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Léa et Emilie, filles de deux pères célibataires

Chapitre 7

Dernier chapitre: Retrouvailles (Emilie)

Lesbienne
— Je pense qu’on a des choses à se dire, tu ne crois pas papa ?
Nous sommes rentrés de l’hôpital, et j’avoue que j’ai encore en travers de la gorge ce que Léa m’a dit à propos de sa relation avec mon père.
— Et de quoi veux-tu que nous parlions ?— Tu le sais bien, toi et Léa. Tu croyais vraiment que je ne remarquerais pas votre arrivée ensemble ? De plus, tu as passé un bon moment à la regarder. D’un regard bienveillant, je conçois, mais quand même.— Léa est une gentille fille, j’étais juste inquiet pour elle et Thomas.— Oh, pour être gentille, elle a été gentille. Elle m’a tout dit.
Mon père garde le silence un instant. Je le connais et je connais Léa, je sais que jamais mon père n’aurait abusé d’elle. Ils étaient tous les deux consentants, j’en suis sûre et certaine, mais pourquoi l’avoir caché ?
— J’ai le droit d’avoir mes secrets.— Oui bien sûr. Mais là, on parle de ma meilleure amie ! Pas d’une simple conquête d’un soir !— Et tu penses pouvoir me faire la leçon ? Avant cela, j’aimerais savoir ce que tu faisais avec Thomas dans la matinée ?
Sur le coup, je ne capte pas, mais bien vite la mémoire me revient. Quand nous avons appris le malaise de Claire, il était neuf heures du matin. Thomas et moi étions encore dans son lit, et j’ai immédiatement envoyé un message à mon père pour lui expliquer. Sauf que dans le message, j’ai clairement écrit : « Viens le plus vite possible chez Thomas, on vient d’apprendre que sa mère est à l’hôpital ! »
— Je n’ai pas fait gaffe au début, mais pourquoi as-tu écrit "on" ? Que faisais-tu avec lui aussi tôt un dimanche ?— Je... J’ai passé la soirée d’hier avec lui... Tout le week-end même.— Et qu’avez-vous fait si ce n’est pas indiscret ?
Le ton de mon père est très acerbe, il sait maintenant ce qu’on a fait avec Thomas, et cherche à me le reprocher. Mais je ne compte pas le laisser me mettre à terre comme ça.
— Sûrement la même chose que toi et Léa durant tout le week-end !— Je n’y crois pas ! J’ai toujours accepté que tu fasses ce que tu veux de ta vie sexuelle, mais là... Putain, tu as couché avec mon meilleur ami ! Le père de TA meilleure amie !
— Et toi alors ! Tu t’es fait sa fille, et pas qu’une fois ! Certes, je te le concède, Thomas et moi n’aurions pas dû le faire. Mais toi et Léa l’avez fait plusieurs fois, et vous avez même prévu votre week-end ! Qui se fout le plus de la gueule de l’autre ?!
Nous continuons à nous hurler dessus pendant une bonne heure, et finalement, la discussion se termine dans une impasse. Nous allons nous coucher sans rien ajouter. L’ambiance à la maison devient alors glaciale pendant quelques jours, puis finalement, nous avouons chacun nos torts et présentons nos excuses à l’autre. J’ajoute également, en toute honnêteté, que jamais je ne pourrais regretter cette soirée avec Thomas. Nous avons passé un beau week-end, et même s’il a failli mal se terminer, ça restera une des meilleures expériences de ma vie. Mon père joue également cartes sur table, et me dit quasiment la même chose à propos de Léa. Nous mettons du temps à accepter ce que l’autre a fait, mais nous continuons à en discuter jusqu’à ce que, finalement, chacun pardonne à l’autre. Avec mon père, cette histoire finie par s’arranger.
Avec Thomas, c’est beaucoup plus facile. Nous nous mettons d’accord pour ne pas recommencer et ne pas nous revoir pendant un moment. Cependant, et comme je l’ai déjà dit à mon père, nous nous avouons tout de même que cette expérience a été géniale. Thomas est vraiment un homme très gentil, il n’en veut pas à mon père pour ce qu’il s’est passé, mais aurait tout de même préféré être mis au courant. Là-dessus, nous sommes entièrement d’accord.
