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Léa et Emilie, filles de deux pères célibataires

Chapitre 5

Les enseignements de David. Partie 2 (Léa)

Hétéro
Mon impression de la veille se confirme bien vite à mon réveil, alors que le soleil n’est pas encore levé. Nous émergeons à peine, mais le sexe de David, lui, semble n’avoir pas dormi, car il est toujours aussi dressé qu’au moment où je me suis endormie. Et cela ne me laisse pas indifférente ; je me glisse sur le corps nu de David et commence à l’embrasser tendrement en secouant légèrement mon bassin sur la virilité de mon hôte.
— Bonjour Léa, tu as bien dormi ?— Très bien, toi aussi, on dirait, tu as l’air d’être plus en forme qu’hier soir.— Oh que oui ma belle ! Donc si jamais…
Sans finir sa phrase, David commence à glisser ses doigts le long de mon dos et s’arrête à chaque fois à la naissance de mes fesses, exprès pour frustrer toujours plus à chaque passage. Je ferme les yeux et profite de chacune de ses caresses. Ça me réveille en douceur, et plus je me réveille, plus mes envies commencent également à émerger.
— Attends David.— Tu veux attendre un peu ? Tu es encore fatigué ?— Non, ce n’est pas ça. Mais je veux… Apprendre. Je suis très limitée niveau sexe alors, montre-moi ce que je peux faire pour m’améliorer.— Tu n’as pas à t’améliorer Léa. Je ne veux pas te transformer, je veux juste passer du temps avec toi.— Je le sais, et j’apprécie ton geste. Mais c’est moi, je veux que nous passions le meilleur moment possible, et pour cela, j’aimerais en apprendre plus sur ce que tu aimes.— Tu penses à quelque chose en particulier ?— J’aimerais bien… Te sucer mieux que je ne l’ai fait la semaine dernière.
Pour seule réponse, David déposa un léger baiser sur mes lèvres, pas pour exprimer une excitation sexuelle, mais pour exprimer une certaine tendresse envers moi. Une tendresse que je lui rends bien volontiers. Nous nous embrassons ainsi pendant plusieurs minutes avant que je ne prenne l’initiative de commencer à glisser mes lèvres jusqu’à son sexe.
— Si tu veux savoir ce que j’aime, Léa, commence par me lécher de haut en bas.
Je m’exécute et laisse ma langue glisser sur son érection, en insistant bien sur son gland à chaque aller-retour. Je regarde David droit dans les yeux, et voir l’envie et le plaisir l’envahir m’excite de plus en plus.
— Maintenant, prends juste mon gland en bouche, et laisse ta langue continuer de jouer.
Sans attendre, je fais ce que David me demande et je sens quelques gouttes de son jus commencer à perler sur ma langue. Je fais abstraction du goût pour me concentrer sur ma pipe. Je suis sincère avec David, et je veux vraiment essayer de lui faire plaisir. Alors sans attendre, je commence à glisser son sexe de plus en plus dans ma bouche, jusqu’à arriver à ma limite à trois ou quatre centimètres de tout avaler. Je lui lance alors un regard de braise en tournant ma langue sur sa queue.

— Putain Léa, tu es sûre d’avoir besoin d’apprendre ? Tu suces bien !
Je le remercie d’un clin d’œil et accélère de plus en plus ma fellation. Les jambes de David se crispent, ses mains se posent sur ma tête et il ferme les yeux pour mieux se concentrer sur ma langue.
— Enlève toi Léa, je vais jouir.— Alors vas-y ne te gêne pas.— Léa…
Je prends tout ce que je peux de sa queue dans ma bouche, et le laisse éjaculer tout ce qu’il a dans ma bouche. Je continue de le regarder dans les yeux pendant que j’avale le foutre dans ma bouche, et que je lèche les dernières gouttes sur son gland.
— Putain Léa, tu as vraiment mis du tiens dans cette pipe. C’était génial.— Je te remercie, et le mieux c’est que le week-end ne fait que commencer.
En effet, nous ne faisons que commencer. Juste après avoir déjeuner et reprit des forces, David m’a allongé sur la table pour me baiser comme nous l’avions commencé quelques jours auparavant. Et malgré le fait qu’il a jouis quelques minutes, avant, il est très vigoureux et m’a prise de toutes ses forces. Après lui avoir dit de ne pas se retenir et que j’ai pensé à ma pilule, il déverse une nouvelle bonne dose de sperme en moi, que je recueille dans ma main et que je bois sans hésiter.Nous passons toute la journée de vendredi à baiser, à nous reposer, et de nouveau à baiser. Nous ne sortons pas du chalet, et nous n’arrêtons de baiser que pour se reposer en faisant un câlin ou pour manger. Plus nous le faisons et plus je me lâche, je me retrouve dans des positions que je n’avais jamais tentées, et lors de notre dernier ébat de la journée, alors que le soleil est déjà couché, je me mets à parler comme jamais je n’avais parlé au lit, alors que David me prend debout contre le mur.
