en train de coucher avec un mec, t’es en train de te faire défoncer comme une grosse salope... répondit Sarah, entre deux bouchées.— Tu as raison maman... Comme une grosse salope... Telle mère telle fille...
Léa mit fin à cet épisode en demandant :
— Papa, la table basse est solide ?— Vas-y Léa, c’est moi qui l’ai construite, si tu savais combien de fois j’ai pris ta mère dessus... répondit-il, assis sur une chaise en train de se faire pomper.
Léa prit le plaid qu’elle plia, et l’installa sur la table basse, puis s’allongea dessus sur le dos en écartant les jambes, laissant pour la première fois une vue entière sur son entrejambe
— Continue, Théo... Mais vraiment fort cette fois.— Vraiment fort Léa ?— Ne m’appelle pas comme ça... Ce soir, appelez-moi grosse salope, vide couille, tout ce que vous voulez... Je veux profiter de mecs et de leurs bites, et je veux que des mecs puissent profiter de mes seins, mon cul, ma bouche et ma chatte ! Je perds mes sens, profitez-en... Prends-moi le plus fort que tu peux... Je veux vraiment que ma première fois soit remarquable ! Je ne suis plus la petite Léa d’il y a une heure, j’ai découvert ce plaisir, allez-y à fond !
Théo se pencha sur Léa, en profitant pour malaxer ses seins et lui envoya un souffle chaud dans le cou, tout en profitant de ses seins, avant de lui glisser à l’oreille :
— OK mon esclave... Tu vas te faire défoncer.
Il attrapa fermement les jambes de Léa, présenta sa bite bien dure devant l’entrée, et l’enfonça d’un coup sec en tirant le plus fort possible sur ses jambes pour que son gland aille explorer le plus profondément possible. Avec l’énorme coup de bite reçu, les seins de Léa rebondirent plusieurs fois.
— OH PUTAIIIIN... C’EST TROP BON... CONTINUE THEO !!!
Théo, sans pitié, défonça Léa violemment en serrant ses jambes plus fort pour l’enfoncer le plus loin possible, faisant valser les seins pourtant fermes de Léa.
— Alors, tu trouves ça comment ?— Oh putain... Gé... nial... Mais, finis... Tes phrases... Par... Hmmm C’est trop bon... Une insulte...— Alors, tu trouves ça comment grosse salope ?— C’est... Trop... Bon... Mais ça... Manque... Oh mon Dieu... De sperme...
Léa ne croyait pas si bien dire. Théo était au bord de l’orgasme.
— Tu le veux où ?
Léa, se faisant violemment démonter, ne prenait plus la peine de répondre par des phrases.
— Bouche... Oh... C’est trop bon...
Au moment de l’orgasme, Théo se retira pour se diriger vers la bouche de Léa, puis sans pitié, renfonça Léa en lui tirant les jambes le plus fort possible. S’étant enlevé quelques secondes, il dut remettre quelques coups à Léa pour faire remonter l’orgasme, à leur plus grand plaisir.
— Tu ne m’as pas obéi, mais tu es entreprenant, fais-nous plaisir et gicle tout dedans, réclame Léa.— T’as pas le choix...
Théo reprit ses coups violents, la faisant crier de plaisir. Au moment venu, il positionne les jambes de Léa au-dessus de ses épaules, et la soulève de dix centimètres en sentant son foutre arriver :
— Oh... Oooooh... Ca vient... Je vais spermer... Ohhh......— Vas-y gicle, déverse ! Oh putain ça arrive, je sens ta bite gonfler, oh putain, je vais jouir, je vais jouir... Continue, vas-y, vas-y, vas-y ! Oui, oui oui oui... AAAAHH !! Ahhh... Oh c’est trop bon... Ouaw...
Théo prit le plus grand bonheur à remplir Léa le premier. Mais il reste maintenant ses deux potes...
— C’est dommage... J’avais soif... répondit Léa d’un air faussement triste. C’est trop bon... Au prochain ! Grouillez-vous, je suis chaude ! Je ne suis plus Léa d’il y a une heure... J’y ai goûté, maintenant, je veux me faire vraiment baiser !
Théo alla s’asseoir pour se reposer un peu.
Olivier s’approche, et y rentra sans aucune difficulté ni sensation.
— Attendez les garçons, sa chatte est pleine de sperme, elle est trop lubrifiée... dit sa mère. Je vais vous aider.
S’agenouillant devant le sexe de Léa, elle lèche tout le sperme de Théo sans avaler, en allant même chercher à l’intérieur, avant de sucer un peu Olivier pour le lui enlever également. Elle retourne voir Léa et l’embrasse :
— Tiens ma chérie, je sais que tu voulais avaler, c’est mon petit cadeau... Et puis ton père m’a mis deux giclées, alors je te le laisse !— Hmmm... Délicieux... Chanceuse...