Cependant, avec Léa, c’est plus... Compliqué. Nous n’arrivons tout simplement plus à nous parler, que ce soit face à face ou par message. Au lycée, nous arrivons à maintenir l’illusion auprès de nos camarades en échangeant sur les cours, mais dès que nous passons les grilles pour rentrer, plus rien. De mon côté, je ne lui en veux pas pour ce qu’il s’est passé, et je sais qu’elle aussi. Mais sans que je sache pourquoi nous n’arrivons plus à nous parler.
Je me mets alors à ressentir un vide, un grand vide. Léa est l’une des personnes qui comptent le plus pour moi, et ne plus pouvoir lui parler me fait vraiment souffrir. Cela ne s’arrange pas avec le temps, et nous finissons notre lycée sans avoir jamais pu discuter sérieusement de toute cette histoire. Pareil durant l’été, où je tente à plusieurs reprises de passer chez elle, mais à chaque fois que je suis face à la porte, mes jambes font demi-tour. Sur mon téléphone, je vois parfois sur son Messenger qu’elle est en train d’écrire quelque chose, mais je ne reçois jamais rien.
Finalement, septembre arrive, et nous sommes obligées de partir chacune de notre côté à l’université. J’arrive à passer de bons moments avec mes camarades de promo, mais je ressens toujours ce vide. J’essaye également de faire des rencontres, mais je ne vais jamais plus loin qu’à un ou deux verres. Les mois s’enchaînent, et nous arrivons aux vacances de Noël, où je retourne avec joie chez mon père. Nos retrouvailles sont chaleureuses, et je suis heureuse de le retrouver. Mais étonnamment, mon père tient à passer Noël en petit comité avec deux autres personnes, alors qu’en tant normale, on fait toujours une grosse fête. Il ne veut pas me dire qui vient, mais je me doute que ce sera mes grands-parents.
C’est vêtue d’une longue robe rouge, dos et bras nus, et coiffée d’un chignon que je vais ouvrir la porte au moment où la sonnette résonne dans la maison. Mais en ouvrant, je reste sur le cul : sur le pas de la porte apparaissent Thomas et Léa.
— Bonsoir Emilie, comment vas-tu ? Me demande Thomas avec un grand sourire.— Je... Je vais bien merci. Entrez, ne restez pas dehors. Claire n’est pas avec vous ?— Non, elle est chez sa sœur cette année.
Thomas et mon père se prennent dans les bras comme ils avaient l’habitude de le faire avant les événements des vacances de Pâques. Quant à Léa et moi... Ce n’est pas la même ambiance. J’arrive à peine à lui dire bonjour avant de la débarrasser de son manteau pour aller le mettre dans ma chambre. Elle est vêtue d’une robe noire à manches longues qui la recouvre jusqu’aux genoux, et ses cheveux cuivrés sont attachés en queue-de-cheval. Elle s’est également mis de l’eye-liner, ce qui fait ressortir ses yeux. Il faut croire qu’elle a appris à se mettre en valeur à la fac, car ça lui va très bien, mais je ne lui dis rien.
Une fois à table, je m’assois à côté de mon père, si Léa et moi restons assises toutes les deux l’une à côté de l’autre, cela risque de provoquer une certaine gêne. J’ai l’estomac noué comme jamais et je pense qu’elle aussi, pourtant, je sais qu’il suffirait que l’une fasse le premier pas pour que l’autre suive. Ça ne résoudrait peut-être pas les choses immédiatement, mais au moins, cela briserait la glace. Les seuls mots que nous échangeons, c’est pour répondre aux questions que pose le père de l’autre, et ce sont des questions banales sur comment se passe nos études.
Pour ma part, le premier semestre a été compliqué, surtout dans sa deuxième moitié, mais au final les partiels se sont plutôt bien terminés. Léa, qui a toujours été plus débrouillarde que moi en cours, a réussi haut la main son semestre.
