Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 207 J'aime
  • 10 Commentaires

Léa et les copains de papa

Chapitre 1

Trash
Cela faisait une semaine que Christophe avait eu cet accident de voiture. Percuté de face par un chauffard ivre sur une route de campagne, les médecins avaient réussi à le stabiliser, mais il était depuis plongé dans un profond coma.
La situation était difficile pour sa femme Anne-Marie et leur fille Léa, dix-huit ans. Afin de les soutenir dans cette épreuve, tous les amis du couple avaient proposé d’organiser un dîner dans leur maison qui changerait les idées aux filles. La femme de Christophe avait fini par accepter et la soirée se déroula plutôt joyeusement malgré les circonstances. La plupart des invités étaient repartis juste après dîner. Épuisée, la maîtresse de maison était partie se coucher tôt en s’excusant auprès des quelques invités encore présents qui prenaient un dernier verre. Elle monta dans la chambre conjugale et s’endormit rapidement. Au petit jour, elle fut réveillée par le chien des voisins qui aboyait après un petit vieux qui passait devant la maison de ses maîtres.
Anne-Marie se leva et alla toquer à la porte de la chambre de sa fille. Elle n’obtint aucune réponse et entra malgré tout dans la chambre de Léa, le plus silencieusement possible. Ses yeux s’accoutumèrent à la pénombre et elle marqua un temps d’arrêt quand elle s’aperçut que sa fille était nue. Allongée sur le côté, sa cuisse droite était repliée sur sa jambe gauche étirée. Son dos cambré et ses fesses arrondies délicatement posées sur les draps roses offraient un spectacle d’un érotisme saisissant. Sa poitrine découverte se soulevait doucement au rythme de sa respiration, et la fraîcheur de la nuit avait rendu ses tétons durs et tendus. En s’approchant, Anne-Marie resta interdite en distinguant de longues traînées blanches partant de l’intimité de sa fille chérie et courant le long de ses cuisses. Son regard remonta sur son sein droit littéralement repeint de semence séchée puis finalement au visage de Léa.
Là encore, de grandes taches blanchâtres maculaient les joues, le front, le menton et les paupières de la jeune fille. Une fine coulée sèche partait de ses lèvres entrouvertes et descendait le long de sa joue gauche. Là où celle-ci reposait, une auréole de sperme séché s’était formée sur le drap rose.
Horrifiée, la maman se baissa pour examiner le petit trou de sa fille. Elle ne put voir si celui-ci avait été pénétré et agrandi, mais au moins il ne semblait pas avoir reçu de semence. En posant la main sur le sol, les doigts d’Anne-Marie rencontrèrent la petite culotte normalement bleu pâle de Léa qui traînait par terre. Constatant qu’elle était trempée, elle la porta avec hésitation à son nez pour la sentir. Une forte odeur de cyprine s’en dégageait, et le sous-vêtement avait une teinte sombre et unie. La jeune fille l’avait complètement imbibée de son jus intime, et cela consola la mère : son petit ange avait dû beaucoup mouiller. Son délicat vagin avait donc sûrement été consentant aux pénétrations qu’il avait subies.
Elle se releva et posa sa main sur l’épaule de l’adolescente endormie. Cette dernière laissa échapper un très léger gémissement et entrouvrit ses paupières collées par le foutre séché.
— Maman... — Oui mon bébé d’amour, je suis là. Tout va bien.— Oh, maman chérie, je suis désolée, dit-elle alors que ses yeux s’embuaient de larmes.— Que s’est-il passé cette nuit mon cœur ? demanda doucement la mère en l’enserrant.
La jeune fille blottit sa tête contre la poitrine de sa maman et entama son récit, la voix étouffée par les sanglots.
« J’étais en bas dans la cuisine, je crois que le chagrin écrasant de ces derniers jours m’a endormie. Personne n’a dû oser me réveiller et quand j’ai ouvert les yeux, il était déjà presque minuit. Il ne restait que les copains de papa que j’entendais discuter dans le salon. Alors je me suis levée et je les ai rejoints, car je croyais que tu étais avec eux. Quand je suis entrée, ils se sont arrêtés de parler. J’ai demandé où tu étais et ils m’ont dit que tu étais partie te coucher là-haut. Je ne sais pas pourquoi, mais à ce moment-là, j’ai fondu en larmes.