— Prends-moi la chatte David ! Baise ta petite chienne comme il faut ! Fais-moi sentir ta bite jusqu’au bout !— Hum, je ne me serais jamais douté que tu pouvais être aussi salope Léa. Ça me plaît.— Alors montre-le-moi et baise moi ! Oui, plus fort !
Et il jouit alors pour la sixième fois de la journée dans ma chatte, en me faisant crier bien fort. Heureusement que nous sommes isolés, jamais je n’aurais pu autant me lâcher chez lui. Nous nous écroulons alors sur le lit, en sueur et essoufflés.
— Oh putain David, tu viens de me faire passer une journée… Bien remplie !— Toi aussi Léa, tu t’es vraiment donnée à fond aujourd’hui. Mais dis-moi, tu as toujours été comme ça au lit ?— Non, aujourd’hui, c’était la première fois que je me lâchais autant… Avec toi.
Je me blottis alors contre lui et pose ma tête sur son torse. Il est trempé de sueur et sens la transpiration, mais je m’en fous, ça m’apaise. Alors que je me calme et que mon corps commence à ressentir toute la fatigue de la journée, David se met à caresser mon corps, tout aussi en sueur que lui, avec sa main gauche. Il se balade partout sur moi, mais insiste beaucoup sur mes petites fesses fermes.
— Je peux te demander quelque chose Léa ? As-tu déjà essayé la sodomie ?— Euh non jamais.— Et ça te dirait d’essayer ?
En prononçant ses mots, sa main se glisse entre mes fesses et commence à jouer avec mon petit trou. Je n’ai jamais essayé la sodomie, mais je me suis déjà touché là, j’y ai même enfoncé un petit objet pour voir. Ce n’était pas exceptionnel, mais pas désagréable non plus.
— Pourquoi pas, mais là, je t’avoue que je suis crevée, ça peut attendre demain ?— Pas de soucis, je suis très fatigué aussi, tu m’en beaucoup demander aujourd’hui. Mais peut-être demain, j’aurais d’ailleurs une petite surprise demain.— Laquelle ?— Tu verras.
Je n’insiste pas plus et sors du lit pour aller aux toilettes, et j’en profite pour envoyer quelques messages à Emilie, elle croit que je suis chez ma mère, et à chaque fois, je lui envoie des messages pour qu’elle me vienne en aide quand elle me prend la tête. Et comme je ne lui ai rien envoyé depuis mon départ, je ne veux pas qu’elle se doute de quoi que ce soit.
— Bonsoir ma belle, comme d’habitude avec ma mère, je me fais chier. Je pensais que ça serait différent cette fois, mais pas du tout.
Pas de réponse. D’habitude, elle répond vite, mais là non.
— Elle a passé la journée à me prendre la tête pour un oui ou pour un non, et à me montrer toutes les pièces de sa belle maison en me disant à quel point elle est bien dedans.
Toujours rien.
— En plus, elle n’a pas arrêté de me faire des « cadeaux » aujourd’hui ! Je te jure, elle en a presque rempli toute ma chambre !
Toujours pas de réponse. Bon elle doit avoir une nuit tout aussi agitée que la mienne.
— Bref, je vais me coucher, j’espère que tu passes un meilleur week-end que moi. Bises ma belle.
Je rejoins ensuite David, et nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre, juste après nous être embrassé tendrement quelques minutes. En dehors de ce que nous venons de faire, David est vraiment quelqu’un de très doux et attentionné, il y a une réelle différence entre celui qu’il est en temps normal, et celui qu’il est dans son lit. Je le connais de plus en plus, même dans son intimité, et je dois avouer que j’en suis très contente.En me réveillant le lendemain, le soleil pénètre déjà par la fenêtre, et je me rends compte que David est déjà sorti du lit, et même déjà habillé.