— Pas étonnant, lui dis-je sans m’en rendre compte. Tu as toujours été douée pour les études.— Merci.
Ce sont les seuls mots que nous échangeons de tout le repas, alors qu’à côté, Thomas et mon père se tordent de rire à chacun de leurs échanges. Je suis tout de même bien soulagée de les voir redevenus amis comme avant. Après le mois d’avril, ils sont restés quelque temps sans se parler, puis se sont finalement revus pour en parler, et leur amitié est redevenue comme avant. Je dirais même qu’elle s’est renforcée. Les voir rire ensemble, alors que Léa et moi n’osons même pas nous regarder, me rend jalouse.
À la fin du repas déjà bien copieux, mon père sort plusieurs bouteilles d’alcool qu’il veut faire goûter à Thomas et ils passent le reste de la soirée à discuter alcool... Surtout à le boire. Alors qu’ils ne font plus attention à nous, nous allons chacune nous coucher, et une fois dans ma chambre, je me déshabille pour me mettre juste en peignoir. Je prends mon téléphone et constate que j’ai reçu un message de Léa.
— Tu dors déjà ?
Je lui réponds alors que non et m’attends à recevoir un autre message, ou même qu’elle vienne directement me parler, mais rien au bout de quinze minutes. Là, c’est trop ! Je sors en trombe de ma chambre et frappe à la porte de celle où Léa va passer la nuit. Elle ouvre presque immédiatement, toujours vêtue de sa robe. J’entre sans même attendre son autorisation et ferme la porte derrière moi.
— Tu as quelque chose à me dire ?
Mon ton est plus brusque que ce que je voulais, mais là, je suis trop stressée !
— Il y a beaucoup de choses que je voudrais dire, me répondit-elle.— Alors vas-y ne te gêne pas.— Nous avons chacune... Fait ce que nous avons fait avec le père de l’autre...— Quoi coucher ?— Oui... Coucher. Et depuis nous ne nous parlons plus.— Sans blague ?— Tu arrêtes un peu de me parler comme ça ! C’est déjà assez difficile pour moi !— Parce que tu crois que ça ne l’est pas de mon côté ?!— Bien sûr que si je le sais ! Je me doute bien que tu m’en veuilles, que tu veux juste que je sorte de ta vie, mais je veux d’abord que nous discutions.
Je sens mon visage devenir rouge de colère. Jamais je n’ai été énervée contre elle, mais là elle me sort par les oreilles ! Elle me connaît donc si mal que ça ?!
— Répète un peu, Léa ?— C’est par moi que tout a commencé, et je me doute que tu m’en veuilles de ne t’avoir rien dit, et surtout de l’avoir fait. Mais laisse-moi au moins t’expliquer comment tout est arrivé.— Je le sais déjà ça ! On en a déjà discuté avec mon père, si je suis en colère, c’est parce que tu te trompes complètement, je ne t’en veux pas. Si je suis en colère...
Je n’arrive pas à terminer ma phrase, mes poings sont serrés très fort et les larmes me montent aux yeux.
— Si je suis en colère, c’est parce que j’ai besoin de toi et que tu ne t’en rends pas compte ! J’ai essayé pendant des mois de renouer le contact avec toi, mais sans succès. Et pendant tout ce temps... Je me suis sentie affreusement seule.
Je vois Léa baisser la tête, sans rien répondre. Quant à moi, je ne peux m’arrêter de lâcher tout ce que j’ai sur le cœur.
— J’ai besoin de toi, Léa, j’ai besoin que tout redevienne comme avant.— Ça ne pourra jamais être comme avant...— Bien sûr, ça sera différent, mais je t’assure que je ne t’en veux pas. À moins que toi, tu m’en veuilles ?— Non pas du tout ! Mais c’est juste que...— Que, quoi ? Accouche ! Si je peux faire quelque chose dit le moi !
