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Léa - Mon esclave

Chapitre 2

Un anniversaire, exquis. (Anal, rimjob, plug, humiliation, et dressage).

Avec plusieurs femmes
Trois mois se sont écoulés depuis la fameuse soirée. Nous sommes maintenant fin février et même si Léa a refusé de venir aux précédentes fêtes de nos amis pour éviter de se retrouver dans la même situation, elle n’allait pas échapper à celle-ci : MON ANNIVERSAIRE !Je suis né fin février, comme beaucoup de gens et donc comme l’un de mes amis. Nous avions donc convenu de fêter ceux-ci ensemble chez lui (une grande maison en campagne).Depuis novembre, je continue de soumettre Léa lors de nos ébats, en la traitant de chienne, de pute et de sac à foutre... ce qui, à la vue de ses orgasmes en forte augmentation depuis que nous nous sommes rencontrés, m’indique qu’elle adore ça !Le jour J était là : j’avais préparé depuis plusieurs semaines en cachette un contrat de soumission, ou plutôt, d’esclavage sexuel. Je voulais la faire signer ce bout de papier en guise de cadeau, pour que je puisse enfin assouvir tous mes fantasmes et désirs sur cette magnifique Italienne.Le contrat est, bien entendu, factice car il n’est juridiquement pas valable, mais ça, elle n’avait pas besoin de le savoir, alors j’ai tout fait dans les règles de l’art.
Matin - Jour de mon anniversaire :Je me réveille doucement, je vois qu’elle est encore endormie.Je me lève sans faire de bruit, vais aux toilettes et, aillant envie de m’amuser un peu, je fais exprès de mettre de la pisse bien partout sur mon gland, et retourne vite dans la chambre sans m’essuyer bien entendu. Je la réveille avec un baiser, la prends tendrement dans mes bras. Elle se réveille.
— Bonjour mon amour ! Dit-elle d’une voix mielleuse. C’est ton anniversaire aujourd’hui, je ferai tout ce que tu désires mon cœur, cette journée elle est pour toi.
Rien d’autre n’aurait pu me faire plus plaisir ! C’est exactement ce dont je rêvais !
— Et si tu me faisais une petite pipe mon cœur ? Pour me mettre de bonne humeur ?— Bien sûr ! Je ne comptais pas oublier la miss ! C’est son anniversaire aussi à elle !
(Oui elle personnifie ma bite...)Elle s’engouffre sous les draps et s’empresse de la prendre en bouche.
— Hum... T’es allé aux toilettes ?! Me dit-elle avec dégoût.— Ah... oui, j’ai dû y aller dans la nuit... ça ne te dérange pas ? Je n’ai pas vraiment envie d’aller me nettoyer maintenant...— Bah, un peu mais bon... tant pis c’est un peu tard maintenant ! Fais gaffe la prochaine fois... Dit-elle écœurée avant de me reprendre sans grande excitation au fond de la gorge.— Oh... oui... suce-la bien avec ta langue ! Lui dis-je en guidant sa tête en agrippant bien ses cheveux. C’est bien, continue petite soumise... nettoie-moi bien la bite.
Elle commença à me faire une merveilleuse petite fellation, bien goulue comme j’aime. Mon Dieu qu’est-ce que c’est une bonne suceuse !Il ne fallut pas longtemps avant que je jouisse dans sa bouche.Un long foutre épais jaunit sur sa langue.
— Garde-le en bouche, je veux que tu savoures ! Lui lançais-je sachant pertinemment qu’elle n’aime pas du tout le goût très âcre que j’ai.
Ne pouvant pas me répondre la bouche pleine, je me relevai et ouvris le tiroir de la commode:
— C’est peut-être mon anniversaire mais j’ai quelque chose pour toi. C’est un contrat de soumission pour que tu deviennes officiellement ma petite soumise à moi. Qu’est-ce que tu en penses ?— Un contrat ? Pour quoi faire ? Ça ne te suffit pas comme ça ? Me répondit-elle d’un air interrogateur après avoir avalé ma semence.— C’est pour rendre les choses officielles ! Pour que tu me sois soumise en tout temps et que je puisse torturer ce petit clitoris aussi longtemps que je le veux, quand je le veux et où je le veux ! Dis-je sourire aux lèvres— Humm... m’ouais... Je ne sais pas si c’est très utile mais bon... si ça te fait plaisir.— En signant ce contrat, Mademoiselle XXXX Léa s’engage à devenir l’esclave sexuelle de Monsieur XXXX Tristan, elle devra l’appeler Maître en tout temps, garder une hygiène propre et accomplir tout acte sexuel que ce dernier lui ordonnera. Et ce jusqu’à rupture du contrat qui signera la fin de la relation des co-contractants.