— Tu es bien matinal David, tu ne veux pas rester un peu au lit ?— Ça va ne t’en fais pas, je me suis très rapidement endormi hier.— Je me demande bien pourquoi.— Moi aussi. Bref, je te laisse t’habiller, déjeuner, et nous partons ensuite pour la journée.— Où allons-nous ?— Nous allons camper dans la montagne, et passer la nuit à la belle étoile.— T’es sérieux ?— Oui, tu préférerais rester là ?— Ha non pas du tout, c’est juste que je ne m’y attendais pas.— Parfait, alors prends ton temps, je prépare ce qu’il faut.
David se met alors à se balader un peu partout dans le chalet pour prendre des affaires de camping par-ci par-là. Je déjeune, toujours nue, et je vais ensuite prendre une douche qui est plus que nécessaire après la journée d’hier. Une fois sèche, j’envoie un autre message à Emilie.
— Putain, elle est venue jusque dans mon lit avec un plateau chargé de pâtisseries et d’un autre cadeau. Elle commence sérieusement à me prendre la tête !— Je t’avais prévenu de ne pas y aller.
Ha une réponse cette fois, je me demande quand même avec quel mec elle a passé la nuit pour ne pas me répondre de la soirée.
— Arrête, je sais que tu as toujours raison, ne la ramène pas ! Tu vas faire quoi toi aujourd’hui ?— Je vais rester chez moi, mon père est également parti tout le week-end, alors je vais en profiter.— Oh toi, tu vas encore passer une nuit très courte ce soir !— Et je compte bien profiter de chaque instant ma belle.— Tu me raconteras quand je rentrerais, je dois me préparer pour aller camper… Du fun en perspective…— Accroche-toi ma grande, et la prochaine fois écoutes moi.
Je finis de m’habiller avec un jogging et un tee-shirt à manches longues, sur les conseils de David. Il fait bon en montagne, mais à cette heure de la matinée, je pourrais avoir un peu froids. Toujours sur ses conseils, je décide de laisser mon téléphone au chalet, il y a du réseau ici, mais beaucoup moins là où il va m’emmener. Et nous voilà parti sur les coups de dix heures, et je me mets à suivre David, tous deux équipés d’un bâton de marche.
Contrairement à ce que j’ai dit à Emilie par message, j’aime bien le camping. Pouvoir observer la nature sans être dérangé par les bruits de la ville et des gens, ça fait vraiment du bien et ça permet de se ressourcer. Pendant deux heures, nous marchons dans le silence, non pas que nous ne savons pas quoi dire, mais parce que nous voulions profiter du silence et du panorama que la montagne nous offrait, puis nous arrivons sur un terrain plat surplombant un lac, loin de tout et très agréable.
Nous passons ensuite une heure pour installer la tante, le barbecue et nous finissons par manger. Tout est si calme, c’est agréable. Nous laissons ensuite nos affaires sur le terrain, et descendons en contre-bas vers le lac pour nous y baigner une bonne partie de l’après-midi. Nous nous collons, l’un à l’autre, et nous laissons nos mains nous balader, mais nous ne couchons pas, nous savourons. Nous savourons un moment qui aurait été impossible en dehors de cette montagne, nous savourons un moment de complicité qui n’appartient qu’à nous.
Lorsque le soleil se couche, nous sortons de l’eau bien fraîche et nous séchons avant d’allumer à nouveau le barbecue, et mangeons avec appétit. Durant le repas, je vois David me regarder et s’attarde beaucoup sur mes yeux.
— Qu’est-ce qu’il y a ?— Je me disais juste que c’est l’une des rares fois où tu parais vraiment… Ouverte Léa.— C’est que… Je suis bien ici. C’est calme, joli, et tu es avec moi. J’ai toujours été à l’aise avec toi. Encore plus depuis une semaine.
Je pose alors mes lèvres sur les siennes en prenant sa tête entre mes mains.
— Tu as véritablement été une bouée de sauvetage pour moi, David.— Et je le serais toujours en cas de besoin.— Je le sais. Viens avec moi.
Je le prends par la main, ouvre la toile de tente et la referme aussitôt. Il fait bon à l’intérieur, et je me déshabille aussitôt pour offrir mon corps nu aux yeux de David. Je m’allonge sur le dos et écarte mes fesses pour laisser une belle vue sur mon petit trou.
— Continue de me former, apprends m’en plus, s’il te plaît.
David ne répond pas, il se contente de se déshabiller à son tour, et de venir m’embrasser, avant de laisser ses mains un peu froides glisser tout le long de mon corps jusqu’à mon anus, non sans me procurer des frissons de froid et de plaisir. Doucement, ses doigts caressent mon cul, et c’est rapidement au tour de sa langue de venir titiller mon petit trou. Rapidement, je mouille, et cela aide beaucoup David pour introduire un premier doigt dans mon cul qui me procure un léger sursaut de plaisir.