Léa se jette alors dans mes bras, cale sa tête contre mon torse, et commence alors à sangloter. Instinctivement, je réponds à son étreinte et commence à lui caresser doucement ses cheveux. Dans cet état, elle ne répondra pas, alors autant attendre qu’elle se calme. Cela fait longtemps que ce genre de scène n’est pas arrivé, la dernière remonte à Noël dernier, quand sa mère, complètement ivre, a dit que son mariage avec Thomas était la plus belle erreur de sa vie, tout en regardant sa fille. Une fois rentrée chez elle, il m’avait fallu plusieurs heures pour la calmer.
Quand enfin Léa réussie à retrouver son calme, elle s’assoit sur le lit et me regarde droit dans les yeux.
— Ça ne sera plus pareil parce que je ne te vois plus de la même façon Emilie.— Comment ça ?— Comme pour toi, cela m’a fait beaucoup de mal de ne pas t’avoir auprès de moi. Cependant, et très récemment grâce à un ami rencontré à la fac, je me suis rendu compte que... Si tu me manques tant c’est parce que je suis attirée par toi.
Alors là... Je ne m’y attendais pas !
— Ces derniers mois, j’étais vraiment déprimée de ne plus t’avoir auprès de moi, et un ami m’a aidé à voir ce que je ressentais vraiment. Tu comprends maintenant pourquoi je te dis que rien ne sera plus comme avant ?— Oui, je comprends. Mais ça serait si mal que ça que ce soit différent ?— Comment ça ?
Je viens alors m’installer à côté d’elle et je dépose un léger baiser sur ses lèvres. C’est la première fois que je les goûte, et elles sont vraiment toutes douces, quoique un peu humidifiées par ses larmes.
— Emilie ? Tu...— Je dois t’avouer avoir toujours eu envie d’essayer avec une femme, Léa. Et si c’est avec toi que je peux le faire, alors j’en serais très heureuse. Moi aussi, je me sens vide depuis que tu n’es plus auprès de moi.— Et si ça ne marche pas ? Et si cela en vient à détruire définitivement notre amitié ? Et si...— Et si pour une fois tu la fermais ? Je veux te retrouver Léa.
Je l’embrasse encore une fois, mais cette fois, mon baiser est plus appuyé. Je suis sincère avec elle, j’ai toujours eu envie d’essayer avec une femme, et l’un de mes fantasmes s’est déjà tourné vers Léa. Ce n’est arrivé qu’une fois avant les événements des vacances de Pâques, mais depuis quelques semaines, ce fantasme revient à la charge. Je prends son visage entre mes mains et glisse ma langue dans sa bouche à la recherche de la sienne. Léa n’oppose aucune résistance et ouvre ses lèvres pour me donner sa langue.
Je l’allonge sur le lit, j’appuie mes seins contre les siens et lui caresse ses jambes nues. J’ai déjà touché la peau de Léa pour l’embêter ou la chatouiller, mais jamais dans cette situation, et cela ne me laisse pas indifférente. Elle non plus d’ailleurs, si j’en crois les frissons qui parcourent son corps et ses poils qui se dressent. Ses jambes se referment sur moi et ses mains passent sous mon peignoir pour caresser mes seins. Je l’arrête et la regarde droit dans les yeux.
— Et si nous nous mettions à l’aise d’abord ?— Avec plaisir.
Nous nous levons et ne perdons pas une minute pour nous mettre nue et j’ai le droit à une petite surprise de la part de Léa.
— Tu ne m’avais pas dit que tu étais épilée, Léa ?— Si, mais j’ai eu envie de changer. Tu n’aimes pas les tickets de métro ?— Il faudrait d’abord que je goûte avant de dire si j’aime ou pas.
Je m’agenouille alors devant Léa et je lui écarte les cuisses pour la lécher. Je n’ai aucun mal à la faire mouiller, ayant toujours été habile avec ma langue, et son clito se retrouve alors rapidement emprisonné entre mes lèvres. Je le lèche et le suce avec beaucoup d’énergie, et Léa se met rapidement à gémir. Ses mains viennent agripper ma tête et ne me lâchent plus.
— C’est bon Emilie, continue s’il te plaît... Encore...