(Je vous la fais en version courte... mais il était détaillé et bien insistant sur le fait qu’elle devait m’obéir, peu importe ce que je lui demandais et que si elle ne voulait plus être ma soumise, c’était la fin de notre relation).
— Tu comprends ce que cela implique n’est-ce pas ? Tu me devras obéissance et tu feras tout ce que je te demande de faire, même s’il y a des gens autour !— Oui j’ai compris... "MAÎTRE" ! Ria-t-elle naïvement.— Bon tant mieux, merci mon cœur, j’ai hâte de m’amuser avec toi ce soir !— Hein quoi ? Comment ça ce soir ? Me répondit-elle interpellée.— Tu verras, je te garde la surprise. Viens à la douche, je veux que tu sois propre pour ce soir petite souillonne.
Juste avant le début de la soirée, je lui sortis ses affaires, une robe rouge moulante en haut et volante en bas, avec un très joli décolleté, un dos nu et la partie "volante" qui s’arrête mi-cuisse.C’était vraiment une robe magnifique ! Un peu osée (carrément) mais vraiment belle, elle épousait ses formes parfaitement.
— Mets ça pour la soirée ! Et évidemment, petite pute que tu es, je t’interdis de porter de sous-vêtements ! Même pas de collants !— Mais elle est hyper courte cette robe ! En un coup de vent tout le monde verra ma chatte !— C’est bien le but ! Mais si ça te gêne que nos amis se concentrent sur ton joli minou sans poil, mets-toi ça dans le cul ! Lui dis-je en lui tendant un plug anal de taille moyenne que j’avais acheté pour l’occasion !
Celui-ci avait un petit diamant violet au bout (sa couleur préférée) parfait pour attirer les regards si celui-ci est à portée de vue.
— Mais t’es sérieux ? Tu veux que je porte ça toute la soirée ?!— Oui, et ne t’en fais pas, il ne tombera pas, il est fait pour rester bien confortablement (ou pas) dans ton petit cul !— Putain... t’abuses, j’espère pour toi que personne ne verra rien !
Je rigolais déjà pendant qu’elle serrait les dents pour le faire rentrer.Nous arrivâmes à la soirée, mon pote Jean qui fêtait lui aussi son anniversaire, nous ouvrit. Nous étions les premiers sur place, et prétextant un besoin de "finir de se préparer" j’emmenais Léa rapidement à l’étage dans la chambre de notre hôte. Après une remarque déplacée qu’elle avait faite la semaine dernière en présence de mes amis, j’avais une forte envie de l’humilier.La baie vitrée de la chambre donnait directement sur la cour d’entrée, je décidai donc de la plaquer contre celle-ci en lui relevant la cuisse gauche et retroussant sa robe pour bien dévoiler son intimité.
— Masturbe-toi ! Je veux que tu te touches à la vue de tous ceux qui passeront le portail.— Non, s’il vous plaît Maître, on risque de nous voir !— Sinon ce n’est pas drôle, non ?— Bien Maître ! Se résigna-t-elle.
Elle commença à se toucher doucement, pendant que, de ma main libre, je lui pinçais les tétons à travers sa robe. Ceux-ci ne tardèrent pas à durcir et à devenir très voyants à travers le tissu. J’avais très hâte qu’elle descende saluer nos premiers invités.Après cinq bonnes minutes de masturbations, elle commençait à geindre sérieusement, les premiers invités passaient le portail et ses gémissements augmentaient en conséquence... Je pouvais presque entendre son cœur tellement il battait fort, de peur que quelqu’un ne lève un tout petit peu les yeux. (Ou était-ce le mien ?)Une amie à Jean, Mélodie, monta à l’étage pour venir nous saluer. Ce qui sonna la fin du plaisir pour ma copine : son orgasme devra attendre.Mélodie est grande, fine aux cheveux châtains et très courts (comme ceux d’un homme). Elle est bisexuelle et assez ouverte sur le sujet (d’après nos dernières conversations lors des précédentes soirées). Je ne vais pas vous mentir, ça fait un moment que j’avais envie d’elle et ce soir me semblait être parfait pour satisfaire mon fantasme.Je sais que Léa n’est pas du tout attirée par les filles, comme moi pour les hommes. Nous sommes tous deux vraiment hétérosexuels, ce qui alimentait mon imagination pour humilier mon nouveau jouet sexuel.