Olivier s’approcha et la prit sans une lueur de pitié, ce qui n’était pas pour déplaire à Léa. Chaque coup de matraque la faisait reculer un peu en arrière, en faisant valser ses magnifiques seins. Les yeux fermés, elle se caressait le clitoris, sentant le sexe d’Olivier rentrer et sortir à une vitesse folle à quelques millimètres de ses doigts. Olivier prit son pied en la faisait bouger sur la table basse pendant au moins dix minutes. Loïc, qui n’en pouvait évidemment plus d’attendre, s’approcha du visage de Léa. Comme elle avait les yeux fermés, Loïc effleura avec son engin les lèvres de Léa qui bougeait de plusieurs centimètres à chaque coup qu’elle prenait. Elle n’hésita évidemment pas, et le prit en bouche dès qu’elle eût senti ses lèvres douces effleurées.
La douce Léa était aux anges. Elle prenait son pied, la bouche et son vagin comblés, en gémissant de petits cris étouffés par sa bouche pleine.Elle se libéra de Loïc pour s’adresser à Théo :
— Hm... Oh... Théo... Continue Olivier... Va chercher mon téléphone... Hmmm... Sur mon lit...
Théo s’exécuta, puis l’alluma.
— Maintenant... Hm... J’adore me faire baiser... Hm... Prends-moi en vidéo... Oh mon Dieu... J’adore...— Euh... Tu es sûre ?— Non... Mieux... Appelle Chloé... Hmmm... En visio... Ralentis Olivier... Je... Hm purée... Veux pouvoir parler...
Olivier ralentit le rythme, Léa reprend Loïc en bouche et Théo lance l’appel visio : Chloé met du temps à répondre.
— Salut Léa ma belle ! Il est minuit... Alors ? Euh... QUOI ? T’es qui toi ? Où est Léa ?— Elle est juste derrière, mais elle ne peut pas trop parler... — Montre-la-moi !
Théo lance un regard questionneur à Léa, qui lui lance une réponse affirmative du regard. Théo retourne la caméra.
— Mais Léa ! Qu’est-ce que tu fous ?!— Coucou Chloé... Mmmhhh... Glurp... Glurp... Hmmm Délicieuse... Bin ça se voit pas ? Je me fais défoncer et je suce !— Mais t’es sérieuse de me montrer ça ?— Accélère Olivier... Bin... Hmmm... Je me disais... Olala... Que ce serait plus court... Hum... que de t’expliquer !
Derrière les gémissements de Léa se cachait un message parfaitement clair aux oreilles de Chloé, qui la connaissait depuis longtemps. Léa prenait vraiment son pied, et se faire prendre par plusieurs mecs lui procurait réellement un immense plaisir.
— Quand même tu m’intrigues avec tes gémissements, t’en fais pas un peu trop ?— Je t’assure que non ! C’est vraiment trop bon... Tu fais quelque chose ce soir Chloé ?— Non, mais...— Alors, viens !— Je ne sais pas, j’ai l’impression que ce n’est pas trop mon truc...— Allez... On n’a que dix-huit ans, c’est le moment de profiter. Reste pas coincée dans ta petite vie !— Je vais te laisser chaton...
Chloé raccrocha. Olivier continuait de déboîter Léa et ils se rapprochaient tous les 2 de l’orgasme, tandis que Loïc continuait ses va-et-vient dans la bouche de Léa en la prenant par les cheveux.
Quelques instants après, Chloé, sans doute intriguée, rappela. Théo décrocha, en mettant la caméra sur eux. Au même moment, Olivier gicla des flots de sperme immenses sur le corps entier de Léa, à qui Olivier avait également décroché un orgasme. Léa, criant de plaisir, lâcha la bite de Loïc qui s’empressa de se branler le plus vite possible pour envoyer tout son foutre dans la bouche de Léa, toujours ouverte, criante.
Chloé avait là le tableau parfait : Léa, encore haletante et tremblante de plaisir, le corps recouvert de sperme, Olivier qui s’essuyait la bite dans sa chatte, et Loïc qui tapotait la sienne contre ses lèvres pour faire tomber les dernières gouttes dans sa bouche, qu’elle s’empressa d’avaler.Léa, dont le visage, les seins, le ventre et le sexe étaient remplis de sperme, fixait la caméra, et en avalant sa dernière gorgée...
— Mmmmhhh... Délicieux... - dit tendrement Léa, toujours à la respiration saccadée.— Wow... Léa ?— Oui chaton ?— Tu m’as convaincue.
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