Ses jambes se ferment alors contre ma tête et je ne peux plus bouger. Très bien, madame veut des coups de langue, elle va en avoir ! Je glisse lentement tout le long de sa petite chatte serrée et son liquide coule de plus en plus sur ma langue, mais aussi sur mon visage. C’est qu’elle mouille beaucoup la coquine ! Et elle a bon goût en plus ! J’ai déjà goûté la mienne, mais celle d’une autre, c’est différent.
Je la pousse sur le lit pour laisser ma langue remonter le long de son corps, jusqu’à ses petits seins que j’ai toujours trouvé mignon. Je les ai déjà aperçus furtivement lors de nos essayages ou de nos séances piscine, mais je peux enfin les palper et les goûter. Je sens ses tétons se dresser entre mes dents, et ses gémissements sont de plus en plus irréguliers. Elle y prend du plaisir et cela m’excite, me poussant à descendre l’une de mes mains vers sa chatte pour y glisser deux doigts. Je m’attends à y rencontrer une certaine résistance, mais pas du tout, je glisse en elle très facilement.
— J’adore ! Je veux te faire du bien aussi.— Rien de plus simple.
Je me mets en position de soixante-neuf au-dessus de Léa, et lui offre ma chatte qu’elle s’empresse de lécher. Hum ! Sa langue est chaude et bien humide, cela suffit à me faire gémir, même si elle a encore des progrès à faire. Mais ses efforts sont notables et elle cherche vraiment à me faire du bien, j’aurais tout le temps de lui apprendre à mieux lécher plus tard.
Le bout de ma langue retourne sur son clito et mes doigts continuent de la pénétrer. Plus ils sont aspirés par sa chatte, plus mes mouvements sont intenses en elle. Je vais de plus en plus vite, au rythme de ses gémissements de plus en plus fort, et je vais même jusqu’à lui enfoncer un troisième doigt.
— Putain Emilie, j’adore ! Donne-m’en plus s’il te plaît ! Donne-m’en plus !— Avec grand plaisir.
Tout en accélérant le mouvement de mes doigts et de ma langue, j’appuie ma chatte le plus possible contre son visage, et à son tour, elle glisse deux doigts en moi. Je la sens fouiller, aller d’avant en arrière... Hum ! Elle est déjà plus douée avec ses mains ! Elle en vient même à prendre de l’assurance et se met à me lécher le cul avec sa langue.
— Hum ! Ma petite Léa est plus cochonne que je ne le pensais.— Tu n’as même pas idée.— Alors montre-moi.
Oh putain que j’ai raison de lui demander ! Léa se met alors à me bouffer littéralement mes deux trous sans ménagement, au point de me faire ralentir mes caresses. Mais je ne me laisse pas faire et reprends mes esprits, et malgré mes gémissements de plus en plus intenses, je reprends mon rythme effréné.
Nous continuons à nous faire ainsi plaisir pendant un bon moment, mais c’est finalement Léa qui craque la première.
— Hum ! Je vais jouir Emilie ! Tu vas me faire jouir !— Ne te gêne pas ma belle, laisse ta mouille inonder mon visage !
Et effectivement, un petit jet de cyprine atterrit sur mon visage au moment où Léa laisse échapper un petit cri de jouissance. Pour ma part, je n’ai pas atteint l’orgasme, mais ça sera pour une prochaine fois.
Nous nous blottissons l’une contre l’autre, et j’attends un moment que Léa reprenne ses esprits.
— Arrête de te farcir la tête avec des « et si », Léa. Je n’ai jamais été aussi bien que quand je suis avec toi, alors tentons notre chance, et voyons jusqu’où cela nous mènera. Tu es d’accord ?— Complètement d’accord. Merci Emilie, tu comptes plus que tout pour moi.
Nous nous embrassons encore quelques minutes avant de nous endormir dans les bras l’une de l’autre. Les relations à distance peuvent être compliquées, mais nous allons faire de notre mieux. Léa est très importante pour moi, et je ne tiens pas à la perdre de nouveau. Je veux la garder près de moi.
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