— Ça va, Léa ?— Oui très bien, tu peux continuer.
David, toujours aussi attentionné. Il se met alors à faire des allers-retours avec son doigt, et quand mon trou commence à s’élargir, il s’étale du lubrifiant sur un autre doigt pour élargir encore mon intérieur. Le deuxième a un peu plus de mal à passer et je dois avouer ressentir une légère gêne, David y va alors plus lentement et prend son temps, jusqu’à ce que je lui dise d’aller plus loin.
— Essaye ta queue. Viens en moi.— Tu es sûre de toi, Léa ? Surtout, dis-moi dès que tu ne le sens pas et j’arrête tout de suite.— D’accord. Tu as toute ma confiance.
Il vient alors m’embrasser fougueusement, et après avoir imbibé son sexe de lubrifiant, commence à pousser lentement en moi. Je grimace un peu au début, mon cul se dilate petit à petit, mais je sens quand même une certaine résistance de mon corps. Heureusement, David est génial et va vraiment lentement, il n’a pour le moment qu’enfoncer son gland en moi et ne vas pas plus loin.
— Ça va, Léa ? J’arrête là ?— Non, continue, mais lentement.
Je ferme les yeux et je savoure la queue de David s’enfoncer en moi, petit à petit, la gêne se dissipe et je commence enfin à ressentir un peu de plaisir. Finalement, sa queue entre totalement en moi sans que je ne m’en rende compte, et il effectue ses premiers vas et vient dans mon cul. Mon visage est alors déformé non pas par la gêne, mais par le plaisir, et mes jambes s’enroulent autour des hanches de David.
— Tu peux y aller David, baises mon cul.— Avec plaisir.
Hum putain ! Sentir une queue dans son cul est bien différent que de l’avoir dans la chatte, mais c’est tout aussi bon ! Je gémis enfin de plaisir et cela semble plaire à David qui accélère la cadence. Non pas que ça me déplaise, bien au contraire ! Mon corps est chaud malgré le frais du crépuscule à l’extérieur, et la tente est en train de se transformer en véritable sauna. Nos deux corps en sueur collés l’un à l’autre font couler ma mouille sur le sexe bien rigide de David, et ça l’aide encore plus à me pénétrer, c’est comme si mon corps veut de la sodomie, et je l’en remercie.
— Han ! C’est trop bon David ! J’adore ta bite dans mon cul ! Han plus fort !— Moi aussi, j’adore ton corps Léa, ton cul se resserre déjà sur moi.— Il se resserre parce qu’il veut te sentir, alors vas-y baise moi !
Les hanches de David se mettent alors à claquer contre mon cul, et je me mets à jouer avec mon corps. Ma main gauche pince mes seins et mes tétons bien dressés, tandis que ma main droite caresse ma chatte humide. Je dessine des cercles sur mon clito et je commence même à glisser deux doigts à l’intérieur.
— Je suis à toi David ! Mon corps est à toi ! Baise-le, putain ! Baise-le !— Je vais le faire, Léa, et toute la nuit. Mais là, j’ai envie de jouir dans ton joli petit cul.
Et il s’exécute après avoir de nouveau accélérer la cadence. Il me donne un dernier coup de reins puissant avant de tout décharger dans mon cul, ce qui ne manque pas de me faire crier.
— Han ! C’est trop bon ! Putain, j’adore ta queue !
David s’écroule alors sur moi en venant m’embrasser à nouveau, et continue de légèrement bouger en moi. Putain, je n’aurais jamais pensé que l’anal serait aussi bon ! Nous passons alors une grosse partie de la nuit à baiser, et tout mon corps y passe, clairement la nuit la plus chaude que j’ai jamais passé de ma vie !
Le lendemain matin nous repartons de notre nid d’amour pour retourner au chalet sur les coups de midi, il y avait presque six heures de route pour rentrer, alors il ne fallait pas trop attendre. Surtout que le lendemain, je reprenais les cours et David le boulot. Mais en arrivant au chalet et en regardant mon téléphone, je remarque la vingtaine de messages et d’appels de mon père et d’Emilie. Inquiète, j’appelle immédiatement Emilie qui a laissé le plus de message me disant de la rappeler rapidement.
— Enfin, tu appelles, mais tu étais où putain ?!— Je… Je n’avais pas de réseau, il se passe quoi ?— C’est ta grand-mère… C’est Claire. Elle est à l’hôpital !
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