Ils ont été très attentionnés et l’un d’entre eux m’a prise dans ses bras et m’a embrassé le front. J’ai pleuré pendant un moment contre lui tandis que les autres me caressaient le dos pour me consoler.
C’est ma faute... j’ai ressenti une très grande chaleur dans mon ventre et sans pouvoir me contrôler, je me suis mise à gémir doucement. Je tremblais et ma petite vulve s’est mise à couler. Oh maman, je suis tellement désolée... jamais ça ne m’était arrivé, enfin pas comme ça je veux dire. J’ai embrassé celui qui me tenait dans ses bras et tout a basculé. Il m’a rendu mon baiser, et les mains des autres sont descendues sur mes fesses et sont passées sous ma robe. Je me suis frottée à tous ces hommes, je bouillais de désir.
Ils ont fait glisser les bretelles de ma robe le long de mes bras. Ils ont arraché mon soutien-gorge, je me suis retrouvé les seins à l’air et ils se sont précipités pour me tripoter la poitrine et me pincer les tétons. J’ai essayé de leur dire d’arrêter, mais au moment où j’ouvrais la bouche, j’ai senti un doigt en bas écarter ma culotte et glisser entre mes petites lèvres. J’ai gémi au lieu de protester et je n’ai pas réussi à les repousser. Je ne sais même pas si j’ai essayé en fait... Puis ils ont arraché ma robe et l’un d’entre eux m’a attrapée par les cheveux pour me mettre à genoux. Il m’a traitée de salope... oh, maman, pourquoi il a dit ça ? Je me suis retrouvée à genoux encerclée par ces hommes. Leurs pantalons étaient tous déformés derrière leurs braguettes. Ils m’ont ordonné de les caresser et j’ai obéi... j’ai tellement honte. Et puis ils ont retiré leurs pantalons et ont baissé leurs caleçons.
Leurs sexes étaient déjà tous bien durs et ils s’amusaient à les tapoter sur mon visage. Un grand m’a giflée et m’a dit de sucer, car j’étais une petite pute née pour ça... je crois que c’est ce qu’il a dit... Et il a appuyé sur l’arrière de ma tête pour que ma bouche vienne toucher son pénis en érection. Je n’ai pas ouvert les lèvres assez vite et il m’a encore giflée. Quel salaud ! J’ai fini par prendre son gland dans ma bouche... je ne voulais pas au début, mais... maman c’est normal d’aimer ce goût si bizarre ? Il y avait déjà un peu de jus au bout de son sexe, c’était tellement bon... Bref, ils ont tous voulu que je les suce et certains allaient si profond que je n’arrivais plus à respirer. Je toussais et bavais sans pouvoir m’arrêter. Et je pleurais aussi, ils adoraient me baiser la bouche.
Ensuite, ils m’ont posée sur la table basse et m’ont plaquée la tête en bas. Ils ont enlevé ma petite culotte et me l’ont enfoncée dans la bouche. Puis ils m’ont dit de bien sortir mon cul et d’écarter les jambes. Ils ont tiré au sort pour savoir qui allait me prendre en premier. Finalement, j’ai senti quelque chose contre mon intimité. J’ai essayé de me dégager, mais le vainqueur du tirage au sort me tenait solidement par les hanches. Un instant plus tard, il s’enfonça d’un coup tout au fond de moi. Au début, j’ai eu très mal, mais la douleur est vite partie. Il a alors commencé à aller et venir dans mon intimité serrée, mais dégoulinante. Et il y a eu comme un déclic dans ma tête. Oh, maman, je les ai suppliés de me fourrer violemment, ça a duré au moins deux heures. Ils m’ont démontée, défoncé la chatte et la bouche. Malgré ça, je n’arrivais pas à me calmer et mon jus coulait à flots, j’étais en feu.
J’ai joui au moins quatre ou cinq fois, je voulais hurler de plaisir, mais j’avais toujours une queue profondément enfoncée au fond de ma gorge. Je perdais presque connaissance à chaque orgasme. Ils se sont tous vidés au moins deux fois dans mes orifices et partout sur mon corps. J’ai essayé d’avaler un maximum de foutre, mais il y en avait tellement partout...
Puis ils m’ont montée dans ma chambre et m’ont posée sur le lit. Je me suis endormie comme ça sans pouvoir me laver, je n’avais plus aucune force et mes jambes ne répondaient plus. Je suis tellement désolée... j’ai tellement honte... pardonne-moi maman s’il te plaît ! »
Diffuse en direct !
Regarder son live