La soirée était presque finie, Léa et Mélodie avaient déjà bu quelques verres, j’ai de mon côté été raisonnable pour garder les idées claires et mon but bien en vue.Jean, totalement bourré quant à lui prit une décision :
— Bon... Alors... Pour les chambres... ça va être simple : C’est MOI qui décide ! Si vous n’êtes pas content : vous dormirez dehors, et comme il fait -4... bref, ÉCOUTEZ-MOI. Alors... Paul et moi, on va dormir sur des matelas en haut, dans la salle de jeux. Dans ma chambre y a trois places, donc ce sera Léa et Tristan et un autre... Mélodie ! CHUT ! Taisez-vous c’est moi qui décide...
Très heureux de ce coup du sort, je lançai un regard pervers à Mélodie qui me le retourna en se mordant les lèvres... Je mets alors la main aux fesses de Léa pour bien faire comprendre à Mélodie qu’elle allait passer à casserole elle aussi. Léa, un peu soûle, ne comprit pas de suite ce que j’avais en tête et m’embrassa à pleine bouche devant les autres.Jean continuait d’attribuer les chambres pendant que nous montions à l’étage.Mélodie alla directement dans la salle de bains, pour se changer, Léa et moi étions donc seuls dans la chambre.
— C’est mon anniversaire aujourd’hui, et tu m’as dit que tu feras tout ce que je veux n’est pas ? En plus tu as signé le contrat, donc tu n’as pas trop le choix.— Euh... oui... mais ça va être compliqué de faire quelque chose avec Mélodie à 20 centimètres hein !— Qui a dit qu’elle ne participerait pas ? Souriais-je avec des flammes dans les yeux.— Non mais t’es sérieux ?! Être ta pute, ta soumise, je suis pour ! Mais je n’ai jamais signé pour te partager !— Tu as signé pour que tu me sois soumise et obéissante, point final. Si je veux te mettre nue au milieu de 20 mecs pour qu’ils te bourrent les trous, j’en ai le droit. Si je veux baiser Mélodie sous tes yeux, également ! Maintenant déshabille-toi avant qu’elle ne revienne.
Léa commença à sangloter sans pour autant s’exécuter, je décidai de prendre en main la situation. Je me rendis dans son dos pour y défaire l’attache au niveau de sa nuque. Je passais les mains à travers son dos nu pour rejoindre ses énormes seins et émoustiller ses tétons tout en enlevant la robe.Sa taille fine ne retint pas le reste de la robe qui tomba à ses pieds.Je la fis se baisser vers l’avant pour vérifier que le plug était toujours là. Et j’en profitai pour lui caresser l’entrejambe. Elle avait beau sangloter comme une petite fille capricieuse, son mont de Vénus était, quant à lui, complètement trempé.Mélodie revint au moment où je rentrais mes doigts à l’intérieur de Léa, qui lâcha malgré elle un gémissement des plus exaltants.
— Je vois que vous ne perdez pas de temps ! Même pas ça m’attend.— C’est ma queue qui t’attend depuis tout à l’heure surtout. Léa en plus d’être ma copine, est mon esclave sexuelle ! Elle fera tout ce que nous lui ordonnerons. QUE ÇA LUI PLAISE OU NON ! Insistais-je en la regardant.
Léa avait les yeux baissés, les bras le long du corps et regardait le sol pendant que Mélodie me retirait mon caleçon.Mélodie eut un mouvement de recul en voyant ma monstruosité sortir de sa prison. Ses yeux s’écarquillèrent et un sourire se dessina sur son visage jusqu’aux oreilles. Comme si elle venait de trouver le Saint Graal. (Oui à ce moment, dans ma tête, je n’étais pas peu fier).
— Chienne ! Viens aider notre amie, lui montrer comment tu suces.
Obéissante, elle s’exécuta sans un mot. Elle avait fini de pleurer depuis que Mélodie était entrée dans la pièce.(Il faut savoir que Léa pleure beaucoup, pour tout et rien... vraiment, ça peut paraître cruel et méchant mais c’est la vérité, elle me l’a dit elle-même lorsque nous nous sommes mis ensemble).À ce moment précis, j’avais deux magnifiques jeunes femmes en train de se partager ma bite. Rien que le souvenir me fait encore bander comme un âne. Si je devais choisir le moment de ma mort, je voudrais mourir à cet instant. Dieu que c’était bon !Après quelques minutes, je me sentais déjà au bord de l’orgasme. Il fallait que je ralentisse le rythme. Je me retirai donc de la bouche de ses deux salopes pour venir installer Mélodie sur le lit.Je me glissai entre ses longues jambes fines et entamai un cunnilingus, certainement l’un des meilleurs que j’ai pu donner.
Mélodie avait les yeux qui roulaient dans tous les sens, elle se tordait de plaisir à chaque coup de langue. Léa étant disponible et spectatrice jusqu’alors, je lui indiquai du doigt mon anus. Elle comprit très vite qu’elle devait venir y placer sa langue (rimjob, pour les connaisseurs).Je crois que je fis jouir une première fois Mélodie, qui avait du mal à retenir ses cris. (Est-ce que les autres nous ont entendus ? Probablement, mais je n’eus jamais de remarque à ce propos).Je me relevai et pris Mélodie par les hanches, la retournai et la pris en levrette. Ma bite s’enfonça facilement malgré l’étau très étroit de ma nouvelle pute. Je la pris jusqu’aux couilles, ce qui lui arracha un long râle de plaisir. Haletante, je crois qu’elle ne savait plus ce qu’elle devait ressentir : douleur d’avoir une queue aussi grosse dans son fondement, ou plaisir pour la même raison. Elle ne savait plus comment réagir. Je commençai alors de lents va-et-vient pendant que Léa restait spectatrice de la scène, larmes aux yeux.Je pris Mélodie de plus en plus rapidement, et de plus en plus fort. Ses gémissements emplissaient la pièce d’un son presque continu.Sentant le plaisir parcourir mon corps, je savais que je ne jouirai dans pas longtemps, je débutai alors un coït sauvage, je lui martelais clairement la chatte. On pouvait entendre mes couilles claquer contre son clito.Après quelques minutes de ce traitement, je finis par remplir cette chatte serrée de ma semence. Je pense que j’ai dû décharger des litres. C’était trop bon.
Épuisé, je m’allongeai sur le dos, tout comme Mélodie.
— Eh ! Chienne, ne t’endors pas, c’est le moment de me nettoyer ! Lançais-je à Léa.— Bien maitre ! acquiesça-t-elle avec mépris.
Elle se plaça entre mes jambes, et commença à me nettoyer la bite, pleine de foutre et luisante de mouille.Une fois ses esprits retrouvés, Mélodie se leva pour aller se nettoyer.
— Où vas-tu ? Lui lançais-je.— Aux toilettes, j’ai envie de faire pipi et il faut que je me nettoie quand même un peu ahah ! souriait-elle.— Attends debout, et écarte les cuisses. Lui répondis-je.— Sac à foutre ! Va lécher notre amie, nettoie-lui bien la chatte avec ta langue !
Léa me regarda stupéfaite. Elle n’est absolument pas bisexuelle, elle ne trouve aucun plaisir à faire quoi que ce soit avec une femme, cela la révulse au même titre que moi si je le faisais avec un homme.
— C’est un ordre, insistais-je.
Les larmes aux yeux de Léa réapparurent.
— Euh. Tu es sûr que tu n’abuses pas un peu ? Me demanda poliment Mélodie.— C’est ma soumise, elle doit apprendre à exécuter tous mes ordres, et sans discuter.
Mélodie se prit au jeu et écarta les cuisses au maximum tout en restant debout. Elle empoigna les cheveux de Léa pour lui fourrer la bouche dans sa chatte dégoulinante de foutre.De nouveaux gémissements se firent entendre, et au bout de plusieurs minutes, je pouvais voir Mélodie jouir debout, étouffant ma soumise de son jus et le restant de sperme qui devait être au fond de sa chatte.Mélodie, complètement sous l’emprise de son orgasme titubait à reculons. Léa, écœurée par l’humiliation qu’elle subissait depuis tout à l’heure recracha le foutre et la cyprine qu’elle avait encore en bouche.
— Comment oses-tu petite pute ?! La grondais-je.
Je lui pris les cheveux et lui collai le visage par terre.
— Lèches ! C’est un cadeau que nous t’avons fait, ne t’avise pas d’en perdre une goutte.
Remarquant le plug qu’elle avait encore entre les fesses, Mélodie s’empressa de venir jouer avec.Elle le sortit brutalement du cul de ma salope, pour le ré-enfoncer tout aussi violemment. Je fus surpris qu’elle y prenne autant de plaisir.Léa avait beaucoup de mal à récupérer le foutre au sol, elle se faisait défoncer l’anus qui n’était absolument pas prêt à ce traitement.Cela continua jusqu’à ce que Léa eût fini de nettoyer le sol. Autant vous dire que la rondelle de Léa était complètement éclatée à la fin.
Nous nous couchâmes alors quelques minutes plus tard,Mélodie complètement épuisée s’endormit d’une traite,Léa frustrée de ne pas avoir eu d’orgasme eut du mal à tomber dans les bras de Morphée. Et moi je n’arrivais toujours pas à réaliser que je venais d’avoir le meilleur anniversaire de ma vie.FIN de la seconde anecdote.D’autres sont à suivre si évidemment vous aimez les deux dernières. Parce que je ne me suis pas arrêté de baiser Léa de suite !
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